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#les voyages de lame
zoroark571 · 1 year
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Alcest - les voyages de lâme (2011)
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Volutes
Quand je porte à l’oreille un coquillage brut J’entends loin l’océan occulte et violent Jusqu’au colimaçon de ma mémoire en chute  Envoutement d’écho du pavillon vibrant
La conque et son volume ouvrent bientôt le champ De l’horizon audible en son cœur de volute Qui l’emporte aussitôt vers mon cœur indolent  Quand je porte à l’oreille un coquillage brut
Et je ferme les yeux sur les longues minutes  De ce voyage en mer intime et se brisant Sur le rocher caché des volontés hirsutes J��entends loin l’océan occulte et violent 
Je vois le pavillon des souvenirs grisants D’un vaisseau idéal que la beauté chahute  Qui dans un tourbillon s’engloutit en-dedans Jusqu’au colimaçon de ma mémoire en chute 
De la conque à la coque avidement je scrute  Du vague à l’âme amer ressac enroulement Des lames convoquées par mon cœur en tumulte Envoutement d’écho du pavillon vibrant
-Fabienne PASSAMENT. 2023
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soul-and-blues · 6 months
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Je suis tout l'inverse d'une main de fer dans un gant de velours Je suis la tempête qui traverse un ciel bleu et blanc La brise qui te ramène d'insondables relents La mer qui sur tes berges, se brise La pierre qui se fend et révèle cœur battant Je suis la perle de sucre qui fond sous ta langue Et le sel qui brûle tes blessures Je suis mirage, rêve, voyage Mais aussi murailles et geôle Je suis très peu de choses Du regard, le vent entre les ailes du papillon Des doigts, les frissons à piéger Des pas, l'horizon embrumée Je suis douceur blessée Charbon embrasé Tendresse balafrée Emmurée dans une citadelle surprotégée Je suis Du moins, j'essaie, Entre les lames Des attirances Et les mines des apparences.... MzP
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Entre les Dunes
Ca fait plusieurs mois que cette fic est dans mes WIPs, je l'ai d'ailleurs commencé bien avant sa petite soeur La femme de l'esclave, donc je suis contente qu'elle soit enfin fini. Impossible de me décider si c'est du Angst ou du Fluff mais ca part beaucoup d'émotions (disons du Spleen ? A vous de me dire)
Merci à @cheryllollst d'avoir beta, tu es un véritable amour 💖
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Résumé : Et maintenant, enfin seul dans cet immense désert, Arturus mort et Arthur exilé, le voilà égaré. Qui est-il ?
Entre les Dunes
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Pendant des années, Arthur a tenté de se persuader de ne pas aimer Guenièvre. Ça a été facile vraiment, entre Aconia, son coeur brisé, sa promesse, sa culpabilité, ses nouvelles responsabilités de roi, la construction du château, tout avait été un prétexte pour éviter sa nouvelle femme. Éviter ses grands yeux curieux, ne pas voir ses joues se colorer à chaque fois qu'il lui parlait ou qu'il la frôlait, ne pas sentir le délicat parfum fleuri qui se dégageait de ses longs cheveux qu'il n'avait pas pu s'empêcher de toucher une nuit pour savoir si ils étaient aussi soyeux qu'ils en avaient l'air. Ce détachement émotionnel lui avait demandé un entraînement assidu qu'il avait suivi religieusement.
Plus les années passaient, plus elle devenait triste et plus il arrivait à jouer son rôle de mari volage et désintéressé, plus c'était simple de se raccrocher à sa promesse. La couleur de ses cheveux et de sa peau, sa taille, son éducation, son poids, la forme de ses yeux, la petitesse de ses mains, la froideur de ses pieds, le son de sa voix, l'odeur de son savon, le bruit qu'elle faisait quand elle mangeait, rien n'allait avec Guenièvre. Il devait tout détester, oui il le devait et il s'y efforçait. C'était son rituel, une des rares choses à laquelle il s'accrochait encore aujourd'hui : penser à Guenièvre. Tous les matins en se réveillant et tous les soirs en s’endormant, il faisait la liste des choses qu'il n'aimait pas chez sa femme avec pour conclusion cette façon qu'elle avait de l'exaspérer et de l'irriter comme personne. Et ça avait marché. Tout ce temps à se répéter comme un mantra qu'il ne l'aimait pas, ne la désirait pas et ne la voulait pas à côté de lui, avait porté ses fruits. Il lui était impossible d'avoir une pensée déplacée pour sa femme et encore moins un geste sans que son corps, entraîné à la repousser, ne réagisse. Plus elle essayait de lui faire plaisir et de lui plaire, plus il pensait à ses défauts. 
Et puis, il y a eu le désert. D'abord le désert de solitude qu'il ressentait même quand il était entouré de centaines de personnes. Le poids de ses échecs qui le réveillait la nuit avec cette sensation pâteuse dans la bouche, comme s'il mangeait du sable et que des grains de poussière imaginaires lui grattaient la peau jusqu'au sang. Suivis par la brûlure de la lame sur son poignet, un désert rouge où se mêlait le sang et le néant. Le désert d'eau qui faisait tanguer l'embarcation de Venec, une étendue bleue et noire, presque infinie que son esprit délirant avait prise pour le voyage vers Avalon.
Mais rien ne l'avait préparé au vrai désert, celui avec la vraie solitude où il n'y avait personne avec qui parler, celui avec le vrai sable qui gratte et qui rentre partout, celui avec la vraie brûlure incessante du soleil qui rendent les lèvres craquelées et la gorge sèche, celui avec le vrai néant, les étendues infinies de dunes traîtres qui n'attendent que le bon moment pour vous engloutir. Ce désert là, où la mort est une chance et il faut lutter pour survivre.
Sa première soirée à la tannerie, quand l'excitation de la journée et l'appréhension de sa nouvelle vie s'étaient un peu dissipées, seul sur son futon tressé posé à même le sol, couché parmis les autres esclaves avec qui il ne partageait que les longues heures de travail, il avait regardé le ciel. Cette liste, tous les défauts qu'il avait trouvé à cette femme qu'il ne reverrait jamais lui était revenus comme une sale gifle. Il ne pouvait pas arrêter de penser à Guenièvre, il l'avait fait depuis près de 15 ans, ce n'était pas une habitude qui pouvait disparaître subitement. Son nez trop long, ses yeux trop grands, ses lèvres trop fines, ses cheveux trop clairs, son air bête, ses mains trop petites et tout le reste de l'immense catalogue qu'il s'était fabriqué. Mais plus il avançait et moins le cœur y était. Ses pensées étaient tournés vers le nord, vers sa Bretagne natale qu'il avait fui il y a de ça plusieurs mois déjà, vers cette femme qu'il était sensé détester, vers ses amis et cette destiné qu'il avait choisi d'abandonner. Sa liste à moitié oubliée, il avait regardé autour de lui, s'attendant presque à voir Guenièvre surgir de derrière une dune en train de rouspéter avec sa voix nasillarde contre le sable et la chaleur.
Au fur et à mesure des jours et des semaines, il s'était acclimaté à cette vie d'esclave. Personne ici ne parlait la même langue mais ils avaient trouvé des moyens de communiquer entre eux avec des grands gestes et des mots fabriqués avec les sons qui les entouraient. Le travail lui était venu assez rapidement. Ce qu'il ne savait pas faire, il l'avait appris en regardant les autres et ses jours étaient rythmés par les chants graves de contrées lointaines et les gestes répétés machinalement. Il s'était habitué à l'odeur et aux sons devenus familiers des tissus qui pataugeaient dans les liquides jaunes, rouges et marrons et des bruits de bâtons sur les peaux mouillées. Sa nouvelle vie était dure mais au moins il était vivant et pour lui qui avait eu envie de mourir tellement de fois, c'était important. 
Il y avait des enfants. Ça n'aurait pas dû être une surprise. Dans un endroit si reculé, c'était comme une petite ville de travailleurs isolés de tout. Vraiment, c'était plutôt logique qu'il y ai des enfants, malgré tout, la première fois qu'il avait vu une petite tête brune courir entre les immenses tas de linges et jouer à cache-cache entre les peaux sur les étendoirs, il n'avait pas pu s'empêcher d'être surpris. Il avait presque oublié qu'Arthur Pendragon était stérile mais que le reste du monde ne l'était pas.
L'anniversaire de sa première année était arrivé sans qu'il ne s'en rende compte et il n'y avait réfléchi que plusieurs jours plus tard quand il s'était assis près d'un des feux pour manger sa ration du soir. L'atmosphère presque détendue des fins de journée jouait avec sa perception du temps et la chaleur mélangée à la fatigue embuait son esprit. La frontière entre passé et présent, entre souvenir et réalité, était devenue floue et même la vision de Guenièvre, emmitouflée dans un gros manteau, s'asseyant près de lui sur le sable ne lui avait pas semblé déplacée. Elle lui avait souri et tout d'un coup les dunes autour d'eux s'étaient transformées en plaines enneigées. Un éclair de lucidité lui avait traversé l'échine, il se souvenait de ce soir-là, il y a une quinzaine d'années, l'anniversaire d'une autre première année, celle de son arrivée en Bretagne. Un autre lui dans une autre vie.
Il avait maudit ce jour qui lui rappelait tout ce qu'il avait perdu, les derniers mots de Mani qui le hantait et les traits flous d'Aconia dont il essayait désespérément de se souvenir. Guenièvre était venue le trouver alors qu'il contemplait les flammes oranges, un bol à peine touché posé à côté de lui, la solitude, le froid et la culpabilité lui lacérant les entrailles. Elle lui avait parlé mais il n'avait jamais réellement écouté ses mots de soutien et d'encouragement. Il ne se souvenait que de la petite boîte qu'elle avait posée sur ses genoux. Un cadeau et l'assurance qu'elle serait toujours à ses côtés dans un murmure timide. Et puis, elle s'était penché sur lui, avait déposé un baiser sur sa joue, avant de le laisser seul. Une sensation de chaleur avait alors envahi son corps, un frisson d'excitation, l'envie tabou qu'il avait eu de la retenir et de se blottir dans ses bras pour un peu de réconfort n'avait pas été la bienvenue et lui avait presque fait mal.
Assis sur le sable encore tiède avec la même envie, la même douleur qui ne l'avait jamais quitté depuis ce jour, il aurait donné n'importe quoi pour avoir Guenièvre près de lui, pour pouvoir puiser un peu de la force qu'elle lui offrait et qui aujourd'hui lui faisait cruellement défaut. C’est là, dans cet endroit aux premiers abord vierge et assassin, entouré de visages inconnus, qu’il avait compris à quel point il avait été stupide. Sans la pression des responsabilités, sans l'appréhension de trahir une promesse, sans la sécurité d'une vie facile, sans les excuses qu'il s'inventait, c'était beaucoup plus dur de justifier ce qu'il avait fait subir à la femme qui avait accompagné presque la moitié de sa vie. Cette femme qui l'avait épaulé et soutenu, qui lui avait posé les bonnes questions, qui l'avait guidé et accompagné du mieux qu'elle avait pu. Il repensait à son visage lumineux, à son sourire, à ses longs cheveux soyeux, à sa façon de toujours positiver. Et plus il pensait, moins il comprenait pourquoi il s'était privé de cette chance d'avoir un allié de taille dans sa quête quasi impossible de trouver un équilibre dans ce merdier sans nom qu'était sa vie.
Il aurait voulu crier à l'injustice, pour lui d'abord, pour elle ensuite, mais il avait décidé d'arrêter de se voiler la face. Le règne de son hypocrisie avait assez duré. C'était lui, c'était sa faute. Il aurait pu être heureux, il aurait pu essayer. Elle avait mérité d'être mère, d'être heureuse, d'être reine. Mais c'était lui qui s'était obstiné à continuer à vivre dans un mirage, à rester fidèle à une ombre et à en craindre une autre. Il aurait dû être courageux, accepter que le vent du changement souffle et guide le navire qui portait son nom, mais au lieu de ça, il avait lutté pour rester ancré dans une illusion. Il avait choisi de rester avec les morts plutôt que de profiter des vivants.
Les femmes dont il s'était entouré, les dieux qu'il avait priés en cachette, les manuscrits de poésie romaine qu'il avait appréciés en secret, tout n'avait été qu'un prétexte pour rester connecté à ce monde qu'il avait trahi. Il avait gardé Arthur le breton dans la paume d'une main et Arturus le romain dans l'autre, en faisant le choix délibéré de ne jamais les départager et de toujours les avoir à portée de main, jonglant avec expertise les deux face d'une même pièce. Essayant de conserver la version de son passé intact, obligé de la voir disparaître peu à peu en ignorant volontairement la version de son futur, la laissant se ratatiner et s'effacer.
Dans les yeux de ses chevaliers, il avait vu les visages des garçons de sa caserne. Chaque rituel celte, chaque danse, chaque tradition bretonne était un pas de plus qui l'éloignait de la mémoire de Mani, du souvenir d'Aconia, de la camaraderie de sa garnison, de sa jeunesse. Mais sa liste, sa promesse, le Graal, la destinée, tout n'était qu'un mensonge. Il ne détestait pas la Bretagne, ni sa vie. Il ne détestait pas Guenièvre non plus, c'était lui qu'il haïssait. Il avait été beaucoup trop jeune pour être roi, pour assumer autant de responsabilités, alors il s'était puni. Il s'était puni pour le meurtre de ses amis, il s'était puni pour ses choix, pour ses échecs, pour sa lâcheté. Trop focalisé sur lui-même pour réaliser ce qu'il faisait subir à son entourage, trop obnubilé par le besoin de cacher Arturus au yeux des bretons pour accepter que quelque chose n'allait pas, trop fier pour demander de l'aide, trop têtu pour concilier les deux moitiés de son âme.
Et maintenant, enfin seul dans cet immense désert, Arturus mort et Arthur exilé, le voilà égaré. Qui est-il ?
Guenièvre avait été une constante dans sa vie, une planète qui gravitait sans cesse autour de son soleil, une amoureuse transie qu'il avait repoussé du pied mais qui revenait toujours à la charge. Mais peut-être que c'était elle son soleil, qui brûlait sa conscience quand il se rapprochait un peu trop près, qui ne disparaissait jamais sauf la nuit où les démons et les fantômes s'en donnaient à cœur joie. Et si c'était lui l'amoureux, se baignant dans un océan de déni, pratiquant la politique de l'autruche, se forçant à haïr une des rares personnes qui ne lui avait jamais voulu du mal. La seule personne qui était enfermée dans le même destin, la même roue infernale, que lui.
"Pouh ! C'est compliqué dans votre tête dites donc. Et si vous essayiez de penser à des choses plus gai ?"
Arthur se tourne vers la place vide à côté de lui où son esprit a conjuré une vision parlante de Guenièvre. Enroulée d'un châle bleu d'où quelques mèches s'échappent, elle n'existe que pour ses yeux. Il ne sait pas s' il est amoureux mais ce qui est sûr c'est qu'il est en train de devenir fou.
Bientôt 8 ans qu'il est à la tannerie, Damian lui a offert une tente pour son usage personnel et une place de contremaître. Arthur a accepté l'un avec grâce mais dort toujours à même le sol avec les autres et prend toujours ses repas au coin d'un feu, jamais seul. Ce n'est que très récemment que Guenièvre a commencé à lui apparaître aussi clairement que si elle était là. Il n'a jamais arrêté de penser à elle et s'est beaucoup demandé, au début, si les traits de son visage allaient rester net dans son esprit ou est-ce que le souvenir de son sourire allait s'effacer comme les autres. D'après ses yeux pétillants, ses joues roses et sa moue boudeuse, il n'avait rien oublié de sa femme. Elle n'est pas un fantôme, ni un esprit malin, un djinn comme ils disent ici, qui vient le tourmenté. À vrai dire il ne sait pourquoi il a commencé à la voir mais il est toujours reconnaissant de ses visites. Il se sent toujours plus serein après avoir vu son visage, plus léger, moins coupable de l'avoir abandonné à l'autre bout du monde. 
"Puisqu'on parle des choses qui fâchent, vous allez m'offrir quoi cette année ?"
Normalement il n'engage pas avec elle, il la regarde, lui sourit parfois, l'écoute mais ne lui parle jamais au risque que quelqu'un l'entende ou le voit et qu'il ai à s'expliquer le pourquoi du comment il parle avec le sable, le vent et les pierres. Mais cette fois, c'est différent et il n'arrive pas à retenir son murmure. 
"Vous verrez bien."
"Allez soyez sympa, dites moi. Je le dirais à personne, je ferais même semblant d'être surprise."
Il se retient de rire. C'est devenu une tradition, tous les ans, à l'anniversaire de son arrivée, il offre un cadeau à Guenièvre, une offrande, qu'il pose quelque part caché dans le sable d'une dune où dans le creux d'un rocher près de la rivière. C'est un peu sa façon de se donner du courage et de la remercier, un écho réponse au cadeau qu'elle lui a fait au coin d'un feu au milieu de la neige.
"Non. Mais c'est quelque chose que vous aimez beaucoup."
Elle tape des mains avec excitation et il est à deux doigts de lever les yeux au ciel.
"Laissez-moi deviner... "
"Certainement pas."
"Quoi ! Pourquoi ?!"
"Parce que vous êtes dans ma tête donc vous allez tricher."
Son air outré est presque comique, la main sur le torse, la bouche ouverte et les sourcils levés le tromperait presque. 
"Depuis qu'on se connaît, est-ce que vous m'avez vu tricher un jour ?"
Il ouvre la bouche pour lui répondre quand il sent une main se poser sur son épaule. 
"Ah, te voilà."
"Damian !"
Arthur se lève d'un bon comme si le Sassanide l'avait pris en flagrant délit de vol. Le vieil homme regarde autour du plus jeune confus. 
"À qui tu parlais ?"
Arthur jette un œil dans la direction de Guenièvre mais elle a disparu. Avec un pincement au cœur (que leur conversation ait été si abruptement coupée), il balaye la question d'un revers de main. 
"Personne. Je réfléchissais à haute voix."
Il est soulagé quand Damian lui tend un petit paquet sans le presser plus que ça. 
"Tiens, je t'ai ramené ce que tu m'as demandé."
Le sourire d'Arthur est chaleureux, presque timide quand il reçoit le cadeau avec un petit merci. 
"Des complications pendant mon départ ?"
"Tu veux vraiment savoir maintenant ? Je te conseille une bonne nuit de sommeil avant d'écouter ce que j'ai à te dire."
L'air exaspéré de son contremaître lui dit tout ce qu'il a à savoir et le Sassanide éclate de rire. 
"Je t'avais prévenu pourtant, c'est toi qui a insisté. Bon tu me feras ton rapport demain alors. Bonne nuit Arthur."
"Bonne nuit Damian."
Arthur le regarde disparaître à l'abri d'une tenture avant de s'allonger pour observer les étoiles, son paquet posé sur son cœur et les bras derrière la tête. Avec un dernier regard sur les milliers d'étoiles scintillantes dans le voile bleu et noir du ciel, il soupir avant de murmurer avec émotion.
"Bonne nuit Guenièvre."
Il l'aime. Il l'a toujours aimé. Il n'a jamais pu se passer d'elle.
Il ferme les yeux et finit par s'endormir.
(Fin)
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sheisblackangel · 7 months
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Un article qu'il faut absolument lire !! Nathalie Valentine Legros qui a écrit ce bel article rend hommage à Alain Péters grand poète et musicien réunionnais qui a marqué son temps et son fidèle ami Marco Polot qui a été un pilier pour ce grand homme. Elle nous fait voyager dans leur vie passée et on s'y plonge facilement avec toutes ces anecdotes qu'elle nous partage ici ! Je l'ai trouvé formidable personnellement donc je le partage ! ❤️
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MARDI 22 AOÛT 2023 (Billet 3 / 4)
Et puisque nous sommes en période caniculaire, après la petite astuce pour renouveler ses glaçons plus rapidement, un petit gadget, testé par une personne digne de foi qui nous en a dit beaucoup de bien.
Le « VENTILATEUR DE COU »
Nous vous donnons ci-dessous ses caractéristiques, trouvées sur le Site marchand Amazon.
Il est sans lame, silencieux, avec un flux d’air à 360°. Il se présente sous la forme d’un « collier ventilateur ». Il est rechargeable USB et peut être utilisé au bureau, à votre domicile, en voyage ou en plein air.
(360 degrés) Contrairement à la conception traditionnelle, notre ventilateur USB a 48 sorties d’air et, avec le moteur turbochargé, vous fournit à 360 degrés un flux d’air silencieux et puissant.
(Conception sans lame) Le mini ventilateur est suspendu autour de votre cou, laissant vos mains libres. La conception sans lame vous permet de ne plus vous inquiéter d’emmêler vos cheveux et le rend sans danger pour les enfants et les animaux domestiques. Les trois vitesses réglables vous permettent d’ajuster le flux d’air au niveau souhaité.
(Mode) Ce ventilateur de cou est fabriqué en silicone léger, souple, doux pour la peau et flexible. Vous pouvez donc facilement ajuster la bande en fonction de vos besoins. Il s’agit d’un tour de cou tendance et élégant que vous pouvez porter lorsque vous voyagez ; son style vous donne un air très cool.
(Batterie longue durée) Le ventilateur portable est équipé d’une batterie rechargeable intégrée de 1800 mAh et d’un port de charge USB. Avec une charge complète, le ventilateur rechargeable durera environ six heures, vous offrant un air frais constant.
(Restez au frais partout et à tout moment) Ce collier ventilateur est un parfait compagnon d’été que vous pouvez utiliser pendant un exercice physique, pendant que vous cuisinez, lors de vos tâches ménagères, d’une activité sport, en voyage, à tout moment et partout où vous en avez besoin.
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(En fouillant un peu sur le Site, vous pouvez trouver des articles analogues un peu moins chers et il existe une version avec piles, moins coûteuse, à 12,99€)
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Noté 4,1 sur 1726 avis
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matthias-songbook · 1 year
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Model/Actriz : curieuses créatures
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Rampant depuis les égouts poisseux de la nouvelle scène new-yorkaise, Model/Actriz vient de frapper un grand coup avec Dogsbody, un des albums de l’année - et on est qu’en mars, c’est dire
Jolie rédemption pour le label True Panther Records : après avoir permis aux albums de Girls d’exister, le voilà à publier un autre disque, surprise personnelle de l’année. Bien loin des plages dorées de son San Francisco natal, le label est allé plonger les pattes dans les profondeurs crasseuses de Brooklyn pour y pêcher Model/Actriz, un jeune quatuor formé par Cole Haden (chant), Jack Wetmore (guitare), Ruben Radlauer (batterie) et Aaron Shapiro (basse). Après la petite claque Bambara il y a quelques années (le groupe venait de l’état de Géorgie, mais s’était formé à Brooklyn), il semblerait que le célèbre quartier new-yorkais cultive un joli vivier de guitares stridentes et de voix torturées.
Parce que Model/Actriz ne néglige pas ses origines : cette voix, traînante parfois à l’excès, évoquera forcément celle de James Murphy - surtout quand le groupe se permettra des rythmiques qu’on ose à peine qualifier de « dansantes » vu la teneur de l’album dans sa globalité, comme sur « Crossing Guard », un single en trompe-l’œil qui laisse à peine percevoir l’horizon des événements au fond du trou noir que constitue Dogsbody.
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Guitares en forme de lame de rasoir, cadences folles qui rappelleront les vraies folies de Gilla Band, voire quelques émois technoïdes façon Nine Inch Nails, ou pourquoi pas Takkyu Ishino (pour ce que j’en sais) : Dogsbody est une machine à laver en plein cycle de séchage, qui vous invite cordialement à considérer le tambour battant à tout rompre comme votre potentiel oreiller. C’est un disque parfois difficile, qui a presque fauché les charmes que j’avais trouvé à « Crossing Guard », mais qui n’en reste pas moins impressionnant pour quiconque prendra la peine d’écouter quelques fois (cocasse, de la part de quelqu’un qui ne se fie qu’aux premières écoutes tant il ne sait jamais où donner de la tête).
Le disque regorge de contrepoints, de trouvailles stylistiques qui, si elles ne sont pas vierges d’influences, provoquent un écho rare dans la musique. Comme si certains passages devenaient des machines à voyager dans le temps de poche, une capsule dans laquelle on resterait figés pour mieux observer un vieux souvenir dans ses moindres détails. Un peu comme ces étranges accords à la fin de « Crossing Guard » (définitivement la porte d’entrée du groupe, même si ce n’est que le troisième morceau de l’album), un truc beau et dissonant, la lumière aveuglante du jour à la sortie d’une trop longue soirée dans une boîte sordide qui a lessivé le corps et l’esprit. Ces accords, ils m’ont ramené devant la petite maison d’un ami d’enfance, à l’été, pendant qu’on fêtait l’anniversaire de son père dans leur garage neuf aux briques grises apparentes. J’y étais, sans que je me l’explique.
En outre (il en fallait), quelques éléments timidement qualifiés de pop viennent apporter un peu de douceur aux quelques soldats restés accrochés aux fils barbelés de l’album : « Divers », qui cloture la première moitié, et la magnifique « Sun In », qui laissent filtrer quelques rayons de la golden hour californienne après une nuit à avoir bravé la mort noire de quelques quartiers craignos.
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Écouter Model/Actriz :
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profenscene · 2 years
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Mardi 30 août
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Hey ! Vous allez bien ? À quoi ont ressemblé ces mois d'été ?
Voilà quelques jours que je redeviens Monsieur Samovar. Comme tous les ans, ma persona de prof s'est remise à émerger, un peu comme une créature lovecraftienne, des profondeurs. Et j'ai recommencé à réfléchir davantage à mes progressions annuelles qu'à ma prochaine lecture, moins à comment battre ce boss optionnel de mon jeu vidéo d'été (Xenoblade 3, je vous conseille), et davantage comment établir un programme de boulot efficace.
Elle n'est pas toujours simple, cette cohabitation. Parfois, j'envie le côté organisé de Monsieur Samovar, à d'autres moments, j'aimerais avoir l'insouciance d'H. La rentrée, ce moment où les fragments se réagencent.
Heureusement, le métier de prof laisse peu de place à la dolence. Dès demain, il faudra repartir en scène. À nouveau découvrir les murs que l'on occupera durant dix mois, à nouveau déchiffrer des visages. Découvrir la géographie humaine de cette terra incognita qu'est une nouvelle affectation.
Et se demander, aussi, quel prof on sera, cette année. Mon arrivée en Bretagne m'a fait cette surprise : dans chaque établissement, j'ai eu, bien entendu, des expériences différentes, mais j'ai également été des personnes différentes. Le prof de lycée de Gallia n'avait pas grand-chose à voir avec celui qui enseignait au collège Hoshido. Demain, au collège d'Alrest, j'ai hâte de découvrir celui que je serai. C'est très narcissique, mais passionnant.
Redevenir prof : parce que chaque année je le redis, et chaque année ça reste vrai. Impression de repartir du début. De ne plus rien savoir. Toutes les années vécues, toute l'expérience accumulée est là. Mais silencieuse, comme si tout cela appartenait à une autre vie.
Dans un jeu de Tarot de Marseille, les arcanes majeures représentent les différentes étapes du voyage du premier personnage représenté, Le Mat. Et une fois qu'il a parcouru les vingt-deux lames, il meurt. Pour renaître, à nouveau ignorant, et pourtant riche de ses expériences. Même s'il l'ignore.
C'est donc reparti pour un tirage de Tarot scolaire.
Bonne rentrée, à tous à toutes celles et ceux qui la vivront.
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shalomelohim · 1 month
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La Parachah : « Peqoudey » (fonctions / inventaires)
Pensée
« Qodesh L-YHVH » consacré à YHVH
Appartenir au Père, être mis à part pour le service. Tel était le signe apposé sur le front du Grand Sacrificateur Aharon. Gravé sur une lame d’or qui servait de diadème.
Nous imaginons de quel honneur sont ainsi marqués tous ceux qui dans le Messie Yahshua ont reçu de suivre l’Agneau partout où IL va ! Quelle gloire !
Mais soyons aussi conscient de la signification de « Partout où IL va ».
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Lectures Parachah : Chémoth / Exode 38:21 à fin du livre Haftarah : Mélakhiym A / I Rois 7:13-26 ; 40-50 Bérith Hadachah : Miphaloth / Actes 4:32 à 5:5
Rappel Les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yahshua.
Résumé de la parachah Les éléments du Tabernacle décrits dans la parachah précédente font ici l’objet d’un bilan comptable. La description de l’ouvrage reprend, en s’intéressant cette fois aux vêtements sacerdotaux dont le très significatif habit du grand sacrificateur.
L’ouvrage demandé est enfin prêt. Le tout est remis à Moshéh qui en fait le contrôle. Il installe l’ensemble et administre les onctions, offrande et holocauste.
La seconde année après la sortie d’Égypte, le premier jour du premier mois, tout est prêt.
La présence d’Élohim se manifeste alors par une nuée glorieuse qui couvre la tente. Cette manifestation de la présence ne les quittera pas pendant les quarante années de leur voyage dans le désert.
Ici s’achève le livre de Chémoth-Exode.
Le compte est bon
« Voici ce que donneront tous ceux qui passeront par le dénombrement, un demi–sicle, selon le sicle du sanctuaire, à vingt guéras le sicle, un demi–sicle en offrande à YHWH. » (Exode 30:13)
Le stock de métal d’argent, qui servit à confectionner les 100 socles de soutènement et tous les crochets et les tringles, était issu de la contribution obligatoire conséquente au recensement du peuple. 603 550 hommes de plus de vingt ans donnèrent chacun un demi-sicle de « Késeph » : de l’argent.
Un demi-sicle ou un « béqa » pesait 5,7 grammes.
Le compte s’élevait alors à 603 550 x ½ sicle = 301 775 sicles d’argent (1 sicle vaut 11,4 grammes).
L’autre unité utilisée à cette époque était le talent. Le talent valait 3000 sicles.
Les 301 775 sicles valaient bien : 100 talents avec lesquels furent confectionnés les 100 socles de la tente. Le reste des 1 775 sicles fut utilisé pour les petits accessoires : crochets et tringles.
Où l’intérêt de savoir cela se situe-t-il ? Un premier point est que tout ce qui supporte la tente et maintient les éléments entre eux est directement représentatif de l’ensemble du peuple.
Pas un Hébreu ne peut s’y soustraire.
Symboliquement, tout le peuple recensé est contributif à la cohésion de « la demeure d’Élohim parmi eux ».  Tous sont, en la circonstance, importants aux yeux de notre Élohim.  Notre Seigneur nous appelle tous à apporter notre personne et de plus à donner de notre coeur « généreux » pour constituer Son Temple, Temple vivant en Yahshua.
En second lieu, notons que le recensement du peuple, qui n’a lieu que dans des circonstances spéciales, conforte la plausibilité des dimensions, longueurs et poids, du tabernacle dans le désert, mais corrobore aussi le nombre d’Israélites recensés.
Moshéh a réellement conduit un peuple dont le nombre d’hommes de plus de vingt ans était de 603 550 ! Si nous y ajoutons jeunes de moins de vingt ans, et jeunes filles et femmes, ce nombre se multiplierait au moins par 3.
Un troisième aspect met en relation le recensement précédant la construction du Tabernacle avec le dernier recensement décrit dans la Parole : celui d’Apocalypse 7.
« Ne nuisez pas à la terre, ni à la mer, ni aux arbres, jusqu’à ce que nous ayons scellé au front les esclaves de notre Élohim. Et j’entendis le nombre de ceux qui étaient scellés, cent quarante quatre mille scellés de toute tribu des fils d’Israël. » (Apocalypse 7:3-4)
144 000 est le résultat de 12 tribus x 12 000. Ce qui se propose aussi comme 12 x 12 x 1000.
Nous retrouvons toujours en Apocalypse une relation directe à cet ultime recensement, précédent non pas une marche dans le désert mais le combat avant le Royaume.
« Et la cité est bâtie en carré, et sa longueur est aussi grande que sa largeur. Et il mesura la cité avec le roseau, jusqu’à douze mille stades, sa longueur et sa largeur, et sa hauteur étaient égales. Et il mesura sa muraille, cent quarante quatre coudées, mesure d’homme, c’est-à-dire d’ange. » (Apocalypse 21:16-17)
La cité : 12 000 x 12 000 x 12 000, la muraille 144 soit 12 x 12.
Nous constatons que la « Jérusalem céleste » est, tant en muraille qu’en corps, dans les mêmes expressions numériques que le recensement des 144 000.
Tout comme le tabernacle du désert était une relation au recensement du peuple.
Les noms des 12 tribus sont des portes surmontées de 12 anges, les noms des 12 disciples du Messie sont les fondements. La muraille est dimensionnée dans cette relation 144 = 12 x 12.
Quant à la cité, qui est ici explicitement désignée comme l’Epouse, elle EST la demeure d’Élohim et de l’Agneau en Souffle et en Vérité.
Depuis le désert, rien n’a changé, car notre Père est invariable, IL est le même hier, aujourd’hui et demain. Il veut notre présence et tout notre coeur. S’il en est ainsi, par la grâce de Yahshua notre Seigneur et Agneau d’Élohim, personne ne se perdra car nous sommes tous comptés dans Sa présence.
Nous aurons part à Son Temple de Vie. Car Son ordre est toujours :
« Vivez, car Je Suis le Vivant ».
Les vêtements de lumière
Après le bilan comptable, le texte s’intéresse à l’habit du Grand prêtre - Kohen Gadol - ainsi qu’aux vêtements des prêtres. La description semble ne pas être comprise dans le bilan, tout comme les lévites étaient recensés séparément du peuple.
Une remarque essentielle au sujet de l’éphod, du pectoral, des grenades et de l’écharpe, est que leurs nuances sont identiques aux couleurs citées pour la tente : violet, pourpre, cramoisi et le blanc du fin lin, soit pour simplifier : bleu intense, rouge sombre, rouge éclatant, blanc.
Le Grand sacrificateur s’annonçait ainsi partie intégrante du sanctuaire, il était véritablement l’organe central actif et vivant de l’ensemble, seul en capacité de pénétrer dans la partie la plus sacrée. Nous pourrions dire que l’ensemble lui ressemblait, qu’il était de la même nature, comme nous pourrions dire réciproquement qu’il ressemblait à son environnement. Le tout était en somme cohérent, comme le sanctuaire céleste l’est.
La marque de cette identité particulière passait par l’expression colorée relative au céleste, à la royauté, au sang de l’Alliance, à la pureté.
L’extrême valeur de l’habit ainsi connoté était marquée par l’entrefilage d’or, le métal de lumière.
« Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde. » (Jean 9:5)
Effectivement, Celui qui venait du Père des cieux (le bleu) était Roi (pourpre), Grand sacrificateur et Agneau (rouge), exempt de tout péché car entièrement conforme à la Torah (blanc).
Il est la lumière qui rend visible les choses qui étaient jusqu’alors restées ou vues dans l’ombre.
Bien évidemment l’image du Kohen Gadol d’Exode nous renvoie immédiatement à Celui qui est Le Grand sacrificateur pour l’éternité : Yahshua.
*** Yahshua est venu aussi pour rendre possible la construction du Tabernacle de Vérité et de Souffle, Tabernacle ou Temple fait d’éléments vivants que sont Ses disciples rendus aptes à cette gloire par la réconciliation en Son sacrifice unique et définitif. ***
Les tuniques blanches des sacrificateurs
« Et ils firent les tuniques de fin coton en ouvrage de tisserand, pour Aharon et pour ses fils. » (Exode 39:27)
« Après ces choses, je vis, et voici, une grande foule que personne ne pouvait dénombrer, de toute nation et tribus et peuples et langues, se tenant devant le trône et devant l’Agneau, vêtus de longues robes blanches et ayant des palmes dans leurs mains. Et ils crient à haute voix, disant, Le salut est à notre Élohim qui est assis sur le trône, et à l’Agneau. » (Apocalypse 7:9-10)
« Et ils chantent un cantique nouveau, disant, Tu es digne de prendre le livre, et d’en ouvrir les sceaux ; car tu as été immolé, et tu as acheté pour Élohim par ton sang, de toute tribu, et langue, et peuple, et nation ; et tu les as faits rois et sacrificateurs pour notre Élohim, et ils régneront sur la terre. » (Apocalypse 5:9-10)
Étonnante relation et infinie miséricorde de notre Élohim et Père, par le sacrifice de Son Agneau.
Yahshua, le Kohen Gadol, revêtira des hommes de tous peuples, de toutes nations, de toutes tribus, de toutes langues, d’un habit de pureté, de la tunique blanche des sacrificateurs.
Dorénavant la prophétie annonçant un nouveau peuple de sacrificateurs sera réalité.
Les pierres des épaulettes et du pectoral
Par deux fois les noms des tribus d’Israël sont gravés sur des pierres précieuses que le Grand Sacrificateur portera.
Sur ses épaules, six à droite, six à gauche, de façon équilibrée à la manière des monts Gérizim et Ebal, le Kohen Gadol portera la charge d’Israël, les douze noms du tout Israël apparaissant sur deux pierres de même nature, de l’onyx.
Mais d’une manière beaucoup plus différenciée et individualisée, il les portera sur le coeur. Une pierre précieuse différente pour chaque tribu sera enchâssée sur le pectoral.
Ainsi notre Grand Sacrificateur, Yahshua, nous a porté et nous porte tous indistinctement sur Ses épaules, mais Il nous porte tous distinctement sur Son coeur !
Et tous, Il nous mène jusque dans le Saint des saints.
Croyons-nous cela ? Nous sommes à ses yeux, chacun, une pierre blanche et précieuse, sur laquelle IL grave notre nom en Lui.
« Qui a des oreilles, qu’il entende ce que le souffle dit aux qéhiylloth. Au vainqueur je donnerai la manne cachée, je lui donnerai une pierre blanche, et sur la pierre, un nom nouveau que nul ne connaît sauf qui le reçoit. » (Apocalypse 2:17)
Dans le sacerdoce aharonique, le Tabernacle, les habits sacerdotaux, le culte, etc. témoignent dans leurs moindres détails, parlent et prophétisent de l’action et de la personne du Mashiah.
Lui, le Grand Sacrificateur pour toujours fut l’objet et le centre même de l’ensemble des instructions données à Moshéh sur le Sinaï.
Le diadème sacré
Fait d’une lame d’or pur, ce diadème portait l’inscription Qodésh l-YHWH, c'est-à-dire : consacré à YHWH.
Aharon le Kohen Gadol était ainsi consacré au service de YHWH ; il signifiait que le Kohen Gadol à venir était et serait pleinement consacré à YHWH.
Que pouvons-nous penser du sceau invisible aux hommes, mais visible dans le monde supérieur, que les serviteurs d’Élohim porteront au front ?
Que penser du sceau que porteront tous ceux que le Seigneur Yahshua n’a pas honte d’appeler « ses frères » ? Sinon que ce sceau soit une sorte de marque qui dira :
« Ne touchez pas à celui-là, à ceux-là, car ils sont « Qodesh l-YHWH ».
« Attendez, pour malmener la terre et la mer et les arbres, que nous ayons marqué au front les serviteurs de notre Élohim. » (Apocalypse 7:3)
Shanah tovah ! Au premier de l’an
« Et YHWH parla à Moshéh, disant, Au premier mois, le premier jour du mois, tu dresseras le tabernacle de la tente de la rencontre. Tu y placeras …” » (Exode 40:1 et suivants)
Le premier jour de l’année est ici expressément défini : le premier jour du premier mois.
Que se passa-t-il ? Quel fut l’évènement marquant par son importance le 1er de l’an de la deuxième année de la sortie d’Égypte ?
Un évènement extrêmement important dans l’Histoire d’Israël : l’assemblage du Mishkan, les premières mises en service des éléments, les premiers holocaustes.
Moshéh avait achevé l’ouvrage, alors une nuée couvrit la tente et remplit le tabernacle.
Souvenons-nous, si nous avons pris l’habitude de nous bénir les uns les autres d’un « shanah tovah » le 1er aviv, que cette date n’est pas anodine, et qu’elle fut l’occasion d’un évènement glorieux.
Si ce premier jour du premier mois, le 1er aviv, a une connotation de l’achèvement de cette oeuvre sublime, oeuvre chargée de symboles et de puissance, que se passera-t-il lorsque le dernier de ceux qui sont appelés à constituer le Temple de Son Corps sera « rentré » ?
Le Temple fait de pierres vivantes sera alors « complet ». Ce sera lorsque le Maître de l’oeuvre aura mené à bien tout ce que le Père Lui a demandé à ce sujet.
« Et après ces choses je vis, et le temple du tabernacle du témoignage dans le ciel fut ouvert. Et les sept anges qui avaient les sept plaies sortirent du temple, vêtus d’un lin pur et éclatant, et ceints sur leurs poitrines de ceintures d’or (…) Et le temple fut rempli de la fumée qui procédait de la gloire d’Élohim et de sa puissance ; et personne ne pouvait entrer dans le temple, jusqu’à ce que les sept plaies des sept anges fussent consommées. » (Apocalypse 15:5-8 )
La nuée marque la présence d’Élohim dans Sa demeure.
Sa sainteté et Sa puissance se révèlent ainsi étonnamment dans la nuée, où il est difficile d’entrer.
Toutefois…
« Et il vint une nuée qui les couvrit, et il vint de la nuée une voix, Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le. » (Marc 9:7)
Shabbat Shalom vé-shavoua tov
Source : Juda & Ephraïm
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razroys · 2 months
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Quel est le meilleur rasoir pour crâne ?
La Liberté d'un Crâne Rasé : Mon Voyage avec RAZROYS
Hey Tumblr,
Je viens partager avec vous une partie assez intime de mon évolution personnelle : ma décision de me raser la tête. Ce n'était pas juste une envie de changer de look. C'était une quête de liberté, de simplicité, et, étrangement, de découverte de soi. Et pour ce voyage, RAZROYS a été mon fidèle compagnon.
La Révolution de la Simplicité : Avec RAZROYS, chaque rasage est devenu une expérience zen. La facilité et la rapidité du processus m'ont libéré des chaînes d'une routine capillaire contraignante. C'est comme si chaque matin, j'optais pour la simplicité incarnée.
Un Nouveau Reflet dans le Miroir : Le premier rasage a été révélateur. RAZROYS a glissé sur mon crâne, laissant derrière lui une surface lisse et une sensation de renouveau. Ce reflet, c'était moi, mais plus audacieux, plus pur. C'était une affirmation de confiance, sculptée par la précision d'un rasoir pensé pour ce moment exact.
Bien-être et Hygiène : Les bienfaits ne se sont pas arrêtés à l'esthétique. L'absence de pellicules, la diminution des irritations du cuir chevelu... RAZROYS, avec sa conception ergonomique et ses lames douces, a rendu chaque rasage synonyme de soin et de respect de ma peau.
Économies et Durabilité : Se tourner vers RAZROYS, c'est aussi embrasser une vision économique et durable du soin personnel. Finies les visites incessantes chez le coiffeur, finis les produits capillaires onéreux. Ce rasoir n'est pas seulement un objet ; c'est un style de vie.
Facilité d'Entretien : Et si je vous disais que prendre soin de mon RAZROYS est aussi satisfaisant que de l'utiliser ? Son entretien simple et rapide est le dernier pilier de cette expérience révolutionnaire.
Tumblr, se raser la tête avec RAZROYS, c'est choisir de vivre selon ses propres termes. C'est dire oui à la liberté, à la confiance, et à un avenir où chaque jour est un peu plus léger, un peu plus simple.
Est-ce que certains d'entre vous ont franchi le cap ? Partagez vos histoires !
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500kmacheval · 3 months
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Premières Livraisons
L’aménagement et les travaux de la maison de Laboulfy Haute (la nouvelle maison de Tim) ont commencé: un premier voyage – avec le van – de gros meubles, un deuxième voyage le 27 décembre avec 1,5 tonne de lames de bois pour refaire le sol du balcon, et des plans de travail pour la cuisine (et un radiateur à bain d’huile pour chauffer un peu!). Réveil brutal la nuit précédente: les lames mesurent…
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unjourdemai · 5 months
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Je ne peux pas l'arrêter, tellement addictif..
Nos temps chauds ont soudainement perdu leur éclat. Au milieu du flottement, cela a été empiété dans mon esprit, et maintenant nous discutons des raisons de chacun. Je suis une chose appelée amour. Peu importe la quantité d’eau que je bois, je me sens sec. Je n'ai pas de date limite pour le sentiment amoureux. Même si j'y retourne, je répète la même erreur.. Confusion entre honnêteté et mensonge. Je t'aimais mais la fin est la même que les autres. J'ai l'impression d'être dans un train sans fin. Le vent que toi et moi avons ressenti s'endort. Le soleil qui me fait me sentir béni pendant un instant. Tes yeux sont soudainement engloutis par les vagues. Du givre se forme dans mon cœur froid et même si je l'efface, il réapparaît rapidement. On sait maintenant où se trouve ce qui a été promis.. Ça devient une bulle et disparaît, loin de mes yeux. Nos temps sont à nouveau vides, ouais. J'ai commencé avec un roman et maintenant
J'ai écrit un poème en écrivant le dernier chapitre.
Le contenu des mémoires sera discuté plus tard.
Au fond d'un court paragraphe d'adieu la tristesse et la nouveauté décorent encore ça. Au rythme écrit du bout de mes doigts (Pleurer toute la journée) 🥀
Dans le labyrinthe complexe des émotions, l'amour se dresse parfois en tant que paradoxe, un doux poison qui étreint le cœur. Les sentiments, à la fois exaltants et déchirants, tissent une toile où la joie danse avec la douleur.
L'amour, ce voyage tumultueux, peut être un baume apaisant autant qu'une lame acérée. Les moments de bonheur éblouissant se mêlent aux instants de tristesse profonde, créant une symphonie émotionnelle qui défie toute logique. Parfois, c'est dans l'éclat d'un sourire que réside la douleur la plus vive, comme une étoile filante qui brille intensément avant de s'éteindre.
Les contradictions de l'amour se reflètent dans le fait que le même lien qui unit peut aussi déchirer. Les promesses murmurées se transforment parfois en échos douloureux, et les émotions tendres peuvent évoluer en tourbillons de confusion. C'est dans ces méandres que l'amour se révèle, à la fois réconfortant et déroutant, porteur d'une douce mélancolie. Les sentiments qui font mal ne sont pas seulement les blessures apparentes, mais aussi les cicatrices invisibles gravées dans l'âme. L'amour, avec ses nuances complexes, enseigne que la vulnérabilité est à la fois notre force et notre faiblesse. Dans ce paradoxe, les cœurs s'ouvrent et se referment, comme des livres dont chaque chapitre dévoile une nouvelle facette de cette aventure captivante. Ainsi, l'amour persiste en tant que toile de contradictions, où la beauté et la douleur dansent en tandem. Un voyage où la sérénité et la souffrance se tiennent main dans la main, révélant la richesse insondable des émotions humaines.
« La chanson "Contradicting" de HYUNJIN dépeint la nature confuse et contradictoire de l'amour ainsi que son impact émotionnel sur un individu. Les paroles expriment la frustration du chanteur et son incapacité à comprendre pourquoi l'amour peut être si contradictoire. Dans le refrain, la répétition de la phrase "Pourquoi l'amour est-il si contradictoire ?" met en évidence la confusion et l'étonnement du chanteur face à la nature imprévisible de l'amour. La qualité addictive de l'amour est également soulignée, suggérant que même s'il peut causer de la douleur et de la confusion, le chanteur trouve difficile de lâcher prise. Dans le premier couplet, les paroles reflètent la perte de chaleur et de bonheur dans la relation. Avec le temps, le chanteur ressent un déclin de son état mental, car l'amour commence à éroder ses pensées et ses émotions. Les paroles expriment un sentiment de nostalgie et une incapacité à lâcher prise, même si l'amour semble sec et insatisfaisant. Le deuxième couplet continue à explorer les complexités de l'amour. La comparaison avec un voyage en train sans fin et sans destination évoque un sentiment de désorientation et d'incertitude. Les paroles décrivent la disparition de l'affection, la froideur dans le cœur et les erreurs répétées dans le cycle de l'amour. Le chanteur réfléchit aux promesses qui ont été faites mais qui se sont maintenant transformées en paroles vides, disparaissant comme des bulles. Le désir de revenir au passé et le vide ressenti dans le présent sont des thèmes importants.
Tout au long de la chanson, il y a une juxtaposition entre la tristesse et les nouveaux départs. Les paroles dépeignent un mélange de nostalgie et du désir d'avancer. Le chanteur explore la profondeur de la tristesse et la beauté trouvée dans la douleur. La répétition de "Juste disparaître" et "Juste s'éloigner" illustre le besoin de se détacher et d'échapper aux émotions contradictoires » †
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talesofmillenia · 6 months
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Fil Rouge (Boussole) : il s'agit d'un individu sillonnant le pays à la recherche des morceaux manquants de son sabre fragmenté.
Introduction (Carte - Open World ) : à la suite de la cinématique d'introduction, le héros est situé dans une ville au centre d'une carte. Quelle direction prendre pour commencer ? Liberté totale = la galère totale ! Les fragments sont aux 8 coins du monde, formant un cercle. Premier choix définitif : aller vers le nord-est plutôt qu'au sud ? ou allez à l'est plutôt qu'au sud-est ? Et ensuite ? Voyager dans le sens des aiguilles d'une montre ou dans le sens contraire ?!
Game-play (Arbre de Compétence) : à chaque fois qu'il croisera un fragment, cela signifiera surtout qu'il croisera un possesseur, quelqu'un qu'il va devoir affronter. Et + le temps passera et + ces derniers deviendront méga-puissants ! Chaque fragment de la lame qu'il récupèrera lui permettra de reconstituer sa lame et acquérir de nouvelles techniques : épée luminescente pendant quelques secondes, bouclier-parapluie, fléau de feu, ou bien encore une forteresse avec des canons.
Conscience : A cause de son fil rouge qu'il doit réussir avant un compte à rebours, c'est quelqu'un de préoccupé et d'occupé. Il tente de faire de son mieux pour réussir, misant autant sa force que son intelligence dans cette épreuve. C'est un homme qui n'aime pas l'immobilité, s'il reste coincé trop longtemps dans un même endroit sans avoir trouvé le moindre fragment, ça le rend évidemment grognon. Si vous le croisez le lendemain d'une victoire où il a récupéré un fragment, il sera probablement plus convivial. A cause de sa situation, c'est quelqu'un qui ne trouve le sommeil que quand il est méga fatigué, dormir est une énorme perte de temps ! Il devient de très mauvaise compagnie quand il doit se soigner et rester se reposer car il s'est blessé. Alors que d'ordinaire, c'est un être plutôt solitaire, il n'a pas vraiment le choix que d'aller se sociabiliser partout afin de collecter des informations sur ses précieux fragments.
Éducation : il a été un assez bon élève dès son entrée en institution, pour combler une soif d'apprendre et de mieux cerner le monde qui l'entourait, il s'adonnait à la lecture et l'analyse durant ses temps libres, puis a commencé assez tôt à rendre service en négociant quelques récompenses, barman et jardinier ont été ses premiers jobs, c'est suite à un pari qu'il a commencé l'escrime.
Malédiction : trois ans plus tôt, à cause d'un poison dans une bouteille de vin qu'il a consommé, il ne lui restait qu'un mois à vivre alors si la malédiction du rubis ne l'avait pas frappé une semaine plus tard, il serait mort depuis 3 ans. En acceptant la malédiction, il a obtenu du soin et donc du temps pour vivre et même si cela ne lui octroie pas une longue espérance de vie, car il y a visiblement un compte à rebours, c'est toujours mieux que rien ! Soit il réussit à rassembler tous les fragments de la lame et alors il se transformera en statue d'or (d'ailleurs ses yeux deviennent dorés quand il se bat avec l'épée) Soit, il échoue et il se transformera en statue de plomb. Dans les deux cas, il meurt mais au moins aura-t-il la satisfaction de se dire : en plomb ou en or, ça sera toujours mieux qu'en cendres… ou un cadavre en décomposition.
Quelques images provenant de jeux diverses (Genshin, Tales of Arise, Ys IX, Aion, Atelier Rysa, Trials of Mana)
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streampourvous · 7 months
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Lame de fond (1996)
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Regarder Lame de fond 1996 Film complet en streaming français VF et gratuit – White Squall (1996) Treize adolescents partent pour huit mois en mer à bord de « L’Albatros » commandé par le capitaine Sheldon, un aventurier prudent. Ce voyage va les transformer d’inconnus en amis, de rivaux en alliés, de garçons en hommes… Read the full article
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pdj-france · 9 months
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Image: Studios LarianBaldur's Gate 3 fait des efforts incroyables pour recréer l'expérience de jouer à Dungeons & Dragons, et l'une des meilleures façons de le faire est de vous permettre de faire partie d'un groupe hétéroclite d'aventuriers. durant votre voyage à travers Faerun, vous pouvez trouver et recruter plusieurs compagnons, chacun doté de capacités puissantes et de personnalités colorées, rendant votre voyage plus gérable et mémorable. Voici les emplacements et les classes de chaque compagnon recrutable dans Baldur's Gate 3. Tous les emplacements et classes de compagnons dans Baldur's Gate 3 Au moment d'rédiger ces lignes, nous avons trouvé huit compagnons recrutables dans Baldur's Gate 3. Vous pouvez sélectionner cinq de ces compagnons, connus sous le nom de personnages Origin, comme personnage jouable au début du jeu, tandis que les autres ne peuvent être recrutés que dans votre groupe. plus tard. Même si vous ne finissez pas par employer à peine un compagnon, les recruter offre des séries de quêtes uniques et des interactions sociales qui rendront votre aventure plus excitante. Chaque compagnon a une classe unique et une collection de capacités spéciales qui lui donnent un avantage dans certaines situations. Certains sont habiles avec une lame, tandis que d'autres sont des érudits compétents qui peuvent rapidement percer les mystères des arcanes ou offrir un aperçu des royaumes des dieux, des démons et des aberrations au-delà de Faerûn. Image de Lae'zel : L'attaque du fanboyClasse : Combattant Emplacement, le Nautiloïde, au nord des falaises en bordure de route Guerrière Githyanki qui valorise la force et le devoir par-dessus tout, Lae'zel est la première compagne que vous rencontrez dans Baldur's Gate 3 (si vous ne nous incluez pas, le dévoreur d'intellect). Bien que sa nature froide et conflictuelle vieillit un peu après Pendant un certain temps, sa durabilité et ses capacités offensives en font une excellente alliée en début de partie, et la voir baisser lentement sa garde émotionnelle alors qu'elle se réchauffe pour le reste de la fête est exceptionnellement charmante. Vous rencontrez Lae'zel pour la première fois en quittant la deuxième salle du Nautiloid, mais vous serez tous les deux séparés une fois que le navire s'écrasera. Vous pouvez la retrouver juste au nord du Waypoint dans Roadside Cliffs, prise dans un piège à cage tendu par deux chasseurs Teifling et désireuse d'obtenir de l'aide. Il suffit de tuer ou d'effrayer les Tiefligns et de détruire le fond de sa cage avec une attaque à distance pour qu'elle la rejoigne. Image Shadowheart: L'attaque du fanboy Classe : Clerc (secteur de la ruse) Lieu : Le Nautiloïde, Ravaged Beach Clerc fourbe demi-elfe de la déesse Shar, Shadowheart est rapidement devenu l'un des compagnons les plus populaires de Baldur's Gate 3. Une femme mystérieuse mais compatissante qui apprécie le subterfuge ludique mais méprise la violence inutile, la vaste collection de sorts de guérison et de soutien de Shadowheart la rend une véritable aubaine au bataille. En plus de cela, son sens de l'humour plein d'esprit et sa quête personnelle chargée d'intrigues font d'elle l'un des personnages les plus mémorables du jeu. Shadowheart est rencontré pour la première fois sur le Nautiloid, emprisonné dans un pod Mind-Flayer. Elle vous rejoindra une fois que vous l'aurez délivrée en trouvant la rune Eldritch ou en déverrouillant sa cellule par des moyens arcaniques ou voyous. Après l'accident, vous pouvez la retrouver assommée sur la plage près de chez vous, ce qui en fait le membre "officiel" de la première partie que vous pouvez recruter. Image astarienne : l'attaque du fanboyClasse : Voleur Lieu : Plage ravagée Un voleur haut-elfique qui préfère garder ses intentions et ses poignards cachés, Astarian est un autre candidat au titre de compagnon très convoité de Baldur's Gate 3. Une âme pragmatique et parfois impitoyable qui préfère garder ses amis et ses ennemis à portée de poignard, la capacité
d'Astarian à se faufiler, crocheter des serrures et lancer des attaques furtives mortelles fait de lui un atout inestimable au bataille et hors bataille. C'est aussi un vampire que vous pouvez poursuivre de manière romantique, pour tout ce que cela vaut. Astarian se trouve à l'est de l'épave du Nautilioïde, prétendant avoir acculé un Intellect Devourer hostile, seulement pour tirer un couteau sur vous. Toutefois, une fois qu'il devient clair que vous n'êtes pas un Thrall of the Mind-Flayers, il rengaine sa lame et accepte de vous rejoindre aussi longtemps que vos intérêts et son alignement. En relation: Comment créer des membres de groupe personnalisés dans Baldur's Gate 3 (BG3) Image de Gale : L'attaque du fanboyClasse : Assistant Emplacement : Waypoint des falaises en bordure de route Un sorcier humain au cœur bienveillant et un enthousiasme sans fond pour tout ce qui touche à la magie, Gale est l'un des membres les plus sympathiques de la distribution principale de Baldur's Gate 3. Alors que son manque de défense puisse le faire tomber rapidement, son arsenal massif de sorts peut inverser le cours de la bataille et offre de nombreuses solutions créatives aux énigmes et aux situations sociales. Si cela ne suffit pas pour vous influencer, son scénario est parmi les plus engageants du jeu, ajoutant une touche bienvenue de mystère arcanique au récit. Gale se trouve au nord du Nautiloid écrasé sur Ravaged Beach, piégé dans un vortex tourbillonnant d'énergie arcanique créé par un sort de téléportation bâclé qu'il a essayé d'employer pour s'échapper du navire. Une fois que vous lui aurez donné un coup de main, il rejoindra votre groupe et vous présentera le système de voyage rapide de Baldur's Gate 3. Wyll Image: L'attaque du fanboy Classe : Le sorcier démoniaque Lieu : Druid Grove Aussi connu sous le nom de Lame de la frontière, Wyll est un héros fringant archétypal qui a échangé son âme contre des pouvoirs démoniaques qu'il utilise pour chasser les innombrables monstres qui s'attaquent aux impuissants. Avec une quantité décente de compétences martiales et un petit mais efficace pool de sorts offensifs, Wyll est l'un des compagnons les plus complets de Baldur's Gate 3 en matière de bataille, et sa forte boussole morale fait de lui un excellent confident pour tout bien. -personnage de joueur aligné. Wyll se joindra à vous dans la bataille contre les maraudeurs gobelins à l'extérieur des portes d'Emerald Grove. Une fois que vous avez détruit la horde, vous pouvez trouver Wyll enseignant aux jeunes réfugiés Teifling comment se battre avec des épées, et il vous rejoindra si vous lui offrez une place dans la fête. Image de Halsin : Studios LarianClasse : Druide Lieu : Camp gobelin Druide elfe des bois et premier druide du Groove d'émeraude, la disparition soudaine de Halsin est la force motrice du premier conflit important que vous rencontrez dans Baldur's Gate 3. Une figure imposante dont le attitude amical cache un puits profond de fureur juste qu'il n'a pas peur à se déchaîner sur ceux qui mettent en danger la nature et des vies innocentes, la grande sagesse et la capacité de forme sauvage de Halsin en font un allié observateur et non conventionnel. Pour recruter Halsin, vous devez vous aventurer dans les profondeurs du camp gobelin et le libérer des enclos des worgs. Une fois libre, il vous demandera de l'aider à détruire le camp gobelin et à tuer les trois chefs responsables de sa récente montée en puissance. Une fois que la menace pesant sur sa maison aura été éliminée, Halsin vous proposera avec gratitude de vous rejoindre. En relation: Baldur's Gate 3 Voice Actor Cast List pour chaque personnage principal Image Minthara : L'attaque du fanboyClasse : Paladin Emplacement : Sanctuaire Brisé Drow impitoyable qui a juré sa vie à la mystérieuse déesse connue sous le nom d'Absolute, Minthara est une guerrière rusée qui agit comme l'un des trois chefs des gobelins menaçant le bosquet d'émeraude. Bien que les nombreux joueurs la combattront
et la tueront certainement, recruter cet instrument vivant fanatique de la colère divine est possible si vous vous embauchez à emprunter un chemin plus méchant. Pour recruter Minthara, vous devez vous lier d'amitié avec les gobelins sur lesquels elle règne et les aider à détruire le bosquet d'émeraude et les Hellrider Tieflings. Une fois le bosquet et les Teiflings éliminés, elle acceptera de vous accompagner dans votre voyage, remplaçant des compagnons qui, malheureusement mais naturellement, se sépareront de vous après cette atrocité. Image de Karlach : L'attaque du fanboy Classe : Barbare Lieu : Le village en ruine Un barbare Tiefling…
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raimeiha · 9 months
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坂本 たつき - Sakamoto Tatsuki
22 ans || 21 mars Mesure 1 mètre 64
Humaine || A- || Kusari Ordre des Démons Impériaux || Armée Démoniaque Impériale du Japon || Colonelle de l'armée principale de Shibuya
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Sakamoto Tatsuki est une colonelle de l'armée démoniaque impériale du Japon. Elle est la cheffe de la famille Sakamoto, une famille prestigieuse sous les ordres des Hiragi, depuis ses 14 ans.
C'est une personne méfiante, qui reste toujours sur ses gardes tant qu'elle n'est pas sûre d'être dans un lieu parfaitement sûr. Elle apprécie la lecture et souhaiterait voyager pour découvrir le monde quand les vampires auront disparu une bonne fois pour toute.
Sur le champ de bataille, elle préfère rester discrète et analyser la situation avant de passer à l'attaque. Elle profite de la distance ainsi que de l'éventail de possibilités que lui offre son arme démoniaque pour surprendre ses adversaires. Elle entretient, d'ailleurs, une surprenante relation de confiance avec son démon.
Bien qu'elle n'en ait pas l'air à première vue, en raison de son apparence soignée et de son calme, elle est une stratège hors pair qui n'hésiterait pas à remettre en question les décisions de ses supérieurs si elle les estime trop dangereuses. Elle est aussi une personne de confiance qui ne trahirait les siens pour rien au monde.
Fille unique des Sakamoto, elle a été éduquée très tôt pour prendre la relève en tant que cheffe de famille. Confrontée plus tôt que prévu à toutes les responsabilités que ce rôle engendre en devenant orpheline avec l'arrivée du virus, elle a continué son éducation seule en se plongeant dans des livres de politique, d'histoire, d'économie, ... qui traînaient dans la bibliothèque de l'armée. Un peu fleur bleue, elle apprécie aussi grandement les romans à l'eau de rose.
Tatsuki voue un grand respect et beaucoup d'admiration à Kureto, bien que derrière cela, se cache une attirance pour ce dernier. Elle arrive néanmoins à faire la part des choses, refusant de mélanger travail et vie privée, pour se concentrer sur l'anéantissement des vampires plutôt que sur ses sentiments.
Deux années seulement après l'arrivée du virus, elle a perdu ses plus proches amis qui formaient son escouade lors d'une mission dont elle-même n'est pas sortie indemne. Blessée gravement et laissée pour morte par le seul vampire noble qu'il restait après un combat acharné, elle s'est juré de l'éliminer de ses propres mains. Elle souhaite également offrir aux générations future une vie plus tranquille en aidant à l'élimination de ces créatures sanguinaires.
Tatsuki possède une longue chevelure noire régulièrement relevée en une queue de cheval, avec une frange coupée au-dessus de ses yeux azurs et quelques mèches encadrant son visage fin. Du haut de son mètre soixante-quatre, elle a de jolies courbes qui se dissimulent bien sous son uniforme. Elle a également une cicatrice laissée par la lame d'une épée entre ses deux omoplates.
Étant donné qu'elle aime garder une apparence soignée, elle a pour habitude d'arranger ses vêtements et ses cheveux quand elle en a l'occasion afin de rester présentable. Elle ne quitte presque jamais son uniforme et garde toujours son arme démonique, Kusari, à portée de main.
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鎖 - Kusari
Kusari est l'arme démoniaque de Tatsuki. Il est de type manifestation et fait partie de la série des démons noirs. Il y a bien longtemps, il a été scellé dans un katana noir décoré d'une fine bande violette sur le côté non-tranchant de la lame. La tsuka est en cuir tressé noir et rouge.
Le démon scellé dans cette arme a l'apparence d'un jeune homme ayant de courts cheveux argentés et des yeux couleur sang. Comme tous ses compères de l'époque, il a des oreilles pointues qu'il ne peut dissimuler sous sa chevelure. Des chaînes sont enroulées autour de ses bras musclés à découvert.
Il est vêtu de vêtements assez modernes, comme s'il avait laissé tomber son ancien accoutrement : une chemise noire aux manches déchirées et un pantalon de la même couleur. Sa chemise est déboutonnée suffisamment pour rendre son torse musclé visible.
Il semblerait qu'il ait assez mauvais caractère, mais il apprécie grandement son hôte pour diverses raisons.
Une fois appelé par son hôte, Kusari se manifeste sous la forme de chaînes aux extrémités pointues et tranchantes. L'une de ses attaques phares consiste à relâcher, via ses chaînes, une substance semblable à du sang de démon dans le corps de ses victimes. Cette substance agit comme un poison corrosif et détruit la cible de l'intérieur en lui infligeant une douleur insupportable.
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• Recherche :
- Hiragi Kureto → Son supérieur, mais aussi l’homme qu’elle aime secrètement. Partageant les mêmes desseins et Tatsuki prouvant sans cesse ses valeurs, Kureto pourrait bien lui confier une nouvelle mission périlleuse... à ses côtés. Les rapprochements se feraient naturellement, au fil du temps passé ensemble, des catastrophes évitées en coopérant.
• Je peux accepter des jeux avec Hiragi Shinya si le contexte me plaît, mais je ne souhaite aucune romance entre eux.
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