Tumgik
#menottage
valeriehervo · 5 years
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Les us et coutumes en matière de séduction, de rencontres, de relations, de sexualité ou encore de ruptures amoureuses ne cessent d’évoluer. Pas toujours pour le mieux, d'ailleurs. Pour s’y retrouver ou pour mettre un nom sur ces “nouveaux comportements” amoureux - qui parfois relèvent plutôt de la goujaterie, voici un lexique (non-exhaustif) des termes utilisés. Et oui, la plupart du temps, ce sont des mots anglophones : à croire que les anglosaxons ont une longueur d'avance en ce qui concerne l'amour, et aussi la muflerie du coup.
Le “Ghosting” ou la disparition fantomatique
C’est peut-être le terme le plus connu ou usité de ces dernières années. Se faire ghoster désigne le fait que celui ou celle avec qui on flirte décide unilatéralement de nous zapper de sa vie et préfère disparaître sans un mot, plutôt que de donner une explication.  
Le “Zombieing” ou le fait de recontacter son ex de temps en temps
Vous vous aimiez, vous vous êtes quittés, il (ou elle) a disparu … et puis de temps en temps, sans crier gare, il réapparaît. Son but ? Venir hanter votre esprit et vérifier que vous êtes toujours réceptive à son charme.
Le “stashing”  ou l’amour planqué
Il vous aime, certes, mais pas au point de vous “assumer”. Non, votre partenaire préfère compartimenter sa vie et surtout, ne pas vous “montrer” à ses amis ou sur les réseaux sociaux. Reste à savoir si c'est pour vous protéger ou une tentative de manipulation.
Le “kittenfishing” ou quand votre nouveau flirt s’arrange avec la vérité
Vous flirtez depuis quelques heures/jours/semaines avec un nouveau partenaire rencontré sur une application ou un site de rencontres, mais voilà ce dernier s’arrange un peu avec la vérité et a tendance à abuser du “marketing de soi”. Photos filtrées, CV gonflé ... Pas très honnête, ni très agréable mais semble-t-il plutôt courant.
Le  “breadcrumbing” ou les miettes de l’amour
Vous avez eu un vrai coup de coeur pour cette personne, et dans les premiers instants, il ou elle semblait réceptive à vous oeillades langoureuses. Sauf que depuis, tout à changer : à l’instar des adeptes du zombieing, il (ou elle) ne répond que très rarement à vos messages, vous donne des nouvelles mais seulement de temps en temps… Bref des miettes de l’amour.
Le “cuffing” ou quand le froid nous rend amoureux
Le fond de l’air est froid, et étrangement, vous avez plus que jamais envie de vous lover dans les bras de votre partenaire ? C’est ce que des experts de l’amour appelle le “cuffing” - traduire par “menottage”. Selon eux, l’arrivée du froid pousse certaines personnes à s’attacher à leur partenaire pour “passer l’hiver au chaud”. Romantique ?
Le “brush off” ou quand votre relations part en miettes
La passion s’est éteinte, les sentiments se tarissent … vous êtes probablement en “brush off” soit en pré-rupture. Pour éviter toutes sortes de déconvenues, il est conseillé de faire attention aux signes annonciateurs du délitement de l’amour.
La technique du “sous-marin” ou l’ex qui revient en pointillés (sans s’excuser)
Petite déclinaison du Zombieing, pas vraiment plus agréable : le sous-marin. Théorisé par un journaliste de l’édition britannique de Métro, le sous-marin - à la différence du zombie - ne s’excuse même pas de ces silences radio.
Le “roaching” ou la "technique du cafard”
On vous ment, on vous spolie… vous nouvelle conquête en tous cas. C’est ce qu’on appelle la technique du cafard ou “roaching” qui désigne quand une personne cache sciemment à une personne qu’il ou elle couche avec d’autres partenaires, alors même qu'ils sont dans une phase mutuelle de séduction.  
Le “caspering” ou la disparition polie et bienveillante
Dernier né dans les concept des comportement amoureux ? le caspering ou le “gentil ghosting”. En d’autres termes, votre partenaire décide mettre fin à votre relation, puis de vous zapper de sa vie… mais, il vous prévient avant. Gentleman.
Le gatsbying, ou la démonstration d'intérêt totalement démesurée
Dans ce petit lexique des comportements amoureux, il n'y a - heureusement - pas que des techniques de goujats... Parfois, ce sont des techniques juste déconcertantes : c'est le cas du gatsbying qui est en fait un terme pour illustrer les démonstration démesurée d'intérêt pour quelqu'un, comme le fait d'organiser des fêtes pour l'impressionner.
Le benching, ou le banc de touche de l'amour
En amour, il y a les titulaires et les remplaçants : c'est la vision qu'ont les adeptes du benching aka le banc de touche de l'amour. Le principe est simple : il faut conserver plusieurs personnes sur son "banc de touche amoureux" au cas où la personne avec qui on sort régulièrement, s'engage dans une autre équipe.
Le firedooring
C'est un comportement goujat qui est presque complémentaire de la technique du sous-marin : la porte coupe-feu désigne des relations unilatérales ou l’un des deux partenaires a clairement un ascendant fort sur l’autre et décide de souffler le chaud et le froid sur le couple. Une relation à sens unique, souvent très toxique pour celui ou celle derrière la porte.
Le sneating ou le goût du gratuit
Et comme une cerise sur le gâteau périmé de la drague : le sneating. Une technique qui consiste à accepter des rencards uniquement dans l'espoir de se faire inviter au restaurant. On ne juge pas, mais bon, quand même.
De quoi en perdre son latin !!
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mirrorontheworld · 5 years
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…et, en tant que tel, j’ai pu bénéficier hier, à Nice, du forfait à 135 euros « garde à vue pour outrage et participation armée [sic] à un mouvement interdit organisé dans le but de détruire » incluant une arrestation arbitraire + stockage dans un terrain vague + menottage à une chaise + des heures à 8 dans 9m2 sans toilettes + fichage ADN. Récit de ce 23 mars.
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Qui est Aurélien Hallade ?
Né en France, Aurélien HALLADE a grandi en Banlieue Parisienne.
Il débute les arts martiaux en 1995 en découvrant le Taekwondo. Il pratiquera cet art martial Coréen durant près de 20 ans, ce qui l’amènera à participer à de nombreux stages et compétitions de haut niveau. Il enseignera par ailleurs le Taekwondo durant de nombreuses années en qualité d'aide instructeur puis d'instructeur.
Il ajoutera à sa pratique du Taekwondo de nombreux arts et sports de combat tels que : la Boxe Française, l'Aïkido, le Karaté, la Boxe Anglaise, la Boxe Thaï, le Close Combat, le Penchak Silat ainsi que le Grappling.
En 2005 il débute la musculation, notamment avec la méthode Lafay puis découvre la pratique de la musculation "fonte". Il se passionne par cette discipline et prends près de 36 kg en 18 mois. Suite à cela il obtiendra différents physique (sec, maigre, gras, bodybuildé etc...) suite à différents objectifs.
En 2006 il découvre lors d'un stage multi-disciplinaires le Penchak Silat, art martial indonésien qui le passionne et le fascine par la rapidité des attaques.
En 2007, alors Policier dans la Police Nationale Française, il découvre lors d'un stage interne le Krav Maga. Il est tout de suite intéressé par cette méthode d'auto-défense qui semble parfaitement adaptée à son milieu professionnel. C'est alors qu'il commence à découvrir le Krav Maga à Paris.
Enfin, à l'été 2016, il ouvre les Centres d'Entraînements de Krav Maga de Sherbrooke et de Drummondville.
En novembre 2017, il devient formateur pour la compagnie Gardaworld avec pour spécialité l'emploi de la force (bâton, menottage, points dd pression etc...)
CV D'AURÉLIEN HALLADE
Formateur en sécurité pour la compagnie GardaWorld (Agents de Sécurité Certifié 70 heures, Commercial et Industriel 240 heures, Bâton télescopique, Menottage, Emploi de la force, Points de pression, Prévention des pertes...)
Instructeur de Krav Maga
Formateur CPI (Gestion de crise, intervention non violente)
Instructeur Bâton télescopique 
Instructeur menottage 
Formateur en secourisme (Fondation Maladie du Coeur)
Ex-Policier au sein de la Police Nationale Française
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videoxfrancaise · 7 years
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Une maitresse adepte du menottage
Une maitresse adepte du menottage
Atila se retrouve entre les mains d’une maitresse bien décidée à prendre le dessus sur cette bête de muscle! La petite cochonne va s’amuser avec lui et faire languir notre casteur qui meurt d’envie de lui péter le cul. Toujours menotté, Atila va se faire littéralement baisé par sa maitresse jusqu’au moment de sa libération. Et là, ça va faire mal!!
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basstek-fr-blog · 7 years
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Un nouvel article a été posté sur BassTek
Un nouvel article a été posté sur https://www.basstek.fr/communique-techno-veut-peau-de-techno/
Communiqué Techno+ > Mais qui veut la peau de techno+ ?
D’après un responsable de l’enquête, le juge d’instruction va bientôt avoir sur son bureau un dossier complet contre Techno+. Il devra alors décider de la mise en examen ou non de l’association. Allons-nous vers un nouveau procès de la politique de réduction des risques liés au usages de drogues (RdR), du mouvement tekno, ou bien les deux à la fois ?
Sinon pourquoi avoir choisi, après 2 ans d’enquête comme date de l’intervention policière, un moment symbolique à la fois pour les acteurs de la RdR (le 1er décembre est la journée mondiale de lutte contre le sida) et pour le mouvement tekno (le weekend du 3 décembre avaient lieu 2 rassemblements revendicatifs nationaux) ?
Le 30 novembre 2016, Techno+ a subi une opération policière menée simultanément à Paris au siège de Techno+ (perquisition comme dans les films : armes au poing, menottage, fouille, saisie et arrestation) et à Saint-Nazaire (arrestation de la Présidente sur son lieu de travail).
Depuis cette date l’enquête contre Techno+ continue, 8 volontaires (dont les salariés et des dirigeants) de l’association ont été entendus par la police. Ces 3 gardes à vue et 5 auditions nous ont tout de même permis d’en savoir plus sur ce que cherchent à savoir les enquêteurs. Si certaines de leurs questions sur l’existence réelle de nos subventions (!) et leur méconnaissance des politiques de santé et du monde associatif, nous invitent à nous demander ce que fument la police et la justice, l’ensemble montre bien la volonté de nuire à Techno+ et à travers nous aux militants de la RdR et au mouvement techno.
2 ans d’enquête
A l’origine de l’affaire, il y aurait une plainte déposée il y a presque deux ans. Nous n’en savons pas plus. Ceci a permis le démarrage d’une enquête sur l’association avec écoutes téléphoniques et filatures régulières de membres de Techno+. Notre association ne s’est jamais cachée d’être composée en grande partie de teufeurs consommateurs de drogues, c’est ce que l’on appelle la santé communautaire, c’est même inscrit dans nos statuts ! C’est d’ailleurs à ce titre que nous sommes financés par les pouvoirs publics depuis près de 20 ans pour mener des actions de réduction des risques liés aux pratiques festives. Techno+ est aussi ouvertement en faveur de la légalisation des drogues.
Pourtant, nous ne sommes pas les seuls à avoir des intervenants qui sont aussi des consommateurs de drogues et à avoir pris position contre la prohibition des drogues. Dans le secteur des opérateurs de la RdR, c’est même une tendance majoritaire.
Comme le faisait remarquer un de nos soutiens sur internet “Techno+ est financée par l’État pour ses missions d’intérêt général, la police aussi, pourquoi ne sont-ils pas venus discuter avec vous au lieu d’imaginer on ne sait quoi ?”
La réponse est toute simple, c’est une question politique des drogues dans laquelle s’affronte 2 visions. L’une visant l’objectif d’un monde idéal sans drogue et l’autre visant à en réduire les risques car il n’existe pas de société sans drogues. Déjà en 2002, Techno+ a fait l’objet d’une telle enquête qui a abouti à un procès pour incitation à l’usage de drogues. Or c’est bien ce qui était reproché à l’époque à l’ensemble des acteurs de RdR. Aujourd’hui les programmes en place comme les salles de consommations, l’analyse des produits, l’intervention de proximité, sur internet ou auprès des usagers-revendeurs, sont régulièrement accusés de faciliter l’usage de drogues. N’étant ni une association de professionnels, ni un établissement médico-social agréé, Techno+, comme quelques autres structures, représente une cible facile pour les détracteurs de cette politique de santé.
Nous espérons donc que le juge d’instruction du parquet de Versailles qui suit cette affaire n’ouvrira pas un nouveau procès contre de la politique de RdR.
Nous demandons la restitution du matériel (camion et ordinateur) saisi abusivement qui nous empêche aujourd’hui de mener nos actions financées.
Nous réclamons une nouvelle modification de la loi de santé publique afin que tout intervenant de RdR, dans le cadre et pendant son activité, soit protéger du délit de facilitation de l’usage de drogues car oui le but de notre action est de faciliter l’usage à moindre des risques des drogues pour ceux qui ont décidé d’en consommer.
Nous dénonçons que des intervenants et des associations puissent faire l’objet de surveillance, d’intimidation et/ou pressions policières à cause de leurs opinions politiques.
Nous exigeons également que les services de police, gendarmerie et justice soient dûment formés et informés des pratiques de la réduction des risques et respectent, à défaut de la comprendre, la démarche communautaire.
L’équipe de T+
    Source  Techno + > http://technoplus.org/actualites/3320-mais-qui-veut-la-peau-de-techno/
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