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#jouant
federer7 · 2 years
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Enfants jouant à la guerre et équipés de masques à gaz. Londres, 30 juillet 1935
Photo: TopFoto
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spottys-rathole · 1 year
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"On a fait un truc de couple une fois ça a pas marché du tout, je sais plus on est parti en voyage dans un pays... Zlan, et ça a été une catastrophe, mon pote"
Queue le fandom qui découvre qu'il existe un village en Autriche qui s'appelle Zlan
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innervoiceartblog · 9 months
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Antoine Auguste Ernest Hébert, "Muse en dalmatique jouant de la harpe" ("Muse Playing the Harp")
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tr4nsvesdyke · 3 months
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why is it that everything fun brings immense amounts of pain
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blueiskewl · 1 year
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Max Ernst Le roi jouant avec la reine
Signed 'Max Ernst' (on the front). Bronze with brown patina. Height: 39 1/2 in. (100.5 cm.). Conceived in 1944 and cast in 1953-1961.
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a-room-of-my-own · 11 months
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Est-ce que Mélenchon pourrait prendre sa retraite svp?
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hikarinokusari · 2 years
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FFXIV Writes - #6 Onerous
[Masterlist] — [About FFXIV Writes]
ENTRY #006 - “ONEROUS” - 1776 mots
Inspiration : “Onerous” ou “Pénible” 
Résumé :  Ou comment une promesse faite sous l'emprise de l’alcool conduit Spectral à apprendre l'étiquette Ishgardaise malgré lui.
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         Spectral referma la couverture de cuir du petit carnet et releva ses yeux orangés vers le visage de son hôte. Qu’attendait-il de lui exactement ? Une critique ? Pauvre poète : le Miqo’te ne savait pas quoi dire à propos de sa lecture. La mélodie des mots n’évoquait en lui qu’un silence profond,  parfois un calme paisible qui ne saurait être troublé par des impressions laissées à haute-voix. Le lancier ne savait pas comment exprimer la sensation apaisante qu’avaient fait naître en lui les vers qu’il venait de lire, aussi se contenta-t-il de sourire légèrement à l’auteur piétinant d’impatience devant lui.
“ Et dans l’aube naissante,
Les hirondelles dansent à nouveau. “
-       “ C’est poétique.”
Poétique, un commentaire riche de sens lorsqu’on devait laisser une impression sur une poésie. Le jeune homme se fustigea intérieurement, regrettant son manque d’éloquence alors qu’en face de lui l’écrivain l’enjoignait silencieusement à poursuivre sa critique.
Seulement voilà quel était le cœur du problème pour Spectral. Sa critique tenait en ces trois mots : il trouvait le texte poétique.
Ni plus.
Ni moins.
Alors qu’allait-il pouvoir dire d’autre, face à cet Elézéen si habile avec le verbe ? Le reste de son commentaire n’aurait été que paroles superflues pour recouvrir le cœur de sa pensée, qu’il venait de partager il y avait de cela quelques secondes à peine. Il venait de passer un moment agréable en compagnie des mots qui rendaient ce texte plaisant, et Spectral crut bon de rajouter à ses impressions sa gratitude pour avoir pu vivre un instant de pause morale entre les différentes pensées qui occupaient son esprit jour après jour :
-       “Merci.”
         Quand la dernière syllabe résonna dans le salon Ishgardais inhabituellement calme, Spectral se rendit compte que dire simplement “merci” n’était pas forcément ce qu’on attendait de lui en cet instant. Ses oreilles s’abaissèrent légèrement et ses joues chauffèrent lorsqu’il sentit sur lui les regards mi- amusés, mi- surpris du reste du cercle auquel il avait été convié. Une main rassurante se posa sur les épaules tendues de l’aventurier, et l’hôte de la soirée pris la parole :
-       “ Il est évident que ton texte a tant plu à Messire Daar’jen qu’il en perd ses mots, Avoirel.” L’Elézéen s’autorisa une œillade vers le Miqo’te tandis que le reste des invités riaient à la remarque légère qui venait d’être faite. “ Ton lyrisme a été suffisamment efficace pour ne pas nous faire oublier ton talent de poète que même un étranger a su reconnaître. Toi qui prétends que la poésie n’est pas un art accessible aux autres peuples d’Eorzéa, tu as réussi l’impossible en charmant notre visiteur.”
Les doigts gantés du tenant du salon pressèrent plus fort l’épaule du Miqo’te qui allait rétorquer face aux propos qui venaient de le qualifier de barbare illétré. Spectral se ravisa donc, la mâchoire serrée, ses oreilles couchées vers le sol.
Depuis quelques semaines, les Fortemps - ou plutôt le Comte de Fortemps - s’évertuaient à le traîner dans la cité de pierre pour des raisons futiles. Le lancier leur avait répété maintes et maintes fois que l’enceinte close des villes lui déplaisait et qu’il ne voyait aucun intérêt à s’enfermer dans les bâtisses froides d’Ishgard alors que le dehors enneigé du Coerthas l’appelait irrémédiablement.
Il faut nouer des contacts. Te faire des relations. Etoffer son réseau.
 Autant de synonymes qu’on lui donnait, lorsqu’il demandait d’un ton agacé pourquoi il devait accompagner “Edmond” ou son fils cadet dans les salons de noble des après-midis entiers pendant que les soldats du Camp qui l’accueillait défendaient leur bastion contre les engeances de Niddhog.
Spectral n’y voyait là aucun intérêt : la chasse était sa mission depuis sa naissance et il se satisfaisait de ce que les proies qu’il abattait avaient à lui à offrir. Peau, graisse, viande. Le jeune lancier n’avait que faire d’apprendre à connaître ceux qui le mandateraient pour éradiquer une cible sans se soucier de savoir si son élimination était utile ou justifiée par le bien commun. Tuer pour satisfaire les lubies de nobles engoncés dans des habits de fourrure ne revêtait aucun intérêt. Il ne comptait même pas travailler pour quelqu’un d’autre que lui-même ; mais chasser pour vivre et vivre de sa chasse sans en faire commerce était apparemment condamné par cette bande de nouilles aux grandes oreilles.
Odin seul plaçait sur sa route les cibles qu’il devait défaire, et toutes les pièces clinquantes des élézéens ne changeraient pas cela de sitôt. Il avait refusé de mettre les pieds dans le repaire du Clan Centurio pour cette raison - jusqu’à ce qu’Haurchefant, dans une de ses rares soirées de libres ne l’y invite.
Et lui, bête comme il était quand il était en compagnie de son ami, avait accepté de passer la soirée dans ce tr… cette taverne puante d’alcool, pour boire “un verre seulement” et “apprécier la beauté de la ville séculaire baignée par la lumière du soir et des étoiles”. 
Adouci en présence du chevalier, il avait accepté de se promener dans une cité où il n’était la bienvenue que par la grâce du nom Fortemps, éméché par l’alcool et excité par la soirée passé en bonne compagnie. Son cœur rendu léger de tous soucis par la boisson et l’amusement nocturne, il avait fini par céder à l’élézéen en acceptant “ Dès le lendemain même !” de rencontrer quelques dignitaires d’Ishgard en compagnie de son père. “ Pour agir en toute légalité, gagner en autonomie et garnir son carnet d’adresses de contacts intéressants et utiles à ses activités futures.” comme son ami avait dit.
Ce à quoi, il avait bêtement opiné du chef avant de poursuivre sa tranquille promenade jusqu’au manoir du Comte où ils avaient été conviés jusqu’au matin.
Cerné par les élézéens parfumés dans ce petit salon, Spectral se demandait quelle chigoe avait bien pu le piquer ce soir là. Le lendemain même, comme promis, il s’était retrouvé réveillé de bon matin par le personnel du Comte à son plus grand désespoir. Ils avaient commencé par le tirer du lit quelques heures à peine après qu’il se soit effondré sur un matelas. Haurchefant était déjà reparti était déjà reparti faire un rapport à ses supérieurs sur les tensions qui s’aggravaient aux Cadenas et l’avait alors laissé seul aux mains de ses bourreaux protocolaires. Le Chevalier se souvenait-il seulement de cette promesse idiote ? Spectral avait des doutes.    
On l’avait réveillé, lui, à l’heure où il dormait d’ordinaire. Pour quoi ? Pour une leçon sur l’étiquette de bon matin. Jusque dans l’après-midi, où ils avaient enchaîné sur d’autres explications sur la Sainte-Cité et son peuple. A la meilleure heure de sa sieste. Lui dormait la journée – il le leur avait dit – mais il lui faudrait apprendre à vivre au rythme urbain s’il voulait être accepté. Il n’en avait rien à faire mais il ne savait comment, Edmond avait appris qu’il avait promis faire des efforts à son fils.
Ils ne lâchèrent pas l’affaire et il n’arrivait pas à se dégager de son obligation.
Les semaines, les mois avaient passés, sans qu’on le laisse repartir vagabonder au-dehors de la ville. Combien de fois il s’était ravisé de s’échapper de la cité de pierre, pour ne pas causer du tort à celui qui l’hébergeait malgré les règles strictes qui faisaient loi ici. Ils s’étaient engagés à amener le « soldat étranger qui combat les dragons », « le chasseur de dragon miqo’te » et il ne souhaitait pas les mettre dans l’embarras en disparaissant à la faveur de la nuit pour rallier le camp de son ami.
Des mois à être éduqué pour plaire à la société snobinarde ishgardaise. Pour être autorisé à rentrer dans un cercle qu’il dédaignait, et autorisé à exercer ses activités de chasse qu’il menait jusqu’alors sans problèmes. Il n’en avait vraiment rien à faire.
Stupide ville. Stupides lois. Stupides règles.
Des mois à vivre au rythme désastreux du Comte, à se réveiller lorsque l’heure venait pour lui de s’endormir, à apprendre les bonnes manières, quel couvert prendre lorsqu’une certaine viande était servie, quelle cuiller utiliser puisqu’apparemment la soupe nécessitait plusieurs cuillers, quelle posture adopter pour perdre son identité de chasseur au profit de celle, plus noble, d’invité de la grande maison Fortemps.
Stupide élézéens. Stupide protocole.
Stupide Haurchefant qui avait sûrement vendu la mèche. Lui ou un autre, lorsqu'ils avaient annoncé sa grande résolution à tous les employés Fortemps et membres de la famille qu'ils avaient croisés -ou réveillés - avant d'aller se coucher.
Tout ça pour qu’il se retrouve, exposé et mis à nu face à cette assemblée. A commenter des textes lyriques qui lui cassait les oreilles, à feindre l’intérêt pour leurs problèmes idiots. Qui avait partagé sa couche et avec qui, qui avait commis des actes d’hérésie, quelle réforme avait pris l’Archevêque, qui s’était assis à côté de qui lors de l’office dans la Sainte- Cathédrale.
Problèmes de société futiles. Il n’avait pas ce genre de conversation dans le camp d’Haurchefant. Leurs seuls problèmes tournaient autour des mouvements de dragon, des créatures qui rôdaient dans le Coerthas, l’état des chocobos qui souffraient du froid autant que les hommes, des transports de nourriture et de troupe. Les choses importantes en somme.
D’un regard ennuyé, Spectral fixa son hôte, dans une supplique imperceptible de mettre fin à ce festival de frivolités qui se déroulait depuis des heures maintenant. Halone ait pitié de lui, il ne fallait qu’un seul mot de la part de ces gens pour qu’il puisse enfin courir le Coerthas et chasser sans n’être plus embêté par l’Eglise ou par les gardes.
Un laisser-passer officiel de la noblesse, plutôt que la couverture apportée comme soldat non officiel du camp du dragon, puisqu’il se refusait à officier comme Chasseur du Clan Centurio et ne voulait pas rejoindre la compagnie de mercenaires d’Edmont.  
Halone ait pitié.
Combien de petits gâteaux allait-il devoir goûter, combien de poèmes et d’insultes allait-il devoir endurer, combien de « je peux toucher ? » curieux envers son physique félin et de « Oh que c’est amusant » allait-il devoir entendre pour obtenir l’approbation des nobles et être libéré d’une promesse avinée ?
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flashbic · 9 days
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Moi, qui s'amuse encore à brainstormer la rencontre entre Cartouche et le Lorrain: hehehehehehehe pickpocket
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lolochaponnay · 2 months
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En jouant sur un chantier avec ses copains, un gamin s'est fait renverser accidentellement un fût de goudron sur lui. De peur de se faire disputer, il a tardé à rentrer à la maison, et le goudron a figé et durci. Sa maman l'emmène aux urgences. Le toubib réfléchit quelques minutes, puis il essaie d'arracher des plaques de goudron, en vain. Il teste plusieurs dissolvants, sans plus de résultat. Alors, il dit à la maman : - Déshabillez-vous entièrement, madame. Puis, vous vous allongerez sur le lit, derrière ce paravent! - Mais...Je ne comprends pas...Ce n'est pas moi le patient! - Non, mais dans un cas aussi compliqué, ça ira plus vite d'en faire un autre que de nettoyer celui-là!
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chourzahi · 2 years
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Chicago Visage de Chicago
La Crown Fountain est une œuvre d'art urbain interactive et une sculpture numérique implantée au milieu du Millennium Park à Chicago (Illinois, États-Unis).
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Léon Comerre (1850-1916) "Pierrot jouant de la mandoline" ("Pierrot playing the mandolin") (1884) Oil on canvas Academicism
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federer7 · 2 years
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Enfants jouant, vers 1950
Photo: Roger-Viollet
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laclefdescoeurs · 5 months
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Tigre jouant avec une tortue, 1862, Eugène Delacroix
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beatricecenci · 3 months
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Charles-Amable Lenoir (French, 1860-1926)
Une jeune femme jouant de l’aulos
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soeurdelune · 14 days
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rappel amical que
c'est OK si en jouant un personnage pour la première fois tu ne saches pas encore tout de sa vie ou personnalité dans le moindre détail
c'est OK de tâtonner un peu jusqu'à trouver tes marques
c'est OK d'écrire des répliques ou des réactions un peu "out of character" au début
c'est OK de ne pas tout de suite avoir une idée fixée de l'arc/évolution que tu souhaites emprunter pour ton personnage
c'est OK de continuer à développer ton personnage un an, deux ans, dix ans après sa création
c'est OK! prends ton temps, explore, amuse-toi, ne laisse personne te dire que ta manière d'interpréter un personnage n'est pas valide
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random-brushstrokes · 9 months
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Gustave Bettinger - Chatons jouant avec des perles (n.d.)
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