Tumgik
#p.a. bien
typewriter-worries · 2 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Report To Greco, Nikos Kazantzakis, tr. by P. A. Bien | Moment Of Reflection,  Nancy Junkin | Working It Out, Charles Bukowski
2K notes · View notes
rose1water · 3 months
Text
Tumblr media
“This nostalgia for God, at once so mysterious and so real, has opened in me large wounds and also large flowing springs.”
— Nikos Kazantzakis, The Last Temptation, tr. P.A. Bien (London: Faber and Faber, 1983)
18 notes · View notes
am0rt · 3 months
Text
J'ai trop la flemme de traduire, et j'adore les HC, donc nsm les anglais vous entendez. Btw si y'a quelques contre-sens avec le jeu dites le moi, je reregarde petit à petit le jeu (car nsm les p.a).
HSL CDC HEADCANONS:
Armin:
Laupok c'est son youtubeur fav assuré je suis dsl. Minimum il essaie toujours qu'on choisisse son niveau Mario Maker.
Les cernes. C'est le genre de personne à 3h du matin il est en ranked dans un jeu en ligne ou alors il essaie de battre un boss depuis 21h.
Ses cheveux graissent facilement, c'est souvent Alexy qui lui rappelle de les laver.
Révise jamais mais à 16 de moyenne.
Tu veux le stalker ? Bonne chance car honnêtement il a 12 abonnés sur Instagram.
Lysandre:
Tâche de rousseur dans le dos.
Il a une écriture hyper soignée.
Il kiff faire les friperies, les vides greniers ect, c'est l'endroit parfait pour lui pour trouver les objets à son goût.
Il adore les films/séries d'animation.
Bien qu'il soit tête en l'air, JAMAIS il n'oubliera l'anniversaire de ceux qu'il aime. Il trouve toujours quelques choses pour faire plaisir à la personne.
Kentin:
Une haine profonde envers le film Barbie à cause de la musique "I'm Just Ken".
Il a des lunettes pour quand il est chez lui, des lunettes de daron rectangulaire y'a que Sucrette qui sait ça.
C'est le genre de personne qui garde les cadeaux qu'on lui offre.
On lui empêche encore de sortir à son big âge.
Il a peur des profondeurs marines et il est claustrophobe + bonus anxiété après ses années d'harcelement et l'armée.
Discipline de fou furieux.
Nathaniel:
"Le livre est bien meilleur, je sais pas pourquoi les gens regardent QUE le film."
Il a déjà tenu un wattpad pendant un an, ses parents ont découvert l'application et l'ont forcé à supprimer.
Il trouve du réconfort dans le contact physique mais il est toujours un peu mal à l'aise face au contact physique.
Ce n'est pas le genre de personne à écouter de la musique très souvent.
Minimum il a une pharmacie entière dans son sac pour ses allergies, quand il a des migraines ect.
Castiel:
Collection de t-shirt de rock.
Ses paires de chaussures sont bien usées bien défoncées. Soit il porte des docs soit des converse.
Skater à ses heures perdus, il a déjà rejoint Iris et Armin au skate parc (cmt caler un HC dans un HC)
Crooked nose bien grrr
Hormis les chiens, il n'aime pas les animaux.
Monsieur hyper aigri est en secret hyper chatouilleux et il a probablement un rire contagieux bien magnifique.
11 notes · View notes
hairtusk · 2 years
Text
Tumblr media
Nikos Kazantzakis, The Last Temptation, trans. P.A. Bien (1961)
136 notes · View notes
joseandrestabarnia · 1 year
Text
Tumblr media
EMPAREJAMIENTO DEL MAYOR
1848
Tamaño - 58,7 x 75,4
Material - lona
Técnica - óleo
Número de inventario - Inv.5210
Recibido del Museo Público de Moscú y Rumyantsev (colección de F.I. Pryanishnikov). 1925
"Major's Matchmaking" es la obra más significativa de P.A. Fedotov. Por la imagen, el artista recibió el título de académico y recibió una atención especial de los espectadores y críticos.
La obra fue concebida como una obra de múltiples figuras, cuya trama se suponía que era un fenómeno prosaico, pero teñido por circunstancias especiales. A mediados del siglo XIX, los matrimonios entre representantes de familias mercantes y nobles comenzaron a ocurrir cada vez con mayor frecuencia. Tal matrimonio convenía a ambas partes: el comerciante recibió privilegios nobles para su descendencia, y el noble empobrecido recibió una vida bien alimentada. Esto se convierte en la trama de la imagen. La composición se basa en el principio de una puesta en escena teatral. Las acciones de los personajes, que se suceden unas a otras, crean una cadena de eventos que se desarrolla en el tiempo. Una decisión tan dinámica fue una técnica fundamentalmente nueva para la pintura de género en el arte ruso.
La acción tiene lugar en la sala de estar de la casa de un comerciante. El novio, un oficial de mediana edad, vestido con un uniforme con charreteras brillantes, llegó para recibir a la novia y sus familiares. Mientras espera la recepción, demuestra con todas las apariencias confianza en su importancia y valor como futuro esposo. La casamentera inquieta anuncia la aparición del novio. La noticia causó un pequeño revuelo en la casa. El padre comerciante se abotona apresuradamente la levita para recibir al invitado de manera adecuada. La novia avergonzada quiere salir de la habitación, pero la sabia madre se lo impide. Testigos del tumulto son la cocinera que pone la mesa, la reclusa que trajo el vino de la tienda y la anciana que "no se da cuenta de lo que pasa". Los detalles que complementan la historia del artista juegan un papel importante en la imagen. La decoración de la habitación es buena, pero sencilla. como en muchas casas de comerciantes. Araña de cristal y candelabros demuestran la riqueza de los propietarios. Para conocer a un posible yerno, las damas se vistieron con vestidos de corte europeo, pero sus magníficos atuendos parecen fuera de lugar en este entorno y delatan ignorancia de la etiqueta noble, así como la disposición de la mesa. Todo esto el artista lo pensó hasta el más mínimo detalle para transmitir con mayor precisión los tipos humanos y los fenómenos sociales que irónicamente denunciaba en sus pinturas. El "emparejamiento del mayor" insinuaba no solo la pobreza de los oficiales de Nikolaev, sino también los torpes intentos de los comerciantes de unirse a la nobleza. pero su atuendo pomposo parece fuera de lugar en este escenario y revela ignorancia de la etiqueta noble, así como la disposición de la mesa. Todo esto el artista lo pensó hasta el más mínimo detalle para transmitir con mayor precisión los tipos humanos y los fenómenos sociales que irónicamente denunciaba en sus pinturas. El "emparejamiento del mayor" insinuaba no solo la pobreza de los oficiales de Nikolaev, sino también los torpes intentos de los comerciantes de unirse a la nobleza. pero su atuendo pomposo parece fuera de lugar en este escenario y revela ignorancia de la etiqueta noble, así como la disposición de la mesa. Todo esto el artista lo pensó hasta el más mínimo detalle para transmitir con mayor precisión los tipos humanos y los fenómenos sociales que irónicamente denunciaba en sus pinturas. El "emparejamiento del mayor" insinuaba no solo la pobreza de los oficiales de Nikolaev, sino también los torpes intentos de los comerciantes de unirse a la nobleza.
La pintura causó sensación en la Exposición Académica de 1849. En esta ocasión, P. A. Fedotov escribió una descripción poética de la pintura: "Racea", así como un poema satírico "Enmienda de las circunstancias o el matrimonio de un mayor".
Información e imagen de la web de la Galería Tretyakov.
2 notes · View notes
if-you-fan-a-fire · 1 year
Photo
Tumblr media
“St-Vincent-de-Paul? Au Pénitencier: LES VRAIS MOTIFS DE LA REVOLTE” Le Petit Journal. November 13, 1932. Page 1, 20 & 21. --- Hier et aujourd'hui. — Discipline trop implacable. — La nourriture. ==== RECIT D'UN TEMOIN --- Vous êtes au coeur de St-Vincent-de-Paul, en plein chemin national, dans le courant d'une vie apparemment champêtre et gaie. Les bruits de la Rivière-des-Prairies peu à peu s'étouffent; une sorte d'atmosphère mystérieuse vous enveloppe et, en quelques minutes, vous met très loin du monde des vivants. D'un trait une porte gigantesque et matelassée de fer s'ouvre, Le bagne est devant vous. === Vous pénétrés plus avant. Vos yeux s'habituent à ce demi jour et commencent à distinguer quelque chose. Des officiers en arme vous accueillent, l'oeil rapide et scrutateur, Vous vous trouvez alors dans une espèce de petit corridor très étroit avec au fond un escalier qui conduit aux différents bureaux de l'administration, au deuxième étage. A droite, une grande cage de fer avez de solides barreaux. C'est le parloir où, tous les deux mois, les condamnés dont la conduite est bonne, ont la permission de venir s’entretenir avec les êtres chers pendant vingt minutes.
Vous montez le petit escalier que vous avez vu tantôt et vous voilà enfin dans une salle mieux éclairée comprenant divers bureaux, clavigraphes, immenses filières, voûtes murales. C’est le bureau de l’administration. Voici d’abord le sympathique préfet de l’institution, le colonel P.A. Piuze, surnommé depuis les récents désordres ‘l’homme de fer’: voici son secrétaire, le capitaine Gustave Sauvant, ancien journaliste de Pars; viennent ensuite les gardes Tremblay, Piché et Rioux, respectivement sténographes et assistants du préfet.
DANS LES MURS Pour le prisonnier qui s'est balladé pendant quelques semaines de la Prison commune au Palais de Justice, jusqu'à l'issue de son procès, et qui a passé quelque temps dans les cellules vieilles et monotones de Bordeaux, son arrivée à St-Vincent de Paul devrait marquer une étape importante.
En comparaison, vue du dehors, la citadelle pourrait paraître un séjour presque confortable. 
Rien de plus curieux que cette petite ville de St-Vincent de Paul, sorte de capitale du crime. Dans les édifices, dans les cours, les corridors, partout des corvées de forçats se croisent, marchent et travaillent. cependant que des officiers en khaki se promènent graves et dignes. Tout cela se coudoie dans un méo-mélo familier, jacasse, plaisante, s'interpelle.
LES TROUBLES DE ST-VINCENT DE PAUL Une véritable conspiration semble avoir été établie pour faire le moins de publicité possible autour des désordres actuels au Pénitencier de St-Vincent de Paul. Mais le voile qui en a jusqu'ici caché les causes premières auprès du publie, se déchire peu à peu au-dessus de l’enceinte fortifiée. Les commentaires vont leur train, et l'état d'esprit qui règne dans l'institution est loin d'être encore normal. 
S'il faut en croire les déclarations d'an ancien forçat libéré il y à quelques semaines et qui est très au courant du malaise qui existe dans les différentes sections du bagne, la révolte se préparait dans les cerveaux depuis près de deux ans et n'a aucun rapport avec les désordres survenus à Kingston iI y a quelque temps. Sans doute les détenus de St-Vincent de Paul eurent tôt fait d'apprendre la panique provoquée par leurs camarades au pénitencier de l’Ouest, mais on nous assure que ce n'est pas précisément ce qui les à poussés à se révolter à leur tour. 
Le bagnard qui a écrit ces lignes exclusivement pour les lecteurs du Petit Journal, à occupé pendant plusieurs années un poste de connistratifs du pénitencier, Il prétend avoir été le témoin de bien des bagarres et de plusieurs commencements de révoltes collectives durant son séjour dans la prison. Cet homme qui a vu les choses de près, connait tous les détenus par cœur et, ce qui plus es:, connait parfaitement leurs griefs. 
On nous assure que le soulèvement du 4 novembre et les nouveaux troubles de la semaine dernière avaient été prémédités dans les rangs depuis  de longs mois et les causes qui peuvent les avoir lentement provoqués, sont multiples.
DISCIPLINE TROP RIGOUREUSE On comprend que pour maintenir dans l'obéissance la Collection de sacripants et de criminels que renferme le pénitencier, de fortes punitions doivent être appliquées parfois. Mais, d'un autre côté, si la législation du bagne doit être implacable envers les criminels que tien ne peut dompter, est-il besoin de dire qu'elle devrait se montrer miséricordieuse et plus généreux: envers les condamnés repentants et soucieux de se régénérer par le travail? A ceux qui en sont à leur première offense, et qui se sont laissés entraîner vers le crime dans un moment d'égarement, elle devrait faire des concessions. Les prisonniers qui font en ce moment une longue sentence ne se rappellent j’amais sans émotion l'époque où le colonel Girouard dirigeait le pénitencier il y à quelques années. La discipline était beaucoup moins sévère qu’aujourd’hui et. pourtant le travail des prisonniers était tout aussi bon.
A cette époque l'administration était toujours heureuse de recevoir les quelques plaintes de certains forçats. Chacune était étudiée avec soin et, si elle était juste, le nécessaire était fait par les autorités pour que les détenus aient satisfaction dans la mesure du possible. L'alimentation était bonne aussi et on ne négligeait rien pour satisfaire le bagnard de ce côté. Le prisonnier mangeait toujours à sa faim et aucun prisonnier n'eut jamais à répliquer. Les choses cependant n'en sont plus ainsi et le régime du pénitencier à fait une volte-face énorme. Habitués qu'ils étaient à une discipline moins rigoureuse, quoique très stricte encore, les vieux forçats qui expient en ce moment de longues sentences, se soumettent très difficilement à la nouvelle discipline du pénitencier. 
J'ai vu une période des plus tragiques à St-Vincent de Paul l'été dernier alors qu'il ne se passait jamais une semaine sans qu'après la rentrée des prisonniers le soir, on entendit un bruit d'enfer de ferraille et d’ustensiles de toutes espèces, dans le ‘Dome’. Pendant plus de trois mois, l’été dernier, chaque lundi soir, était une soirée de bruits et de désordres dans toutes les cellules, à cause d’une mauvaise soupe aux pois que les autorités voulaient faire manger aux forçats. À certains moments nous aurions cru qu'une véritable révolte en règle était déclenchée dans toutes les sections du bagne, et c'est vraiment par pare chance si aucun dégât sérieux n’ait eu à être signalé et si aucune perte de vie n'ait été déplorée. 
Avec l'administration actuelle, non seulement l'alimentation est devenue subitement inférieure mais, de plus, tous les divertissements au pénitencier ont été rayés de l’ordo. Les concerts que donnaient au pénitencier chaque mois les musiciens de la Montreal Tramways, ne sont plus donnés depuis environ trois ans. Le seul concert qui fut offert aux prisonniers depuis près de deux ans est un petit concert religieux qui fut par la chorale des prisonniers. À cet effet, on fit sortir tous les prisonniers des cellules un dimanche après-midi et on les dirigea vers la chapelle pour en écouter l'exécution. Le tout ne dura pas plus d'une heure, et les forçats s'en moquèrent bien plus qu’ils ne l'apprécièrent. Les séances de cinéma n'ont pas eu lieu à Saint-Vincent de Paul depuis trois ou quatre ans.
LE LAIT On autorisait autrefois pour les détenus de constitution faible ou bien qui accomplissement un travail pénible, un bon gobelet de lait une fois par jour. Ce n'était pas une dépense énorme pour l'administration et la population s'en trouvait bien portante. Ce privilège a également été biffé de l'ordo depuis plus : de trois ans et ceux qui reçoivent du lait aujourd’hui ne sont que les prisonniers admis à l'infirmerie où sous traitement. 
Aujourd'hui, non seulement le privilège du lait est annulé, mais on oblige de plus chaque détenu à prendre s& ration lorsqu'il passe à la cuisine, qu'il puisse la manger ou qu'il ne la mange pas.
Comme le prisonnier rapporte toujours au repas suivant, le plat vide qui portait la ration précédente, l'auteur de ces lignes, qui voyait de non poste défiler les détenus, affirme que certains jours 75% des plats reviennent à Ia cuisine encore pleins et qu'on n’a pas touché à une bouchée de nourriture. Les fèves au lard, par exemple, qui ne sont pas aimées du tout par les forçats (et les autorités le savent) sont servies quand même deux fois chaque semaine, le mardi et le vendredi. Un visiteur qui se tiendrait au défilé des forçats à la cuisine à l’un de ces deux jours, pourrait voir environ 80% des prisonniers rapporter leur ration à Ia cuisine. C'est navrant! toute celle nourriture est envoyée à la porcherie. et, les prisonniers, eux, sont réexpédiés à leur travail, qu'ils aient mangé ou non.
LA QUALITE DES ALIMENTS Il n'y a pas l'ombre d'un doute que les aliments achetés pour la nourriture des prisonniers, sont de premier choix. En été surtout, la ferme du pénitencier produit mille et une choses de première qualité. Mais c'est dans la préparation des repas, à la cuisine, nous dit-on, et bien souvent sous l'oeil des surveillants, qu’il se fait le plus triste travail. La marmite est le plus souvent confiée à des mains inhabiles. Avec le montant alloué pour l'entretien des prisonniers et tous les produits de la ferme, les autorités, il nous semble, pourraient varier un peu les menus et les rendre plus appétissants. Ce qui manque à St-Vincent de Paul, est un cuisinier de premier ordre. En d'autres termes, c'est la porcherie qui présentement reçoit une partie de la nourriture destinée aux bagnards. Si un “chef” compétent unissait tous ses efforts pour arriver à rendre cette nourriture meilleure, je doute que les esprits soient‘tentés de se rebeller à nouveau, Le forçat qui a bien mangé, neuf fois sur dix, se soumet plus facilement à la discipline et accepte plus stoïquement son épreuve. 
LE “MESS” DES OFFICIERS Le “mess” des officiers est le réfectoire des gardes. D'après celui qui à écrit ces lignes, ce mess consomme je meilleur de tout ce qui est acheté par l'institution. En été, parait-il, les gardes, dont la famille reste le plus souvent dans le village, a la permission d'acheter des produits au pénitencier, voire même des viandes. A l'arrivée de toute consignation au bagne on fait donc un choix minutieux du meilleur et l'auteur affirme qu'on le dispose comme ceci. Si ce sont des viandes, les meilleures parties sont conservées pour la résidence du préfet, les parties convenables sont destinées au “mess” des officiers, et je reste, ce dont personne ne veut, rentre dans la préparation des différents repas aux condamnés. 
Il petit paraître étrange de le dire, mais au pénitencier de Kingston, les choses ne marchent pas du tout de cette façon et les gardes de l'institution ne peuvent pas acheter les produits de la prison. Tout va au compte des prisonniers. 
RIVALITÉ Il faut dire en passant qu'il y a toujours eu une très grande rivalité entre Kingston et St-Vincent de Paul. Il ressortirait de mes investigations que cette dernière maison à eu sans cesse l'ambition de montrer au ministère de la Justice, qu'elle peut, en dépit du grand nombre de détenus internés, arriver à boucler le budget, avec un coût pour chaque prisonnier, bien Inférieur à celui de Kingston. Je me souviens qu'il y à certains mois l'été dernier où les rapports indiquaient qu’il en avait coûté .08 ou 09 sous par jour au gouvernement pour chaque prisonnier, a St-Vincent de Paul, alors que Kingston pour les mêmes périodes je crois que le rapport montrait une dépense par tête de .19 et 20 sous.
LES PUNITIONS Les records du pénitencier indiquent une augmentation considérable de punitions par châtiments corporels, comme jamais Il en fut fait mention .dans les .annales du bagne. II ne se passe jamais une semaine au pénitencier de St-Vincent de Paul, sans que deux ou trois détenus reçoivent le châtiment des Ianières (le “strap”). Ce châtiment peut varier entre 10 et 20 coups. Un prisonnier qui est condamné à recevoir 20 coupe de lanières, en reçoit la moitié le jour de la sentence, et le reste lui est administré environ un mois après.
C'est la plus forte punition imposée au pénitencier. Sous les administrations précédentes les “lanières” étaient administrées très rarement et c'était toujours un grand événement dans la prison quand les prisonniers savaient que ce soir, après la fermeture, deux ou trois des leurs allaient subir le châtiment. II faisait alors un silence de mort dans les longs couloirs du bagne et les coeurs battaient fort dans les poitrines, Cette punition était infligée pour des offenses très sérieuses, très graves, telles que pour assaut sur un officier ou une tentative d'évasion, etc, Mais aujourd’hui la même punition est infligée pour bien peu de chose. Je me souviens d'un nommé Ethier dont sa conduite pourtant avait été plus que satisfaisante depuis près d'un an. Un soir il fut surpris par un garde en flagrant délit de causer avec son voisin. Quand son nom fut appelé au tribunal du préfet le lendemain, il fut sur le champ condamné à recevoir environ une dizaine de coups de “strap”. J'admets que les gardes étaient aux aguets, car il y avait eu plusieurs désordres dans certaines sections la semaine précédente, et on crut peut-être que le jeune Ethier voulait simuler quelque chose ou faire un complot avec des amis. 
Il n'y a pas que les punitions par voies corporelles qui soient plus nombreuses et plus sévères qu’autrefois. La discipline en général semble outrée à certains moments et les prisonniers sont sans cesse sous le coup d'une grande surexcitation car on craint à chaque heure une révolte en règle, Un détenu juif l’automne dernier, qui avait dans un moment de faiblesse cherché à se faire apporter des chocolats par son officier de garde, fut devant le préfet trouvé coupable de “tentative de corruption d'un officier” et fut envoyé au “donjon” pour 6 mois, au pain et à l'eau seulement. La même offense il y a quelques années aurait été réglée avec une forte réprimande ou, tout au plus, une légère punition de tabac. 
LES PLAINTES Il arrive qu'un détenu veut faire au préfet une plainte quelconque. Il s'agit souvent d'un garde injuste, d'un repas qu'on n’a pas aimé.
Mais j'affirme que ce qui arrive le plus souvent c'est qu'au bagne, les plaintes des forçats. quelles qu'elles soient, ne reçoivent jamais beaucoup d'attention, et dans bien des cas le bagnard reçoit plutôt une réprimande. Je me souviens d'un prisonnier qui avait un jour demandé à voir le préfet pour le prier de continuer la coutume ancienne d'avoir des concerts au pénitencier de temps à autre. Quand le forçat expliqua au préfet que des concerts étaient donnés à Kingston, il lui fut répondu que les autorités n'avaient pas besoin de savoir ce qu'on faisait à Kingston et que du reste elles n'avaient pas besoin de suggestion de personne. Un autre bagnard qui était allé voir le préfet pour une demande analogue fut presque menacé d'être envoyé dans le “trou” (le donjon).
J'estime qu'au pénitencier une plainte doit être au moins étudiée et que s'il n'y a aucune possibilité de se rendre à la demande du condamné les autorités devraient pour le moins en donner les raisons an forçat. Le bagnard quitterait ainsi le bureau du préfet d'assez bonne humeur et pas mécontent du tout de son entrevue avec lui. Mais de la façon que les plaintes en général sont accueilles depuis quelque temps les prisonniers ont plutôt décidé de n'en plus faire.
LIVRES ET MAGAZINES Dans les premiers six mois qui datent de son arrivée le forçat a droit à un livre le mercredi et à un second le samedi matin. Après le sixième mois de son arrivée, un magazine de son choix est ajouté. Mais comme les heures sont assez longues là-bas il arrive le plus souvent que Je condamné a le temps ds parcourir toute sa lecture en une soirée, et qu'il n'a plus rien à lire pour un four ou deux. A Kingston pourtant, qui est un pénitencier sous Je contrôle du même département, les prisonniers ont des magazines chaque matin. Il y a bientôt deux ans qu'on se plaint de ne pas recevoir assez de matières à lire à St-Vincent de Paul, et il y a deux ans que ces plaintes des forçats restent ignorées.
CERTAINS DETENUS AURAIENT ETE VOLES Quand un nouveau bagnard entre au pénitencier, ses effets personnels ainsi que ses vêtements sont généralement bien empaquetés, notés, et conservés dans une pièce spéciale située dans l'édifice du “Keeper's Hall”, où ils demeurent jusqu'à l'expiration de sa sentence. Par contre, le prisonnier qui désire dès son arrivée faire plutôt l'expédition de tous ses effets à sa famille, peut le faire s'il dispose des fonds suffisants pour en couvrir l'envoi. 
Il en arrive fort souvent qui possèdent des valeurs assez importantes, soit en espèces ou en bijoux. Toutes ces valeurs qui sont soigneusement notées dans le “régistre des effets personnels” des détenus, étaient autrefois jointes au colis du forçat, excepte les argents qui étaient expédiés au comptable. 
On nous informe que le garde qui avait la surveillance de tous ces effets, était un brave homme, mais ses affaires n'allaient pas très bien, sans doute, les prisonniers apprirent un jour que leurs paquets avaient été ouverts et qu'une quantité d'objets étaient disparus. On fit promptement enquête à a suite de cette découverte et, le 24 décembre 1931, Ie garde X... fut démis de ses fonctions. Mais le plus malheureux c’est que les objets ou les bijoux n'ont pu être retrouvés, sauf une montre ou deux ainsi que quelques! plumes réservoir. Or il parait qu'aujourd'hui encore des forçats sont libérés et quand vient le moment de passer en revue les effets qu'ils avaient à leur arrivée il manque parfois quelque chose. On explique alors au prisonnier que tel ou tel article manque mais que, s'il est retrouvé, on le lui fera parvenir.
Depuis deux ans, il peut y avoir un assez grand nombre de bagnards qui se sont ainsi fait voler au pénitencier même, ET JE COMPTE PERSONNELLEMENT PARMI CES VICTIMES, malgré que je considère l'objet disparu de mes effets comme ayant pratiquement très peu d'importance.
Mais l'on comprend de suite comment la nouvelle de ces irrégularités dans le système pénitentiaire, ait pu aiguiser la rancune et la haine des prisonniers qui n'étaient déjà pas très bien disposés.
Depuis cette affaire, on nous informe que le Garde X... est recherché par la Police Montée Canadienne, à la demande du préfet du pénitencier,
UN DETENU QUI EN SAVAIT TROP LONG Au cours du mois de juin dernier le pénitencier libérait de ses murs le prisonnier A-954 - S.E. Messier. Ce détenu s'était livré, paraît-il, dans l'institution, à plusieurs petites enquêtes personnelles qu'il conduisait pour sa propre information et dans le seul but de pouvoir un four adoucir le sort de ses camarades. Savait-on que Messier était journaliste et avait-on peur de ses agissements? On nous assure que ce forçat était parvenu à trouver plusieurs irrégularités dans le système de l’institution et en avait même à quelques reprises attiré l'attention du préfet. Le 21 juin dernier le colonel Piuze recevait un communiqué d'Ottawa de libérer Messier à 3 heures, Cet homme qui avait deux ans de sentence reçut un pardon de plus de 7 mois, sans qu'aucune démarche spéciale n'ait été entreprise par sa famille pour le libérer, sans non plus aucune garantie de position, comme la chose est nécessaire lorsqu'une requête est présentée à Ottawa. 
Si tout cela est vrai, il est évident que les yeux de Messier étalent trop grands ouverts et que son observation était trop vive. Craignant qu'il puisse un jour ouvrir la bouche, et avant qu'il en puisse voir davantage, on lui donna son “ticket of leave”. La chose ne mérite-t-elle pas qu'on s'y arrête et n'a-t-on pas raison de penser que les troubles récents à St-Vincent de Paul ont été provoqués pour des motifs sérieux?
UN ANCIENT BAGNARD. Photo Caption 1:  CONFIDENTIEL! Un bagnard du pénitencier de Saint-Vincent-de-Paul est venu nous divulguer les véritables motifs de la terrible révolte. Cet ancien forçat, dont la haute taille est courbée sous le poids du remords et de la misère, refuse de se laisser photographier de face. Comme ce garde du corps de Capone qui fait en ce moment des confidences au public parisien, nul ne doit voir son visage. Nous avons pris cet instantané au moment ou notre informateur ouvrait la porte du “Petit Journal”, pour nous raconter les faits que le lecteur lira en page 20. Photo Caption 2: L'atelier de confection des détenus au pénitencier de St-Vincent-de Paul ... Et ce qu'il en reste. Dommages: $500,000.
2 notes · View notes
dizzybrain · 1 year
Text
I look down into myself and shudder.
Nikos kazantzakis, from 'Report to Greco', tr. P.A Bien
0 notes
xoanavila · 2 years
Text
Cómo acá vengo a poner exactamente eso que nadie me preguntó voy a hablar de lo desgastante que es ser tan sentimental y no saber demostrarlo. Siento fuerte, muy fuerte y me pasa constantemente pero no logro sacarlo al exterior, todas mis emociones quedan guardadas en mi y se siente horrible porque sabiendo que las personas son pasajeras, cuando se van de mi vida me quedo con esa mezcla de emociones reprimidas, porque mientras compartieron conmigo no les pude decir lo lindo y bien que me hacían, hay momentos que son absurdamente sentimentales y ni siquiera sé porque es así, pareciera que mientras más real es lo que siento menos me sale demostrarlo.
Mientras tengo en frente a esas personas que aprecio mucho me muestro serena. (sin sentimientos, como me dicen mis amigos) Pero la realidad es que hay ocasiones dónde quiero y necesito decirles eufóricamente todo lo que siento, a veces lloro o se me llenan los ojos de lágrimas y digo que es porque "tengo sueño" y estoy bostezando pero es precisamente en ese momento cuando más estoy sintiendo, lloro cuando estoy feliz, triste, melancólica, cuando veo alguna injusticia y sobre todo me dan ganas de llorar en esos instantes dónde me doy cuenta que estoy siendo realmente feliz, obvio que otras veces también me guardo hasta el llanto y las palabras. Todavía no se porque me guardo todo eso, con lo lindo que es y el impacto que haces en la otra persona cuando le decís todo lo que te transmite.
Yo estoy tratando de cambiar y empezar a liberar mis emociones y dejar de reprimirlas porque es agotador. Y bueno ya saben si empiezo a demostrar afecto espontáneamente es porque estoy mejorando claramente, MIS AMIGOS Y LAS PERSONAS INCREÍBLES que me rodean lo merecen. Cómo diría Luis Borges "soy desagradablemente sentimental" Y si, esto lo escribí tomando una botella de vino porque me ayuda a fluir, y para todo.
P.A
0 notes
aridante · 4 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
notebooks: 1951-1959, albert camus (trans. ryan bloom) // life after god, douglas coupland // the neochileans, robert bolaño (trans. laura healy) // rain, peter everwine // report to greco, nikos kazantzakis (trans. p.a. bien) // six poems for tamar, yehuda amichai.
2K notes · View notes
abaddoncreation · 4 years
Photo
Tumblr media
Venez on s’arrête deux minutes pour parler de mon tumblr “annexe”. 
Abbadon world est un Tumblr un peu moins actif mais que j’ai créé pour autre chose (que les avatars et les gifs) : les icons. Importantes sur forum, que ce soit sur une P.A, un QEEL ou même dans des rps, on à parfois l’impression d’en manquer, de tourner en rond et de ne pas savoir quoi mettre pour de si petites images. Je réalise donc des icons à thème (Halloween, différentes mythologies, etc...) mais aussi pour des acteurs.  En plus de ça, j’ai créé des Moonboard pour les joueurs FB, ils auront ainsi la possibilité d’organiser les photos sur leur profil en fonction de différents thèmes en lien avec les personnages qu’ils incarnent. 
Bien sûr les commandes sont ouvertes ! 
https://abaddonworld.tumblr.com/ 
3 notes · View notes
idolish7-es · 5 years
Text
3.17.2: Manchado de lágrimas
Tumblr media
Mujer: ¡Ahí está, es Sougo-san! Mujer: ¡Escuché tu programa! ¡No digas que te odias! ¡Todas te amamos! Mujer: Soy fan de TRIGGER… ¡Gracias por hablar de ellos! Mujer: ¡Gracias por alzar la voz cuando nadie más se atrevía! Sougo: …ah… Personal: ¡Gracias a todos, pero es tarde, deberían volver a casa! Mujer: ¡¡Sougo-san!! ¡No llores...! Sougo: Lo siento… Gracias… Gracias a todos... Personal: ¡Llegó el taxi! ¿...Eh? No es de la compañía que llamé... Mujer: ¡Kyaaaa! ¡¡Es Tamaki!! Sougo: ¡¡!! Mujer: ¡Tamaki! Mujer: ¡Viene Tamaki! *abrir* Tamaki: ¡Permiso, déjenme pasar! Mujer: ¡Tamaki! ¡¿Escuchaste el programa?! ¡Sougo-san estaba llorando! Tamaki: Lo escuché. Mujer: ¡Tamaki-kun! ¡Amamos MEZZO! Tamaki: Sí. Sougo: Tamaki-kun… Tamaki: Jaja. Así que era verdad. Tamaki: Sí eres capaz de llorar normalmente. Sougo: …*llanto*... Mujer: ¡¡Sougo-san!! Mujer: ¡¡Tamaki-kun, no hagas llorar a Sougo-san!! Tamaki: Está bien que llore un poco de vez en cuando. Vamos. Sougo: ¿A casa? ¿Qué pasó con la polic--? ¡Mmph! Tamaki: No hables de eso aquí... Mujer: ¡¿Están peleando?! Tamaki: ¡No! ¡Estamos bien! ¿No? Sougo: gh… Ah, sí. Tamaki: Gracias a todos. Bye bye. Mujer: ¡¿Seguros que están bien?! Mujer: ¡Son buenos amigos ¿No?! Sougo: … Tamaki: Jaja... No sé si tanto, pero seguiremos trabajando duro juntos. Tamaki: Voy a cantar las canciones de Sou-chan. Puede que mañana peleemos, pero al día siguiente nos reconciliaremos. Tamaki: Así que asegúrense de seguir viéndonos. Díganle a todos que no tienen de qué preocuparse ¿Sí? Tamaki: Díganle a todos. "Estamos bien. MEZZO estará bien.”
Sougo: ¿...Papá? Tamaki: Dijo que trajeras tu sello la próxima vez... El... El coso ese, ya sabes, el que es para firmar papeles. Sougo: ¿Papeles...? Tamaki: El... Ah, ¡El acuerdo de préstamo! Sougo: ¡…! Tamaki: Tu viejo te escuchó en la radio y decidió prestarte el dinero. Tamaki: ¿Ves? Te dije que si hablabas claro las cosas funcionarían. Sougo: …*llanto*... Tamaki: Ah ah, no llores... No tengo ningún pañuelo, ¿Te sirve mi manga? Aunque está manchada con salsa de soja... Sougo: …Tamaki-kun… Tamaki: ¿Sí? Sougo: ...Gracias… Tamaki: Jaja… Al fin dijiste "gracias" en lugar de "lo siento." Tamaki: ¡Te lo dije! Es todo gracias a mí. Más te vale estar agradecido. Sougo: Lo estoy... Siempre lo estoy. Sougo: Estoy muy agradecido de tenerte a mi lado...
Kaoru: ¡¿70 millones?! ¡¿Y reservaste el FSC hall?! Sougo: Sí. Por favor, mantengan el asunto de mi familia en privado. Tenn: Gracias… Escuchamos tu programa. Nos alegró mucho oír cómo te sentías. Sougo: Ah, qué verguenza... Um, hay un problema. El dinero está a mi nombre... Sougo: Si no se paga para fines del próximo mes, habrá un aumento por intereses del 3%... Así que... Gaku: Tenemos que llenar el lugar, ¿No? Podemos hacerlo. Déjanoslo a nosotros. Gaku: No haremos que tus sentimientos y esfuerzos se desperdicien. Sougo: ...Gracias. ¡Confío en ustedes! Ryuu: ¿Pudiste hablar con tu familia? Sougo: Sí… Tamaki-kun me ayudó. Sougo: Aún estoy desheredado pero... Creo que podré seguir hablando con ellos, poco a poco. Ryuu: Ya veo. Parece que te quitaste un peso de los hombros. Me alegra. Sougo: Gracias. Lamento haberte preocupado. Kaoru: Ah, sus agendas estarán apretadas... Debemos contratar personal, hacer las preparaciones, elegir las canciones, toda la escenografía... Kaoru: ¡Estaremos ocupados!
Ryou: ¿TRIGGER tendrá un concierto en el FSC Hall? Empleado: Sí. Hicieron el anuncio en su página y la noticia es tendencia en internet. Ryou: Supongo que tendré que hablar con los dueños... y asegurarme de que entiendan que ayudar a TRIGGER no les traerá nada bueno... Ryou: Y si no me hacen caso, tal vez empiecen a aparecer feos rumores sobre ellos... Torao: Dudo que eso funcione esta vez. Ryou: ¿Torao? Torao: Los dueños del FSC Hall son el FSC Group. Puedes intentar empezar rumores en los medios, pero ¿Qué es FSC para los medios? Torao: Es el patrocinador de todo. Si pierden el apoyo de inversores tan importantes, cualquier programa de televisión o revista tendría problemas. Ryou: El dinero hace girar al mundo, eh... ¡Qué sociedad más podrida! Torao: Mira quién lo dice… Torao: … Torao: Los lazos de la familia Osaka son especialmente fuertes. Incluso luego de volverse un conglomerado, la cabeza de la familia siguió siendo la cabeza de la jerarquía. Torao: Si intentas meterte con sus compañías afiliadas, el resto de compañías de FSC del mundo vendrán tras de ti. Ryou: Qué mieeeedo... Bueno, da igual. No es como si FSC estuviera patrocinando TRIGGER directamente. Ryou: Por esta vez, los dejaré estar. Ryou: Sin embargo... De ninguna manera dejaré que tengan su oportunidad de revivir.
Kaoru: ¿Conocen alguna buena compañía de eventos? Las que solíamos usar ya no encajan con nuestro presupuesto... Banri: ¡Sí! Es relativamente nueva, pero el presidente es un conocido mío. Kaoru: ¡¿En serio?! ...Ah, ¡¡Nueva mercancía de IDOLiSH7!! Banri: ¿No son lindos? ¡Si quieres, puedes tomar algunos! Kaoru: ¡¿Haaaah? ¡No lo necesito! Pero... si tanto insistes, no puedo negarme... Banri: Uh, pero no insistí... Kaoru: ¡Quiero los amarillos! ¡¡Solo porque me gusta el color amarillo!! Ejem. No tiene ningún otro significado.
Audiencia: ¡Kyaaaa! ¡¡TRIGGER!! Tenn: ¡Gracias por venir a vernos! Gaku: ¡Tenemos algo que decirles! Lamentamos que sea tan repentino, pero tendremos un concierto en el FSC Hall de Kioto. Audiencia: ¡Kyaaaaaa! Audiencia: ¡¿Ya pueden presentarse en un lugar tan grande?! Audiencia: ¡¿Kioto?! Me pregunto si podré ir... Ryuu: ¡Revisen nuestra página para ver los detalles! ¡Y de ser posible avísenle a sus amigos! Tenn: ¡Díganle a todos que TRIGGER no ha dejado de cantar! Audiencia: ¡Kyaaaaaa! Audiencia: ¡Estoy emocionada! ¡Sigan así, TRIGGER!
Rinto: Encontré un P.A experimentado que está disponible, como pidieron. Es amigo de Momo y fan de TRIGGER. Kaoru: ¡Genial! Tener a alguien que conozca los conciertos de TRIGGER será de gran ayuda. Rinto: Por cierto, ¿Quién se encargará de la escenografía y demás? Kaoru: En principio, Takanashi-san dijo que podría ayudar así que pensaba trabajar con ella en eso. Kaoru: Pero tiene mucho trabajo así que estaba preocupada... Así que al final encontramos una alternativa inesperada. Rinto: ¿Inesperada? Kaoru: ¡La misma persona que se encargaba de los conciertos de Zero, Haw9!
Continuará...
-Todos los créditos a la traducción en inglés-
30 notes · View notes
Text
Pantherella - Avis et test
[Article non sponsorisé]
Si les souliers habillent les pieds, les chaussettes les protègent. Souvent considérées comme un accessoire, les chaussettes sont pourtant un élément important d’une garde-robe. Il existe autant de styles possibles – chaussettes invisibles, chaussettes courtes ou encore mi-bas – que de choix de couleurs. On ne va pas vous refaire toute l’histoire de la chaussette mais disons seulement qu’elle commence il y a fort longtemps, il y a environ 4 000 ans, en l’an - 2000 av J.C. en Syrie. Si sa composition a pu changer au fil des siècles, sa fonctionnalité reste immuable.
Histoire de la marque Pantherella
Pantherella voit le jour en Angleterre en 1937 grâce à Louis Goldschmidt, un producteur de chaussettes Allemand. Ce pionnier convainc le fabricant de machines P.A. Bentley de concevoir une machine double cylindre capable de tricoter des chaussettes fines pour homme c’est à dire des machines avec un nombre important d’aiguilles : de l’ordre de 200 aiguilles. Plus il y a d’aiguilles, plus les chaussettes obtenues seront fines. Un pari audacieux puisque la mode à l’époque était plutôt aux chaussettes épaisses et inconfortables. Ainsi Pantherella lance un mouvement que ses compétiteurs suivront mais n’égaleront que difficilement. Le succès est au rendez-vous et, en 1952, l’entreprise décide de se focaliser exclusivement sur le marché masculin en délaissant la production féminine.
D’où vient le nom Pantherella ? C’est un secret bien gardé par le fondateur lui-même. Jusqu’en 1945, l’entreprise se dénommait Midland Hoisery Mills et ne fabriquait que des collants pour femmes. L’histoire de l’entreprise dit seulement que la société adopte « Pantherella » en 1945 lors de son inscription au registre du commerce et des sociétés Anglais.
Par la suite la marque est rachetée en 2001 par H.J. Hall. La famille Hall produit elle aussi des chaussettes à Leicestershire, depuis 1882 : la tradition anglaise est sauvegardée et la marque gagnera de plus en plus en rayonnement à l’international.
Test des chaussettes courtes Pembrey Coton Sea Island en bleu ciel
Avant de passer aux caractéristiques du produit, voici quelques précisions préalables. Cette paire de chaussettes m’a coûté 35,50 € avec frais de port sur le site de Pantherella. Cela est certes onéreux pour une seule paire mais je cherchais une robustesse et une couleur bien spécifique (bleu ciel). Décryptage. La marque n’a pas de boutique physique française, j’ai donc commandé sur le site internet de la maison. La navigation du site est agréable et intuitive : je cherchais une couleur et une matière en particulier, je les ai rapidement trouvées.
Précision utile : Pantherella est distribuée sur des sites tels que Royal Cheese ou encore Le Printemps. La couleur et la matière que je cherchais n’y sont cependant pas proposées.
J’ai donc choisi le modèle Pembrey à 9 côtes mi-mollet – pour les saisons Printemps/��té – en coton Sea island. Souvent considéré comme le « cachemire du coton », il est constitué de très longues fibres, cousin du coton pima, connu pour ses fibres soyeuses. Ce coton provient des îles des Antilles et ses caractéristiques sont la robustesse et la douceur. Le coton est récolté sur place puis tissé par le partenaire Suisse de l’entreprise, Spoerry.
Le label « Genuine West Indian Sea Island cotton » est obtenu par certification de la WISICA (West Indian Sea Island Cotton Association) ; les chaussettes Pantherella endossent fièrement ce certificat. Pour résumer et comme l’arbore fièrement le descriptif produit : « le coton Sea island est aussi solide que la soie, aussi doux que le cachemire et aussi durable que la laine » .
La couleur est un joli bleu ciel qui prend bien la lumière : ni trop foncé, ni trop terne. Le modèle Pembrey est remaillé à la main pour éviter une couture désagréable au niveau des orteils. Cela rend la chaussette particulièrement confortable une fois chaussé ses souliers – en évitant tout frottement désagréable –.
Le fil de coton est teint dans une palette chromatique unique à Pantherella, par l’Atkinson Dyeing Compagny dans le West Yorkshire. Comme mentionné précédemment, les fibres de coton Sea island sont très longues, ce qui signifie qu’elles peuvent être filées en un fil très fin. Ces longues fibres sont également résistantes aux bouloches et sont donc des chaussettes très durables et résistantes. Le toucher est doux et soyeux : elles conservent bien la couleur même après plusieurs lavage.
Une fois enfilées, ce qui marque le plus est la sensation de douceur et de robustesse qui se dégage sur les pieds. Le problème récurrent auquel je fais face continuellement pour des chaussettes mi-mollet est qu’elles se transforment en chaussettes « mi-cheville » : elles ne tiennent pas sur le mollet ! Les chaussettes Pantherella tiennent cette promesse, l’élastique est bien en place, sans serrer à outrance pour autant. J’ai choisi ma taille habituelle de souliers Anglais/Américain, à savoir le 6 – 7 (Small), et le confort est optimal.
Un autre problème récurrent est la perte de la couleur de la chaussette après moult lavages. Vous souvenez-vous de la jolie teinte de vert, rouge ou bleu de vos précieuses à l’achat ? Ce n’est qu’un pâle souvenir…Je n’ai pas encore lavé plusieurs fois cette paire, mais à juger de son aspect, je ne doute pas qu’elle tienne la route.
Je suis un fervent calcéophile et pour moi, la vraie élégance n’est pas de porter des mi-bas continuellement mais savoir alterner les ports de styles de chaussettes différents selon les occasions et surtout les saisons. Pour autant, mi-bas ne signifie pas forcément « automne/hiver » : j’ai dans ma garde-robe des mi-bas – chaussettes qui montent donc jusqu’au genou – en lin pour l’été ; une belle alternative aux chaussettes dites « invisibles » !
Mais alors pourquoi acheter une paire de Pantherella à plus de 30 € ? Tout simplement car c’est une pièce d’investissement. Je l’ai dit plus haut, les chaussettes ont la mauvaise réputation d’être considérées comme un simple accessoire : en achetant des chaussettes à 5€ plusieurs fois dans l’année l’addition est moins salée à l’achat mais est renouvelée fréquemment dans le temps. Le gain d’argent n’est donc pas garanti. Vous me suivez ?
Il ne s’agit pas pour autant d’acheter uniquement des chaussettes à ce prix mais d’adopter les bons réflexes : une fois que les chaussettes bas de gamme ont rendu l’âme, au lieu d’en racheter, l’achat d’une belle paire robuste sera à privilégier pour démarrer une garde-robe plus (éco) responsable. Il faut juste se lancer rationnellement : commencer par une paire bleu marine, puis grise, puis marron, puis verte, puis rouge, puis aubergine, puis orange, puis jaune…(vous avez un aperçu de mon cheminement calcéophile et de la palette chromatique de ma collection).
Une autre raison qui me pousse à ce type d’investissement est la sensation et le ressenti global : mes pieds sont bien maintenus, les chaussettes ne grattent pas, ne se déforment pas et ne boulochent pas. Évidemment, un bon entretien est essentiel à leur longévité (lavage à l’envers en programme cycle « court », 30 degrés, 600 tours maximum !).
Des idées pour les porter ? De mon côté j’aime beaucoup intégrer ces chaussettes bleu ciel avec un jean brut, une paire de mocassins marron, un sweat gris avec une chemise en Oxford button down et une veste Bedale Barbour.
Conclusion
Les chaussettes anglaises Pantherella ont tout de chaussettes de « luxe » : soyeuses, robustes et durables. Il est difficile de trouver un point négatif, mais si je devais tout de même en relever un, ce serait indiscutablement les frais de port à en dissuader plus d’un : de l’ordre de 12 € pour une livraison en France ! La livraison gratuite n’est offerte que pour des commandes supérieures à 200 €…de quoi se confectionner une sacrée collection !
Texte et photos par Marcos Eliades Instagram : lord_byron1
1 note · View note
gnatswatting · 5 years
Text
• Happy the youth who believes that his duty is to remake the world and bring it more in accord with virtue and justice, more in accord with his own heart. Woe to whoever commences his life without lunacy. —Nikos Kazantzakis
Orig. Greek: Χαρά στο νέο που θαρρεί πως έχει χρέος να ξαναδημιουργήσει τον κόσμο· να τον κάμει πιο σύμφωνο με την αρετή και τη δικαιοσύνη· πιο σύμφωνο με την καρδιά του· αλίμονο σε όποιον αρχίζει τη ζωή του χωρίς παραφροσύνη.
Tumblr media
Report to Greco (translated by P.A. Bien) ΑΝΑΦΟΡΑ ΣΤΟΝ ΓΚΡΕΚΟ
1 note · View note
amharas-ys · 5 years
Text
[Anime] Sakura Quest (2017)
Tumblr media
Quoi de plus évident que de commencer “Les confessions d’un lecteur”....Avec un anime.
Sakura Quest est un anime produit par P.A Works et diffusé durant l'été 2017 On y suit le quotidien de Yoshino Koharu, 20 ans et  ex-campagnarde qui a décidé de rejoindre Tokyo, pleine d'illusions.
Or, face aux déconvenues de la vie urbaine, elle se retrouve à devoir accepter un emploi à Manoyama, une petite commune rurale. Elle devra y être couronnée "reine" du royaume de Chupacabra. Elle est donc contrainte de retourner pour une courte période dans l'inaka japonais (le nom donné à cet espace perdu et en perte de vitesse). Mais, à cause d'un quiproquo, elle se retrouve obliger d’aider l'office du tourisme locale, pour une durée d'un an.
Tumblr media
Les 25 épisodes suivent donc les efforts de la nouvelle Reine, et ses ministres (3 autres jeunes adultes) pour rendre attractif une ville perdue.
Nous avons donc affaire ici à un énième slice of life, feel good, avec un casting essentiellement féminin. Si le résumé fait apparaître une dimension fantastique (Manoyama s’étant constitué en un royaume autonome, le royaume de Chupacabra, afin d’attirer du tourisme), cet aspect est vraiment survolé. Il est très présent dans les premiers épisodes (couronnement, imagerie chevaleresque, palais....), mais disparaît progressivement. Je ne sais par conséquent pas trop quoi en faire... Cette dimension ne me semble pas essentielle, et est vite oubliée...mais elle crée un mélange étrange entre un traitement assez réaliste (gestion d’une campagne) et un univers mystique...
Tumblr media
Mais pour moi, l’originalité de cet anime est ailleurs. D’abord, le casting est ici assez différent de ce qu’on peut trouver d’habitude. Toutes les héroïnes sont des jeunes adultes, contrairement par exemple à Yuru Camp, où on suit des lycéennes. Par conséquent, les quatre héroïnes sont aussi en quête d’un sens à leur vie. Si ce thème est assez classique, l’ajout de la dimension campagnarde me semble vraiment intéressant. 
Chacune va, évidement, commencer à remettre en question sa situation, au cours d’un épisode ou deux où un événement les amènent à s’isoler. Après une réflexion ou l’intervention des autres filles, elles trouveront une réponse. Mais en plus des questions sur le sens de la vie (”vais-je réussir à percer comme actrice?” “Mon travail me plait-il vraiment?”), les héroïnes vont questionner leur lien avec la campagne. Trois d’entre elles viennent de Manoyama, dont deux qui ont seulement connus cette ville. La troisième, ainsi que les deux autres filles, ont vécu à Tokyo ou dans des grandes villes. Et elles ont toutes un rapport particulier à la campagne : Par exemple Shiori adore Manoyama, tandis que Maki et Ririko n’ont aucun réel attachement à la ville, sans pour autant vouloir la fuir. 
Tumblr media
Les développements sont aussi intéressants car semés d’échecs. Pour reprendre le personnage de Maki, l’anime évite d’en faire un personnage exceptionnel, qui finit par tout réussir avec brio. Son parcours, qui se termine sur une happy end, est aussi marqué par des retournements et des redéfinitions, ce qui m’a beaucoup plus. Le développement de Ririko est aussi assez intéressant, même si déjà un peu plus classique : elle arrive à définir un but, à évoluer, sans abandonner ce qu’elle est. L’anime fait preuve d’une forme de subtilité.
J’ai trouvé à l’inverse le développent de Yoshino très basique. Ce personnage me semble très transparent et déjà-vu, changeant vite sa vision de la campagne. Certes, la voir hésiter 15 épisodes aurait été trop... Mais elle manque selon moi de personnalité. Son lien passé avec la ville est survolé, et finalement ses remises en question sont celles de tout le groupe.
(N.B : je viens de me rappeler que cette question d’être “normale” et au cœur de son développement. Mais j’en ressors quand même très sceptique. La preuve, je l’avais complément oublié.. Il me semble que c’est juste souligner régulièrement, sans plus de développement)
Tumblr media
Enfin, le groupe se forme petit à petit. On voit dedans, malgré tout, des affinités entre personnages. Maki et Sanae sont très vitre proches, Tandis que Shiori et Ririko se connaissent depuis la primaire. Yoshino sert de lien entre elles, et participe finalement à créer le groupe.
La dimension campagnarde apporte de bonnes choses. Une dimension globale de jeu de gestion, où il faut traiter avec la vision des habitants, des conflits d’usages, des oppositions entre groupes (les commerçants, l’office du tourisme), tout en développant les personnalités de quelques villageois, ce qui donne vraiment l’impression d’un “village”. 
Tumblr media
D’ailleurs, l’anime reste très réaliste. A la fin, Manoyama ne devient pas une nouvelle métropole ultra-connectée. D’abord, l’anime évite le cliché de “la ville qui se révèle finalement être ultra particulière”, qu’on retrouve parfois. La ville n’a en fait presque pas d’identité, outre ses habitants. On s’attache avant tout à eux, à leur lien avec la ville, plus qu’à ses traditions (qui se résument à la sculpture sur bois, un festival abandonné, et des navets...). Manoyama reste une commune rurale comme les autres : c’est ses habitants qui créent l’attachement. 
L’étude de l’espace est très renseigné, presque géographique dans son approche, et cette partie m’a vraiment plu.
Tumblr media
Et on voit aussi les limites pour en faire une ville attractive. Problèmes de budget, pour rendre permanents les habitants, pour attirer les touristes sans dénaturer l’identité de la région.. Bref, tout un tas de problémes de gestion qui ne seront pas dépassés à la fin. L’accomplissement reste local.  Il y a aussi une forme de réalisme et de fatalisme dans certaines situations : on ne peut rien faire pour certains problémes, et il est seulement possible de réduire les dégâts.
L’ambiance reste agréable, avec des personnages attachants et diversifiés, des lieux de rendez-vous...bref, une forme de familiarité. 
Tumblr media
On a donc affaire à un anime plutôt agréable, qui se distingue des slice of life/feel good anime par un traitement original de ses personnages, et un cadre qui apporte de nouvelles thématiques. Et qui surtout reste peu ambitieux, et évite plusieurs travers du genre.
Pourtant, l’anime ne me semble pas exceptionnel, limité par plusieurs aspect.
D’abord, graphiquement, je le trouve très revu. Je crois même m’être dit ‘Oh, j’ai déjà vu ces personnages quelque part”. Chapeau malgré tout pour avoir créé une tsundere à la retraite en la personne de Madame Oribe.
Tumblr media
De plus, outre l’opening 1 qui résume parfaitement l’esprit de la série, les musiques restent très banale, et servent seulement de petit bonus oubliable.
L’anime souffre aussi de points trop prévisibles dans son développement. Si dans la globalité, il évite d’être trop prévisible, les conclusions d’arcs sont souvent très attendue. Je pense notamment à celui sur le reportage télévisée et le concert, dont la fin et les conséquences sont visibles DES LE DÉBUT. C’est parfois désagréable. 
Tumblr media
Je l’ai déjà développé, mais l’héroïne Yoshino est vraiment transparente par moment, dépassé par des personnages secondaires plus intéressant. Et l’anime de manière générale semble avoir abandonné la dimension “Royaume de Chupacabra”, et laisse en suspend l’histoire autour de la photo....
Enfin, il n’y a pas eu le même effet entrainement que dans le cas de Yuru Camp. Yuru camp développe vraiment une forme initiation au camping, présentant les bases pour débuter, et donne envie de s’y mettre. Tandis que Sakura Quest donne un tout petit peu envie de vivre à la campagne (mais je suis déjà un peu sensible à cette idée), mais sans vraiment offrir de bases comme Yuru Camp. Bref, c’est un tremplin limité.
L’anime prend aussi moins sont temps. Pas de beaux plans de ciels étoilés ou de pause dans la narration...De manière générale, les actions s’enchainent vite, avec peu de pauses... Et donc, l’anime laisse un peu de côté la “beauté” de la campagne, là où Yuru Camp montre le plaisir de contempler la nature. On ne retrouve pas ce genre de plans dans Sakura Quest.
Tumblr media
Sakura Quest est donc un anime intéressant par ses thématiques et son ambiance, mais qui souffre d’un sentiment de déja-vu. Il ne tombe pas dans tout les clichés, et traite de manière réaliste la campagne...mais pour autant, il ne marque selon moi par autant que des animes semblables, comme Yuru Camp. Je n’ai pas envie d’y retourner pour l’instant, alors que j’ai déjà revisionné 2 fois les aventures de Shimarin et Nadeshiko.
Bref, pour la même ambiance, et si vous ne l’avez pas vu, commencez par Yuru Camp. Sakura Quest sert de bon substitut. D’un point de vue sociologique, par contre, je le trouve plus aboutit que Yuru Camp, en ce qu’il perrmet d’ouvrir sur une thématique intéressante (comment dynamiser la campagne japonaise) et traite de manière réaliste de ce thème.
Tumblr media
J’ajoute dans les liens utiles ce blog, dans le même thème, d’un français qui a décidé d’aller vivre dans une campagne japonaise. A travers des petits billets, il décrit le quotidien là-bas, de la récolte du thé sauvage à la restauration d’un vieux temple abandonné...
https://inaca.me/
Tumblr media
et l’Op 1, parce qu’il m’a vraiment marqué. Il résume bien l’ambiance qu’on attend  de ce genre d’anime, et pourrait selon moi trés bien passer comme opening de Yuru Camp.
https://www.nautiljon.com/lyrics/sakura+quest/morning+glory.html
Tumblr media
2 notes · View notes
virtualsonic · 2 years
Photo
Tumblr media
Legoshi se P.a C. su M.G. tras I.E. y M.C. de C.R.
Español Hola amigos ¿cómo están?, espero que bien amigos, bueno amigos, aquí va un nuevo dibujo y que presento a un muy popular personaje del universo de Beastars, el cual tras los acontecimientos vividos durante la segunda temporada de la serie de animé no ha sido el mismo de antes y que ha debido trabajar mucho para no sólo poder controlar sus impulsos salvajes, sino también para revindicarse así mismo y mostrar que las experiencias vividas en el último tiempo fueron el vehículo motor que le ayudaron no sólo a crecer y madurar, sino que también le permitieron a cambiar para bien, cosa que le permita poder ponerse al día para terminar con sus estudios en la Academia Cherryton, mientras espera decidir qué va a hacer con su vida una vez que entre a la etapa universitaria y con eso ver qué carrera quiera seguir pensando en sus planes de vida en el mediano y largo plazo, bueno amigos sin dar más vueltas presento a Legoshi Se Pone a Contemplar su Musculatura Ganada por Meses de Entrenamiento Físico Intenso Aquí vemos al joven lobo vírgen, quién ha tenido una vida complicada en su último par de años y que ha debido lidiar con cosas con la que el joven lobo no estaba listo para enfrentarlas, entre ellos tenemos el hecho de que haya tenido sus primeras experiencias de amor sexual ante una joven coneja entusiasta de tener una relación de noviazgo con el joven lobo, el hecho de conocer a una joven loba que quiere tener una relación pasional con él, el hecho de tener un amigo reno que lo respetaba como tal a pesar de sus fetiches y el hecho de dejar la academia para convertirse en jefe de una famosa mafia de la ciudad, el hecho de tener un tigre que guste de competir con él por lo que sea y el hecho de tener que pelear con un oso que tiene problemas para medir su propia fuerza y controlar sus estirones que hacen que salgan su fuerza física real, mientras vemos que al tener que lidiar con eso, ha estado yendo regularmente a un popular gimnasio de la ciudad y ha estado dándose secciones de ejercicio que duran hasta tres horas enfocadas en ejercicios agotadores y que los hacen los fines de semana, que es cuando menos ocupados están los gimnasio y notamos que el joven lobo comienza a contemplar sus masivas ganancias musculares y que estas han ido dejando notar los cambios que ha tenido que lidiar su propio cuerpo y ver que poco a poco comienza a tener más confianza de sí mismo y que ello le ayuda a poder hacer cambios a su dieta alimenticia que le permiten no sólo ganar mayor musculatura, sino que también pueda sentir menos asco de tener que vivir con una alimentación más adecuada a su situación de carnívoro, pero sin olvidar que en su mundo comer animales sapientes y pensantes como él es un delito grave como es el hecho de comer personas en la vida real, dejando ver que incluso en un mundo de animales antropompórficos como es el de Beastars, este sigue ciertas leyes básicas que separan la civilización de la barbarie, mientras se observa que el joven lobo mira el espejo a sí mismo y disfruta lo que ve, ya que después nunca pensó que su cuerpo se iba a verse tan bien tras intensas rutinas de ejercicio y que siente que puede no sólo ganar competencias de fisicoculturismo, sino que también puede plantar cara a sus rivales y quizás participar en algún torneo de combate físico para mostrar qué animal es el más fuerte de la ciudad Bueno amigos, espero que les guste, ya que hace tiempo que quería hacer un nuevo dibujo que involucre al lobo virgen favorito de todos, mientras vemos que por razones de viaje familiar voy a tomare un descanso de una semana que me servirá para poder retomar tus actividades de dibujo la semana siguiente y que espero comprensarlo subiendo 4 dibujos sólamente esa semana y que espero que les pueda gustarles tanto como el dibujo que muestro ahora y que permiten dar cuenta del progreso hecho a mi estilo de dibujo que me permite tener más confianza para probar algunos de mis fetiches favoritos dentro del fandom furry, pero que me preocupo que puedan ser del disfrute de todo el mundo y no sólo de unos cuantos usuarios regulares, bueno amigos, disfruten el dibujo y nos vemos Legoshi (C) Paru Itagaki, Akita Shoten, Viz Media, Netflix y Orange Studios English Hello friends, how are you? I hope you are well friends, well friends, here is a new drawing and I present a very popular character from the Beastars universe, who after the events experienced during the second season of the anime series has not been the same as before and that he has had to work hard not only to be able to control his wild impulses, but also to vindicate himself and show that the experiences lived in the last time were the motor vehicle that helped him not only to grow and mature, but they also allowed him to change for the better, which allows him to catch up to finish his studies at Cherryton Academy, while he waits to decide what he is going to do with his life once he enters the university stage and with that see what career do you want to continue thinking about your life plans in the medium and long term, well friends without giving more thought, I present Legoshi He Starts to Contemplate His Musculature Gained by Months of Physical Training Intense Here we see the young virgin wolf, who has had a complicated life in his last couple of years and has had to deal with things that the young wolf was not ready to face, among them we have the fact that he had his first experiences of sexual love before a young rabbit enthusiastic about having a courtship relationship with the young wolf, the fact of meeting a young wolf who wants to have a passionate relationship with him, the fact of having a reindeer friend who respected him as such despite of his fetishes and the fact of leaving the academy to become the boss of a famous mafia in the city, the fact of having a tiger that likes to compete with him for anything and the fact of having to fight with a bear that has problems measuring his own strength and controlling his growth spurts that bring out his real physical strength, while we see that in dealing with it, he has been regularly going to a popular city gym and giving himself exercise sessions. start that last up to three hours focused on exhausting exercises and that they do them on weekends, which is when the gyms are least busy and we notice that the young wolf begins to contemplate his massive muscular gains and that they have been showing the changes that He has had to deal with his own body and see that little by little he begins to have more confidence in himself and that this helps him to make changes to his diet that allow him not only to gain more muscle, but also to feel less disgust of having to live with a diet more appropriate to his situation as a carnivore, but without forgetting that in his world eating wise and thinking animals like him is a serious crime, as is the fact of eating people in real life, revealing that even in a world of anthropomorphic animals such as that of Beastars, it follows certain basic laws that separate civilization from barbarism, while observing that the young wolf looks in the mirror at himself and enjoys what he sees, since then he never thought that his body would look so good after intense exercise routines and that he feels that he can not only win bodybuilding competitions, but also stand up to his rivals and perhaps participate in some physical combat tournament to show which animal is the strongest in the city Well friends, I hope you like it, since I have long wanted to make a new drawing that involves everyone's favorite virgin wolf, while we see that for reasons of a family trip I am going to take a break for a week that will help me to resume your drawing activities the following week and that I hope to understand it by uploading 4 drawings only that week and that I hope you can like it as much as the drawing that I show now and that they allow me to account for the progress made in my drawing style that allows me to have more confidence to try some of my favorite fetishes within the furry fandom, but I am worried that they can be enjoyed by everyone and not just by a few regular users, well friends, enjoy the drawing and see you Legoshi (C) Paru Itagaki, Akita Shoten, Viz Media, Netflix and Orange Studios
Posted using PostyBirb
0 notes
minnisatargana · 6 years
Text
Lo que pienso...
Ok tengo varios problemas con las chicas/os que dicen que quejarse es infantil y bla, bla, bla.
Tumblr media
Es nuestra opinión y somos libres de expresar nuestra inconformidad como consumidores (por que yo estoy abordo del tren de las/los que pagaron por P.A y $).
Si es un juego, son personajes ficticios, son pixeles y todo lo que digan.Pero eso no va a impedir que uno como jugador se encariñe.
Cuantas de ustedes no han llorado, gritado, amado, reído, sufrido y demás al leer alguna novela/manga/comic? o tal vez cuando ven alguna serie/película/Anime?
Tumblr media
Bueno yo soy de esas, me conecto con los personajes como muchos otros y me encariño con ellos. y ninguno de ustedes va quitarme mis sentimientos de trapo por perder a un personaje (o a varios en este caso) de sopetón.
Leí el post de Chinomiko y respeto su decisión, es verdad es su juego y son sus personajes. 
¿Estoy de acuerdo con ello?, para nada
¿Me voy a poner a insultar a diestra y siniestra? Nop
Chinomiko tomo su decisión para bien o mal, nos guste o no. 
Ahora castiel es el Pikachu de Beemoov...
Tumblr media
Ok... supongo que esta bien, en lo personal pikachu no es mi pokémon eléctrico favorito, así como Cassy no es mi chico favorito. Para gustos colores y teniendo una variedad de 807 pues ustedes diran...
Tumblr media
 Y ahora Marvel... voy a empezar por el hecho de que los derechos de sus super héroes están divididos entre Disney/Fox,  razón por la que Wanda Maximoff no es llamada mutante y no se puede revelar que tanto su hermano como ella son hijos de Magneto y por la misma razón Spidey ha tenido tantas películas, la compañía del ratón no podía utilizar las películas de antiguas del hombre araña por OBVIAS razones por ello se vieron en la necesidad de crear sus propias películas, para poder introducir al personaje al universo de los avengers, por que Spidey boy es un vengador. 
Vaya manera de irse de paseo con todo.
Volviendo al tema, estoy molesta como muchos otros, y solo me estoy desahogando por la pedida de la ruta de Lys y si quiero llorar por ello es valido, si me quiero enojar de igual forma y si quiero escribir como me siento en un post que nadie va a leer de igual forma.
Tumblr media
24 notes · View notes