Tumgik
#mais en fait ça impacte de pouvoir faire des trucs avec d'autres gens
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grosse envie de laisser tomber (tous ces gens qui sont contents d’être tes ami.e.s parce que c’est toi qui organise tout le temps tout et qui relance tout le temps pour tout)
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claudehenrion · 4 years
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Le Décalogue nouveau est arrivé : “la science seule tu adoreras”… (et un peu les ’’experts’’ de l’Elysée, aussi).
  J'écris ce “billet” le cœur lourd : plus de messes dominicales jusqu'à nouvel ordre, ont annoncé les Monsignori qui ont la charge de nos âmes et de notre salut éternel… et semblent surtout se soucier de se conformer aux desiderata d'Experts de rien du tout, nommés pour leur participation à la pensée dominante…  En cas de grand danger, ou plutôt de peur panique et de terreurs primales qui font penser à celles (vraies ou inventées?) dites “de l'an mil”, nos Evèques semblent ne plus croire en l'aide possible de Dieu. S'il leur restait un petit doute, ils auraient tenté la chance : après tout… on n'est sûrs de rien. Mais non ! Leur foi et leur espérance ont “migré” vers la science : ceux que Macron a choisi comme “Experts” (j'en connais plusieurs : je ne leur confierais pas mes économies !) ont décidé : “on ferme !”. Nos Prélats ont répondu “Amen. Qu'il soit fait selon votre volonté…”.
  Qu'on me comprenne bien : même si je trouve cette décision encore plus absurde que beaucoup d'autres (et pourtant… on est gâtés, depuis quelques jours !), ce n'est pas à titre personnel que je  la regrette : ma foi est assez documentée et assez renseignée pour pallier un manque de nature rituelle –manque qui est relatif, d'ailleurs, les messes étant devenues ce moment d'ennui, de laideur et de vide spirituel que les “vieux pratiquants” constatent et déplorent, dimanche après dimanche. Mon chagrin vient de beaucoup plus loin : les lecteurs de ce Blog savent que je suis convaincu que seul un retour aux “fondamentaux” de la foi chrétienne peut encore sauver le monde. Et ce n'est pas un rêve, comme le démontrent l'Afrique subsaharienne, vivante et vibrante, l'Amérique du sud profonde et solide, et les formidables “chrétiens d'Orient”, si admirables : tout est possible, comme l'ont montré pendant 50 ans les orthodoxes des pays enfin libérés de la cangue communiste. Et chaque pas en arrière est une mauvaise nouvelle. Mais on est en droit de s’étonner de cette nouvelle Église “3.0” qui, en cas d’épidémie, pense à obéir à des “savants” anonymes et innommés, plutôt que de prier et de faire prier ?
  Une épidémie (car c'est de cela qu'il s'agit) “obéit” à un “modèle” d'une régularité étonnante  (que l'agent transmetteur soir connu ou pas) : démarrage lent, puis montée en force, qui s'accélère, jusqu'à un “pic” qui se compte en nombre de contaminés ‰, et d'où part une décrue en général plus rapide que la “montée”. Et s'il est vrai que les processions et les prières dans les églises n'ont apparemment pas modifié ce rythme, il est vrai aussi que les quarantaine de Wuhan, de Milan ou d'autres “territoires” n'ont pas eu, non plus, de résultats spectaculaires. Ce qui est surtout à redouter, c'est que, comme ce virus est un inconnu dans notre panoplie de “protections immunitaires”, il n'atteigne ce fameux “pic” que lentement. Angela Merkel, après avoir consulté, elle aussi, “sa” brochette de “spécialistes d'un truc qui les dépasse’’, (comme ceux qui conseillent Emmanuel Macron, ils  pontifient sur ce dont ils ignorent tout !), a pifométré le chiffre de 80 % de la population allemande. C’est dans la fourchette haute mais comme on ne sait rien, ce n’est pas impossible.
  On doit insister sur ce fait –dont nos grands hommes hexagonaux parlent si peu !– qu'une démonstration éclatante de la relativité (certains disent : de la nullité !) du savoir des ’‘experts” consultés par notre Président est que, de l'autre côté de la Manche, les “experts” réunis par Boris Johnson sont arrivés à des conclusions EXACTEMENT contraires (avec autant de chance, d'ailleurs de se fourrer le doigt dans l’œil… mais “sans tout casser”, eux, au moins !). Le pendule oscille entre “Quand on ne sait pas, on ne la ramène pas’’ à ’'Le fait de n'avoir rien de précis à dire n'est pas une raison suffisante pour se taire !”. Devinez quel choix a fait la macronie ?  Une précision, tout de même : à l'instant où j'écris ces mots (dimanche 15 Mars à 18 h), net avantage aux experts de Boris Johnson avec 1443 cas recensés, contre 5418 (recensés) pour ceux de Macron, cela ne présageant bien évidemment pas l’avenir.
  On reste dans l'approximation sur à peu près tout, en ce qui concerne la médecine : on dispose d'expériences, d'extrapolations, de générosité, de bons sens ou de probabilités, mais de peu ou pas de certitudes. On s'interroge sur le bien fondé de mesures qui vont peut être ralentir la propagation du mal, mais qui pourraient avoir des résultats nuls, et pourquoi pas négatifs : à ce jour, plus les gouvernements prennent des mesures drastiques et plus… le taux de morbidité augmente ! Se dire que c'est sur des hypothèses incertaines qu'on est en train (et ça, c'est certain!) de fabriquer de toutes pièces une crise économique mondiale, qui mettra au moins “un certain temps” à retrouver son (et notre) équilibre, il y a un pas où tous les dirigeants du monde auraient dû se souvenir du ridicule (puisque cher aux écolos-canal “hystérique”) “principe de précaution”. Il n'est pas interdit de redouter que le nombre de suicides (commerçants ou agriculteurs, par exemple),  dus aux conséquences des mesures prises ne s'avère, à terme, comparable ou supérieur à celui des morts par coronavirus… (cf. la crise de ‘‘la vache folle’‘…).
  Pour en revenir à l'interdiction des messes, il faut se demander quel impact une telle décision va bien pouvoir avoir sur un “corpus” de pratiquants en voie d'atrophie catastrophique en Europe. On nous répète sans cesse, avec trop de délectation pour qu'il n'y ait pas d'arrière-pensée, qu'il resterait dans les 2 % de pratiquants réguliers. Que ce soit vrai ou faux, le seul fait de vivre sans messe dominicale (et de voir, évidemment, “qu'il ne va rien se passer”) va amener combien de personnes âgées à quitter la pratique hebdomadaire ? Le nombre, déjà trop faible de paroissiens dignes de ce nom va amputer encore le budget des paroisses, déjà “ric-rac”. L'entretien de nos églises, témoins souvent si gracieux de ce que fut notre civilisation, mais également richesse culturelle et touristique sans équivalent possible, va devenir impossible. Devant le laïcisme haineux des représentants de l'Etat, qui se croit laïc et tolérant mais est très sélectif  dans sa générosité, on est en droit de se demander : “Et après cette ’'crise”… quoi ?“. Déjà 65 de nos 87 cathédrales sont en danger, par désintérêt de la puissance publique… Quant à nos jolies églises de campagne, on ne compte plus celles qui ont été abandonnées…
  Si on  remonte aux ’'fondamentaux”, ce qui n'est jamais inutile, il faut se demander où et comment notre pays (et notre continent) pourront trouver les armes pour résister à la poussée d'une autre civilisation, exogène, qui ne convient ni au climat, ni aux populations, ni là l'Histoire, ni aux us et coutumes de nos latitudes… et de nos pays. On sait que le vide abyssal derrière lequel tente de se cacher le laïcisme ne peut en aucun cas constituer un rempart contre une invasion, quelle qu'elle soit et d'où qu'elle vienne. Vous me direz que c'est un autre sujet, qui mérite autre chose qu’un pauvre “billet” à l'emporte pièce, et je serai pleinement d'accord. Je continuerai tout de même à me répéter : “d'accord… Mais après’' ? Et là, c’est le grand silence glacé… Dormez, braves gens… Le confinement est pour demain. 
H-Cl.
PS. : pour ceux que le sujet et la vérité intéressent, je recommande un site, que m'a fait connaître un lecteur ’'bien informé” : https://www, (ou pas), suivi du lien  .arcgis.com/apps/opsdashboard/index.html#bda7594740fd40299423467b48e9ecf6
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