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#conte de fées
lepetitdragonvert · 7 months
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“Heim der Jugend” — Ein Jahrbuch für Kinder und Eltern
1905
Berlin
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lejournalfaitmain · 3 months
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La Belle et la Bête, réalisé par Jean Cocteau, 1946, France
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Le petit dragon 🐉
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Layana était en train d’observer le petit dragon aux larges écailles vertes bleutées avec beaucoup de curiosité lorsque celui-ci sembla vouloir lui dire quelque-chose…
Quelque-chose d’important où serait-ce plutôt l’œuvre de son imagination fertile qui lui jouait encore des tours ? Quoi qu’il en soit elle le saurait bien assez tôt…
Pour l’heure, totalement hypnotisée par cet être des plus étrange et fascinant, elle continuait à l’examiner sur toutes les coutures sans éprouver la moindre peur…
D’ailleurs, elle finit même par oser tendre sa main pour lui caresser le dessus de la tête tout en espérant qu’à cet approche, il ne tenterait pas de s’enfuir.
Mais non, il ne détala pas et sembla même apprécier ce contact inopiné qu’il n’avait sans nul doute encore jamais connu de sa vie…
Layana se félicita d’avoir osé ce petit geste qui pourrait peut-être créer plus tard un lien de confiance entre elle et lui…
Mais quel étrange hasard tout de même de s’être retrouvée nez à nez face à cet animal et plus particulièrement aujourd’hui, un certain Vendredi 13 dans cette immense forêt de pins odorants. Une forêt qu’elle appréciait tant, très éloignée de la ville tumultueuse où elle habitait un petit appartement qu’elle n’hésitait jamais à la moindre occasion à s’en échapper pour venir ici, seule, se ressourcer, se vider la tête…
Car oui, elle adorait plus que tout s’aventurer ici, sac à dos sur le dos, explorant alors infatigablement toute cette magnifique et luxuriante nature qui l’entourait.
Et comme le hasard fait toujours bien les choses, elle était même tombée sur cet étrange animal, ce petit dragon aux écailles toutes vertes bleutées…
Il fallait croire que la chance tournait enfin en sa faveur !
Et dire qu’elle avait déjà imaginé ce genre de rencontre insolite mais uniquement dans ses rêves d’enfant, pas dans la réalité et encore moins aujourd’hui, à l’âge qu’elle avait…
Et là, tout devenait soudainement bien réel…
De quoi halluciner ! Mais pour combien de temps le rêve durerait ? Enfin, s’il s’agissait bien d’un rêve et non d’un cauchemar…
****
Si vous souhaitez lire la suite de cette histoire, il vous suffit de cliquer sur ce lien :
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bizarreauhavre · 1 year
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A Midsummer Night’s Dream (1935), Max Reinhardt, William Dieterle.
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bookoftale-rpg · 6 months
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Book of Tale RPG
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mots clés : gangs ; inspiration personnage de conte ; rpg city ; familles fondatrices; ville fictive ; moodboard
Castletale, pays fictif situé entre la France, l’Italie et la Suisse, dans les hauteurs, avec des paysages à couper le souffle. Ici, pas de buildings, mais une terre digne des contes de fées. L'herbe est luxuriante, le lac semble briller de mille feux. Un endroit paisible, du moins, en apparence. Qu’ils soient là depuis des générations ou qu’ils viennent seulement d’arriver, les habitants ont tous une histoire qu’on pourrait comparer à un conte, que chacun a pu lire dans sa jeunesse. À la seule différence que leur histoire personnelle, ont un côté beaucoup plus sombre pour la plupart. Le côté incroyable de cet endroit peut vous tromper. Des gangs ont installé leurs affaires dans le pays, ce qui n'est pas de tout repos pour le conseil des Fondateurs ainsi que les forces de police, qui tentent de faire tomber les deux plus gros gangs de la ville.
Et vous, quelle sera votre histoire, arriverez-vous à donner à votre personnage une belle histoire ? Ou au contraire détruire tout son environnement ?
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caffeacolazione · 2 years
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la principessa sul pisello
la princesse et le petit pois
the princess and the pea
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persephone-enamored · 2 years
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youtube
By ©️ sophiE D. S. wright - alias MâOphélie
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Jamais (jour 24)
Les mèches de mes boucles blondes se détachent avec souplesse de ma tête. Elle s'accrochent sur les fleurs entremêlées de la robe beige que je porte et d'autres atteignent le sol. Je sens le noeud qui s'est formé au creux de mon estomac se dénouer tout doucement, à mesure de l'avancée de la coupe. Je me débarrasse de cette longue chevelure parfaite qui fait toute ma féminité, selon eux. Ma famille, mes proches, les étrangers, ceux qui portent sur moi leurs regards pleins de jugement. Ils sont si courts, quasi inexistants. Je contemple mon crâne tel que je n'ai jamais pu l'observer auparavant. C'est donc à ça que je peux ressembler. Défaisant lentement ma robe, je la laisse retomber au sol avec les mèches qui s'y sont greffées. J'en sors et je fonce sous la douche, j'arrange le tout. Je me débarrasse du superflu, je finalise pour le grand final. Une fois séchée, je fonce enfiler la robe aux tons rubis scintillant dans la nuit. J'ai envie de jeter au feu cette soit disant part de féminité dont je me suis débarrassée et cette foutue robe beige. Je ne suis pas une petite brebis égarée dont il faut s'occuper afin de mieux la jeter dans la gueule du loup. Adapte-toi, sinon tu finiras vieille fille, mon enfant. Adapte-toi, où tu crèveras ma fille. Mais le petit animal fragile et blessé n'abrite pas que cette facette de sa personnalité et de son existence toute entière. Je contemple le reflet de la femme au crâne rasé et à la robe sombre, couleur sang. Je suis les griffes de la nuit, le vampire assoiffé, le loup qui va vous dévorer. Je suis le petit animal mignon et la bête sauvage. Je suis les deux faces d'une même pièce. Je vais mettre votre monde sans dessus dessous. Lorsque j'en aurai fini avec cette petite mascarade qui dure depuis des siècles, vous serez tous à mes pieds. Echec et mat. La reine l'emporte. Cheveux longs ou courts. Vêtue de blanc ou de noir. Habillée ou dévêtue. Grande ou petite. Puissante et fragile. Sensible et forte. Je suis le héros et le méchant de ma propre histoire. Je peux tout affronter, je vaincrai tout ce que je désire. Je suis inarêtable. Je suis à la fois une Toujours et une Jamais. La protagoniste de ma propre histoire. Ce conte, c'est vous contre moi, après que j'ai vaincu ce que j'avais à combattre en moi-même. Alors moi, je n'ai peur de rien. Je sais que cette fin heureuse, je l'aurai. Quant à vous, cependant... je ne peux rien garantir.
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bossygifs · 9 months
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L'Odyssée d'Alice Tremblay: La Tromperie du Grand Méchant Loup
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culturefrancaise · 7 months
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youtube
J'ai retrouvé l'histoire que j'écoutais en cassette audio quand j'étais petite !
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lepetitdragonvert · 7 months
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The Little Mermaid
Artist : Arthur Rackham
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22 / 01 / 2023
🇺🇸🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇺🇸🇬🇧
PERSONAL FICTIONAL STORY
Hello my dear readers! Today I am posting an interracial gay love story. The last one I did in this register was the one between T'Challa / The Black Panther and James Buchanan "Bucky" Barnes / the Winter Soldier of the MCU. It had a few hits, so hopefully this one will have more.
I wanted this story as a fairy tale, because I noticed that there were few or no gay fairy tale stories (some exist and are great, of course), and even less interracial stories. Here I imagined a prince charming thought of as a black African meeting a white European. The size difference is also at the heart of the story because I find it exciting and erotic.
The white hero is based on me, but maybe you will recognize yourself in it too.
I have included a drawing I've made that illustrates how I imagine the characters and the outfit they will wear during a scene in the story. Do not hesitate to tell me how you find my drawing.
This long story is a fiction, a fairy tale. I write less and less often but it's to have time to write long stories, but I'm aware that many readers are waiting for the fictions they asked me for. I take this opportunity to ask them once again to apologize for the delay.
I hope to have encouraging feedback for this fiction in any case. I wish you a good reading.
P. S. : it's possible that I write a sequel. I already have story for the following of it.
THE FAIRYTALE BLACK PRINCE CHARMING
CHAPTER 1 - THE KINGDOM OF UGHANIGERIA
Once upon a time, there was a prosperous kingdom named Oughaniger. This realm, where magic was allowed to do good, was vast, nurtured by rich and fertile land, despite a sometimes dry climate and the presence of deserts surrounding the realm. Wild jungles in the kingdom of Oughaniger also bordered the royal lands: one could find there all kinds of animal species, such as lions, zebras, elephants, giraffes,... This colorful fauna was unfortunately sometimes used for gifts to foreign rulers with the objective of concluding alliances.
The Oughaniger monarchy lasted for several centuries, wise, conquering and benevolent Kings and Queens had maintained the Moussa dynasty in power. The current monarch was King Aboubakar Moussa. Very tall and very muscular, he was impressive for his strong body, but also respected for his wisdom and intelligence, and feared for his authority. His main wife and Queen, Amina Bala, a strong, beautiful woman, was always elegant and respectful towards the people who serve her, in spite of a natural authority.
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The couple had several daughters and several sons. The Oughanigerian culture allowed princes and princesses to marry abroad or to govern provinces of the kingdom. Thus, it could happen that princes married abroad, and that Princesses governed provinces or even commanded armies. Thus, a girl could accede to the throne, and the kingdom had known powerful and revered queens.
The royal couple thus had Prince Kwabena as their heir. The kingdom adored the Crown Prince for so many reasons. He had a sparkling skin color, dark brown and at the same time radiant, which shone in the sun. He wore a black beard framing his face in a delicate and manly way.
Prince Kwabena was immensely tall, one of the tallest men in the kingdom. However, the kingdom was full of great black men, especially in the army. So, without being the most muscular of them, Kwabena was the better warrior. He had never lost a single battle, and poems to his glory were already crossing the borders of the kingdom. He was already a legend during his lifetime, having accomplished warlike exploits.
His strength also came from regular training, because Kwabena practiced hunting, hand-to-hand combat, gymnastics...
Despite his black skin, even white sovereigns accepted that they could marry their daughter. Although Ughanigerian rulers had previously entered into interracial marriages, the preservation of skin color was at the heart of the monarchy, as well as in the courts of white kingdoms.
In all the kingdoms, black and white people lived in harmony, but alas, fights sometimes emerged between the populations, like a bad memory of times past when people of different skin colors fought against each other. So whenever a political or economic problem arose, sometimes black people were blamed for it in white kingdoms, and white people were blamed in black kingdoms. Hence the importance of royal marriages or political alliances.
This is why the union of Prince Kwabena was at the heart of the discussions. Aged 26, he had taken no wife. While his brothers of marriageable age already had several wives of various skin colors, Kwabena remained celibate. If this gave the kingdom's maidens hope of one day becoming queen consort, it worried the government. In this magical land, finding love was a goal, but the princes had to comply with political rules.
However, Kwabena had brought back old books from his travels. His favorite readings were tales, those stories where a Prince found love easily. He dreamed of such a thing happening to him, and had refused the possible suitors.
As heir, he had to travel in the kingdom but also abroad: his father King Aboubakar always hoped that he would bring back a Princess with him, or in any case a promise of marriage. The royal succession worried the king who feared that his other warlike sons would divide the kingdom. Suffice to say that the monarchy was on the edge of the precipice and that the exacerbated romanticism of Prince Kwabena reinforced this fragile situation.
Nevertheless, it is with a heart full of hope that King Aboubakar let his first son leaves to discover the kingdom of Francalasia, one of the white kingdoms, known for its forests of fairies and trolls. Several fairy tales were believed to have taken place in this realm, and Kwabena dreamed of seeing firsthand the rich flora, culture, and architecture of the kingdom of Francalasia.
It was therefore accompanied by a large escort that he left for Francalasia, mounted on Asimwe, a proud and tall steed.
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CHAPTER 2 - THE KINGDOM OF FRANCALASIA
The Prince had left with a large retinue, made up in particular of soldiers dressed in furs and the skins of wild beasts, equipped with spears and swords. There were also dancers to enhance the heir to the throne's journey, authors to keep the memory of the Prince's journey alive, as well as cooks, valets, squires, bodyguards, and all that that personnel were needed for the comfort of the Prince. Although he was modest in his behavior as a Prince, Kwabena could never have traveled incognito.
After a long journey, crossing the desert, the Prince was welcomed at the border of Francalasia by a royal delegation which led him and his retinue to the pleasure castle of the sovereigns of this kingdom. This palace was located outside the capital, Parisilia, where foreign sovereigns were housed until their reception by the King Ludovicus and Queen Ameliade of Francalasia.
Before having to make his official entry as a foreign Prince, Kwabena wanted to see the kingdom and its capital by posing as a simple nobleman, so that people confide in him without fear of having to pay him the respect due to a member of royal family. He removed his traditional Ughanigerian outfit, made up of a large piece of colored fabric folded over the body, as well as his princely crown and his jewels, and chose an outfit from the clothes available to him. Dressed in black trousers tucked into brown leather boots reaching below the knees, Prince Kwabena wore a white shirt over which he put on a blue doublet embroidered with gold threads.
To complete his outfit, he had a colorful cape, with geometric patterns, which was borrowed from the Ughanigerian wardrobe brought with him. At his waist, a brown leather belt was used to hold a saber enclosed in a brown leather scabbard encrusted with precious stones and pearls.
Finally ready to leave, Prince Kwabena criss-crossed the roads on Asimwe, his faithful steed. Heading towards the Valley of the Fairies, that magical region of Francalasia. He had been gone for a few hours, arriving towards the capital, when he heard cries.
"Help!!!! Leave me alone!!! Please!!!!", the Prince could hear.
Heeding only his good heart and his courage, the valiant Kwabena galloped to the cries. On a deserted road, a cart was overturned, a donkey had been injured and was dying. Unfortunately, it was too late to save him. Moved by the fate of the animal, Kwabena knew that his master was not far away.
The cries rang out louder, and the Prince advanced into the forest, still mounted on his horse. He then saw a scene that cannot easily be described in mere words. A small, white-skinned, chestnut-haired young peasant, weak in appearance but obviously strong enough to run through the forest, was attacked by four much larger and more muscular men. One was white, another had an Asian profile, the third was black and the last had an oriental appearance.
The thieves wanted to seize the basket of the young peasant on the run, whose cart they had visibly overturned, mortally wounding his donkey. Alas, their cruelty had no limit and they had fun tormenting the poor peasant younger than them. He struggled and shouted, but that only pissed off the brigands.
Sensing the danger of the situation in which the frightened young man found himself, Prince Kwabena approached the assailants, took out his sword from its sheath and pointed it in the direction of the thieves who were holding the boy in order to prevent him from fleeing.
PRINCE KWABENA OF OUGHANIGERIA: "Gentlemen, I suggest that you release this peasant and leave now! If you refuse, I will be forced to use force. I don't think you will like it."
Instead of fearing the prince's obvious strength, the brigands laughed at him, pointing out that they were four in front of him. He challenged them to a duel, but they pointed out that he was too cowardly to face them unarmed.
Touched in his honor, and knowing his strength, Prince Kwabena took to fighting with the brigands. They had never seen a more skilful fighter: his stances were effective, his blows were fast and sharp, hitting where needed. Using his fists, he did not neglect to bring down his opponents with agile kicks. Two men attacked him, one of them was injured on the ground, and the third, the black man, picked up a stick behind him in order to knock him out. Having seen the scene, the young boy, although distraught, picked up a pebble and threw it at the head of the cowardly brigand, shouting to the Prince to be careful. The black brigand was shot in the head, and Kwabena understood the gesture of the young white peasant.
As the Asian man and the Oriental man fought against the Prince, the muscular black man went towards the peasant in order to get revenge for throwing a rock in his face. His fragile wrists were caught in one of the powerful hands of the menacing black man, who slapped him with the other in order to silence him.
Once the other two terrible assailants were defeated, Kwabena grabbed the man, fought against him. The fight was hard and long, the young white peasant feared the outcome of the fight but dared not leave, abandoning the man who had come to his rescue.
After a last fight against the black brigand, the Prince managed to scare them and his associates away. They ran without looking back. Victorious, the Prince was not unscathed because, in their cowardice, the thieves had taken out daggers, and a few blows had injured the Prince's arm. The young peasant approached Kwabena, touched his arm, and both felt a sensation of fullness, as if their skins were made for touching.
The peasant thanked Kwabena for his help and, seeing his savior's wound, went to look for wildflowers. He soaked a strip of fabric in a pond, placed the flowers in the fabric and wrapped it around the Prince's forearm. Kwabena was touched by the peasant's devotion.
PRINCE KWABENA: "Thank you. It's very pleasant. I would never have known what flowers to take to take away the pain."
The Prince's virile and gentle voice was very pleasant to listen to, reassuring and full of masculinity. The peasant looked at Kwabena with fear and tenderness.
"My name is Bello, and I thank you for your help. You saved my life, I owe you a debt."
PRINCE KWABENA: "No, not anymore, because you also saved my life. We are even. But I would like to help you. Your cart was overturned and your donkey died, I'm sorry. Can I help you to get somewhere?"
BELLO: "I used to go to the market in Parisilia, to sell the vegetables grown on my father's land. Finally, the field he cultivates. Pardon me, but what was a gentleman like you doing in full forest, unescorted?"
PRINCE KWABENA: "I am a foreigner wishing to discover the capital before doing so with those who accompany me."
BELLO: "If you deem me worthy of it, it would be an honor to make you discover this city. You can get lost there, you will see my Lord."
KWABENA: "I would be delighted. Let's go."
The Prince stood up : Bello was impressed by the beauty of his savior. He had never seen a man so tall, so muscular and so handsome. He had already met noblemen, black men, tall men, muscular men, and even men who were all of these things. But never had any of them had such an effect on Bello. He felt intimidated by the lord's tall build, glowing black skin, muscular build and embroidered garments. Above all, he saw the kindness in his eyes.
He, on the contrary, was small, skinny, and was wearing dirty rags.
Even though Bello, the peasant, was dressed in dusty, dirt-soaked rags torn by brigands, he was still cute. His skin was clear and soft, delicate features, light brown hair illuminated by the rays of the sun streaming through the trees. Although he was short in stature, he was quite attractive to Kwabena who was almost twice his height. Bello's head was level with the Prince's pecs, and the peasant was so thin that Kwabena was three times his size.
Kwabena had never seen a white boy so cute, sweet, and so eager to hug him. The two men came out of the forest and Kwabena offered to hitch the cart to his horse. Bello hid the corpse of his donkey under a blanket, and intended to bury or skin his donkey when he returned to his father's farm.
In the meantime, he had to go and sell the hay, wheat and vegetables harvested and cultivated by his father in his field.
He thought he was walking alongside Kwabena but the latter carried Bello to mount him on his proud white steed. The horse wore a brown leather saddle encrusted with precious stones and embroidered with gold threads. It was a sign of wealth and Bello felt unworthy to sit on it. However, Kwabena's kindness was so comforting that he felt confident. The very tall Kwabena came up in turn, and his torso was glued to Bello's head. He could feel the muscles of this sublime man, for he put an arm around his waist to prevent Bello, unaccustomed to riding a horse, from falling off the saddle.
Against his pretty little white ass, Bello then felt a bulky mass of cylindrical shape. He knew what it was but he preferred to act as if he hadn't felt anything. It was quite difficult as was the temptation to move his posterior to rub and enjoy the enlargement of the member behind him. Bello and the Prince rode to Parisilia, the capital of the kingdom of Francalasia.
On the way, they chatted quietly, laughing at each other's jokes. Bello, of a calm and discreet nature due to a difficult life, felt confident with this funny, handsome and courageous man, but also protective and strong.
They got to know each other, each of them being surprised to get along so well with a person who is not of his social class. The Prince confided in the pressure of his marriage, and Bello revealed to him his desire to see the world, to learn more about different cultures, in order to escape the misery of his daily life.
Having taught himself to read, Bello had become a public writer to earn more money: his job was to write letters for the illiterate. The peasant's astonishing erudition made him even more attractive to Kwabena. The two men discussed various topics, respecting each other's opinions.
However, beyond a mutual interest in each other, they were also attracted to each other's bodies: their arms were touching, and they gave the impression of having done this inadvertently, but both of them liked it.
The great tower of the royal palace indicated the imminent arrival of the capital, where the two men finally arrived.
In the streets of the capital, the sublime Black Prince was watched with admiration for his height, his presence and his musculature. The markets, shops and buildings impressed Kwabena, who came from an even richer and more prosperous kingdom, where the luxury of modernity blended with the naturalness of tradition. Kwabena managed to get the cart to the market square, where he helped Bello prepare the stall to sell his vegetables.
The kindness with which the kind, pale-skinned peasant responded to buyers compelled the admiration of the Prince, unaccustomed to work, even though he was on the other hand going to the army and its training. Another way of life was unfolding before his eyes. The costumes were different, the weapons too, as well as the hairstyles or the jewels. The discovery of this country was going to be interesting.
When Bello had finished selling his vegetables and wheat, he wished to offer part of his sale to the noble black gentleman who had so generously helped him. Touched by his kindness, the Prince Kwabena insisted that he keep his money and offered to accompany him.
On the way, they saw a poor man lying on the ground. He had one leg out of two, and limped, leaning on two wooden crutches ready to break. The worst was his disfigured face which gave him a filthy appearance: he had a humped back, another forehead bump covered his right eye. He was missing several teeth, and he was dressed in rags. The repulsive beggar approached the Prince, kissed his boots in respect and submission, and begged him to offer him some coins. Kwabena, in spite of the emotion he felt at the lame hunchback's misfortune, was ready to push him away in order to spare Bello the sight of this appallingly ugly being.
Now, Bello was more exposed than he thought to the misfortunes of the world. He saw the beggar, and descended from the princely mount in order to take out of his basket several vegetables which he had not sold, and offered him several coins from his purse. Then he showed the beggar the way to find his father's cottage so that he could come and have supper with them if he wanted to.
A smile lit up the face of the hideous being, and Bello, seeing the marks of blows on the beggar, on whom he had been struck. Immediately, he picked a few leaves and flowers which he knew had medicinal virtues, crushed them together in a pot which he had in the satchel attached to his waist. A greenish texture lay in the pot, which Bello offered to the cripple whose frightening ugliness made him want to cry, but whose sufferings made him want to help. He recommended that he apply the cream as soon as possible to the area where he had been injured.
Then, Bello and Kwabena left, greeted by the beggar with the ignoble physique. For fear of spoiling the atmosphere between them, Kwabena preferred not to talk about this meeting again.
Prince Kwabena let Bello guide him to the cottage where he lived with his father, a peasant tired from work in the fields. The Prince got acquainted with Bello's father, but felt embarrassed to be among these poor men when he was dressed in sumptuous clothes. Luckily he wasn't dressed in the opulent garb of his home country.
Be that as it may, the Prince was touched by the kindness of Bello's father, who thanked him for having helped his only son to sell their produce at the market in order to have enough money to buy meat, for example, in order to to stay healthy.
Prince Kwabena remembered that he was soon to make his triumphal entry as a distinguished guest in the kingdom's capital, so he left Bello with his father.
Before leaving, this giant black man took Bello's delicate little white hand in his very large palm and kissed it three times in a row, before giving him a brief bow. The touch of luscious lips on his soft hands caused Bello to feel an effect he had never felt before: desire. Then Kwabena put his hat back on and rode off. Bello was taken aback, because no one had ever kissed his hands. He would have liked to kiss Kwabena's, but Kwabena had already left.
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CHAPTER 3 - THE ROYAL BALL
When he returned to the castle which had been loaned to him to lodge his court before his entry into the capital, Kwabena dismissed his servants. They took the prince's boots to clean them. The future King began to caress the long and thick member between his thighs, for he kept dreaming of the fine and pure beauty of this very small white boy who had shown so much generosity. He still remembered the natural kindness he had shown towards the repulsive beggar.
Yet Kwabena knew he hadn't come to seduce a pretty little white boy, and had to put dynastic interests before his heart.
So he prepared for his entry into Parisilia, capital of the kingdom of Francalasia. His servants, four medium-sized, lightly muscled black boys, washed and dressed him. During the whole time of his washing and dressing, some musicians played his favorite music to keep him in a relaxed mood.
After his bubble bath and massage, the very tall Kwabena had his hair done and perfumed. Then, two servants stretched out on the ground and put on his long feet leather boots embroidered with gold threads and adorned with diamonds. The boots were open at the toes, and the servants had to lie on the ground to suck the Prince's toes one after another.
While he had his toes sucked by his two servants, Kwabena let his other two servants wrap the very large piece of colored fabric around him to form a robe. The very wide strip of silk fabric wraps at the waist before being folded over the left shoulder and forming a train down Kwabena's back, a train falling to the ground and trailing up to three meters behind the Prince.
The toe-suckers got up to help the prince wear his jewelry: ruby ​​earrings, gold necklaces embellished with sapphires and emeralds, gold bracelets adorned with diamonds, rings on each finger. ...
Meanwhile, the other two servants were pinning the robe so that the pieces of fabric would stay in place when Kwabena went to walk and mount and then dismount....
On his head, a turban adorned with diamonds and feathers completed his outfit, as well as a sword tucked into a gold and diamond scabbard, which had a decorative but above all symbolic function, recalling his countless victories in battle and his participation in many many battles he had always won. He was absolutely sublime, and the four servants knelt at the feet of their prince, which allowed them to hide the erection they had while admiring Kwabena's beauty.
Ultimately, it was time to leave. Kwabena mounted his horse Asimwe, followed by his bodyguards, six tall, muscular black men (though he was taller and more muscular than them), dressed in orange robes covered by a gold breastplate.
Followed by his court, his guards, his servants and treasures to offer to the rulers of Francalasia, Kwabena went to the capital, the way to which he had chosen after going there that very morning.
Throughout his journey, he was greeted and applauded by the peasants, the bourgeois (the nobles already in the palace with the royal family). He greeted with vigor and joy, grace and dignity, strength and virility, but his thoughts were turned to the very pretty white boy he hoped to have on his way.
Finally he arrived at the palace, a huge royal residence made up of towers and long walls adorned with windows and gold moldings.
Chamberlains led the Crown Prince of Oughanigeria to the throne room where King Ludovicus and Queen Ameliade were. Dressed in a very different fashion, the sovereigns greeted Kwabena gently. This black giant was truly the eye-catcher at court, the subject of all discussions. However, the Prince found that the King had only three daughters, his only son being 5 years old. The princesses were still teenagers, and the prince politely refused to even be engaged to a girl with whom he would have to wait several years before she could give birth.
The royal couple announced that a big ball was planned for a few days, where all the girls of different social classes were invited. The Prince would choose the one he wanted. This measure seemed surprising to Kwabena, but he did not wish to linger in this kingdom. Despite its beauty, this was the country of the boy he might never see again, and every minute he spent here reminded him of his mistake: not asking him his name, and not giving him his.
However, in the countryside, far from the hustle and bustle of the capital where everyone was preparing for the big royal ball, Bello was helping his father to cultivate their fields. Some days after his meeting with the tall black man he felt in love with, he tried to forget his feelings for the handsome stranger
His day ended, he went into the woods where his mother was buried near a large oak tree that was said to be magical.
His prayer on his mother's grave summoned a fairy, a man with a pair of white and blue wings on his back. He was dressed in a sparkling kimono, and a lace ruff and a sequined hood concealed the bump on the fay's back and the one on his face.
Immediately, Bello thought he recognized the lame man to whom he had offered money some days ago.
THE HUNCHBACK FAIRY: "I am indeed the hunchback you helped last week. I am actually a fairy rewarding good and generous people. After my death, I was transformed into a fairy to grant people's wishes good."
Bello had never thought that his action would earn him a recomposition, he had simply been touched by the misfortunes of this man rejected by society because of his ugliness.
THE HUNCHBACKED FÉ: "My magic power allows me to grant your dearest wish. A wish that you even suspect exists."
BELLO: "Thank you for this gesture. My dearest wish is to help my father out of poverty, so that we can start a new, more peaceful life."
The fairy waved his wand at Bello, and a shower of stars swirled around him. When the rain of magical sequins disappeared, Bello had his hair done with sequins in his hair, and was wearing a lovely outfit, consisting of a light blue doublet with puffy sleeves under a dark blue shirt. The doublet was worn over blue trousers covered by a very light blue sequined silk train, sewn to the bottom of the doublet. The outfit gave the impression of a dress but the pants gave Bello a masculine look.
BELLO: "Thank you fairygodfather! By reselling this sublime outfit I would have enough money to help my father!"
THE HUNCHBACK FÉ: "It's not money you need, but love. Love is more prosperous than money, because it will bring you strength and joy. You will see that love will also allow you to save your father from poverty, but that it is not with money that you will be happy, but with a specific person."
The wagon used to transport vegetables and wheat to market was transformed into a glittering carriage, and the new donkey became an elegant butler responsible for driving Bello to the royal reception.
After thanking the fairy, Bello got into the carriage and went to the palace. In order to add mystery to his person and fearing that it would be discovered that he was the peasant who delivered vegetables to the market, Bello cut off a piece of the curtain of the magic carriage, because he knew that the carriage would become a cart again in a few hours. The white cloth covered his eyes (allowing him to see, of course) and his nose.
Arrived at the ball without being announced because being part of the people, Bello mingled with the guests without having to greet the royal family. Bello ate a few dishes, and from afar admired the grace of the dancers, the softness of the music, the shimmering of the fabrics, the brilliant lights of the candles reflected by the crystals of the chandeliers... In a word, this ball was magical.
But he became even more so when the crowd saw the very tall Prince Kwabena approaching, who was two or three heads taller than the majority of the guests.
PRINCE KWABENA: "I noticed that you were alone. May I invite you to dance?"
Surprised that someone is addressing him, Bello turned, and, even before recognizing his handsome lover who saved his life some days ago, he plunged into a bow and lowered his head. His eyes saw the toes of a black man, and there was a diamond on each of the black man's ten toes.
Suddenly, a hand larger than the size of Bello's face reached out to the boy, and he grabbed it. His gaze lifted and met the sight of a huge bulge at the crotch.
When at last his face was raised to see who was facing him, he thought he saw a giant. He stood up and the biggest of smiles formed on his thin pink lips. The man was the mysterious noble he met in the morning. He was dressed in a sublime orange dress with green and yellow patterns, raised on the shoulder. The dress revealed a huge, muscular torso, arms thicker than Bello's waistline. A gold bracelet set with a ruby ​​adorned the protruding biceps of the black giant.
A very large golden crown adorned with rubies was placed on the sublime virile head of this very large black man. Yes, he was the man Bello met a few days earlier. Bello's thoughts raced through his head. Sincerely in love with this man whom he thought he would never see again, he was a foreign prince.
He led him to the center of the ballroom. They waltzed to the sound of the melodious waltz, while the guests sought to know the identity of the handsome stranger. Most wondered if the lucky guy dancing with the Prince was indeed a boy, as it seemed odd that Kwabena opened the ball on a boy's arm. Kwabena, who had had time to learn Francalasian dances during the week of preparation for the ball, guided Bello's steps, only accustomed to dancing alone in the forest, but not as a couple.
His head came just below the Prince's pecs, and he could breathe in the warm scent of his muscular chest. So small and thin, he was intimidated by the stares of courtiers and other guests, but Kwabena's smile of pleasure reassured him. The long, ruffled train looked like a wave was floating in the air, and especially when Kwabena put his large hand on Bello's slender waist and twirled him around. The guests eventually forgot their suspicions when they saw the loving looks exchanged between Kwabena and the stranger.
Then Kwabena led Bello into the Palace gardens. There he and Bello danced, and Bello explained to Kwabena that he would never have thought Kwabena to be a foreign prince. Kwabena apologized for not revealing his identity to him, but he had been so happy to be loved for who he is that he didn't want to risk being seen differently because of his title as heir to the throne. Bello took his hands, kissed them, looking at him. A way to show him his love and respect.
Touched by this tender and submissive statement, Kwabena cupped his small face between his large hands before bringing it closer to him and placing his luscious lips on his thin pink lips. He entered his mouth with his thick tongue, which he swirled slightly around Bello's. Bello sucked on Kwabena's tongue, and Kwabena took Bello's hand and placed it on his erect cock. Already very tall naturally, it was even longer and thicker when Kwabena was hard. The peasant caressed the member over the fabric while mixing his little tongue with Kwabena's.
After a long passionate kiss, the two men were excited: after having tasted the sweetness of Bello's lips, Kwabena dreamed of this contact on his enormous penis.
As for Bello, very much in love with this romantic and dominating man, he wanted to submit to him and please him by passing his head under his dress to suck him directly. Yet their love was too pure to spoil it with sex without being married.
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The couple returned to the ballroom hand in hand.
PRINCE KWABENA OF OUGHANIGERIA: "Your Majesties, Your Royal Highnesses, Lords and ladies, gentlemen and ladies of the good people of Francalasia, I, Prince Kwabena, heir to the throne of Oughanigeria, have the honor to present to you the will be my husband, the one whom my heart has chosen to share my life and my kingdom."
Kwabena removed Bello's mask, and the courtiers were shocked to see that it was indeed a boy, while bourgeois and peasants knowing Bello were surprised to see that a white peasant would become the wife of the Prince and future Queen-consort of Oughanigeria. Nevertheless, the courtiers made a bow to the couple, and the bourgeois and peasants applauded the lovers.
No one could have imagined that, among all the sublime young ladies at the ball, this very tall muscular black man, this virile fighter who had never known defeat, could have fallen in love with a simple white boy, moreover a peasant!
King Ludovicus spoke privately with Kwabena to ascertain his choice. He reminded him that he could take any woman from his kingdom, that this marriage did not allow the two kingdoms to make lasting peace given Bello's social profile, and that a union with a boy would remain sterile. However, the prince confirmed his decision, and promised him that the kingdom of Oughanigeria would never make war on Francalasia, whether under the reign of his father or when he would accede to the throne.
The couple danced again, and this time Bello no longer cared about the glances of the courtiers. Members of the people congratulated him, while few were the nobles to send wishes of happiness to the couple. The royal ball was over, and the majority of courtiers, whatever their gender or skin color, would wait for the prince's departure to openly criticize his choice of spouse.
The couple returned to the palace lent by the royal family of Francalasia. However, Bello wanted, for his last night before belonging by marriage to his prince and husband, to warn his father and spend one last night in his cottage, so as not to give the impression that he was already taking advantage of his news. position. This dignity and humility earned him the admiration of some members of Kwabena's staff and entourage, while others took advantage of Bello's absence to advise the heir to the throne to give up the marriage. He remained in his position.
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CHAPTER 4 - RETURN TO UGHANIGERIA
The next day, the Prince Kwabena of Oughanigeria officially went to ask for Bello's hand from his father, informed of the news by his son. The father obviously accepted.
Then, it was time to say goodbye to the royal family. Dressed in a blue doublet similar to that worn at the ball, Bello bowed to the royal family, and along the way he greeted the people to whom he was bidding farewell. He and his father were each on a horse, giving salutes, but Bello was struggling to hold back the tears.
After several days of travel, the lovers had become closer and Kwabena had himself taught Bello and his father things about the culture of his kingdom, as well as a few phrases in his language.
During the crossing of the desert, Bello tried not to show himself tired by the journey, he who had never left his forest. As often as possible, Kwabena took him in his arms and Bello kept his head in the muscular chest of his fiancé, which he covered with kisses.
Likewise, every night Kwabena could keep his skinny little fiancé close to him, because he was light. He liked to be rocked by tales of his country, his fighting and virile attitude, his strength during battles did not prevent him from being interested in stories and poems. Kwabena liked Bello resting his head on his armpit, he had armpits so big that Bello's head could rest there like an ear. Every morning, Bello woke Kwabena with kisses on his armpits and chest, which he also licked.
The couple did not want to consummate their relationship as Kwabena knew the King of Oughanigeria would be cruel enough to check if Bello had been penetrated. Kwabena was sure the King would use this to get the engagement off. And it was out of the question that Bello, the love of his life, would be exposed in front of the court for doctors and courtiers to check whether Bello's asshole was tight or not. Kwabena's cock was so long and thick that Bello's little asshole was bound to have been gapped.
While waiting for the consummation of the marriage, which they were looking forward to, Bello and Kwabena had fun, especially licking, kissing and sniffing each other's body parts.
After a few weeks, the princely retinue finally arrived at the border of Oughanigeria. It was in a white chariot set with gold and dressed in the costume he wore at the ball that Kwabena made his triumphal entry. Messengers had warned that the future princess was in fact a white boy from the peasantry.
However, anticipating his father's anger at this choice, Kwabena had sent a trusted friend to spread positive rumors about Bello's reputation, especially about the episode of his encounter with the ugly beggar. His generosity and scholarship had won Bello the liking of the people even before he came to the kingdom, and he was acclaimed by the people, despite being a thin, effeminate little white boy in a kingdom of mostly grown black people.
Clinging to the muscular arm of his fiancé, he wore around his neck a gold necklace which symbolized his position as fiancé, which would only be replaced by a ring during the nuptial ceremony. Throughout the trip, Bello had sewn, with the help of Kwabena's servants, a wardrobe that mixed the fashions of his country of origin and his country of marriage.
When he arrived in the golden chariot, he was dressed in a dark blue doublet covered with a toga.
The gown was sewn from fabric resembling that worn by Kwabena. This one was the most popular member of the royal family, and even his married brothers and fathers were not expected to succeed the King. Bello was grateful to the people for accepting her as future Queen consort and intended to do anything to be accepted by the kingdom.
Applauded, the couple greeted the crowd, who sent them flower petals and confetti, dancing and singing as they passed. The popular mood contrasted with the gracial welcome Bello and his father received when Kwabena introduced them to his parents.
The King sat on a golden throne having his toes sucked by two black boys, and the Queen had her feet resting on a black maid's back and her ass sitted and licked by a white maid. Very proud, they marked their disapproval of the future marriage. King Aboubakar Moussa was firmly opposed to his eldest son marrying a white peasant, who was not even male. He spent his time telling his son that he could make Bello his sex slave, his official lover, his favorite, or even his secondary wife. But it was out of the question for Bello to become Queen-consort of Oughanigeria.
After several days of threatening his father to leave the kingdom, Kwabena had the satisfaction of learning that his marriage would take place. Queen Amina Bala had made clear to her husband the loss that Kwabena would represent in his role as head of the royal army.
At court, Bello's obedience to Kwabena, his devotion in the way he spoke to him, served him, massaged him after his return from training or hunting, earned him to be considered a ideal future princess, because sweet and servile towards her future husband. It is true that Bello, who had always helped others, liked nothing more than to take care of his fiancé, who, for his part, took care of him and introduced him to trusted people who could watch over him if he had to go away or go away.
While waiting for his union with the Prince, Bello would live in his own room. That didn't stop him from joining Kwabena to massage his feet or back after his hunting or fighting sessions to keep him fit, given that he was the leader of his father's army.
The other activity that Bello loved was finally being able to suck Kwabena's giant cock. But the eyes and ears of courtiers and spying servants urged the couple to go for long walks in the open fields in order to be alone.
Even though Kwabena loved introducing Bello to his kingdom and his subjects, he also loved to relax with the soft and delicate little mouth of his lover who savored his hot cock which he licked, kissed and sucked with devotion. Kwabena sat against a baobab tree trunk, let his fiancé worship him while stroking his cock and balls.
After several hours a day training military recruits, it was nice for the Crown Prince to air out his long, thick cock, expose it to the sun and hug his muscular little white boy who was admiring the view of the landscape from a hill. They saw lions, elephants and zebras, and Bello was amazed by his new country's beauty. 🦏🦁🐘🦒🦓🐅
Bello kissed the cheeks or the shoulders of his future husband, shook his cock with a hand or two especially. Then he wedged himself between Kwabena's thighs and licked his balls, inhaled the smell, kissed the long rod and took the cock in his mouth as deeply as possible. Sometimes the Prince didn't particularly wanted to ejaculate, but most of the time he ejaculated thick hot cum that Bello quickly began to enjoy and savor because he knew it was his Prince Charming's.
Finally, the couple returned at the Palace, whether on Asimwe, Kwabena's personal horse, or each on his steed.
The couple was happy, more than ever. But in the shadows, Prince Djiboulaye, one of Kwabena's younger brothers, was a wizard who planned to cast a spell to deprive his brother of happiness and prevent him from ruining the kingdom through this misalliance.
Dressed in a black shirt embroidered with gold, he was close to his mother, dressed in blue and gold. They applauded the happy couple during the agreement finally given by Aboubakar Moussa.
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Smiling, Djiboulaye concealed his desire to dismiss his older brother and have this white fiancé and his father murdered. Unfortunately, his plot could take on substantial proportions if he were to carry it out....
While waiting for the celebration of the marriage, the Prince, dressed in his finest outfit, admired his fiancé dancing for him and reciting poems from his country while speaking in the language of his new country.
As the fairy had told him, pretty Bello had saved his father from poverty. In the muscular arms of his giant black prince charming, he had found love and happiness.
END OF THE STORY
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🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE
Aujourd'hui je publie une histoire d'amour gay interraciale. La dernière que j'ai faite dans ce registre était celle entre T'Challa / La Panthère Noire et James Buchanan "Bucky" Barnes / le Soldat de l'Hiver du MCU. Elle a eu pey de succès, alors j'espère que celle-ci en aura davantage.
J'ai voulu cette histoire comme un conte de fées, car j'ai remarqué qu'il y avait pas ou peu d'histoires de contes de fées gay (certaines existent et sont géniales, bien entendu), et encore moins des histoires interraciales.
Ici j'ai imaginé un prince charmant pensé comme un Africain noir rencontrant un Européen blanc. La différence de taille est également au cœur du récit car je trouve cela excitant et érotique.
Le héros blanc est inspiré de moi, mais sans doute vous reconnaîtrez vous en lui aussi.
J'ai inclue un dessin que j'ai fait qui illustre la façon dont j'imagine les personnages et la tenue qu'ils vont porter au cours d'une scène de l'histoire. N'hésitez pas à me dire comment vous trouvez mon dessin.
Cette longue histoire est une fiction, un conte de fées. J'écris de moins en moins souvent mais c'est pour avoir le temps d'écrire des histoires longues, mais je suis conscient que beaucoup de lecteurs attendent les fictions qu'ils m'ont demandé. J'en profite pour leur prier une fois de plus de m'excuser du retard. J'espère avoir des retours encourageants pour cette fiction en tout cas.
Je vous souhaite une bonne lecture.
P. S. : Il est possible qu'il y ait une suite.
- LE PRINCE CHARMANT AFRICAIN -
CHAPITRE 1 - LE ROYAUME D'OUGHANIGERIA
Il était une fois, un royaume prospère nommé Oughaniger. Ce royaume, où la magie était autorisée pour faire le bien, était vaste, nourri par des terres riches et fertiles, en dépit d'un climat parfois sec et la présence de déserts entourant le royaume. Des jungles sauvages dans le royaume d'Oughaniger bordaient également les terres royales : on pouvait y trouver toutes sortes d'espèces animales, tels que des lions, des zèbres, des éléphants, des girafes,.... Cette faune colorée était hélas parfois utilisé pour des présents à des souverains étrangers avec l'objectif de conclure des alliances.
La monarchie d'Oughaniger durait depuis plusieurs siècles, des Rois et des Reines sages, conquérants et bienveillants avaient maintenus la dynastie des Moussa au pouvoir. Le monarque actuel était le Roi Aboubakar Moussa. Très grand et très musclé, il était impressionnant par son corps fort, mais également respecté pour sa sagesse et son intelligence, et craint pour son autorité.
Son épouse principale et Reine, Amina Bala, est une femme forte et belle, toujours élégante, respectueuse envers les personnes qui la servent, malgré une autorité naturelle.
Le couple avait eu plusieurs filles et plusieurs fils. La culture Oughanigerienne permettait aux princes et Princesses de se marier à l'étranger ou bien de gouverner des provinces du royaume. Ainsi, il pouvait arriver que des princes se marient à l'étranger, et que des Princesses gouvernent des provinces ou même commandent des armées. Ainsi, une fille pouvait accéder au trône, et le royaume avait connu des reines puissantes et vénérées.
Le couple royal avait ainsi pour héritier le Prince Kwabena. Le royaume adulait le Prince héritier pour tants de raisons. Il avait une couleur de peau étincelante, d'un marron foncé et en même temps éclatant, qui brillait au soleil. Il portait une barbe noire encadrant son visage de manière délicate et virile. Le Prince Kwabena était d'une taille immense, l'un des hommes les plus grands du royaume. Le royaume regorgeait pourtant de grands hommes noirs, notamment dans l'armée.
Ainsi, sans être le plus musclé d'entre eux, Kwabena était le meilleur guerrier. Jamais il n'avait perdu un seul combat, et des poèmes à sa gloire parcouraient déjà les frontières du royaume. Il était déjà une légende de son vivant, ayant accompli des exploits guerriers. Sa force lui venait aussi d'un entraînement régulier, car Kwabena pratiquait la chasse, le combat au corps à corps, la gymnastique...
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Malgré sa peau noire, même des souverains blancs acceptaient qu'ils puissent épouser leur fille. Même si les souverains Oughanigeriens avaient déjà conclus des mariages interraciaux, la préservation de la couleur de la peau étaient au cœur de la monarchie, ainsi que dans les cours des royaumes blancs.
Dans tous les royaumes vivaient en harmonie les gens noirs et blancs, mais hélas, des combats voyaient parfois le jour entre les populations, comme un mauvais souvenir des temps passés où gens de différentes couleurs de peaux guerroyaient les unes contre les autres. Ainsi, dès qu'un problème politique ou économique voyait le jour, les Noirs parfois étaient accusés d'en être la cause dans les royaumes blancs, et les Blancs étaient accusés dans les royaumes noirs. D'où l'importance des mariages ou des alliances.
C'est pourquoi l'union du Prince Kwabena était au cœur des discussions. Âgé de 26 ans, il n'avait pris aucune épouse. Alors que ses frères en âge de se marier avait déjà plusieurs épouses de diverses couleurs de peau, Kwabena restait célibataire. Si cela donnait l'espoir des jeunes filles du royaume d'un jour devenir Reine consort, cela inquiétait le gouvernement. Dans ce pays magique, trouver l'amour était un objectif, mais les princes devaient se plier à des règles politiques. Or, Kwabena avait ramené des ses voyages des livres anciens. Ses lectures favorites étaient les contes, ces histoires où un Prince rencontrait l'amour facilement. Il rêvait qu'une telle chose lui arrive, et avait refusé les prétendantes éventuelles.
En sa qualité d'héritier, il était amené à voyager dans le royaume mais aussi à l'étranger : son père le Roi Aboubakar espérait toujours qu'il ramène une Princesse avec lui, ou en tout cas une promesse de mariage. La succession royale inquiétait le roi qui craignait que ses autres fils, belliqueux, ne se divisent le royaume. Autant dire que la monarchie était au bord du précipice et que le romantisme exacerbée du Prince Kwabena renforçait cette situation fragile.
Néanmoins, c'est le cœur plein d'espoir qu'il partir découvrir le royaume de Francalasia, un des royaumes blancs, connu pour ses forêts de fées et de trolls. Plusieurs contes était censé avoir eu lieu dans ce royaume, et Kwabena rêvait de voir de ses yeux la richesse de la flore, de la culture et de l'architecture du royaume de Francalasia.
C'est donc accompagné d'une escorte importante qu'il partit vers Francalasia, monté sur Asimwe, un haut et fier destrier.
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CHAPITRE 2 - LE ROYAUME DE FRANCALASIA
Le Prince était parti avec une suite importante, composée notamment de soldats vêtus de fourrures et de peaux de bêtes sauvages, équipées de lances et d'épées. Il y avait aussi des danseurs et des danseuses pour agrémenter le voyage de l'héritier du trône, des auteurs pour garder le souvenir du voyage du Prince, ainsi que des cuisiniers, des valets, des écuyers, des gardes du corps, et tout ce qu'il fallait de personnel pour le confort du Prince. Bien qu'il fut modeste dans son comportement de Prince, Kwabena n'aurait jamais pu voyager incognito.
Après un long périple, traversant le désert, le Prince fut accueilli à la frontière de Francalasia par une délégation royale qui le conduisit, lui et sa suite, jusqu'au château de plaisance des souverains de ce royaume.
Ce palais était situé à l'extérieur de la capitale, Parisilia, qu'étaient logés les souverains étrangers jusqu'à leur réception par le Roi Ludovicus et la Reine Ameliade de Francalasia.
Avant de devoir faire son entrée officielle en tant que Prince étranger, Kwabena souhaitait voir le royaume et sa capitale en se faisant passer pour un simple noble, afin que l'on se confie à lui sans craindre de devoir lui rendre les respects dû à un membre de famille royale. Il retira sa tenue traditionnelle oughanigerienne, composée d'un large morceau de tissue colorée replié sur le corps, ainsi que sa couronne princière et ses bijoux, et choisit une tenue parmi les vêtements mis à sa disposition.
Revêtu d'un pantalon noir rentré dans des bottes marrons en cuir montant jusqu'en dessous du genoux, le Prince Kwabena porta une chemise blanche par-dessus laquelle il enfila un pourpoint bleu brodé de fils d'or. Pour compléter sa tenue, il disposait d'une cape coloré, à motifs géométriques, qui était emprunté à la garde-robe oughanigerienne emportée avec lui. À sa taille, une ceinture de cuir marron permettait de tenir un sabre renfermé dans un fourreau en cuir marron incrustée de pierres précieuses et de perles.
Enfin prêt à partir, le Prince Kwabena silonna les routes sur Asimwe, son fidèle destrier. Se dirigeant vers la Vallée des Fées, cette région magique de Francalasia. Il était parti depuis quelques heures, arrivant vers la capitale, lorsqu'il entendit des cris.
"Au secour !!!! Laissez moi tranquille !!! Pitié !!!!", pouvait entendre le Prince.
N'écoutant que son cœur bon et son courage, le vaillant Kwabena galopa jusqu'aux cris. Sur un chemin désert, une charrette était renversée, un âne avait été blessé et se mourait. Il était hélas trop tard pour le sauver. Ému par le sort de l'animal, Kwabena savait que son maître n'était pas loin.
Les cris retentirent davantage, et le Prince s'avança dans la forêt, toujours monté sur son cheval. Il vit alors une scène que l'on ne peut aisément décrire avec de simples mots. Un jeune paysan de petite taille, à la peau blanche et aux cheveux châtains, faible en apparence mais ayant visiblement eu assez de force pour courir dans la forêt, était attaqué par quatre hommes bien plus grands et musclés que lui. L'un était blanc, un autre avait un profile asiatique, le troisième était noir et le dernier avait une apparence orientale. Les voleurs voulaient s'emparer du panier du jeune paysan en fuite dont ils avaient visiblement renversé la charrette en blessant mortellement son âne.
Hélas, leur cruauté n'avait pas de limite et ils s'amusaient à tourmenter le pauvre paysan plus jeune qu'eux. Il se débattait et criait, mais cela ne faisait qu'à miser davantage les brigands. Pressentant le danger de la situation dans laquelle se trouvait le jeune homme effrayé, le Prince Kwabena s'approcha des assaillants, sorti son sabre de son fourreau et le pointa en direction des voleurs qui tenaient le garçon afin de l'empêcher de fuir.
PRINCE KWABENA D'OUGHANIGERIA : "Messieurs, je vous suggère de relâcher ce paysan et de partir maintenant ! Si vous refusez, je me verrait contraint de faire usage de la force. Et je ne pense pas que vous apprécierez.".
Au lieu de craindre la force évidente du prince, les brigands se moquèrent de lui, soulignant le fait qu'ils étaient quatre face à lui. Il les provoqua en duel, mais ils soulignèrent le fait qu'il était trop lâche pour les affronter sans arme.
Touché dans son honneur, et sachant sa force, le Prince Kwabena prit commença à se battre avec les brigands. Jamais ils n'avaient vus de combattant plus habile : ses postures étaient efficaces, ses coups étaient rapides et secs, frappant là où il fallait. Usant de ses poings, il ne négligeait pas de faire tomber ses adversaires grâce à des coups de pieds agiles.
Deux hommes l'attaquaient, un deux était blessé au sol, et le troisième, l'homme noir, ramassa un bâton derrière lui afin de l'assommer. Ayant vu la scène, le jeune garçon, bien que désemparé, ramassa un caillou et le lança sur la tête du lâche brigand, en criant au Prince de faire attention. Le brigand noir fut touché à la tête, et Kwabena comprit le geste du jeune paysan blanc.
Alors que l'homme asiatique et l'homme oriental se battait contre le Prince, l'homme noir musclé partit vers le paysan dans l'objectif de se venger du lancer de pierre sur le visage. Ses fragiles poignets étaient pris dans l'une des puissantes mains de l'homme noir menaçant, qui lui donnait des gifles avec l'autre afin de le faire taire.
Une fois les deux autres terribles assaillants vaincus, Kwabena attrapa l'homme, se battit contre lui. Le combat fut rude et long, le jeune paysan blanc craignait l'issue du combat mais n'osait partir en abandonnant l'homme qui était venu à son secour.
Après un dernier combat contre le brigand noir, le Prince parvint à les faire fuir, lui et ses comparses. Ils coururent sans se retourner. Victorieux, le Prince n'en était pas pour autant indemne puisque, dans leur lâcheté, les voleurs avaient sorti des poignards, et quelques coups avaient blessés le bras du Prince.
Le jeune paysan s'approcha de Kwabena, lui toucha le bras, et tous deux ressentirent une sensation de plénitude, comme si leurs peaux étaient faites pour se toucher.
Le paysan remercia Kwabena pour son aide et, voyant la blessure de son sauveur, partit chercher des fleurs sauvages. Il trempa une bande de tissu dans un étang, posa les fleurs dans le tissu et l'enroula autour de l'avant bras du Prince. Kwabena était touché par la dévotion du paysan.
PRINCE KWABENA : "Merci. C'est très agréable. Jamais je n'aurais su quelles fleurs prendre pour faire passer la douleur."
La voix à la fois virile et douce du Prince était très agréable à écouter, rassurante et pleine de masculinité. Le paysan regardait Kwabena avec crainte et tendresse.
"Je me nomme Bello, et je vous remercie de votre aide. Vous m'avez sauvé la vie, j'ai une dette envers vous."
PRINCE KWABENA D'OUGHANIGERIA : "Non, plus maintenant, car toi aussi tu m'as sauvé la vie. Nous sommes quittes. Mais j'aimerais t'aider. Ta cariole a été renversé et ton âne est mort, je suis désolé. Je peut t'aider à te rendre quelque part ?"
BELLO : "J'allais au marché à Parisilia, pour y vendre les légumes cultivés sur les terres de mon père. Enfin, le champ qu'il cultive. Pardonnez-moi mais qu'est-ce qu'un gentilhomme comme vous faisait en pleine forêt, sans escorte?"
PRINCE KWABENA : "Je suis un étranger souhaitant découvrir la capitale avant de le faire avec ceux qui m'accompagnent."
BELLO : "Si vous m'en jugez digne, cela serait un honneur de vous faire découvrir cette ville. On peut s'y perdre, vous verrez Monseigneur."
KWABENA : "J'en serai enchanté. Allons-y."
Le Prince se releva et Bello fut impressionné par la beauté de son sauveur. Jamais il n'avait vu d'homme aussi grand, aussi musclé et aussi beau. Il avait déjà rencontré des nobles, des hommes noirs, des hommes grands, des hommes musclés, et même des hommes qui soient toutes ces choses à la fois. Mais jamais aucun d'eux n'avait fait autant d'effet à Bello. Il se sentit intimidé face à la haute taille, l'éclatante peau noire, la musculature et les vêtements brodés du seigneur. Il voyait surtout la bonté dans son regard.
En comparaison, Bello était petit, maigre et vêtu de haillons déchirés par les brigands. Même si Bello, le paysan, était vêtu de haillons poussièreux et salis par la terre, déchirés par les brigands, il n'en était pas moins mignon. Sa peau était clair et douce, des traits délicats, des cheveux d'un châtain clair illuminés par les rayons du soleil traversant les arbres. Bien qu'il soit de petite taille, il était tout à fait attirant aux yeux de Kwabena qui faisait presque le double de sa taille. La tête de Bello parvenait au niveau des pectoraux du Prince, et le paysan était si maigre que Kwabena était trois fois plus massif que lui.
Kwabena n'avait jamais vu un garçon blanc aussi mignon, doux, et une envie de le prendre dans ses bras.
Les deux hommes sortirent de la forêt et Kwabena proposa d'atteler la charrette à son cheval. Bello cacha le cadavre de son âne sous une couverture, et comptait enterrer ou dépecer son âne lorsqu'il rentrerait à la ferme de son père.
En attendant, il devait aller vendre le fouin, le blé et les légumes récoltes et cultivés par son père dans son champ. Il pensait marcher aux côtés de Kwabena mais celui-ci porta Bello pour le monter sur son fier destrier blanc. Le cheval portait une selle en cuir marron incrustée de pierres précieuses et brodée de fils d'or. C'était un signe de richesse et Bello se trouvait indigne d'être assis dessus. Cependant, la bonté de Kwabena était su réconfortante qu'il se sentit en confiance.
Le très grand Kwabena monta à son tour, et son torse était collé à la tête de Bello. Il pouvait sentir les muscles de cet homme sublime, car il passa un bras autour de sa taille pour éviter que Bello, peut habitué à monter sur un cheval, ne tombe de selle.
Contre son joli petit cul blanc, Bello sentit alors une masse volumineuse de forme cylindrique. Il sut de quoi il s'agissait mais il préfèra faire comme s'il n'avait rien senti. Cela était assez difficile tant était grande la tentation de remuer son postérieur pour se frotter et apprécier le grossissement du membre derrière lui.
Bello et le Prince chevauchèrent jusqu'à Parisilia, la capitale du royaume de Francalasia. Sur le chemin, ils discutèrent posément, rigolant aux blagues l'un de l'autre. Bello, d'un naturel calme et discret en raison d'une vie difficile, se sentait en confiance avec cet homme drôle, beau et courageux, mais aussi protecteur et fort.
Ils apprirent à se connaître, chacun des deux étant surpris de si bien s'entendre avec une personne qui ne soit pas de sa classe sociale. Le Prince se confia sur la pression de son mariage, et Bello lui révéla son envie de voir le monde, d'en apprendre plus sur des cultures différentes, afin d'échapper à la misère de son quotidien.
Ayant appris à lire par lui-même, Bello était devenu écrivain public pour gagner plus d'argent : son métier consistait à rédiger des lettres pour les analphabètes. L'érudition étonnante d'un paysan le rendait encore plus attirant aux yeux de Kwabena. Les deux hommes discutèrent de divers sujets, respectant l'opinion de chacun.
Cependant, au-delà d'un intérêt mutuel l'un pour l'autre, ils étaient aussi attirés par le corps de l'autre : leurs bras se touchaien, et ils donnaient l'impression d'avoir fait cela par inadvertance, mais chacun des deux aimait cela.
La grande tour du palais royal indiquait l'arrivée prochaine de la capitale, où les deux hommes parvinrent enfin.
Dans les rues de la capitale, le sublime Prince noir était regardé avec admiration pour sa haute taille, sa prestance et sa musculature. Les marchés, les commerces et les bâtiments impressionnaient Kwabena pourtant originaire d'un royaume encore plus riche et prospère, où le luxe de la modernité se mélangeait au naturel des traditions.
Kwabena parvint à faire passer la cariole jusqu'à la place des marchés, où il aida Bello à préparer l'étale pour y vendre ses légumes. La bonté avec laquelle le gentil paysan à la peau pâle répondait aux acheteurs forçait l'admiration du Prince, peu habitué à travailler, même s'il allait en revanche à l'armée et à ses entraînements. Un autre mode de vie se dévoilait sous ses yeux. Les costumes étaient différents, les armes aussi, ainsi que les coiffures ou les bijoux. La découverte de ce pays allait s'avérer intéressante.
Lorsque Bello eut fini de vendre ses légumes et son blé, il souhaitait offrir une partie de sa vente au noble gentilhomme noir qui l'avait si généreusement aidé. Touché de sa bonté, Kwabena insista pour qu'il garde son argent et se proposa de le raccompagner.
En chemin, ils virent un pauvre homme qui gisait au sol. Il avait une jambe sur deux, et boîtait en étant appuyé sur deux béquilles de bois prêtes à se briser. Le pire était son visage défiguré qui lui donnait une apparence immonde : il avait un dos bossu, une autre bosse frontal couvrait son œil droit. Il lui manquait plusieurs dents, et il était vêtu de haillons.
Le mendiant repoussant s'approcha du Prince, embrassa ses bottes en signe de respect et de soumission, et le supplia de lui offrir quelques pièces. Kwabena, malgré l'émotion qu'il avait du malheur du bossu boiteux, était prêt à le repousser afin d'épargner à Bello la vue de cet être effroyable de laideur. Or, Bello était plus exposé qu'il ne le pensait aux malheurs du monde. Il vit le mendiant, et descendit de la monture princière afin de de sortir de son panier plusieurs légumes qu'il n'avait pas vendu, et lui offrit plusieurs pièces de sa bourse. Ensuite, il indiqua au mendiant le chemin pour retrouver la chaumière de son père afin de lui proposer de venir souper avec eux s'il le désirait.
Un sourire illumina le visage de l'être hideux, et Bello, en voyant des traces de coups sur le mendiant, sur qu'il avait été frappé. Aussitôt, il cueillit quelques feuilles et fleurs dont il connaissait les vertus médicinales, les broya entre elles dans un pot qu'il avait dans la sacoche accroché à sa taille. Une texture verdâtre se trouvait dans le pot, que Bello offrit au boiteux dont la laideur effrayante lui donnait envie de pleurer, mais dont les souffrances lui donnait envie de l'aider. Il lui recommanda d'appliquer le crème le plus tôt possible sur la zone où il avait été blessé.
Puis, Bello et Kwabena partirent, salués par le mendiant au physique ignoble.
De crainte de gâcher l'atmosphère entre eux, Kwabena préféra ne pas reparler de cette rencontre.
Le Prince Kwabena laissa Bello le guider jusqu'à la chaumière où il vivait avec son père, un paysan fatigué par les travaux aux champs.
Le Prince fit connaissance avec le père de Bello, mais se sentait embarrassé de se trouver parmi ces hommes pauvres alors qu'il était vêtu d'habits somptueux. Heureusement qu'il n'était pas vêtu de l'opulente tenue de son pays d'origine. Quoiqu'il en soit, le Prince fut touché par la bonté du père de Bello qui le remercia pour avoir aider son fils unique à vendre leurs denrées au marché pour avoir assez d'argent pour se payer de la viande, par exemple, afin de rester en bonne santé.
Le Prince fit connaissance avec le père de Bello, mais se sentait embarrassé de se trouver parmi ces hommes pauvres alors qu'il était vêtu d'habits somptueux. Heureusement qu'il n'était pas vêtu de l'opulente tenue de son pays d'origine. Quoiqu'il en soit, le Prince fut touché par la bonté du père de Bello qui le remercia pour avoir aider son fils unique à vendre leurs denrées au marché pour avoir assez d'argent pour se payer de la viande, par exemple, afin de rester en bonne santé.
Le Prince Kwabena se souvint qu'il devait bientôt faire son entrée triomphale comme invité de marque dans la capitale du royaume, alors il laissa Bello avec son père.
Avant de partir, ce géant homme noir prit dans sa très large paume la délicate petite main blanche de Bello et l'embrassa trois fois de suite, avant de lui faire une brève révérence. Le contact des lèvres pulpeuses sur ses douces mains provoqua chez Bello un effet qu'il n'avait encore jamais ressenti : du désir. Puis, Kwabena remit son chapeau sur la tête et repartit à cheval.
Bello était interloqué, car jamais on n'avait embrassé ses mains. Il aurait souhaité embrasser celles de Kwabena, mais celui-ci était déjà parti.
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CHAPITRE 3 - LE GRAND BAL ROYAL
Lorsqu'il revint au château qui lui avait été prêté pour loger sa cour avant son entrée à la capitale, Kwabena congédia ses serviteurs. Ceux-ci prirent les bottes du prince pour aller les nettoyer.
Le futur Roi commença à caresser le long et épais membre situé entre ses cuisses, car il ne cessait de rêver de la beauté fine et pure de ce très petit garçon blanc qui avait fait preuve de tant de générosité. Il se rappelait encore de la bonté naturelle dont il avait fait preuve envers le mendiant repoussant.
Pourtant Kwabena le savait, il n'était pas venu pour séduire un joli petit garçon blanc, et devait laisser passer les intérêts dynastique avant son cœur.
Aussi se prépara-t'il en vue de son entrée dans Parisilia, capitale du royaume de Francalasia.
Ses domestiques, quatre garçons noirs de taille moyenne et légèrement musclés, le lavèrent et l'habillèrent. Pendant tout le temps de son lavage et habillage, quelques musiciens jouaient ses musiques préférés pour qu'il soit d'humeur détendue.
Après son bain moussant et son massage, le très grand Kwabena fut coiffé et parfumé. Puis, deux serviteurs s'allongèrent au sol et lui mirent à ses longs pieds des bottines de cuir brodées de fils d'or et ornées de diamants. Les bottines étaient ouvertes au niveau des orteils, et les serviteurs devaient restés allongés au sol pour sucer les orteils du Prince l'un après l'autre.
Pendant qu'il se faisaient sucer les orteils par ses deux serviteurs, Kwabena laissait ses deux autres serviteurs enrouler autour de lui la très large pièce de tissu colorée pour former une robe. La très large bande de tissue de soie s'enroule au niveau de la taille avant d'être rabattue sur l'épaule gauche et former une traîne dans le dos de Kwabena, une traîne tombant jusqu'au sol et traînant jusqu'à trois mètres derrière le Prince.
Les suceurs d'orteils se sont relevés pour aider le prince à porter ses bijoux : boucles d'oreilles en rubis, colliers d'or agrémentés de saphirs et d'émeraudes, des bracelets en or ornés de diamants, des bagues à chaque doigts....
Pendant ce temps, les deux autres serviteurs épinglaient la robe pour que les pans de tissus restent en place quand Kwabena allait marcher et monter à cheval, puis en descendre....
Sur sa tête, un turban ornée de diamants et de plumes complètait sa tenue, ainsi qu'une épée rentrée dans un fourreau en or et diamants, qui avait une fonction décorative mais surtout symbolique, rappelant ses innombrables victoires aux combats et sa participation à de nombreuses batailles qu'il avait toujours remporté.
Il était absolument sublime, et les quatre domestiques s'agenouillèrent aux pieds de leur prince, ce qui leur permettait de dissimuler l'érection qu'ils avaient en admirant la beauté de Kwabena.
Enfin, il fut l'heure de partir. Kwabena monta sur Asimwe, son fidèle cheval, suivi de ses gardes du corps, six hommes noirs grands et musclés (même s'il était plus grand et musclé que eux), vêtus de robes oranges couvertes par un plastron doré.
Suivi par sa cour, ses gardes, ses domestiques et des trésors à offrir aux souverains de Francalasia, Kwabena se rendit à la capitale dont il avait retenu le chemin après y être allé ce matin-même. Tout au long de son parcours, il fit salué et applaudit par les paysans, les bourgeois (les nobles se trouvant déjà au palais avec la famille royale).
Il saluait avec vigueur et joie, grâce et dignité, force et virilité, mais ses pensées étaient tournés vers le très joli garçon blanc qu'il espérait avoir sur son chemin.
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Enfin il arriva au palais, une immense résidence royale composée de tours et de longs murs ornées de fenêtres et de moulures en or.
Des chambellans conduisirent le Prince héritier du Oughanigeria jusqu'à la salle du trône où se trouvait le Roi Ludovicus et la Reine Ameliade. Vêtus dans une mode très différente, les souverains acceuillirent Kwabena avec douceur. Ce géant noir était vraiment celui qui attirait tous les regards à la cour, il était le sujet de toutes les discussions.
Toutefois, le Prince constata que le Roi n'avait que trois filles, son fils unique ayant 5 ans. Les princesses étaient encore adolescentes, et le prince refusa, poliment, d'être même fiancé à une fille avec qui il faudrait attendre plusieurs années avant qu'elle ne puisse enfanter.
Le couple royal annonça qu'un grand bal était prévu pour quelques jours, où toutes les filles des différentes classes sociales étaient conviés. Le Prince choisirait celle qu'il voudrait. Cette mesure parut surprenante à Kwabena, mais il ne souhaitait pas s'attarder dans ce royaume. Malgré sa beauté, ce pays était celui du garçon qu'il ne reverrait peut-être jamais, et chaque minute passée ici lui rappelait son erreur : ne pas lui avoir demandé son nom, et ne pas lui avoir donné le sien.
Cependant, à la campagne, loin du tumulte de la capitale où chacun se préparait pour le grand bal royal, Bello aidait son père à cultiver leurs champs. Quelques jours après sa rencontre avec le très grand homme noir, il n'arrêtait pas de rêver de ce bel inconnu. Pour oublier la forte probabilité qu'il ne le reverrait sans doute jamais, il décida de se changeait les idées. Sa journée finit, il se rendit dans les bois où sa mère était enterrée près d'un grand chêne qu'on disait magique.
Sa prière fit venir un fé, un homme disposant dans le dos d'une paire d'ailes blanches et bleus. Il était vêtu d'un kimono scintillant, et une collerette de dentelle ainsi qu'une capuche à paillettes dissimulait la bosse sur le dos du fé et celle qu'il y avait sur son visage.
Immédiatement, Bello crut reconnaître le boiteux à qui il avait offert de l'argent.
LE FÉ BOSSU : "Je suis bien le bossu à qui tu es venu en aide il y a quelques jours. Je suis en réalité un fé récompensant les personnes bonnes et généreuses. Après ma mort, j'ai été transformé en fé pour exaucer les souhaits des gens bons."
Bello n'avait jamais pensé que son action lui vaudrait d'être recomposé, il avait simplement été touché par les malheurs de cet homme rejeté par la société à cause de sa laideur.
LE FÉ BOSSU : "Mon pouvoir magique me permet d'exaucer ton vœu le plus cher. Un vœu dont tu soupçonne même l'existence."
BELLO : "Je vous remercie pour ce geste. Mon vœu le plus cher est d'aider mon père à sortir de la misère, pour que nous commencions une nouvelle vie plus paisible."
Le fé agita sa baguette magique sur Bello, et une pluie d'étoiles tournoya autour de lui. Lorsque la pluie de paillettes magiques disparut, Bello était coiffé avec des paillettes dans les cheveux, et portait une tenue ravissante, composée d'un pourpoint bleu clair aux manches gonflées sous une chemise bleue foncée. Le pourpoint était porté par dessus un pantalon bleu couvert par une traîne en soie pailettée d'un bleu très clair, cousue au bas du pourpoint. La tenue donnait l'impression d'une robe mais le pantalon conférait à Bello une allure masculine.
BELLO : "Merci, en revendant cette sublime tenue j'aurais assez d'argent pour aider mon père !"
LE FÉ BOSSU : "Ce n'est pas d'argent dont tu as besoin, mais d'amour. L'amour est plus prospère que l'argent, car cela t'apportera de la force et de la joie. Tu verras que l'amour te permettra aussi de sauver ton père de la pauvreté, mais que ce n'est pas avec l'argent que tu seras heureux, mais avec une personne précise."
Le chariot utilisé pour transporter les légumes et le blé au marché fut transformé en un carrosse étincelant, et le nouvel âne devint un élégant majordome chargé de conduire Bello à la réception royale.
Après avoir remercié le fé, Bello monta dans le carrosse et se rendit at palais. Afin d'ajouter du mystère à sa personne et craignant qu'on découvre qu'il était le paysan qui livrait des légumes au marché, Bello découpa un bout du rideau du carrosse magique, car il savait que le carrosse redeviendrait un chariot dans quelques heures. Le tissu blanc couvrait ses yeux (en lui permettant de voir, bien sûr) et son nez.
Arrivé au bal sans être annoncé car faisant parti du peuple, Bello se mêla aux convives sans avoir à saluer la famille royale. Bello mangea quelques mets, et admira de loin la grâce des danseurs, la douceur de la musique, le chatoiement des étoffes, les lumières brillantes des bougies reflétées par les cristaux des lustres... En un mot, ce bal était magique. Mais il le devint plus encore lorsque la foule vit s'approcher le très grand prince Kwabena, qui faisait deux à trois têtes de plus que la majorité des invités.
PRINCE KWABENA : "J'ai remarqué que vous étiez seul. Puis-je vous inviter à danser ?"
Surpris que l'on s'adresse à lui, Bello se tourna, et, avant même de reconnaître son bel amant du matin, il plongea dans une révérence, et baissa la tête. Ses yeux virent les orteils d'un homme noir, et il y avait un diamant sur chacun des dix orteils de l'homme noir.
Soudain, une main plus grande que la taille du visage de Bello se présenta devant le garçon, et il la saisit. Son regard se leva et croisa la vue d'un énorme renferment au niveau de l'entrejambe.
Lorsqu'enfin son visage fut relevé pour voir qui était face à lui, il croyait voir un géant. Il se releva et le plus grand des sourires se forma sur ses fines lèvres roses. L'homme était le mystèrieux noble rencontré il y a une semaine. Il était vêtu d'une sublime robe orange à motifs verts et jaunes, relevée sur l'épaule. La robe dévoilait un torse immense et musclé, des bras plus épais que le tour de taille de Bello. Un bracelet en or serti d'un rubis ornait le biceps saillant du géant noir.
Une très grande couronne d'or ornée de rubis était posée sur la sublime tête virile de ce très grand homme noir. Oui, il était bien l'homme rencontré par Bello quelques jours plus tôt. Les pensées de Bello se bousculaient dans sa tête. Sincèrement épris de cet homme qu'il croyait ne jamais revoir, voilà que celui-ci était un prince étranger.
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Il le conduisit au centre de la salle de bal. Ils ont valsés au son de la mélodieuse valse, tandis que les invités cherchaient à connaître l'identité du bel inconnu. La plupart se demandaient si le chanceux qui dansait avec le Prince était bien un garçon, car il semblait étrange que Kwabena ouvre le bal au bras d'un garçon. Kwabena, qui avait eu le temps d'apprendre les danses francalasiennes durant la semaine de la préparation du bal, guida les pas de Bello, seulement habitué à danser seul en forêt, mais pas en couple.
Sa tête arrivait juste au dessous des pectoraux du Prince, et il pouvait respirer l'odeur chaude de son torse musclé.
Si petit et maigre, il était intimidé par les regards des courtisans et autres invités, mais le sourire de plaisir de Kwabena le rassura. La longue traîne à volants donnait l'impression de voir une vague flottait dans l'air, et surtout lorsque Kwabena posa sa large main que la fine taille de Bello et le fût tournoyer.
Les invités finirent par oublier leurs suspicions en voyant les regards pleins d'amour que s'échangeaient Kwabena et l'inconnu.
Puis, Kwabena conduisit Bello dans les jardins du Palais. Là, Bello et lui dansèrent, et Bello expliqua à Kwabena qu'il n'aurait jamais pensé que celui-ci était un prince étranger.
Kwabena s'excusa de ne pas lui avoir révélé son identité, mais il avait été si heureux d'être aimé pour qui il est qu'il ne voulait pas prendre le risque d'être vu différemment en raison de son titre d'héritier du trône.
Bello lui prit les mains, les embrassa en le regardant. Une façon de lui témoigner son amour et son respect.
Touché par cette déclaration tendre et soumise, Kwabena prit son petit visage entre ses grandes mains avant de le rapprocher de lui et placer ses lèvres pulpeuses sur ses fines lèvres roses. Il pénétra sa bouche par son épaisse langue qu'il fit légèrement tournoyer autour de celle de Bello. Bello sucait la langue de Kwabena, et celui-ci prit la main de Bello pour la poser sur sa bite en érection. Déjà très grande au naturel, elle était encore plus longue et épaisse quand Kwabena était dur. Le paysan caressa le membre par-dessus le tissu tout en mélangeant sa petite langue à celle de Kwabena.
Après un long baiser passionné, les deux hommes étaient excités : après avoir goûté à la douceur des lèvres de Bello, Kwabena rêvait de ce contact sur son énorme penis. Quand à Bello, très amoureux de cet homme romantique et dominateur, il voulait se soumettre à lui et lui plaire en passant sa tête sous sa robe pour le sucer directement. Pourtant, leur amour était trop pur pour le gâcher par du sexe sans être mariés.
Le couple revint à la salle de bal main dans la main.
PRINCE KWABENA D'OUGHANIGERIA : "Vos Majestés, Vos Altesse Royales, seigneurs et gentes dames, messieurs et mesdames du bon peuple de Francalasia, moi, le Prince Kwabena, héritier du trône d'Oughanigeria, ait l'honneur de vous présenter celui qui sera mon époux, celui que mon cœur a choisit pour partager ma vie et mon règne."
Kwabena retira le masque de Bello, et les courtisans furent choqués de voir qu'il s'agissait bel et bien d'un garçon, tandis que les bougeois et les paysans connaissant Bello furent surpris de voir qu'un paysan blanc allait devenir l'épouse du Prince et future Reine-consort d'Oughanigeria. Néanmoins, les courtisans firent une révérence au couple, et les bourgeois et paysans applaudirent les amoureux. Aucun n'aurait pu imaginer que, parmi toutes les sublimes demoiselles du bal, ce très grand homme noir musclé, ce viril combattant qui n'avait jamais connu la défaite, puisse être tombé amoureux d'un simple garçon blanc, de surcroît paysan !
Le Roi Ludovicus s'entretint en privé avec Kwabena pour s'assurer de son choix. Il lui rappela qu'il pouvait prendre n'importe quelle femme de son royaume, que ce mariage ne permettait pas aux deux royaumes de faire la paix durablement étant donné le profil social de Bello, et qu'une union avec un garçon resterait stérile. Or le prince confirma sa décision, et lui promit que jamais le royaume d'Oughanigeria ne ferait la guerre à Francalasia, que ce fut sous le règne de son père ou lorsqu'il accéderait au trône.
Le couple dansa de nouveau, et cette fois Bello ne se souciait plus des regards des courtisans. Des membres du peuple le felicitèrent, alors que rares furent les nobles à adresser des vœux de bonheur au couple.
La fête était fini, et la majorité des courtisans, quelque soit leur genre ou couleur de peau, attendrait le départ du prince pour critiquer ouvertement son choix de conjoint.
Le couple retourna au palais prêté par la famille royale de Francalasia.
Cependant, Bello voulut, pour sa dernière nuit avant d'appartenir par le mariage à son prince et époux, avertir son père et passer une dernière nuit dans sa chaumière, afin de ne pas donner l'impression qu'il profitait déjà de sa nouvelle position.
Cette dignité et humilité lui valut l'admiration de certains membres du personnel et de l'entourage de Kwabena, alors que d'autres ont profités de l'absence de Bello pour conseiller à l'héritier du trône de renoncer à ce mariage.
Celui-ci resta sur sa position.
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CHAPITRE 4 - RETOUR AU OUGHANIGERIA
Le lendemain, Kwabena alla officiellement demander la main de Bello à son père, mis au courant de la nouvelle par son fils.
Puis, il fut temps de dire adieu à la famille royale. Vêtu d'un pourpoint bleu semblable à celui porté au bal, Bello fit la révérence à la famille royale, et tout au long de son parcours il salua le peuple à qui il faisait ses adieux. Lui et son père étaient chacun sur un cheval, addressaient des saluts, mais Bello avait du mal à retenir ses larmes.
Après plusieurs jours de voyage, les amoureux s'étaient rapprochés davantage et Kwabena avait lui-même appris des choses à Bello et son père sur la culture de don royaume, ainsi que quelques phrases dans sa langue.
Durant la traversée du désert, Bello essayait de ne pas se montrer fatigué par le voyage, lui qui n'avait jamais quitté sa forêt. Aussi souvent que possible, Kwabena le prenait dans ses bras et Bello gardait sa tête dans le torse musclé de son fiancé, qu'il couvrait de baisers.
De même, chaque nuit, Kwabena pouvait garder son petit fiancé maigre contre lui, car il était léger. Il aimait être bercé par des contes de son pays, son attitude combattante et virile, sa force lors des batailles ne l'empêchait pas d'être intéressé par les récits et les poèmes.
Kwabena aimait que Bello pose sa tête sur son aisselle, il avait des aisselles si grandes que la tête de Bello pouvait y rester comme sur un oreille. Chaque matin, Bello réveillait Kwabena avec des baisers sur ses aisselles et son torse, qu'il léchait également.
Le couple ne voulait pas consommer leur relation car Kwabena savait que le Roi d'Oughanigeria serait cruel au point de vérifier si Bello avait été pénétré. Kwabena était persuadé que le Roi se servirait de cela pour faire annuler les fiançailles. Et il était hors de question que Bello, l'amour de sa vie, soit exposé face à la cour pour que des médecins et courtisans vérifient que le trou du cul de Bello était serré ou pas. La bite de Kwabena était si longue et épaisse que le trou du petit cul de Bello aurait forcément été écarté. En attendant la consommation du mariage, dont ils avaient hâte, Bello et Kwabena s'amusaient, surtout à se lécher, s'embrasser et se renifler des parties du corps
Après quelques semaines, la suite princière arrivait enfin à la frontière d'Oughanigeria. C'est dans un char blanc serti d'or et vêtu du costume qu'il portait au bal que Kwabena fit son entrée triomphale. Des messagers avaient avertis que la future princesse était en fait un garçon blanc issu de la paysannerie. Pourtant, prévoyant la colère de son père face à ce choix, Kwabena avait envoyé un ami de confiance pour propager des rumeurs positives au sujet de la réputation de Bello, notamment sur l'épisode de sa rencontre avec le mendiant laid.
Sa générosité et son érudition avaient valus à Bello d'être aimé du peuple avant même son arrivée au royaume, et il fut acclamé par le peuple, bien qu'il soit un petit garçon blanc maigre et efféminé dans un royaume composé principalement de grandes personnes noirs. Accroché au bras musclé de son fiancé, il portait au cou un collier d'or qui symbolisait sa position de fiancé, qui ne serait remplacé par une bague que lors de la cérémonie nuptiale.
Tout au long du voyage, Bello avait cousu, aidé des domestiques de Kwabena, une garde-robe mêlant les modes de son pays d'origine et de son pays de mariage. À son arrivée dans le char en or, il était vêtu d'un pourpoint bleu foncé couvert d'une toge.
La toge était cousu dans un tissu ressemblant à celui porté par Kwabena. Celui-ci était le membre le plus populaire de la famille royale, et même ses frères mariés et pères n'étaient pas pressentis pour succéder au Roi. Bello était reconnaissant au peuple de l'accepter comme future Reine consort et comptait faire tout pour être accepté par le royaume.
Applaudi, le couple saluait la foule, qui leur envoyait des pétales de fleurs et des confettis, dansait et chantait sur son passage.
L'ambiance populaire contrastait avec l'accueil graciale que reçurent Bello et son père lorsque Kwabena les présenta à ses parents.
Le Roi était assis sur un trône en or en se faisant sucer les orteils par deux garçons noirs, et la Reine avait les pieds posés sur le dos d'une servante noire et son cul assis sur le visage d'une servante blanche qui le lui léchait. Très fiers, ils marquaient leur désapprobation du futur mariage. Le Roi Aboubakar Moussa était fermement opposé à voir son fils aîné épouser un paysan blanc, qui n'était même pas masculin. Il passa son temps à dire à son fils qu'il pouvait faire de Bello son esclave sexuel, son amant officiel, son favori, ou même son épouse secondaire. Mais il était hors de question que Bello devienne Reine-consort d'Oughanigeria.
Après plusieurs jours à menacer son père de quitter le royaume, Kwabena eut la satisfaction d'apprendre que son mariage aurait bien lieu.
La Reine Amina Bala avait fait comprendre à son mari la perte que représenterait Kwabena dans son rôle de chef de l'armée royale.
À la cour, l'obéissance dont faisait preuve Bello envers Kwabena, sa dévotion dans la façon qu'il avait de lui parler, le servir, le masser après son retour des entraînements ou de la chasse, lui valut d'être considéré comme une future princesse idéale, car douce et servile envers son futur époux. Il est vrai que Bello, qui avait toujours aidé les autres, n'aimait rien plus que prendre soin de son fiancé, qui, de son côté, prenait soin de lui et lui présenter des personnes de confiance qui pourrait veiller sur lui s'il devait s'absenter ou s'éloigner.
En attendant son union au Prince, Bello vivrait dans sa propre chambre. Cela ne l'empêchait pas de rejoindre Kwabena pour lui masser les pieds ou le dos après sa chasse ou ses séances de combat pour le maintenir en forme, étant donné qu'il était le chef de l'armée de son père.
L'autre activité qu'affectionnait Bello était de pouvoir enfin sucer Kwabena. Mais les yeux et les oreilles des courtisans et des domestiques espions poussaient le couple à aller faire de longues promenades dans les pleines afin d'être seul.
Même si Kwabena aimait faire découvrir à Bello son royaume et ses sujets, il aimait aussi énormément se détendre avec la petite bouche douce et délicate de son amant qui savourait sa langue bite chaude qu'il léchait, embrassait et sucait avec dévotion. Kwabena s'asseyait contre un tronc de baobab, laissait son fiancé le vénérer en caressant sa bite et ses couilles.
Après plusieurs heures par jour à entraîner les recrues militaires, il était agréable pour le Prince héritier d'aérer sa longue bite épaisse, l'exposer au soleil et prendre dans ses bras musclés son petit garçon blanc qui admirait avec lui la vue du paysage depuis une colline. Voyant les zèbres, les lions et les éléphants, Bello admirait la beauté de son nouveau pays, et il était heureux d'habiter au Oughanigeria. 🦏🦁🐘🦒🦓🐅
Bello embrassait les joues ou les épaules de son futur époux, branlait sa bite avec une main ou deux surtout. Puis, il se calait entre les cuisses de Kwabena et léchait ses couilles, en respirait l'odeur, embrasser la longue tige et prenait la bite en bouche le plus profondément possible. Parfois, le Prince ne désirait pas spécialement ejaculer, mais la plupart du temps il ejaculait un épais sperme chaud que Bello se mit rapidement à apprécier et à savourer car il savait que c'était celui de son Prince Charmant.
Enfin, le couple rentrait, que ce soit sur Asimwe, le cheval de Kwabena, ou chacun sur son destrier.
Le couple était heureux, plus que jamais. Mais dans l'ombre, le Prince Djiboulaye, l'un des frères cadets de Kwabena, était un sorcier qui prévoyait de lancer un sort pour priver son frère de bonheur et l'empêcher de ruiner le royaume par cette mésalliance.
Vêtu d'une chemise noire brodé d'or, il était près de sa mère, vêtue de bleu et d'or. Ils applaudissaient l'heureux couple lors de l'accord enfin donné par Aboubakar Moussa. Souriant, Djiboulaye dissimulait son envie de destituer son frère aîné et faire assassiner ce fiancé blanc et son père. Malheureusement, son complot pourrait prendre des proportions conséquentes s'il le mettait à exécution.
En attendant la célébration du mariage, le Prince, vêtu de sa plus belle tenue, admirait son fiancé danser pour lui et réciter des poésies de son pays en parlant dans la langue de son nouveau pays.
Comme le lui avait dit le fé, le joli Bello avait sauvé son père de la misère. Dans les bras musclés de son géant prince charmant noir, il avait trouvé l'amour et le bonheur.
FIN DE L'HISTOIRE
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barbiemonamie · 1 year
Text
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Comme c'est Skipper qui gardent les jumeaux Todd et Stacie, elle en à profité pour en faire une journée magique. Petite devinette ! Avez-vous reconnu en quoi est déguisé, Todd et Stacie ? Et de quelle histoire s'agit-il ? 
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corinneecrivaine · 9 months
Text
Maléfique
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Angélina Jolie is the perfect embodiment of this misunderstood and feared character.
The visuals are magnificent, with beautiful settings and images that plunge us into the world of fairies and their magic.
But above all, this story shows us what human beings have always done out of greed: take over a world that doesn't belong to them, acting infamously to satisfy their thirst for power.
In the 1st opus, Maleficent had a pure heart, but the betrayal of a love led her to darken her heart and become the most feared fairy over the years, becoming the incarnation of absolute evil.
This film demonstrates the following points:
1 - If you don't have a pure soul, you can fall into darkness through the betrayal and wickedness of people close to you, in whom you've placed your trust.
2- The more a rumor is told and amplified, the truer it becomes to the ears of those who hear it.
3- Evil can hide behind the most beautiful smile and the most innocent-looking person.
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jd-loves-fiction · 1 year
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I'm working on Conte de Fées, and now I'm sad that 1. Some characters (not the dorm leaders) don't have a story in this world and 2. Some Disney renaissance stories arent being used because there's no character in Twst related to them... But idk if i should do like a crossover type thing and put some characters in different Disney stories or if that'd be weird... I have a feeling it would only work one or two times🙃
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princess-ibri · 1 year
Note
Does the French fairytale Princess Mayblossom exist in the Disneyverse?
Eh, I was tempted for a bit as it is where the og name Carabosse comes from, but ultimately I decided that it was 1. A little too close to what we already have with Sleeping Beauty (hence why the name travled over into the Sleeping Beauty Ballet and became ubiquitous with the Wicked Fairy until Maleficent's portrayal gained prominence)
And 2. Its just a little bit too silly? Well not silly so much as tounge in cheek, which was very common for the salon fairy tales/ conte de fees before the Brothers Grimm's more folkloric style gained popularity (one of the reasons Beauty and the Beast has managed to become a staple when so many of the other salon takes have faded was because Beaumont's version reworked it into this folklore style)
And while I can definitely appreciate the tounge in cheek aspect and actually enjoy it from time to time my personal tastes run more towards Grimm's style.
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