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#biennale de venise 2022
bizarreauhavre · 2 years
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Uffe Isolotto, Danish pavillon, 59th Venice biennale.
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infernolemagazine · 2 years
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59e BIENNALE DE VENISE : FEMINISTE CERTES , MAIS ANACHRONIQUE ET SANS ECLAT
59e BIENNALE DE VENISE : FEMINISTE CERTES , MAIS ANACHRONIQUE ET SANS ECLAT
59e BIENNALE DE VENISE : FEMINISTE CERTES, MAIS ANACHRONIQUE ET SANS ECLAT – du 23 avril au 27 novembre 2022, Venise. La 59e Biennale d’Art contemporain de Venise, après deux années de pandémie et d’annulation, ouvre publiquement ses portes ce samedi 23 avril. Un programme résolument féministe, mais teinté d’une certaine nostalgie “belle époque” un peu déplacée, le tout hanté par une actualité…
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bodidarma · 2 years
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eytansalama · 4 months
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YUNCHUL KIM– CHROMA V
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À l’occasion de la biennale de Venise 2022, Yunchul Kim crée, pour le pavillon, coréen cinq sculptures cinétiques. Chroma V, la pièce centrale de l’exposition, évoque un serpent long de 50 mètres enroulé sur lui-même. Des moteurs sont accrochés sur l’ensemble de la sculpture, chaque moteur a pour but de bouger des plaques remplie d’un liquide à l’aspect métallique (l’artiste ne précise pas qu’elle est le liquide.) qui fluctue avec le mouvement des moteurs.
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L’artiste cherche à représenter, les constantes variations dans le monde contemporain. La structure est en constante évolution, elle change de couleur en fonction du mouvement du liquide et de l’angle de la lumière entrant. En plus des mouvements, la sculpture produit un son mécanique qui est créé par les moteurs. Cette œuvre fait penser à un cerveau artificiel qui fluctue et bouge de lui-même en fonction des stimuli extérieurs. C’est comme si l’artiste à chercher à créer un être artificiel qui vit et apprend grâce au monde qui l’entoure.
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Octobre 2022 - Croquis de centaure de l'oeuvre "We walked on Earth" de Uffe Isolotto au pavillon danois à la Biennale de Venise.
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art-et-archeo · 2 years
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par Claire Moulène - publié le 15 juillet 2022 à 17h26
"Depuis quelques semaines, de nombreux touristes se seront probablement retrouvés nez à nez avec le viril gorille de 5 mètres de haut installé place de la Concorde à Paris, à un jet de pierre de l’Elysée. Tout de laque rouge vêtu, à la tête d’une mini-meute trop rutilante pour être sauvage, le «Wild Kong» du sculpteur Richard Orlinski est de retour dans la capitale, quelques mois seulement après avoir paradé avenue des Champs-Elysées, et un an pile après avoir porté haut les couleurs de la France à l’occasion de l’Euro de football.
Lors de la dernière Biennale d’art contemporain de Venise, c’est à l’entrée des Giardini, où se tient la manifestation officielle, que le zoo d’Orlinski a fait escale en avril, à l’occasion des journées professionnelles. Il y restera jusqu’en novembre, épousant ainsi à 100 % le calendrier de ce rendez-vous international incontournable sans jamais y avoir été invité. Les professionnels venus du monde entier ont ainsi pique-niqué, sans trop y prêter attention, au milieu de ces treize sculptures qui recyclent les codes et les techniques de l’art contemporain tout en l’asséchant de tout contenu. Les 500 000 visiteurs attendus cette année, et pas forcément venus pour ça, ont de quoi se réjouir…
«Il s’agit d’une ruse»
Mais avant de se pencher sur ce qu’Orlinski fait à l’art, et à ceux qui le regardent, demandons-nous d’abord ce qui lui vaut de bénéficier si régulièrement d’une visibilité sans équivalent dans les rues de la capitale et ailleurs, visibilité qui, on s’en doute, n’est pas sans conséquence sur la cote et donc le prix de vente de ses œuvres. Et comment il réussit, entre autres tours de force, à s’imposer comme primi piatti de la plus prestigieuse biennale d’art contemporain au monde. En clair, qui orchestre et qui valide les OPA dans l’espace public de ce sculpteur qui n’apparaît dans aucune collection publique, n’a jamais fait l’objet d’une invitation dans l’une ou l’autre des institutions qui maillent l’écosystème pourtant dense de l’art contemporain (musées, centres d’art, fondations, presse spécialisée etc.), mais réussit régulièrement à se placer dans les à-côtés des grandes manifestations artistiques type Biennale de Venise, Fiac, Art Basel, Festival de Cannes.
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Au Grand Prix de France de Formule 1, en 2019.  (DPPI. AFP)
«Entré par effraction»
«On nous sollicite régulièrement pour organiser ce genre d’opérations», avance la directrice de la communication des galeries Bartoux, qui représentent Orlinski. En décembre dernier, c’est le Comité Georges V qui les avait contactés pour installer un clinquant Kong sur les Champs-Elysées. Cet été, c’est sur la place de la Concorde et de la Madeleine qu’on le retrouve en compagnie de deux autres sculptures monumentales. L’opération est pilotée par le Comité du Faubourg Saint-Honoré qui réunit 120 maisons de luxe mais aussi les galeries Bartoux et la galerie Orlinski (faisant commerce exclusif de son œuvre), qui font toutes deux partie du comité artistique, quelle belle coïncidence, et ont pignon sur rue respectivement au 5 avenue Matignon et au 68 rue du Faubourg Saint-Honoré.
«Nous avons assorti notre avis favorable de la demande expresse que le Comité renouvelle, à l’avenir, ses propositions pour faire valoir la diversité des artistes que les nombreuses galeries implantées à Paris représentent, tient-on néanmoins à préciser à la mairie de Paris. Nous entendons que de nouvelles figures de l’art contemporain puissent être visibles dans l’espace public.»
Il faut dire que depuis le début des années 2010, il ne se passe pas une année sans que les sculptures d’Orlinski n’occupent l’espace public parisien. Déjà en 2012, le sculpteur avait judicieusement choisi son moment, en marge de la Fiac. Peu importe qu’il n’ait pas été convié par la directrice de cette grande foire d’art contemporain, Jennifer Flay, Richard Orlinski installe son bestiaire aux Invalides, non loin du Grand Palais où se tient la manifestation officielle. Résultat : quand le quotidien la Dépêche titre «Plus de peur que de mal, la Fiac s’est “bien passée”», c’est avec une photo du Kong d’Orlinski qu’elle illustre son article. «La seule fois où j’ai pu exposer à la Fiac, c’était au travers d’une association caritative. J’y suis entré en quelque sorte par effraction avec mes crocodiles, qui attiraient beaucoup de curiosité et qui gênaient les autres exposants», commentera un peu plus tard Orlinski. A la même époque, l’artiste Xavier Veilhan assigne Orlinski en justice l’accusant d’une pratique pas banale, et dont on ne savait même pas qu’elle pouvait relever du droit : le parasitisme. En cause, l’usage des mêmes codes couleur, du même matériau, du même aspect facetté. Au final, les juges estimeront néanmoins qu’il n’y a pas «de contrefaçon, même partielle». Orlinski a en revanche, en 2011, bel et bien été condamné pour contrefaçon d’une table lumineuse d’Yves Klein.
«Vu à la télé»
C’est le même scénario qui se rejoue à l’occasion de la Biennale de Venise cette année, où Orlinski passe une nouvelle fois outre le fait de ne pas avoir été invité et réussit à figurer au premier plan de ce grand rendez-vous international de l’art contemporain avec lequel il entretient des rapports complexes, en installant ses sculptures monumentales dans les Giardini della Marinaressa. Cette fois, c’est la galerie Bel Air Fine Art qui organise l’opération, en collaboration avec le Centre culturel européen italien. Bel Air Fine Art, avec ses consœurs les galeries Bartoux, Opera Gallery ou Carré d’artistes, est l’un des acteurs de ce marché de l’art bis dont le périmètre (de la place des Vosges à la place Vendôme, de la rue du Faubourg Saint-Honoré à Saint-Tropez ou Courchevel), et les leviers, dessine un paysage résolument parallèle.
L’autre levier de cette stratégie d’occupation massive passe par les réseaux sociaux : ses sculptures fleurissent sur les comptes de nombreuses stars, de Céline Dion à Justin Bieber, de Nabilla, dont il a par ailleurs produit une statue en or massif, à celui d’un armateur italien qui a fait l’acquisition pour son yacht d’une pièce à 15 millions de dollars. Et par un usage continu du «vu à la télé», alors qu’il égrène les plateaux des émissions populaires où ses œuvres apparaissent en majesté ou à la manière de flashs subliminaux qui impriment l’inconscient des téléspectateurs : chevaux blancs arqués pour le palmarès de Miss France en 2017 et Kong rouge à l’entrée de la villa de Miami de l’émission de téléréalité les Anges, saison 9. C’est encore lui qui a créé en 2016 le trophée des «W9 d’or», puis en 2018 celui du Grand Prix de France de Formule 1…
Richard Orlinski raconte à qui veut l’entendre qu’il est «l’artiste français le plus vendu au monde». Son succès serait la revanche ultime d’un enfant pauvre parmi ses camarades de Neuilly-sur-Seine, où il est né en 1966, devenu paria officiel d’un art contemporain nécessairement élitiste – tout en faisant fortune sur son dos. «Richard Orlinski n’est pas méfiant à l’égard de l’art contemporain officiel mais au vu du rejet dont il est parfois victime de la part des représentants de ces institutions, il considère que ce sont plutôt ces entités qui le rejettent», défend son attachée de presse.
«Réseau Courchevel»
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A Courchevel, cet hiver.  (imageBROKER. Andia.fr)
Récemment débauché par le chantier naval girondin Couach pour customiser une série limitée de trois yachts de 26 mètres de long, Richard Orlinski, qui défend l’idée de ses expos «dans des lieux gratuits», «accessibles à tous», est quand même d’abord accessible à ceux qui en ont les moyens, sa conception des lieux gratuits étant un brin circonscrite au triangle d’or parisien ou aux stations de ski les plus huppées. Courchevel notamment, où dix de ses sculptures ont été installées à la faveur du programme «L’art au sommet» copiloté par les galeries Bartoux et l’association Courchevel tourisme. «Certains pensent que l’art doit rester élitiste, moi je me bats contre ça, commente depuis les pistes pailletées Richard Orlinski à l’occasion d’un entretien dans le Figaro. Ici, il y a 200 000 skieurs qui passent par heure et qui peuvent voir les œuvres.» «Orlinski appartient à ce qu’on pourrait appeler le “réseau Courchevel”, note Elisabeth Couturier. Beaucoup de galeries s’installent à côté des palaces car il y a toute une classe de nouveaux riches qui n’a pas le temps de faire les galeries».
«Il veut être discret»
Est-ce que tout cela est bien grave ? Si l’occupation quasi-exclusive par un seul «artiste» de l’espace public de Paris ou d’ailleurs a de quoi faire sérieusement tiquer, il est vrai que ces nouveaux collectionneurs peuvent bien acheter ce qui leur chante, après tout ça les regarde. Le problème n’en demeure pas moins que l’art de Richard Orlinski creuse le malentendu qui depuis les années 90 mine l’art contemporain : dialogue de sourds entre des détracteurs, nombreux, qui n’auront de cesse de souligner sa nullité, son snobisme ou sa vacuité, et des défenseurs acharnés, qui auront sans doute trop tardé à tirer un trait net et précis pour l’autonomiser d’un marché de l’art qui fait miroiter une réalité très éloignée de celle de 99 % des artistes aujourd’hui. La machine Orlinski pousse tous les curseurs au maximum : caricature d’un art vide de sens et sommes astronomiques en jeu. Symptôme d’une industrialisation de l’art contemporain, il entretient et alimente la confusion sur les frontières de l’art au nom d’une démocratisation qui n’en a que le nom.
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Richard Orlinski et sa sculpture «Le Chat», en partenariat avec Puma. (Abdesslam Mirdass/Hans Lucas)
«Sans objection»
Dernier hic lié à ce système de production : l’opacité qui règne sur sa gestion des numéros d’inventaire et autres éditions limitées. Selon son ancien bras droit, qui s’est retourné contre lui dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte en 2019 par le Parquet national financier pour «blanchiment de fraude fiscale aggravée», Orlinski userait de quelques petites astuces : «Il a fait énormément de “doublettes” : c’est-à-dire que le client est persuadé d’avoir un exemple unique ou une série limitée mais il trouve des trucs comme numéroter une série en chiffres romains, et la même en chiffres arabes. La série des crocodiles par exemple, officiellement à 500 exemplaires, existe donc deux fois et même trois fois, car il existe aussi des versions avec la tête du crocodile à droite, et une autre avec la tête du crocodile à gauche.»«Il n’y a aucune “astuce” dans la numérotation des œuvres, rétorque l’attachée de presse. Richard Orlinski respecte strictement les dispositions légales et réglementaires en vigueur, très spécifiques, sur les œuvres numérotées en chiffres romains et les œuvres numérotées en chiffres arabes, que cela concerne les œuvres originales ou les œuvres multiples. Il en est de même pour les crocodiles : ce sont deux sculptures différentes avec deux positions distinctes (la tête, le corps et la queue) qui ont été réalisées à la suite des demandes de certains collectionneurs, désireux de pouvoir disposer de pièces qui se répondent visuellement.»
Au-delà de ces stratégies marketing, Richard Orlinski fait aujourd’hui l’objet d’une enquête préliminaire toujours en cours, comme nous l’a confirmé le Parquet national financier. En attendant d’en savoir plus sur les avancées de cette enquête, il y a de quoi rester médusé par sa surexposition dans l’espace public. Ou par son apparition dans son costume de DJ le soir de l’investiture d’Emmanuel Macron, au Louvre, en 2017. Et enfin, alors qu’il avait été condamné pour contrefaçon d’un grand artiste français, par sa nomination comme chevalier des Arts et des Lettres par arrêté du 18 décembre 2020… «La candidature a été proposée le 14 octobre 2020 par Bernard Montiel, via le cabinet, se souvient la ministre de la Culture de l’époque, Roselyne Bachelot. Le bulletin numéro 2 du casier judiciaire, délivré le 26 octobre, portait la mention “néant”. L’avis du préfet d’Ile-de-France, était “sans objection”. La candidature, présentée au grade de chevalier, a finalement reçu un avis favorable du conseil des Arts et des Lettres pour une nomination directe au grade d’officier, en raison du rayonnement international du travail de l’artiste.»"
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laumond · 2 years
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Photo Officielle par Matteo Losurdo
"CONCORDANCE UNIVERSELLE"
- Exposition Patrick Laumond
- 59ème Biennale de Venise 2022
- Centre Culturel Européen d'Italie
- Palais Bembo du 23 Avril au 27 Novembre 2022
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isaluciole · 2 years
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In front of St Mark's Square - Venezia ( Italy)
Biennale de Venise 2022
Pictures: @vflpix
@padiglionevenezia @labiennale
#FuoriPadiglioneVenezia#PadiglioneVenezia#BiennaleArte2022#Beyondwalls#landart
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bodyrest46 · 2 years
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Le Voyage À Nantes Dépeint Des Mondes En Mutation
Enfant, il aimait créer de petites sculptures en craie, sculptures qui persuadèrent son père de le laisser partir à l’école des Beaux-Arts d’Amiens à 14 ans. Il passa par l’atelier d’Arsène Letellier jusqu’à ses 23 ans, avant d’être admis à l’école des Beaux-Arts de Paris devenant ainsi l’élève de Jules Cavalier en 1874. Il s’installa complétement à Paris en 1885 et épousa Clémentine Geasmens. Galerie Perrotin est une galerie d’art située au 50 Connaugh Road Central à Hong Kong. De nombreux artistes contemporains de renommée internationale comme Heinz Mack, Laurent Grasso, Bernard Frize y ont organisé des expositions. Une exposition qui fait la part belle aux poissons et autres créatures marines réelles ou mythologiques. Johann Perathoner nous fait voyager et nous invite à admirer Paris, Londres ou New York vu du ciel, grâce à son exposition gratuite, visible à la galerie d'art du Royal Monceau, du 14 avril au 19 mai 2022. Sponsorisé - En mai, la Cohle Gallery est ravie d’annoncer la nouvelle exposition très attendue de l’artiste américain Adam Handler, du 18 au 29 mai 2022. Suite à son solo show, Twinkling Unknowns, en 2021, Adam est de retour avec Love Land et sera cette fois-ci présent pour l’inauguration, mercredi 18 mai 2022. Le Musée d'art moderne de Paris consacre une exposition à l'artiste tchèque Marie Čermínová, dit "Toyen". https://lacotedorcafe.com/bijoux-recyclés-k.html
Un travail expressif qui vient compléter une artiste peintre déjà établie.
On peut également parler de la Fondation Taylor ou Association des artistes peintres, sculpteurs, graveurs, architectes et dessinateurs fondée en 1844 qui entretient l’objectif de développer et partager la connaissance des arts.
Il a également fait appel à des artistes croates pour décorer et égayer la demeure.
Célèbre pour son savoir-faire, cet artiste français prêche le retour à la nature.
Des grisailles seront toutefois à nouveau présentes au lever du jour sur les côtes du Languedoc-Roussillon avant de se dissiper en matinée.
Bertrand Lavier est une artiste parisien qui se bat contre la société de consommation. Ses oeuvres montrent le délire de notre société de consommation. Nathalie Decoster travaille sur la condition humaine et exporte ses oeuvres dans le monde entier. Le messager, un être humain, délivre un message sur notre condition humaine.
Plus Général Que Sculpteur
Il expose des sculptures en bronze et en marbre à la Galerie Albert Loeb et la Galerie des Beaux Arts. Il est sélectionné au concours mondial du diamant De Beers. François PomponFils d’un menuisier-ébéniste de Saulieu, apprenti tailleur de pierre chez un marbrier funéraire à Dijon il se forma aux cours du soir et gagna Paris à 20 ans. Tailleur de pierre le jour, élève de la Petite École la nuit – ancêtre de l’École nationale des arts décoratifs – Dès 1879 il exposa au Salon des portraits, le gagne-pain des sculpteurs. Pompon maîtrisait aussi bien l’art du bronze que la taille directe. Elle est montrée régulièrement à partir de 1974 dans la galerie d'Eric Fabre à Paris et chez Albert Baronian à Bruxelles. En 1982, Toni Grand est invité à partager le pavillon français à la Biennale de Venise avec le peintre Simon Hantaï. Originaire de Nancy, la famille Adam est la plus grande dynastie de sculpteurs français du XVIIIe siècle. Sur trois générations, ses membres déploient leurs talents auprès des plus grands mécènes et participent à plusieurs chantiers majeurs.
Difficultés De Sculpteur
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Voici les 6 sculpteurs contemporains les plus en vogue aujourd’hui. Sculpteur français (né à Paris le 8 juillet 1821, décédé en 1902), fils de Claude-Jacques Aizelïn, dessinateur, Eugène Aizelin entre à l'Ecole des Beaux-Arts, le 3 avril 1844. Les leçons de notre passé survivent de manière très présente dans les sculptures de Patrick Berthaud. Ce n’est pas seulement de la technicité ancestrale qu’il s’agit là et que l’on ressent dans la maitrise du geste, mais bel et bien aussi d’un esprit qui règne dans la matière, qui rode dans la facture et le traitement, dans le fondement même de l’œuvre. Il aime la sculpture sur marbre, la sculpture sur bois, la sculpture sur métaux, la sculpture sur pierre, mais avant tout l’association et le mélange de ces matériaux, sans contraintes ni règles établies. Artiste depuis vingt ans, cet autodidacte a su puiser son inspiration chez les grands artistes modernes et contemporains que sont Van Gogh, Gauguin, Gaudí et Soulages. Jean Cardot, artiste et membre de la section de sculpture de l'Académie des beaux-arts de l'Institut de France, est décédé le 13 octobre 2020, à l'âge de 90 ans. Le sculpteur, qui a exercé en tant que directeur d'institution et professeur, laisse derrière lui de multiples créations pérennes. L'art assyrien et égyptien sous la domination des prêtres resta stationnaire, toujours le même, sans progrès comme sans décadence. Quelques œuvres de l’artiste sont exposées au musée des Beaux-Arts de Nancy. Parcours croisés de sculptrices françaises en Belgique et de leurs collègues belges en France, leur présence dans les Salons et leur réception par la critique d’art. Ses sculptures ont évolué au fil du temps et évoquent désormais les mots et la lumière, la sérénité et la douceur, comme dans Spiegel en 2010. Anish Kapoor est un artiste contemporain d’origine indienne. Ces marchands d'art en ligne sont un choix populaire pour les collectionneurs car ils leur permettent de visualiser et de commenter le travail d'autres artistes à différentes étapes de la création. L'art contemporain est la forme d'art populaire d'aujourd'hui, réalisée au cours de la seconde moitié du XXe siècle ou du début du XXIe siècle. Ce que l'on entend par « contemporain » est toute œuvre réalisée au cours des dernières années, qui peut être étiquetée comme étant influencée par l'art contemporain. L'art contemporain se compose de plus d'œuvres abstraites que toute autre catégorie d'art. Les artistes de cette catégorie utilisent des couleurs, des formes, des textures et des thèmes pour donner vie à des sujets aussi vastes que l'espace, le temps et les êtres humains eux-mêmes. Lui qui vient du pied des Pyrénées se plaît à retrouver des montagnards. Ce sont de personnes très travailleuses, comme chez moi », ajoute-t-il dans un nuage de poussière, lui qui réalise une pièce intitulée « Chemin de non-retour ». La conception des notices de chaque ouvrage tient naturellement compte des sources disponibles. La particularité du point de vue de Lami tient de sa « double nature », à la fois artiste et amateur érudit. Cette spécificité fut par ailleurs soulignée par les critiques à chaque nouvelle publication.
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sysk-ehess · 5 months
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Sheelasha Rajbhandari & Hit Man Gurung
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Mardi 12 décembre 2023 à 17h (heure de Paris)
Tuesday December 12th 2023, 5pm (Paris time)
Co-commissaires de la 17e Biennale Jogja 2023 et de Colomboscope 2024 / Co-curators for 17th Biennale Jogja 2023 and Colomboscope 2024
Sheelasha Rajbhandari (née en 1988) est une artiste et une curatrice opérant partir de Katmandou. Ses travaux s'appuient sur une lignée de féminités incarnées et spéculatives pour remettre en question le positionnement des femmes à travers le temps, les paysages et les cosmologies. Sa pratique incite à réfléchir au-delà de la conception néolibérale du temps, afin de décentrer les structures patriarcales qui perpétuent les cycles d'extraction industrielle et d'épuisement individuel. Pour elle, l'art consiste à créer un espace pour l'action collective. Ce questionnement alimente sa récente approche artistique et curatoriale qui recompose les notions d'indigénéité, de genre, de valeur et de productivité. Elle a été co-commissaire de la Triennale Katmandou2077, du Pavillon du Népal à la Biennale de Venise (2022), de "Garden of Ten Seasons" à Savvy Contemporary, Berlin (2022) et de "12 Baishakh", Bhaktapur (2015) aux côtés de Hit Man Gurung. Son installation textile a été exposée au Museum of Art and Design de New York (2022) et au Footscray Art Center de Melbourne (2022). Son installation dans l'exposition itinérante " A beast, a god and a line " (2018-2020) a été présentée à Para Site, Hong Kong ; TS1, Yangon ; Museum of Modern Art, Varsovie ; Kunsthall, Trondheim ; et MAIIAM Contemporary Art Museum, Chiang Mai. Elle a également été artiste en résidence au Bellas Artes Projects (2019) et au Para Site (2017). Elle a en outre exposé au Weltmuseum Wien (2019) et à la Triennale de Katmandou (2017). Dans le cadre de son collectif, elle a participé au Dhaka Art Summit (2020) et à la Biennale de Sydney (2020). Elle est également cofondatrice d'ArtTree Nepal, un collectif d'artistes, et d’un espace artistique, Kalā Kulo.
Hit Man Gurung (né en 1984) est un artiste et un curateur basé à Katmandou. Ses diverses pratiques s'intéressent au tissu des mobilités humaines, aux frictions de l'histoire et aux échecs des révolutions. Bien qu'ancrés dans l'histoire récente du Népal, ses travaux démêlent un réseau complexe de liens de parentés et d'extractions à travers les géographies qui soulignent l’exploitation inhérente au capitalisme. Ces récits tournent autour des expériences vécues par les migrant·e·s, pris·e·s entre une industrie transnationale déshumanisante fondée sur le travail, et un État-nation apathique. Il invoque en outre les méthodologies et épistémologies indigènes pour reconfigurer dans ses fondements la praxis artistique contemporaine. Il a été co-commissaire de la Triennale de Katmandou2077 (2022), du Pavillon du Népal à la Biennale de Venise (2022), de "Garden of Ten Seasons" à Savvy Contemporary, Berlin (2022) et de "12 Baishakh", Bhaktapur (2015), aux côtés de Sheelasha Rajbhandari. Il a également cofondé ArtTree Nepal, un collectif d'artistes, et l’espace artistique Kalā Kulo. Il a participé à des expositions à SAVVY Contemporary, Berlin (2020) ; Biennale de Sydney (2020) ; Artspace Sydney (2019) ; Weltmuseum Wien (2019) ; Kathmandu Triennale (2017) ; Yinchuan Biennale (2016) ; Para Site, Hong Kong (2016) ; Asia Pacific Triennial of Contemporary Art, Brisbane (2015-16) ; et Dhaka Art Summit (2014, 2016, 2018, 2020).
[EN] Sheelasha Rajbhandari (b. 1988) is an artist and curator based out of Kathmandu. Her works draw upon an embodied and speculative lineage of femininities to question the positioning of women across time, landscapes, and cosmologies. Her practice is a provocation to reflect beyond neo-liberal conception of time in order to decenter patriarchal structures that perpetuate cycles of industrial extraction and individual exhaustion. For her, art-making is about making space for collective action. This questioning feeds into her recent artistic and curatorial approach that recompose notions of Indigeneity, gender, worth, and productivity. She co-curated the Kathmandu Triennale 2077, Nepal Pavilion at Venice Biennale (2022), ‘Garden of Ten Seasons’ at Savvy Contemporary, Berlin (2022) and ’12 Baishakh,’ Bhaktapur (2015) alongside Hit Man Gurung. Her textile installation was exhibited at Museum of Art and Design; NewYork (2022), Footscray Art Center; Melbourne ( 2022). Her installation in the traveling exhibition “A beast, a god and a line” (2018-2020) was presented at Para Site, Hong Kong; TS1, Yangon; Museum of Modern Art, Warsaw; Kunsthall, Trondheim; and MAIIAM Contemporary Art Museum, Chiang Mai. She has also been an artist in residence at the Bellas Artes Projects (2019) and Para Site (2017). She has furthermore exhibited at Weltmuseum Wien (2019); and Kathmandu Triennale (2017). As a part of her collective, she has been a part of Dhaka Art Summit (2020) and Biennale of Sydney (2020). She is also the co-founder of ArtTree Nepal, an artist collective and Kalā Kulo, an arts initiative.
Hit Man Gurung (b. 1984) is an artist and curator based in Kathmandu by way of Lamjung. Gurung’s diverse practice concerns itself with the fabric of human mobilities, frictions of history, and failures of revolutions. While rooted in the recent history of Nepal, his works unravel a complex web of kinships and extraction across geographies that underscore the exploitative nature of capitalism. These narratives revolve around the lived experiences of migrants caught between a dehumanizing transnational labor-based industry and an apathetic nation-state. He furthermore invokes Indigenous methodologies and epistemologies to fundamentally reconfigure contemporary artistic praxis. Gurung is one of the curators for 17th Biennale Jogja 2023 and Colomboscope 2024. He was co-curator for the Kathmandu Triennale 2077 (2022), Nepal Pavilion at Venice Biennale (2022), ‘Garden of Ten Seasons’ at Savvy Contemporary, Berlin (2022) and ’12 Baishakh,’ Bhaktapur (2015) alongside Sheelasha Rajbhandari. He has also co-founded ArtTree Nepal, an artist collective and Kalā Kulo, an arts initiative. He has participated in exhibitions at SAVVY Contemporary, Berlin (2020); Biennale of Sydney (2020); Artspace Sydney (2019); Weltmuseum Wien (2019); Kathmandu Triennale (2017); Yinchuan Biennale (2016); Para Site, Hong Kong (2016); Asia Pacific Triennial of Contemporary Art, Brisbane (2015-16); and Dhaka Art Summit (2014, 2016, 2018, 2020)
Programmation et prochains rendez-vous sur ce site ou par abonnement à la newsletter : [email protected]
Pour regarder les séminaires antérieurs : http://www.vimeo.com/sysk/
Séminaire conçu et organisé par Patricia Falguières, Elisabeth Lebovici et Natasa Petresin-Bachelez et soutenu par la Fundación Almine y Bernard Ruiz-Picasso para el Arte
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blossomgin · 1 year
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Adina Pintilie: You Are Another Me—A Cathedral of the Body, 2022
You are another Me- A cathedral of the Body de la cinéaste et artiste roumaine Adina Pintilie est une installation vidéo intégrant de la réalité virtuelle, présentée lors de la biennale de Venise 2022 pour le compte du pavillon roumain.  
Elle se compose de 6 écrans qui mettent en scène plusieurs couples de personnes nues de manière intime. Ils y témoignent de leur rapport au corps et celui d’autrui ainsi que de leur sexualités et genres.
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 Selon moi, l’approche qu’entreprend Adina Pintilie est extrêmement intéressante pour plusieurs raisons.  
La première concerne le dispositif utilisé. En effet, selon moi l’installation permet au spectateur d’être intégré et s’identifier au propos que celle-ci développe. De cette manière il est amené à se positionner de manière beaucoup plus intime. La place du spectateur devient finalement celle de l’installation elle-même.  L’utilisation de la réalité virtuelle me semble dans ce cas de figure l’élément indispensable de cette proximité avec le sujet.
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La deuxième Interroge le rapport difficile à l’intime et au corps dans un quotidien post-COVID. L’installation d’Adina Pintilie nous offre un début de réponse optimiste : L’intime est central dans le développement et l’identité de chacun. Et cela passe irrémédiablement par la libération du corps et les expériences corporelles de l’intellect.
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bizarreauhavre · 2 years
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Uffe Isolotto, Danish pavillon, 59th Venice biennale.
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infernolemagazine · 2 years
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LA BIENNALE DANZA 2022, VENEZIA
LA BIENNALE DANZA 2022, VENEZIA
LA BIENNALE DANZA, VENEZIA – 22-31 July 2022 The 16th International Festival of Contemporary Dance runs from 22 to 31 July 2022, directed by Wayne McGregor. The programme will feature daily events with soloists and international companies as well as the activities of the Biennale College Danza dedicated to specific training projects that will be included in the Festival’s programme. Wayne…
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bouxmounir · 2 years
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Des portraits de Réunionnais de la Croix sont exposés dans le cadre de la bi
Des portraits de Réunionnais de la Croix sont exposés dans le cadre de la bi
C’est l’un des événements culturels les plus dynamiques d’Europe. Jusqu’au 27 novembre, la Biennale de Venise rassemblera tout ce qui se passe dans le monde de l’art contemporain. Une exposition de photos d’enfants victimes de maltraitance dans la programmation. Parmi ces victimes : deux Réunions de la Croix. Cécile Baquey • Publié le 25 mai 2022 à 17h24 mise à jour le 26 mai 2022 à…
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mbarkitekt · 5 years
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BERNARD TSCHUMI
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Bernard Tschumi est largement reconnu comme l’un des plus grands architectes d’aujourd’hui. D'abord connu sous le nom de théoricien, il a attiré l'attention sur sa pratique architecturale innovante en 1983, en remportant le prestigieux concours du parc de la Villette, un parc culturel de plus de 125 hectares axé sur des activités aussi naturelles que la nature. Les concepts imbriqués «événement» et «mouvement» dans l’architecture sont confortés par la conviction de Tschumi que l’architecture est l’innovation la plus importante de notre époque. Tschumi fait souvent référence à d’autres disciplines dans son travail, telles que la littérature et le film, prouvant que l’architecture doit participer à la polémique de la culture et remettre en question ses fondements.
Depuis lors, il s'est fait une réputation pour ses conceptions novatrices, notamment le nouveau musée de l'Acropole; Studio national du Fresnoy pour les arts contemporains; le siège de Vacheron-Constantin; Le centre d'athlétisme Richard E. Lindner de l'Université de Cincinnati; deux salles de concert à Rouen et Limoges, et des écoles d'architecture à Marne-la-Vallée (France) et à Miami (Floride), ainsi que le centre et musée archéologique Alésia, entre autres projets. La polyvalence du bureau s’étend aux projets d’infrastructure et aux plans directeurs. Les grands projets d’urbanisme récemment exécutés ou en cours d’exécution sous la direction de Tschumi comprennent des plans directeurs à Beijing, à Shenzhen, à New York, à Montréal, à Chartres, à Lausanne et à Saint-Domingue, avec une nouvelle ville pour 40 000 habitants. Le Passage et l'hôtel de La Haye aux Pays-Bas, la Philharmonie du Rosey près de Genève, l'agrandissement du siège de Vacheron Constantin et la rénovation et la refonte du zoo de Paris ont été achevés récemment. L'exploratorium, musée de l'industrie et de la ville de 50 000 pieds carrés, a ouvert ses portes en 2017 à Tianjin.
Tschumi a reçu le Grand Prix National d’Architecture de France en 1996 ainsi que de nombreux prix décernés par l’American Institute of Architects et le National Endowment for the Arts. Il est membre du College of Fellows de l'American Institute of Architects. Il est également membre international du Royal Institute of British Architects en Angleterre et du Collège international de philosophie et de l'Académie d'Architecture en France, où il a reçu de nombreux honneurs, dont le rang d'officier dans ses deux fonctions. la Légion d'Honneur et l'Ordre des Arts et des Lettres. Le Musée de l’Acropole de Tschumi a été finaliste du Prix de l’Union européenne pour l’architecture contemporaine en 2011 et du prix d’honneur de l’AIA la même année.
Les nombreux livres consacrés aux écrits et à la pratique architecturale de Tschumi comprennent une monographie complète, intitulée Architecture Concepts: Le rouge n'est pas une couleur, raconte la carrière de Tschumi dans le travail et les idées depuis les années 1970 et a été publiée par Rizzoli en 2012, Event-Cities en quatre parties. séries (MIT Press, 1994, 2000, 2005 et 2010); The Manhattan Transcripts (éditions de l’Académie et de St. Martin’s Press, 1981 et 1994); Architecture and Disjunction (MIT Press, 1994, traduit en huit langues); et la monographie Tschumi (Universe / Thames and Hudson, version anglaise et Skira, version italienne, 2003). Une série d'entretiens avec l'architecte a été publiée par The Monacelli Press sous le titre Tschumi on Architecture (2006). Parmi les autres publications récentes figurent une biographie en français et en anglais sur Tschumi de Gilles de Bure et le Nouveau musée de l'Acropole, publiée par Skira / Rizzoli et l'important catalogue du Centre Pompidou à Paris (2014).
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Biology-Pharmacy-Chemistry 'Metro' Paris-Saclay, 2015-2022
Diplômé de l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich (ETH), Tschumi a enseigné l'architecture dans diverses institutions, notamment l'Architectural Association de Londres, la Princeton University et la Cooper Union de New York. Il est professeur à l’école supérieure d’architecture, de planification et de préservation de l’Université Columbia, où il a été doyen de 1988 à 2003. M. Tschumi est un résident permanent des États-Unis et possède la nationalité française et suisse.
Les œuvres de Tschumi ont été exposées lors d'expositions personnelles au Museum of Modern Art de New York, à la Biennale de l'Architecture de Venise, à l'Institut d'architecture des Pays-Bas à Rotterdam, au Centre Pompidou à Paris, ainsi qu'à d'autres musées et galeries d'art aux États-Unis et en Europe. .
Au cours des années 1970, Bernard Tschumi a insisté, par le biais de dessins et de textes écrits, sur le fait qu’il n’existait pas d’architecture sans événement, sans action ni activité. Ses premiers travaux ont reconnu que les bâtiments répondent aux activités qui s'y déroulent et s’intensifient, et que les événements modifient et prolongent de manière créative les structures qui les contiennent. En d’autres termes, l’architecture n’est pas définie par son conteneur «formel», mais plutôt par ses combinaisons d’espaces, de mouvements et d’événements.
Cette recherche a été mise en pratique en 1983 avec la commission chargée de concevoir le parc de la Villette, d'une superficie de 125 hectares. L’objectif du projet est devenu le point de départ d’un nouveau parc «culturel» basé sur l’activité plutôt que sur la nature, dont les nombreux bâtiments, jardins, ponts et terrains serviraient de lieu de concerts, d’expositions, d’événements sportifs, etc. Le succès populaire de La Villette (sa fréquentation annuelle dépasse de loin celle d’EuroDisney’s) va de pair avec les changements programmatiques qu’il favorise, comme lorsque ses terrains de jeu verdoyants sont transformés en un cinéma en plein air de 3 000 sièges les nuits d’été, modifiant radicalement le site.
Parmi les projets achevés par le bureau, en plus du parc de la Villette, figurent le Studio national du Fresnoy pour l'art contemporain à Tourcoing (France) (1997); Le Lerner Hall Student Center de l’Université Columbia à New York (1999); École d'architecture de Marne-la-Vallée à Paris (1999); l'interface Flon, une station de bus, de train et de métro et un pont piétonnier à Lausanne, en Suisse (2001); une salle de concert et un complexe d'exposition de 8 000 personnes à Rouen, en France (2001); l'École d'architecture de l'Université internationale de Floride à Miami, en Floride (2003); siège de Vacheron-Constantin à Genève (2004); le centre d’athlétisme Richard E. Lindner de l’Université de Cincinnati à Cincinnati, Ohio (2006); la salle de concert de Limoges à Limoges, France (2007); BLUE, une tour résidentielle de 17 étages située dans le Lower East Side de New York (2007); l'école d'art et de design ECAL à Lausanne, en Suisse (2007); le musée de l'Acropole à Athènes (2009); le musée archéologique Alésia en France (2012), le zoo de Paris (2014) et l'exploratorium, un musée de l'industrie et de la ville de 400 000 pieds carrés, à Tianjin, en Chine.
Bernard Tschumi est accompagné de plusieurs partenaires et associés, notamment Véronique Descharrières à Paris (BTuA), Joel Rutten à New York (BTA) et Neo Zhong à Shanghai.
Bernard Tschumi Les caractéristiques linéaires des dessins de Tschumi s’accompagnent souvent de celles de formes incurvées ou organiques. Tschumi combine les qualités urbanistiques et naturalistes du site dans ses conceptions de bâtiments pour créer des qualités modernistes dans ses conceptions. Une autre clé pour définir le style de conception de Tschumi est que ses conceptions s’efforcent de s’intégrer à l’environnement qu’elles englobent. Cependant, ils ne s’intègrent pas de manière harmonieuse, mais ils fonctionnent de manière fonctionnelle et représentent visuellement les intentions de conception de Tschumi.
Le style de conception de Tschumi est souvent une intégration de formes linéaires et de courbure dans son architecture. Un exemple de l'intégration utilisée dans ses méthodes de conception peut être trouvé dans le Parc de la Villette à Paris, en France. La base principale des conceptions de Tschumi est la grille. Que ce soit horizontal ou vertical, en angle ou droit, il est généralement une partie dominante de ses dessins. Les grilles incorporées dans ses conceptions sont généralement dérivées des caractéristiques du chantier ou de la ville.
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source https://www.mbarkitekt.com/2019/04/bernard-tschumi.html
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bizarreauhavre · 2 years
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Venice biennale 2022.
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