Tumgik
#ah bon bah si c'est comme ça alors
leleaulait · 8 months
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Déboires n°60 avec mon Sub :
Alors !! Hier je vais voir mon médecin pour qu'il me fasse un chevauchement d'ordonnance car j'avais pris BIEN plus de Sub que prévu, j'ai merdé quoi. J'étais ultra nerveuse je me suis même effondré devant lui alors qu'il m'a clairement dit qu'il fallait que j'arrête de me flagellé pour ça, il n'y a rien de grave, ça arrive et c'est pas si grave vraiment. Il m'a dit qu'en 3ans de traitement je n'avait jamais été demandé un chevauchement et ça c'est déjà ouf et qu'il fallait que la prochaine fois que ça m'arrive, j'aille le voir tout de suite pour ne pas subir le manque, ça sert a rien, qu'il préfère me faire un chevauchement de 20 boîtes plutôt que j'aille me défoncer comme avant.
Bref il fait le chevauchement, l'ordonnance blabla, je vais à la pharmacie et la.... Bah elle ne peuvent pas me donner les boîtes car il a oublié de marqué "chevauchement autorisé dessus". Ah ! La pharma essai de le joindre au tel, évidemment il était 18h50 il était déjà partie 👍 du coup bah pas grave demain matin j'appelle la secrétaire pour qu'elle lui dise de me refaire une ordo (je n'en veux pas au pharmaciennes adorables, elles n'ont pas le droit de depane ce genre de médocs). Donc ce matin je prends tout mon courage à deux mains, j'appelle la secrétaire qui me dit que, bah non il est pas là le jeudi. Ah ! Je lui explique que c'est con parce que c'est juste une erreur d'ordonnance, et la... Elle commence à me dire "attendais je regarde votre dossier pour voir pour quoi c'est", je me suis dis "soit elle est sympa, soit elle vas me faire chier parce que c'est mon traitement de substitution au drogue"
Bon je vous laisse deviner hein ! Elle m'a littéralement dit de façon incroyablement hautaine "non mais vous avez surdosé la !" Oui madame c'est pour ça que j'ai vu le médecin, c'est a ça que me sert l'ordo qu'il m'a fait. "Non mais vous croyez que je vais vous arranger le coup ? Vous aviez qu'à pas surdosé aussi"... Ok meuf t'es mon médecin ? T'es psy ? T'es mon addicto ? Je crois pas non alors juste ta gueule ! Je vous épargne BEAUCOUP de l'histoire mais mon copain a péter un câble et a demandé quoi faire a ma pharma qui on appeller SON médecin à lui qui a bien voulu me délivrer une boîte après qu'elles aient défendu m'a cause auprès du Doc parceque c'était pas gagné, ouuuuuf ! J'ai cru que j'allais encadrer la secrétaire. Elle m'a même dis "rappeler demain pour un rdv je verrai mais je sais pas si je pourrais vous arranger le coup" non mais wesh ! Je te demande pas d'arranger un coup ! Je demande que mon médecin corrige SON erreur ! Je suis déjà assez mal d'avoir foiré comme ça....
Pfiouuu ! Bravo si vous avez tout lu ! J'écris ça uniquement parce qu'il fallait que ça sorte j'en pouvais plus ! 💞
Et j'écris ça à chaud donc les il y a blindé de fautes 😅
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selidren · 6 days
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
5/10
Ils ont une relation assez particulière. J'ai parfois l'impression de voir un grand frère s'adresser à sa petite soeur, alors qu'ils ont strictement le même âge. C'est assez touchant quelque part. De son côté, elle tempère le caractère parfois un peu trop sévère de son frère et lui rappelle qu'il est toujours un enfant. C'est en les voyant que je regrette de n'avoir eu ni frère ni soeur. J'y pense d'ailleurs, en avez-vous vous-même ? Votre époux s'est parfois essayé à nous décrire les méandres de votre arbre généalogique, mais je ne crois pas qu'il ait déjà abordé le sujet.
Transcription :
Arsinoé « Mais bon, ne le lui dit pas, ça ne servirai à rien. Ah ! Je crois qu’on y est presque. Tu as pensé à prendre l’écharpe et le vieux chapeau de Grand-Père ? »
Marc-Antoine « Une minute… Le chapeau de Grand-Père ? Pour faire un bonhomme de neige ? Tu es sure que ce n’est pas trop… irrespectueux ? »
Arsinoé « J’ai demandé à Papa, et il pense que ce n’est pas grave. Il dit que de toute façon, plus personne n’oserait porter cette vieillerie. »
Marc-Antoine « Oui, mais de là à le laisser à la merci des éléments… »
Arsinoé « Bon, si ça te dérange tant que ça, je suis sure qu’on peut trouver autre chose. Oncle Adelphe est souvent d’accord pour nous prêter des choses. »
Marc-Antoine « Non ça ira, je ne vais pas jouer les rabat-joies. Mais tu ne te pose pas des questions sur notre grand-père de temps en temps ? »
Arsinoé « Non, pas tant que ça. Il faut dire que Grand-Mère ne cesse de nous rabattre les oreilles avec ses transactions, l’aménagement du jardin d’hiver, à quel point c’était un fils et un père exceptionnel… Parfois j’ai l’impression de l’avoir un peu connu. »
Marc-Antoine « Moi, pas du tout. Mais il avait l’air d’être quelqu’un d’exceptionnel. Grand-Mère dis que je devrai lui ressembler. »
Arsinoé « Mais tu lui ressembles déjà, c’est ce que dis Papa en tous cas. »
Marc-Antoine « Je ne suis pas sur que dans sa bouche, ce soit un compliment. »
Arsinoé « Ah heu… bah… on s’en fiche de son avis non ? »
Marc-Antoine « Wahou ! Arsinoé Le Bris se permet d’être irrespectueuse ? On devrait le faire dire à la gazette régionale ! »
Arsinoé « Oh arrête un peu. J’en ai peut-être marre que les seuls compliments que me font les adultes sont que je suis gentille et bien élevée ! Oh, mais ne répète pas à Maman que j’ai dit ça, je pense qu’elle ne serait vraiment pas contente. »
Marc-Antoine « Je serai muet comme une tombe. Grand-Mère dit que notre grand-père était très doué pour garder les secrets de la famille et que c’est utile. Donc je pense que je peux bien garder les secrets de mon héritière. »
Arsinoé « Ton héritière ? »
Marc-Antoine « Oui enfin, c’est une façon de parler. Mais dès que tu diras du mal des adultes, je serai là pour me taire et te couvrir. Tu peux compter sur moi ! »
Marc-Antoine « D’ailleurs, ça te dirait de faire quelque chose d’interdit ? »
Arsinoé « C’est à dire que… le soleil va bientôt se coucher. »
Marc-Antoine « Justement. Grand-Mère avait promis de m’emmener me promener et elle ne l’a toujours pas fait, alors que dirai-tu d’aller à l’étang pour patiner un peu ? Kléber m’a dit qu’il laissait toujours ses paires de patins là-bas pour éviter que sa mère ne les lui confisque. »
Arsinoé « C’est vrai que Kléber est malin, mais… tu es sur de toi ? On ne risque pas de se faire disputer vraiment très fort ? Et puis tu sais, Grand-Mère oublie pas mal de choses en ce moment, elle a peut-être juste besoin que tu lui rappelle de t’emmener en promenade. »
Marc-Antoine « Mais je n’étais pas en train de me plaindre ! Pas du tout ! Bon, après oui, on risque de récolter une volée de bois vert mais ça vaut le coup non ? »
Arsinoé « Bon allez, d’accord ! »
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emmarousil · 7 days
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Super début de journée (non)
Je me lève, normal, comme tous les jours. Ma mère : "Bonjour, bonne fête !"
Moi je ne comprend pas, logique. C'est pas mon anniversaire ou tout autre truc du genre. Du coup je fais la tête je-comprend-pas-ce-que-tu-me-dis-la.
Donc ma mère continue : "Bah oui, c'est la fête des Emma aujourd'hui !"
J'adore la vie.
C'est le genre de truc, habituellement je m'en fous complètement. Mais malgré ma forte insensibilité et fort manque d'émotion, ah venant de ma mère ça fait bien mal quand même. C'est ce que j'appelle une "fissure dans ma glace". Il n'y a que deux personnes qui peuvent me faire mal, ce sont ma mère et ma sœur de cœur Rousil (pseudo hein).
Plus sérieusement, je devrais lui dire que je suis trans. Mais pour le moment j'en suis incapable. C'est pas sa faute si elle dit ce genre de trucs par rapport à mon deadname, mais c'est de sa faute que j'arrive pas à lui dire.
Elle s'est foutue de ma gueule une fois, pas deux.
Je ne sais plus quand, elle avait regardé le téléfilm "Il est elle" (du coup c'était quand il est passé à la télé). Moi c'est dans le sens inverse, mais je me suis dit "elle regarde un truc sur les trans sans rien dire de négatif, c'est bon signe !", rien de mieux pour mettre en confiance.
À ce moment la, j'assumais ma transidentité seulement IVL et avec ma sœur. Je l'avais vaguement dit à mes amis au collège en 3e, sans demander un quelconque changement de comportement par rapport à moi (changement de prénom ou de pronom etc). Il n'y a qu'aujourd'hui que mes amis IRL sont au courant et s'adressent à moi avec mon nouveau nom. Je pensais que ce serait mieux si ma mère était la première personne à savoir (IVL c'était une sorte de "test", pour me rassurer, sans oublier que pendant longtemps j'étais un peu transphobe envers moi-même) et qu'elle pourrait donc choisir mon nom. Seulement quelques mois après le téléfilm (car je manque beaucoup de courage) j'ai fini par lui en parler. Sur le moment elle n'a rien dit, elle était juste gentille. Je me suis dit que c'était bon. Mais quelques jours plus tard, elle se met en colère contre moi et dit que si je lui avait dit que j'étais transgenre, c'était un mensonge pour lui faire pitié, pour pas qu'elle me punisse etc. Je n'ai pas trop compris la logique mais elle ne m'en a jamais reparlé après. Il n'y a que cette année, je ne sais plus quand exactement, je lui ai dit que ça m'avait blessé alors qu'elle disait que j'étais méchant avec elle (alors que je prend bien soin de ne rien lui dire de blessant, contrairement à elle). Elle a fait mine de pas s'en souvenir (je ne sais pas si c'est vrai ou non je ne suis pas dans sa tête) et s'est excusée. Elle m'a demandé l'air inquiète si j'avais encore des "doutes" (alors que quand je lui en avait parlé je lui ai jamais dit que j'avais des doutes, mais que j'étais bel et bien transgenre mais bon...). Je sais pas pourquoi j'ai bloqué, et je lui ai dit que j'étais cisgenre et qu'il n'y a aucun problème. Comme je lui avait avoué ça durant une dispute, j'avais peur qu'elle aie la même réflexion.
Depuis je suis complètement bloqué, je n'arrive pas à lui dire. Je sais même pas comment je devrais faire. Je ne sais pas comment ça va finir.
Mais bon pour avancer faut bien que je lui dise ? mais je sais que je vais pas le faire à moins qu'il arrive quelque chose de grave ou une "illumination".
Je vis seul avec ma mère, personne pour m'aider.
Ma petite sœur de cœur qui m'aidait beaucoup soutenu a déménagé, on ne se parle plus que par messagerie. Son soutient via messagerie est... beaucoup moins utile ? Elle fait de son mieux, mais j'aurais besoin d'elle à côté de moi.
Je ne connais personne de transgenre IRL, et IVL je n'ose pas embêter mon amie transgenre avec ça.
Mon père n'est pas méchant, mais il vit loin et n'a pas de téléphone portable. Pour le contacter je devrais appeler sur le fixe, et donc parler à mes grand parents avec lesquels j'ai coupé les ponts car toxiques (car mon père est un Tanguy XD). C'est dommage car c'est quelqu'un de compréhensif, même quand il a découvert via GTA (oui le jeu) que j'étais "lesbienne" (je raconterais ça plus tard c'était hilarant XD). du coup ça fait plusieurs années que je ne peux plus lui parler.
Mon ancien demi grand frère nous a abandonnés il y a longtemps en nous piquant de l'argent. Je sais même pas s'il est vivant mdr.
En bref, je vis seul avec ma mère qui n'a confiance en moi que parce que "je suis une fille", et qui a peur dès que j'ai un comportement trop masculin. Comment je devrais faire moi, pour lui dire que je suis du même genre que tous ceux qui lui ont pourri sa vie ? Même moi je ne me comprend pas, alors elle...
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ernestinee · 1 year
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Aujourd'hui, j'ai ressorti mon manteau préféré pour aller en ville, il est jaune vif. Justement on parlait ce matin d'un documentaire qui explique que la vie devient grise, qu'on assume de moins en moins les couleurs. Par convention, par discrétion, par peur de se démarquer. J'adore le jaune, j'ai ce manteau depuis une éternité et je l'avais délaissé pendant que la mode était au jaune. Maintenant que c'est bien passé, je ressors le jaune pour la fin de l'hiver.
Je suis allée à la ludothèque et j'ai loué des jeux parce que j'ai une nouvelle patiente à partir de lundi et c'est une rééducation inhabituelle. Elle n'a qu'un an, je ne suis pas équipée pour les tout-petits. Elle a une surdité modérée, ce n'est pas ma première surdité mais je vais passer une partie du weekend à relire des infos sur la structure du bilan et la prise en charge.
Cet aprem, il faisait lumineux et je suis allée marcher, j'ai mis mon pilou bleu vif et mon legging du yoga et quel périple, que dis-je, quelle épopée ! (Oui bah j'exagère si je veux)
Donc d'abord il faut savoir que j'adore marcher seule mais que j'ai de grosses appréhensions, j'avais donc prévu d'aller faire le tour d'un lac où l'ambiance est plutôt sereine et sécurisante. Il y a des observatoires à oiseaux et on n'y croise que des photographes bien équipés et machinalement, j'ai roulé en voiture vers un endroit tout à fait différent. C'est un bois quadrillé presque mathématiquement par des sentiers, impossible de se perdre. Il y a deux petits lacs que j'adore parce qu'ils sont remplis de grenouilles à la fin du printemps.
Bon alors j'arrive là en me disant "ah beh tiens qu'est ce qu'on fout là" ("on" c'est ma voiture et moi, oui) puis en me disant "bon ok tant pis" il ne restait plus que deux heures avant la pénombre du soir, et en plus j'ai des comptes à régler avec cet endroit. Le weekend c'est fort fréquenté alors que j'avais envie de calme mais bref. Je marche et j'ai pas fait 100 m que je croise un groupe de mecs en train de courir. Puis 100m plus loin un groupe de vététistes, ils ont tous fait attention à la flaque qui était à proximité et j'ai trouvé ça sympa, je suis vite contente moi, sauf le dernier qui m'a éclaboussée et là je me suis dit "pfff c'est vrai que ça aurait été chouette le vélo" parce que j'aime bien rouler dans les flaques aussi, et être pleine de boue, et je me suis sentie comme une merde d'être là en train de marcher mon tel à la main pour les photos, et puis je me suis dit "pfff flemme de mettre le porte-vélo quand même" puis je me suis dit "mais quelle moule c'est incroyable !" Puis je me suis dit "oh hé c'est bon hein ça suffit je n'arrête pas de la semaine j'ai bien le droit d'avoir la flemme le samedi!" Puis je me suis dit "en plus c'est plein de boue, c'est pas moi qui vais devoir nettoyer un vélo ce soir dans le froid et dans le noir", alors je me suis dit "cheh !" rapport au type qui avait éclaboussé mon legging haha vous saurez tout sur mon dialogue intérieur palpitant voilà voilà.
Puis j'ai vu par terre des feuilles en forme de coeur, ce sont des feuilles d'aulne, et du coup je me suis rendue compte que j'avais dépassé le croisement que je prends habituellement parce que généralement je reste du côté chênes, hêtres, bouleaux et pins. J'ai vu une maison à vendre en plein milieu du bois. J'ai bifurqué et ça sentait l'urine de sanglier et effectivement un peu plus loin il y avait des traces de sangliers qui avaient retourné la terre très récemment peut-être la nuit d'avant. Là j'étais revenue du côté des chênes. Il faisait plus calme que d'habitude. Pas concernant les promeneurs et leurs chiens mais les oiseaux surtout, le murmure de la forêt. J'ai trouvé que c'était joli les espèces de motifs des feuilles de chênes qui se répètent sur le sol. J'ai pensé à ce qui me touche en ce moment.
J'ai eu un peu froid et je me suis rendue compte que ma fermeture éclair descendait toute seule jusque sous mon sternum parce que.... j'ai pris des boobs (😎😁) par contre il y a des trous pour les pouces et je trouve que ça devrait être totalement généralisé. Je me suis dit que j'aimerais me crocheter des mitaines pour mettre avec les gilets un peu nuls qui n'ont pas de trou pour le pouce.
Puis je suis arrivée le long du lac et je suis contente,avec tout ce qu'il a plu, il n'est pas aussi sec que l'année dernière. Vraiment je suis contente, j'avais eu peur pour cet endroit lors de la sécheresse de l'été. Juste à côté il y a le deuxième lac c'est l'endroit où un connard en qui j'avais confiance avait essayé de me contraindre il y a presque deux ans. Ça n'a plus jamais été pareil d'aller dans ce bois, j'ai déjà essayé sans succès de me réapproprier le lieu, parce que j'aimais cet endroit, je m'y sentais comme dans un cocon malgré le bruit des promeneurs. Enfin comme je suis arrivée jusqu'à ce bois sans m'en rendre compte, je me suis dit que c'était l'occasion de chasser les démons au moins un peu. J'y suis allée, le long du lac avec le sapin, dans les fougères qui grattent, et qui sont fanées en ce moment. J'ai repensé à la série d'évènements qui ont mené à cet après-midi là. C'est loin d'être mon pire vécu, celui-là n'est pas arrivé à ses fins, mais le fait que j'avais confiance donne un goût particulier.
J'ai arrêté de bouger, j'ai réussi à inhiber un bruit après l'autre pour ne plus entendre que les quelques oiseaux, j'ai reconnu la sittelle torchepot et je m'y suis accrochée comme à une bouée. Quand on tente d'effacer des souvenirs, c'est un peu comme quand on gomme un truc alors qu'on avait appuyé trop fort sur le crayon.
Après je suis retournée sur le sentier principal, j'ai cherché la sittelle du regard. Ce n'est pas facile sauf si on connaît son rythme de déplacement. C'est un oiseau rapide qui vole de tronc en tronc. Il s'accroche au tronc et se promène dessus, tête à l'envers. Je l'ai trouvée, ainsi qu'un rouge gorge et un pic épeiche. J'ai cherché des plumes de pic épeiche sur le sol mais je n'en n'ai pas trouvées. Elles sont superbes, noires avec des points blancs. Encore une fois, j'ai trouvé le bois très silencieux, même pour la saison et j'ai compris la raison de ce silence en arrivant à la voiture. Il y avait un panneau, que je n'avais pas vu dans l'autre sens, avec les dates des battues de chasseurs, et la dernière date d'hier. Le bois est traumatisé encore, il lui faudra quelques jours pour s'en remettre, comment peut-on laisser entrer des armes, et la violence de ce panneau rouge et jaune, dans la poésie des sittelles, des plumes de pic épeiche et des dentelles de feuilles...
Le bois était dans la pénombre et le froid s'est fait plus piquant assez vite. J'avais les cuisses un peu endormies par le froid, 0,5° m'a dit la voiture, et j'aime bien la sensation de la peau qui se réveille quand la température remonte dans la voiture.
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miung-dreamer · 1 year
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"J'attends votre retour"
Voici une fic Pendranievre que j'ai commencé y a longtemps. Pas super satisfaite mais bon... Cela appellera peut être une suite.
J'espère qu'elle vous plaira quand même.
*************
Enfin Carohaise! C'était pas trop tôt. Arthur en avait plein le dos de son voyage qui l'avait amené sur l'île de Thanet. Reprendre les habits de souverain était déjà dur pour lui après dix années de retraite bienvenue. Parlementer avec des Saxons pour finalement les accepter à la Table Ronde, un sacerdoce. Mais là, sur le chemin du retour, Perceval n'avait rien trouvé de mieux que d'expliquer en détail des jeux gallois. Dont le Robrobol. Les soupirs, les coups de sang et les menaces d'avoine lancés par le Roi n'avaient pas convaincu le chevalier de fermer sa mouille.
Bon Arthur le savait. Perceval agissait comme ça parce qu'il était très content de le retrouver. Mais là, le souverain ne rêvait que d'une chose : se mettre au pageot avec une bonne tisane. Et près de Guenièvre si possible.
A peine entrés dans la forteresse, les deux hommes furent accueillis par une Seli agacée et impatiente.
- Ah bah c'est pas dommage !
- Bonsoir à vous aussi, grommela Arthur. Ça fait bien plaisir, l'accueil.
- Oui et bien, figurez vous que ça fait deux jours que je guette votre retour. Vous croyez peut être que ça m'amuse de faire le pet ?
Arthur et Perceval se regardèrent, sans rien dire.
- Du coup, qu'est ce qu'on fait, belle-mère ? On reste là à s'envoyer des amabilités ou on peut se piauter ? Je vous cacherais pas que Perceval et moi, on en a plein les pattes.
- Ouais, carrément, acquiesça le gallois. J'ai mes yeux qui ont sommeil. Ils arrêtent pas de se fermer tout seul.
- Très bien, soupira-t-elle agacée. Suivez moi les héros.
Après avoir montré la chambre prévue pour Perceval, la Picte emmena sans attendre Arthur à la sienne, située au même étage mais à la toute fin d'un couloir.
- La voici. Vous verrez, y a déjà tout ce qu'il faut, expliqua Seli. Bon je vais demander à une bonniche de vous apporter un peu de bectance. Je suppose que vous avez faim à cette heure-ci ?
Arthur regarda sa belle-mère, puis la porte de la chambre, les murs du couloir et de nouveau sa belle-mère, les yeux froncés.
- Un problème, mon gendre ?
- Euuuuuuuuh... Ouais. On est où là ?
- Comment ça ? Vous voyez bien qu'on est dans un couloir.
- Non mais merci. Ça va, je ne suis pas complètement débile, râla-t-il. Sauf que là... Là ! On n'est pas à l'étage habituel des chambres ?
- Ah non, là c'est l'étage pour les invités.
- C'est ça ! Et pourquoi je suis logé ici alors ?
Seli haussa ses sourcils puis souffla bruyamment du nez.
- Vous n'êtes pas un hôte, peut être ? Vous avez une chambre rien que pour vous, vous devriez être content...
- Mais, comment dire... Je dors à cet étage juste pour ce soir ?, demanda Arthur, confus.
- Ce n'est pas prévu comme ça. C'est votre chambre attitrée, rétorqua Seli en pointant du doigt la porte close.
Après une longue pause, elle ajouta :
- Ne me regardez pas comme ça ! C'est une idée de ma fille. C'est elle qui m'a demandé, figurez vous. Moi, j'étais contre mais faut croire qu'en dix ans, elle a gagné en assurance. Du coup, vous êtes là et elle, à l'étage du dessus.
Arthur fixa quelques instants sa belle-mère, la mine renfrognée. Puis, ni une, ni deux, Arthur entra dans la chambre brusquement pour jeter ses affaires sur le lit. "Et bonne nuit !!" entenda-t-il Seli crier à travers la porte.
Une chambre d'invité ? Une chambre à l'étage du dessous ? Mais qu'est ce que cela voulait dire !?!
Arthur faisait les cent pas. Elle en avait déjà marre de lui ? Pourtant ils s'étaient retrouvés et les choses s'étaient plutôt bien passées.
Elle lui avait même préparé elle-même un petit frischti pour le voyage. Non là, y avait un truc qui tournait pas rond ! Il avait du se passer quelque chose durant son absence. Ou alors elle s'est aperçue qu'elle ne voulait plus...
Non non non ! Certes, ils n'avaient pas eu le temps de bien se causer après la bataille de Kaamelott. Des festivités avec les Burgondes avaient duré plusieurs jours pour célébrer leur victoire et la chute du tyran Lancelot. Festivités durant lesquelles Calogrenant et Leodagan avaient ensemble suggéré à Arthur qu'il fallait mettre les choses au claire de toute urgence avec les Saxons. Ils étaient une menace et ça ne datait pas d'hier...
Le voyage avec Perceval avait été préparé dans la foulée. Le jour du départ, Guenievre avait accompagné les deux hommes à l'entrée de château et avait simplement murmuré à Arthur : "J'attends votre retour". Son regard était rempli de douceur et de confiance. Le roi avait seulement hoché la tête sans un mot. Cependant il s'était retourné à plusieurs reprises en chemin pour la contempler encore une fois, dans sa robe épaisse d'un bleu pâle et ses cheveux léchés par le vent. Cette vision ne l'avait pas quitté jusqu'à Thanet.
Arthur devait en avoir le cœur net. Si tout avait changé, il avait besoin de le savoir. Après s'être mis un peu plus à l'aise, il se saisit d'une bougie et s'enfonça dans le château pour trouver la chambre de Guenièvre.
Arrivé à l'étage de la famille royale, ses pas ralentirent. De nombreuses années s'étaient écoulées depuis sa dernière venue à Cahoraise et il n'était plus sûr où elle dormait. Il passa devant plusieurs portes. Il reconnut de suite celle de ses beaux-parents avec un Leodagan s'exclamant d'un ton vif à travers la porte : "Comment c'est ma faute ? Guenievre est à moitié picte, je vous ferai dire !?!"
Arthur leva les yeux au ciel. Le temps n'avait vraiment pas eu d'emprise sur certains...
Il arriva devant une autre porte et entendit des voix féminines :
- Nessa, je vais m'en occuper. Ne vous inquiétez pas. Vous pouvez aller vous coucher maintenant.
- Madame, vous ne voulez pas quand même une petite tisane pour la nuit ?
- Vous êtes adorable mais non. Pas ce soir.
- Bon... Alors bonne nuit, madame.
Arthur alla se réfugier derrière le tournant du couloir. Il priait que Nessa ne vienne pas dans cette direction. Aucune envie de taper la discute avec elle ou trouver une excuse vaseuse sur sa présence là en pleine nuit.
Fort heureusement, la servante sembla prendre la direction opposée. Après avoir attendu que le silence soit revenu dans le couloir, il se dirigea à nouveau devant la chambre et frappa.
Arthur ne savait pas trop ce qu'il préférait. Qu'elle ouvre cette porte. Qu'elle ne l'ouvre pas. Pas sûr non plus de ce qu'il devait lui demander. De ce qu'elle pourrait lui répondre.
Eux deux, ce n'est jamais simple. Cela ne la jamais été. Mais si elle ne voulait plus...
- Nessa, c'est gentil mais je vous ai dit, pas de tisane, dit Guenièvre en ouvrant doucement sa porte. Arthur ?
Elle était déjà en chemise de nuit mais ses cheveux arboraient encore quelques tresses, pas encore défaites. Son regard était légèrement troublé. 
- Ah ! Vous êtes enfin rentré avec le seigneur Perceval ?
- Oui... Oui, on est arrivé y a peu, répondit Arthur un peu gêné. Je suis désolé de vous déranger à cette heure. C'est possible que je rentre vous parler un peu ?
Guenièvre ne cacha pas sa surprise mais se reprit vite : "Bien sûr, venez." Elle le laissa passer puis ferma doucement la porte. Seuls les crépitements d'un feu réconfortant se faisaient entendre. Arthur regardait un peu partout, la pièce plus familière qu'il ne l'aurait pensé. Cette commode basse en chêne n'avait pas changé de place en vingt cinquante ans. Dans son souvenir, ce petit meuble servait de rangement aux foulards et autres accessoires de coiffure de la Reine. Il eût envie d'ouvrir le tiroir pour vérifier si sa mémoire était bonne.
- Que me vaut le plaisir de votre visite ? Vous n'avez pas sommeil après toute cette route ?, demanda la Reine, s'asseyant devant la cheminée pour continuer à défaire sa coiffure.
- Bien sûr que si !, s'emporta son époux. C'est ce que j'avais prévu de faire, figurez-vous, mais j'ai eu une très mauvaise surprise à mon retour... Très mauvaise, oui.
- Ah ? Laquelle ?
Elle ne le regardait même pas. Elle semblait plus intéressée par le feu dans l'âtre, ses doigts démêlant toujours des boucles châtains aux reflets dorés. Il la trouverait terriblement belle s'il n'était pas aussi énervé.
- C'est quoi cette histoire de chambre d'invité ? Comment se fait il que je dorme à l'étage du dessous ?, finit par demander Arthur. Vous en avez déjà marre de ma tronche ? Pourtant vous avez été peinarde pendant mon absence.
- Mais qu'est ce que vous racontez ?
- Laissez moi deviner : vous regrettez d'être redevenue ma femme et la reine ?
- Quoi ?
- Oui oui... Pendant que j'étais pas là, j'imagine que vous avez cogité ? Vous y avez trouvé plus d'inconvénients que d'avantages ? Vous n'avez plus envie ?
- Mais vous avez picolé ou quoi ?, commença à s'agacer Guenièvre. Elle s'était levée de son fauteuil et le regardait avec incrédulité.
- Non mais ça va ! Je ne suis pas complètement idiot non plus. Vous aviez juste à me le dire, Guenièvre. J'aurais pu comprendre ! Hein, si je vous rebute tant que...
- Mais taisez vous enfin !!
Un silence s'abattit entre eux, seul le crépitement du bois dans la cheminée se faisait entendre dans la pièce.
Guenièvre avait la respiration haletante, ses yeux remplis de colère. Elle semblait si royale là dans sa chemise de nuit blanche, le corps droit et le regard assuré. Arthur se dit qu'il aurait peut être du mettre les formes et ne pas laisser sa déception prendre le dessus.
- Je ne vous comprends pas, commença la Reine en secouant la tête. Je fais en sorte que vous ayez un endroit juste pour vous. Pour que vous soyez tranquille. Et ça ne va pas ?
Elle ne laissa pas son mari prendre la parole et poursuivit, plus agacée encore :
- Non s'il vous plaît ! Je sais bien que vous n'êtes pas ravi d'être revenu en Bretagne. Que vous avez repris Excalibur à contrecœur. Vous croyez que je l'ai pas compris ?
Le roi resta silencieux, un peu gêné. Il baissa les yeux car il ne trouva rien à répondre.
- J'aurais cru que vous seriez ravi de ne pas dormir à mes côtés, ironisa la Reine. Avant, vous auriez sauté sur l'occasion !
- Oui mais non, lâcha le roi.
- Qu'est ce que ça veut dire ça ?
Celui-ci leva son regard vers la Reine. Il allait devoir jouer cartes sur table. Pas de réponse évasive, pas de pirouette pour fuir cette discussion. Simplement la vérité. Il s'approcha d'elle à pas lents puis lui avoua :
- Vous n'avez pas tort. Avant, j'aurais carrément sauté de joie. Mais ça, c'était avant... Aujourd'hui, les choses ont changé.
Les deux époux laissèrent un silence étrange s'installer à nouveau dans la pièce. Arthur se demanda s'il avait bien fait de venir lui rendre visite ce soir. Peut être aurait-il du se coucher avec sa frustration sans se poser de question. Et attendre demain pour avoir une discussion plus posée. Ses yeux se posèrent sur le visage fermé de la Reine et il comprit que ça aurait été une bien meilleure idée. Définitivement.
- Et qu'est ce qui me dit que vous n'allez pas le regretter ?, finit par lâcher Guenièvre.
Elle se tenait très droite devant le feu. Trop droite même. Comme si elle voulait se contenir devant lui et ne pas laisser échapper ses émotions. Mais ses mains nerveuses qui pincaient sa robe la trahissaient.
- Pourquoi vous...
- Qu'est ce qui me dit que vous n'allez pas me repousser comme avant ?
La Reine se tourna lentement vers le feu et son regard voilé ne quitta plus l'âtre ardente. Puis des larmes sourdes écorchèrent ses joues, trahissant ses peurs et sa déception. Arthur comprit qu'il était allé trop loin. Il paniqua car il détestait voir une femme pleurer, encore plus par sa faute. Cela lui faisait perdre ses moyens. Mais il n'eut pas le temps de réagir car dans un murmure, elle ajouta :
- Qu'est ce qui me dit que vous ne repartirez pas un jour ?
Guenièvre porta une main sous ses yeux pour chasser ses pleurs et se tourna à nouveau vers lui. Avec tristesse et colère, sa voix reprit :
- J'avais hâte que vous reveniez de votre voyage... J'ai beaucoup pensé à vous. J'ai simplement demandé une chambre pour que vous soyez au calme. Au moins la nuit. J'ai du batailler avec ma mère pendant des jours et des jours !! Et tout ça pour vous entendre me faire des reproches !?!
Le roi resta tut, gêné. Il n'avait pas le droit de se comporter de la sorte, lui qui l'avait abandonné dix ans plus tôt. Une décennie sans donner de nouvelles, sans en chercher non plus. Guenièvre avait été obligée de combattre, seule, les fantômes et les silences. Son cœur avait patienté plus de vingt ans pour enfin recevoir l'affection dont il avait toujours eu besoin. Qui était-il pour la sermonner ? Il devait déjà s'estimer heureux qu'elle veuille encore de lui en dépit de tout. Arthur savait qu'il devait s'excuser là tout de suite mais son épouse ne lui laissa pas l'occasion quand elle ajouta dans un souffle :
- Sortez.
Le roi leva d'un coup sa tête et fut déstabilisé car il vit quelque chose de terrible sur les traits doux de sa femme. Quelque chose qu'il n'avait aperçu qu'une seule fois durant leur mariage. Il eut l'impression d'être ramené dans les cuisines de Kaamelott, cette fameuse nuit où tout avait basculé. Une étreinte interdite. Une porte qui s'ouvre, révélant ainsi une idylle secrète. Une voix guillerette qui se tut en découvrant la trahison et l'adultère.
Oui, Arthur croisait là dans cette chambre, ce même regard fermé et brisé que Guenièvre leur avait lancé, à lui et Mevanwi. La déception et le chagrin.
Il était comme cloué sur place et aucun mot ne put franchir ses lèvres. Il l'avait trahi, repoussé tellement de fois, trouvé tous les subterfuges pour ne pas l'aimer. Autrefois il ne prêtait pas trop attention à toutes les conséquences. Aujourd'hui elles venaient griffer son cœur, lui rappeler toutes les injustices qu'il avait commises. Les yeux durs de Guenièvre étaient son fait à lui et à lui seul. Par ses mots et ses actes ce soir, il avait éteint la douceur qu'ils offraient pourtant toujours.
Guenièvre quitta la chaleur de l'âtre réconfortante et se dirigea silencieusement vers la porte de sa chambre. Avec des gestes lents, elle l'ouvrit puis sans même regarder son mari, ordonna :
- Il est temps d'aller vous coucher, Arthur.
Le souverain, le cœur lourd, avait envie de hurler. Mais il n'avait aucun droit ici et il avait tout gâché, encore. Arrivé à la hauteur de Guenièvre, il la regarda quelques instants. Elle préférerait fixer le couloir mais il vit des larmes traîtresses cherchant à s'échapper.
Il préféra n'émettre aucune remarque et quand ses pas l'amenèrent dans le couloir, il mumura simplement :
- Bonne nuit.
La lourde porte claqua, comme seule réponse.
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gerceval · 1 year
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Le Choix - chapitre 7
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
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Après une micro-seconde de délibération, il se pencha, sans trop savoir lui-même ce qu'il cherchait. Jamais il n'avait eu envie d'embrasser Guenièvre, même à l'époque, même après que les fantômes de Rome s'étaient estompés, même avant que l'aigreur ne se soit installés pour de bon. Mais ce soir-là, après toutes les péripéties qui venaient de s'enchaîner en à peine quelques heures, la pommette encore douloureuse, il trouvait les lèvres fines et roses de Guenièvre soudainement attirantes. Lorsque leurs bouches entrèrent en contact, elle eut cette légère paralysie que peut créer la surprise, mais cela ne dura pas plus d'un instant. Elle répondit à son baiser avec chasteté, incertaine. Avant de le rompre.
- Seigneur Lancelot ! s’exclama-t-elle faiblement.
- Non mais ça va pas la tête, qu'est-ce qui se passe ici !
Arthur fit un bond de trois mètres.
La dame du lac venait de se matérialiser dans la chambre.
- J'espère que vous vous moquez de moi, Lancelot ! Je sais pas bien ce que vous manigancez mais attention hein, je peux très bien me mettre en rogne moi !
Ah très bien. Le sortilège était donc assez puissant pour tromper les dieux, manifestement. Super. Devant son silence stupéfait, la dame du Lac continua.
- Alors vous vous souvenez probablement pas de moi, c'est vrai que vous étiez grand comme trois pommes à l'époque, mais c'est pas parce que vous vous souvenez pas de moi que je peux pas vous en mettre une comme quand vous étiez petit.
Il balbutia, exagérant la surprise. Guenièvre chercha son regard.
- Qu'est-ce qui vous arrive, vous êtes pas bien ?
- Attendez, je... Vous la voyez aussi ?
- Qui c'est que je vois aussi ?
Bien sûr, Guenièvre ne pouvait pas la voir, mais il devait feindre de ne pas comprendre comment marchaient ces choses-là.
- Faites un effort, dit la dame du Lac, rappelez-vous. Je suis Viviane, la dame du Lac. Je m'occupais de vous quand vous étiez petit, je vous apparaissais, et puis des fois vous étiez le seul à pouvoir me voir ? Ça vous dit quelque chose ? Ya une loupiote qui s’allume là-dedans ? Bon alors là, pourquoi maintenant je peux vous apparaître comme ça, bon ça il faudrait que je voie avec les cheffes parce que c'est qu'Arthur normalement... Mais là je vous vois en train de péter un boulon et apparemment je peux intervenir alors je vais pas me gêner pour sauter sur l'occasion !
- La dame du Lac... murmura Arthur, comme s'il mettait du temps à réaliser ce qui lui arrivait.
- La dame du Lac ? dit Guenièvre. Ah bah non pas vous aussi !
Elle plaça ses mains sur ses hanches, habituée à devoir attendre que les visites de Viviane soient finies.
- Alors écoutez-moi bien, mon petit vieux, reprit la fée. Je sais pas ce qui vous a pris d’un coup, je sais que ça fait des années que vous ne pensez qu’à ça, que depuis que vous avez posé les yeux sur elle vous vous dites que c’est la seule et unique élue de votre cœur et blablabla, ça on l’a tous bien compris, mais il faut vous sortir ça du crâne Lancelot !
- Des années ? dit Arthur, ne sachant plus si sa confusion était celle de Lancelot ou la sienne.
- Pardonnez-moi le terme, mais c’est une grosse connerie ce que vous êtes en train de faire ! Et puis la p’tite, c’est pas parce qu’elle se laisse embrasser comme ça une fois, bon, voilà… Mais c’est à Arthur, que les dieux l’ont promise, Arthur, et rien ne changera ça, même si vous avez des sentiments réciproques ou je ne sais quelle autre niaiserie…
Des quoi ? Des sentiments quoi ?
- Enfin bon, réciproques ça j’en sais rien hein, on n’est pas arrivées à un consensus là-haut, même pour elle je crois pas que ce soit très… enfin n’allez pas vous faire des films quoi !
- Euh, elle a bientôt fini ? interrompit Guenièvre. Nan parce que si vous en avez pour la soirée, moi je retourne au plumard hein.
Il resta silencieux.
- Rentrez-vous bien ça dans le ciboulot Lancelot, c’est très important : vous ne pouvez pas vous permettre d’espérer ! Ça finira en désastre. Alors reprenez-vous et faites un effort mon p’tit père ! Pis bon, moi je vais essayer de voir pourquoi c’est avec vous que je suis en communication parce que là Arthur… enfin bon. Que je ne vous y reprenne pas hein !
Et elle disparut.
Guenièvre s’était recouchée et lui tournait le dos, pelotonnée sous les couvertures. Il fit deux petits tours maladroit sur lui-même, ne sachant que faire dans le silence désormais pesant de cette chambre qui ne pouvait plus être la sienne.
- Bonne nuit, seigneur Lancelot. Faites gaffe à croiser personne dans les couloirs en sortant, ce serait dommage de vous prendre une autre mandale dans la même soirée.
Message compris. Il sortit à pas de loup, ruminant les événements de la soirée. Deux personnes avaient surpris – ou cru surprendre – Guenièvre et Lancelot en train de se bécoter, et n’avaient pas paru plus étonnés que ça. En colère, et Léodagan comme la dame du Lac avaient bien raison sur ce point-là, mais pas plus étonnés que ça. Quant à ce que Guenièvre avait dit… Quoi qu’il en soit, la coïncidence qui lui sautait maintenant aux yeux était la suivante : Lancelot nourrissait une passion secrète pour Guenièvre ; Lancelot se retrouvait catapulté dans le corps d’Arthur. L’histoire de sa propre naissance se rappela à lui comme un spectre menaçant.
Même pas besoin de ça, se dit-il amèrement : lorsqu’il l’avait embrassée sous les traits de Lancelot, pris par il ne savait quelle pulsion absurde, elle ne l’avait pas repoussé.
Son instinct lui disait de fuir, de s’isoler, de ne parler à personne pendant trois mois. Il n’avait aucune envie de lutter contre son instinct. Mais il se connaissait, maintenant, il savait qu’hurler sur quelqu’un pouvait lui faire du bien aussi. Alors que le jeune soleil commençait à illuminer le couloir, il repoussa la porte de la chambre où il avait laissé Lancelot.
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pitite-xena · 1 year
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Mon fils
Flocon est un magnifique petit garçon, blond et aux cheveux longs. Et mon dieu que ça à l'air compliqué pour les gens de comprendre que c'est un garçon... En soi je m'en fous un peu et je ne relève plus quand on me parle de "ma fille", "de ma petite princesse" ou de "la demoiselle". Mais quand même. Est ce que c'est si difficile que ça d'imaginer qu'un garçon puisse vouloir garder ses cheveux longs ?
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On revient d'une semaine au ski et là ça a été l'apothéose ! Il portait la combinaison de sa soeur (entièrement rose) et des gants à petits coeurs. Il était fier comme tout parce qu'il adore le rose! Alors autant je peux comprendre que de prime abord on est envie de dire elle devant ses bouclettes blondes et tout de rose vêtu, je ne vis pas dans une grotte je sais bien que ce sont des codes de filles. Mais à partir du moment où je dis "c'est un petit garçon, il s'appelle Malo", continuer à lui dire "viens là ma grande" ou "ma puce fait attention!" Sérieusement ???? Le summum ça a quand même été "Ah, c'est le diminutif de Malory?" Bah non, c'est son prénom parce que c'est un garçon...
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D'un côté je m'en tape, tant que lui ça ne le gêne pas qu'elle importance comment les gens le genre ? Il aura bien le temps de réagir plus tard. Mais d'un autre, j'aimerai tellement faire évoluer les mentalités, aider les gens à se déconstruire de toutes ces idées toutes faites sur le genre. J'ai envie de clamer "oui c'est un garçon, oui il s'habille en rose, oui il a les cheveux longs". Pas que je tienne spécialement à ancrer la masculinité de Flocon. Mais je veux qu'il grandisse en sachant qu'il peut s'habiller, se coiffer, comme il le veut et rester un garçon.
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Un jour il avait voulu mettre du vernis à ongle en même temps que Noiraude et moi. J'ai quand même eu une dame qui m'a dit
"Ah bon, vous êtes sûre que c'est un garçon ? Parce qu'entre les cheveux et les ongles on dirait vraiment une fille".
Bah jusqu'à preuve du contraire c'est moi qui l'ai sorti ce gamin, et c'est moi qui lui change sa couche et le lave, pas toi. Donc a priori la mieux placée des deux pour le savoir c'est moi non ?
Et s'ils savaient que pour le réveillon de Noël et celui du nouvel an il a voulu se mettre en robe... Et qu'on a accédé à sa demande parce qu'il n'y a pas de raison qu'il ne puisse pas choisir comment il souhaite s'habiller pour se sentir beau!
Même mes parents (que pourtant je pratique depuis plus de 30 ans donc ils commencent à s'ouvrir un peu) m'ont fait des réflexions. "Bah comment tu l'a habillé ?" Je l'ai habillé comme il l'a voulu. Et il est beau comme ça! "Oui oui mais il est beau aussi en pantalon". Ah mais j'ai jamais dit le contraire. Je dis juste que peu importe comment il est habillé, cet enfant est magnifique
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Courage mon Flocon. Continue de vouloir tes cheveux longs, tes robes et ton rose. Tu es superbe. ♥️
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e642 · 1 year
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Mes parents et la mauvaise foi.. impressionnant.
Contexte: je suis allée au cinéma, comme on s'appelle tous les soirs (obligé), j'ai envoyé un message pour prévenir que j'étais pas dispo.
Je vois 6 appels en absence en sortant de la séance. Je rappelle. Reconstitution de l'appel que je viens d'avoir.
"Eux: ah bah c'est pas trop tôt, pourquoi tu répondais pas ? T'aurais pu envoyer un message.
Moi: j'ai envoyé un message pour dire que j'étais au cinéma justement.
Eux: oui bon et au fait tu sais que tu fais des études ? Tu comptes passer tous tes soirs au cinéma ?
Moi: non, seulement j'avais pas cours aujourd'hui et demain que 2h.
Eux: bah tu ferais bien de réviser tes examens.
Moi: c'est 2h de cours en cm demain, j'ai pas dexams. Je vous l'ai dit.
Eux: c'est pas une raison, tu vas encore te coucher tard et être fatiguée.
Moi: je commence à 10h, je vous l'ai écrit dans le message. De plus, je suis allée a une séance plutôt tôt.
Eux: ah bah super, tes pas allée à l'athlétisme alors. Faut savoir prioriser.
Moi: si j'y suis allée et après j'ai filé au cinéma.
Eux: oui bon bah c'est pas une raison. Ça sert a rien de dépenser tout ton argent au cinéma.
Moi: j'ai pris un pass ciné exprès pour ne pas me ruiner, ça aussi je vous l'ai dit ya un mois.
Eux: change de ton. Tu as tort."
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tricycle-jaune · 7 months
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y'a des jeunes vraiment, je travaille en BU, une toute potite minuscule BU de 15 places assises, et parmi les personnes assises, t'as un groupe de trois filles qui déjà quand elles ont débarqué ont fait un bruit de ouf genre "bjr on est là remarquez-nous", et à peine dix min plus tard, j'viens les voir parce que faut pas déconner l'espace est pas à elles puis y'a d'autres gens (dont moi la bibliothécaire clichée reloue qui supporte plus le bruit) et je leur dit doucement et gentiment (c'est vrai en plus) que "s'il vous, merci de chuchoter parce que ça résonne bcp ici et on entend tout ce que vous dites" (notre bu est en sous-sol, y'a bcp d'écho, oui on est reléguée à la cave) et vlà-t-il pas que l'une des étudiantes me demande dans la foulée "ma copine peut pas assister au cours à distance parce qu'elle a un problème de connexion, ça dérange si je mets le son tout doucement ??" ptdrrr j'ai répondu dans un tac au tac de la mort "oui." mais allô quoi, genre la bu est pas à elles en fait, ok l'étudiante se rendait sûrement pas compte que même un tout p'tit peu de son, bah ça va déranger les gens ??? et le fait de devoir préciser ça à une jeune adulte (ok elle sort sûrement du lycée but still, c'est l'âge où faut apprendre à vivre i guess) que le son d'un homme qui va parler pendant 2h d'histoire politique européenne bah oui, ça va déranger, 'fin j'sais pas c'est genre du BON SENS ??? ou c'est moi qui suis folle ?? 'fin bref, la nana j'ai vu dans son visage la déception en mode "ah, bah on va aller ailleurs alors" mais meuf be my guest pour trouver un autre espace où taffer dans ce campus archi-bourré, bah résultat : elles sont restées MDR et on les entend même pas respirer, comme quoi des fois, ça paye de bouger son cul (et j'espère que l'autre étudiante a pu régler son problème de connexion tho, j'veux pas être responsable de l'échec scolaire d'une nana qui a rien demandé non plus)
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ELDARYA A NEW ERA EPISODE 15: CDC LANCE (SPOIL)
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Bonjour/Bonsoir, mes petites loutres !
Aujourd'hui, je publie à nouveau un article où je donne mon avis sur le jeu ELDARYA A NEW ERA, dont l'épisode 15 sorti mercredi dernier !
Je vais donner mon avis au fur et à mesure en commençant par le début:
Tout d'abord, le début commence très mal. A nouveau Erika est une nympho, qui pendant qu'ils sont en train de braver le désert en chemin vers les vampires assoiffés de sang, elle repense à ce qu'elle a fait avec Lance sous les draps. Elle ne peut pas s'empêcher de le regarder, et penser au cul...
Par contre j'adoooore les répliques de Lance, même si je n'ais pas trop aimé quand il dit qu'il la remercie de l'avoir embrassé devant tout le monde...J'ai pas compris, pourquoi se rouler une pelle devant leurs potes alors qu'ils viennent juste d'apprendre qu'ils allaient devoir rencontrer la famille de Nevra et Karren était bénéfique pour leur couple ? Comme je l'avais dis précédemment, ils n'ont JAMAIS caché leur relation à qui que se soit, tout le monde le savait déjà ce qui se passait entre eux. (Ou alors, ils étaient complètement aveugle, mais je ne pense pas...). Au début, je pensais qu'il parlait de leur baiser à la prairie, ce qui me semblait plus logique d'ailleurs.
J'ai aussi remarqué, et j'ai vu quelqu'un le mentionner dans une autre publication aussi c'est que Lance reparle de son passé et de ces idéaux en disant qu'il forçait les gens à se joindre à lui pour détruire le monde d'Eldarya. Alors que c'est tout simplement faux, car la plupart qui étaient dans son camp l'ont suivit de leur plein gré. Chrome, Ykhar, et les autres. Il a aussi prit la décision finalement, de se laisser enfermer même s'il aurait été capable de finalement avoir l'avantage. Et qu'après le sacrifice de Erika et Leiftan, il aurait clairement pu réussir à sortir de prison pour les tuer et détruire pour de bon le cristal. Car on se rappelle, que c'est un dragon !
La scène où on le voit vulnérable et se confier à Erika aurait été super dans l'épisode précédent. Même si j'ai adoré ce moment entre eux, et enfin ils agissent comme un couple sain.
Le moment avec Nevra m'a bien plu, il y a un travail de dialogue beaucoup plus mature. (ENFIN !) Même si dans le dialogue avec Mathieu, Lance et Leiftan, ils m'ont complètement largué tellement que c'était long au sujet de est-ce-que c'est nécessaire d'enfermer quelqu'un qui a trahi sa garde ou pas etc.
Ensuite concernant la situation avec le peuple vampire, et que Mathieu se permet de dire: "ah bah c'est bien fait pour vous, si les humains ont tués des hommes, des femmes et des enfants. Vous avez faits bien pire." Alors qu'ils ont passé un "ACCORD" qui vient non seulement des vampires mais également des humains. Ils ont étés d'ACCORD d'envoyer des humains, pour que les vampires puissent se nourrir de leurs sang. On en parle aussi ce que la garde d'Eel a fait autrefois ? Du nombre d'erreurs qu'ils ont commis ? Et lui ? Du fait qu'il ait du s'associer avec des gens qui sont capable de tuer et torturer aussi. Ils ont tiré sur Erika et torturer Leiftan !!!!
Alors par contre, la daronne est une girouette...D'un coup elle parle des humains, en mode normal etc. Puis lorsqu'elle voit qu'elle parle à Erika qui n'est pas totalement humaine mais en majorité et Mathieu qui est 100% humain, elle les compare à des animaux. Elle échangeait bien avec des humains pourtant...
Chrome que j'aime de tout mon cœur, qui arrive et leur dis: "Mais vous êtes cons, ou vous êtes cons de vouloir nous attaquer ??? ON A UN PUTAIN DE DRAGON !!! (Comme disait Tony: NOUS AVONS UN HULK ! Ouais, ouais je ne pouvais pas m'empêcher de faire la ref Marvel...)
Et là enfin Erika arrive et montre de quoi elle est capable, et on comprend pourquoi depuis le début Nevra faisait la faisait passer pour simplement une humaine. Et ça c'était une super stratégie !
Le petit moment entre Erika et Lance, krkrkrkr trop pipou. J'étais in love du baiser sur le front et le fait qu'il soit aussi attentionné avec elle. Arrrrgh. Là franchement, j'apprécie beaucoup.
Pour finir, le moment avec l'illustration. Cette illustration est juste magnifique, et le regard qu'ils ont tout les deux et le sourire complice m'a totalement conquise. Ils montrent bien le couple bad ass qu'ils sont comme avec l'illustration de Nevra !
Alors oui, au début j'ai craché un peu sur l'épisode mais dans l'ensemble j'ai vraiment apprécié et n'ais pas vu le temps passé. J'espère sincèrement, que le prochain sera aussi bien ! J'ai enfin hâte d'attendre le mois suivant ! J'espère en tout cas, et je vous remercie de m'avoir lu jusqu'au bout. N'hésitez pas à me dire ce que VOUS en aviez pensé de cet épisode et me corriger si jamais j'ai mal compris certaines choses ou manquer !
Je vous retrouve très vite, et vous fait des bisous ! See ya !
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superiorkenshi · 1 year
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Holi hola, c'est ton Secret Santa !
J'espère que tu vas bien et que tu passes un bon 7 décembre. Désolé.e de ne rien t'avoir envoyé hier, j'ai eu une journée un peu chargée 😅
Je me demandais, comme ça, sans aucune raison aucune (😇), si tu préférais plutôt les trucs bien angsty, plutôt fluff ou un mélange des deux à la hurt/comfort ?
J'ai déjà quelques idées pour ton cadeau mais je voudrais être sûr.e de partir dans la bonne direction avant de me lancer haha 😊
Bonne fin de journée et des bisous enneigés !
(Ah bah tiens, PS : il neige vers là où tu habites ?)
J'ai du retard dans mes réponse!! Te fais pas de soucis hein t'es pas obliger d'ecrire tout le jours ça me pose pas de problème prend le rythme que tu veux ! 🤗
Alors vraiment j'aime autant le angst que le fluff! J'avoue que j'ai vraiment une affinité avec les fin bittersweet qui te laisse ce p'tit gout amère dans la bouche c'est ce que je fais le plus! 💖
Et non du coup à Lyon il ne neige pas! Et heureusement j'ai déjà assez froid comme ça ! ❄❄
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vabazeri · 6 months
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Jour 25
Bah voilà... J'me déteste en fait... Je suis bien trop faible face à Hades. Ouais je sais, c'est idiot mais voilà :
Il me suffit d'entendre sa musique et je m'écroule comme une madeleine.
Il suffit d'une intonation de voix et mon c��ur bat la chamade
Enfin, comme se soir, il suffit d'un mot, un simple "mon cœur" et je reste planté là, figé, incapable de bouger ou de parler.
De la sorcellerie j'vous dit... J'ai jamais été aussi bête, aussi sensible à ce genre de choses. Ah si, 2 fois : au collège... 🤦‍♂️ Quand j'vous dit que je me sent ridicule c'est pas une blague...
À côté de ça j'étais frustré et en colère par moment, peut être aussi envieuse comme jamais... Tout le monde avait le droit d'etre avec lui alors que moi je n'avais aucun droit...
Mon seul droit était des mots... Et encore, pas tous.
Bref, à côté de ça, il m'arrivait quand même des trucs complètement improbable mais vraiment cool !
Par je ne sait quel foutu miracle ou hasard, la chaîne twitch et tout le bordel que je re-coller sur YouTube faisait des vus. OK attendez je la refait : je dépasse LARGEMENT la 100 aines... Spoiler, c'est pas normal ! Ça me fait me remettre en question sur tellement de choses cette histoire là 🙄
À côté de ça, j'me marrais quand meme pas mal en jeux. Bon, j'avais l'impression de marché sur des œufs par moment à cause de la remarque d'Hades, mais de la prudence n'as jamais tuer personne, enfin, pas que je sache. Du coup je me méfiais de pas mal de phrases, intonations, potentielles tentatives de MP, bref, je surveillais le moindre fait et geste de la gente masculine. Bah ouais, désolé mais la gente féminine me foutais quand même une paix royale à côté.
Je continuais mes habitudes à côté, parfois mauvaise genre les horaires complètement décalé... Justifier ça pour un taff ça va être un plaisir... "bonjour, alors la nuit je fait du rp c'est normal" 🤣 j'me vois déjà expliqué l'histoire et la définition du RP et du JDR 🤣. Pareil, le premier qui va me demandé quel type de bague je porte au doigt, je sent que je risque de rendre quelques cerveaux off en expliquant que ce n'est pas une bague mais un dès 20...😅 🤣
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unjardinsecretpourines · 10 months
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2/2 : Chapitre 8, partie 2 : Pour le voir revenir, dans lequel Anna chiale et parle beaucoup trop
3 octobre 2022, 18 heures 01, Bibliothèque, PDV externe.
18 h 01… genre zéro un… genre c’est important… putaiiiin
- Au'.
- Mmmmh.
Aurélie cligna des yeux, comme émergeant d'un rêve, et se tourna vers son amie.
- Aurélie ! répéta Poema un peu plus fort.
- Oui, Pop ?
- Euh... Je te parle depuis deux minutes, là. Ne me dis pas que tu ne m'écoutais pas depuis le début ?! s'inquiéta la Poufsouffle sur un ton presque blasé.
- Ben... hésita Aurélie.
Poema soupira.
- Bon, génial... Je te parlais du club de duel. (Hein)
Aurélie et Poema étaient inscrites au club de duel depuis leur première année. Poema excellait dans ce domaine, et était devenue la co-présidente de cette assemblée d'élèves de Poudlard. Aurélie était douée également, mais n'avait jamais réussi à battre sa meilleure amie. (Mdr Aurélie elle fout Poema au sol)
- Il y a de nouveaux inscrits, déclara Poema.
- En quoi ça me concerne ? s'étonna son amie de Serdaigle. C'est toi, la co-présidente, et la présidente est... Euh, c'est qui déjà ? (mais wesh c’est comme ça que tu parles à ta BFF ?)
- Lea Grey.
- Ah. Donc ?
- Ca te concerne car nous avons un nouvel inscrit, en particulier.
- Ouiii...? s'impatienta Aurélie en pianotant des doigrs (RELIS TOIIII) sur le rebord de la fenêtre.
- Oliver Ruewen, lâcha la jeune Poufsouffle en écartant la main d'Aurélie de la fenêtre, le bruit lui tapant sur les nerfs.
- Euh... Hein ?! Ruewen au club de duel ? Mais c'est la meilleure nouvelle de l'année, ça ! s'écria Aurélie tout sourire. Il est plus que nul ! Je vais le démonter !  
- Non mais, Aurélie... Je m'interroge sur ses motivations.
- Faire le beau devant Lea Grey, répliqua Aurélie comme si c'était évident. (CA SORT D’OÙ ??? LAST TIME I CHECKED IL DRAGUAIT CHEYENNE WHITE ??) Et, par la même occasion, devant... Cheyenne White, Ginger Campbell, Loane Simmons, Jennifer Harvey, Lily-Rose Davidson, Claire Carver, Daisy Prewett, Lin... (Je renie et je hais le Oliver « tombeur », it was forced heterosexuality.
- C'EST BON. C'EST BON, la coupa Poema en riant. Je crois que j'ai compris...
- Ne sous-estime pas Oliver, la mit en garde une voix qu'Aurélie reconnut immédiatement.
- Karl ? Andy ? Qu'est-ce-que vous foutez à la bibliothèque ? s'enquit la jeune Serdaigle, étonnée.
- Nous te retournons la question ! s'amusa Karl. Aurélie Becker à la bibliothèque, on m'aurait dit ça il y a quoi, deux minutes ? (Genre elle est si conne que ça ?)
- Une, rectifia Andy très sérieusement.
- Une ! répéta son frère en riant. Si on m'avait dit ça il y a une minute à peine, j'aurais ri au nez de la personne ayant osé me confier une information aussi absurde ! Mais elle aurait eu raison ! (Trop long, putain) Qu'est-ce-qui t'amène ? Hey, Poema.
- Hey, répondit doucement la Poufsouffle en appuyant son menton contre sa main.
- Figure-toi que je faisais des recherches, avoua Aurélie.
- Sur le drôle de signe ?
- Que, quoi, quel drôle de signe ?! s'affola la jeune fille.
- Bah, le signe, l'Epouvantard.
- L'Epou, Van-quoi, de qui ?! balbutia-t-elle. (Elle est méga stupide)
- Euh... essaya d'intervenir Poema, sans succès. (CETTE INTERVENTION EST INUTILE AS FUCK mais j’aime
- L'Epouvantard du cours de DCFM ! Celui du professeur Be... De ta mère ! (T’as raison de te reprendre, euh… je sais pas qui parle parce que le dialogue est trop long, Aurélie n’aurait clairement pas compris de qui tu parlais si tu avais dit « professeur Becker ».)
- Je, je, je non pas sur ça.
- Mouais.
- Bon d'accord, comment tu l'as su ?! s'énerva Aurélie en envoyant valdinguer le livre qu'elle ne lisait pas. (Pourquoi elle a un livre alors ? Merde, une mini-phrase d’introduction ne ferait pas de mal !!) T'es télépathe, toi aussi ?!
- Nope, répondit Karl. J'ai juste l'esprit de déduction. (Son jumeau s'esclaffa discrètement.) Tu as vu l'Epouvantard chelou de ta mère et tu essayes de chercher ce qu'il peut signifier. C'est chiant, hein, de faire des recherches sans Internet ? (Mais ils font chier. Mais au moins on a compris, DE MANIÈRE HYPER DETOURNEE, ce qu’était le livre qu’Aurélie ne lisait pas. Super intéressant.)
- Je doute qu'Internet aurait pu l'aider, affirma Poema en récupérant et rouvrant le livre - à la bonne page du premier coup. (Wow, c’est à ça qu’on voit que c’est une héroïne.) Tu tapes quoi, "symbole bizarre Epouvantard Anna Becker" ? N'importe quoi, les deux-là. Concentre-toi, Au'.
La jeune Poufsouffle aidait Aurélie dans ses recherches. Les frères Parrish (surtout Karl, en fait) (Ah ? On s’en bat les reins), avait visé dans le mille. Le symbole l'intriguait depuis qu'elle l'avait aperçu (il représentait évidemment quelque chose, et ce quelque chose était la peur numéro un de sa mère, qui n'avait évidemment pas peur d'un signe aussi étrange et... ancien). Et il avait été tracé sur le message de la nuit dernière, comme l'arme destinée l'aider à "vaincre". Vaincre qui ? Quoi ? Où ? Pourquoi ? (CE N’EST PAS CENSE ETRE UN SYMBOLE, L’EPOUVANTARD)
- Hé ho. Aurélie.
- Mhhhouimouhmmm. (mood)
- Andy a peut-être une idée, l'informa Poema, les yeux brillants.
(Bon. Petite leçon d’écriture : c’est ok parfois de couper des lignes de dialogue si le personnage dont on a le point de vue n’écoute pas. POUR QUE CA FONCTIONNE, on doit écrire à quoi pense ce personnage. Pour que le lecteur comprenne qu’il pense à autre chose. Y’a un effort en ce sens ici, mais ce n’est pas assez clair ? ça ressemble plus à de la narration ? Enfin, dites moi ce que vous en pensez.) 
Aurélie la comprenait : voilà une heure et demie que les deux jeunes filles cherchaient sans s'arrêter, en vain. (Là encore, je sais qu’introduire le lecteur dans une situation et ensuite en expliquer la chronologie est un choix de style, mais quand c’est trop confus, ça casse tout. On est dans la scène et là ça fait genre « ah au fait elles sont en train de faire ça. OK ???) La Serdaigle espérait au moins autant que son amie découvrir la réponse à la question qu'elle se posait : que signifiait ce symbole et en quoi pourrait-il l'aider à vaincre quoi ou qui que ce soit ? (OUIII ON A COMPRIS. PUTAIN.)
- Ben... Un scann, suggéra Andy. Faudra juste attendre les vacances de Noël, qu'on rentre à la maison.
- Vos parents sont moldus ? s'enquit une voix.
Une fille de quatrième année, aux cheveux blond clair parfaitement lisses et au regard d'acier, gris-bleu, leur faisait face. Elle portait l'uniforme de Serpentard et un livre portant sur les créatures marines, certainement pour un cours de Soins aux Créatures Magiques (SACM). (MAIS WESH T’ES QUI, TU SORS D’OÙ, POURQUOI TU LEUR DEMANDES CA ?? Et la description est trop précise pour un personnage secondaire.)
- Oui, acquiesça Karl une pointe de fierté dans la voix. Ils sont ingénieurs. (OSEF de leur métier !!)
- Pourquoi ? demanda son jumeau, plutôt inquiet pour sa part.
La fille se détourna sans répondre, et sortit de la bibliothèque sans emporter son livre avec elle. (Quoi ???)
- C'est qui, elle ? demanda Aurélie avec son ton délicat coutumier.
- Dray Malfoy, répondit Poema. La petite soeur de Scorpius Malfoy, du club de duel. Dray fait partie des nouveaux inscrits cette année.
OH C’EST GÊNANT. OH JE SUIS GÊNEE. Putain c’était nul. Vraiment juste l’occasion de foutre un OC de Manon. Genre juste imaginez quelqu’un qui arrive en mode « ah tes parents sont étrangers ? » et parte juste après, genre what the actual fuck.)
- Tu sais tout, toi.
- Apparemment ! admit la jeune Poufsouffle en riant. C'est toi qui le dis ! Pour en revenir au scann, je pense que c'est une bonne idée. Vous scannez l'image, et la recherchez sur Internet. (Personne ne va leur dire que la Malfoy est chelou pour les réconforter ?)
- Mais, Pop ! s'indigna Aurélie. Jusqu'aux-vacances-de-Noël ! On est en OCTOBRE Poema !
- Je sais que tu détestes attendre, Au', mais je ne vois pas d'autre solution !
- Si ! Continuer à chercher ! Si tu ne veux plus, je continue seule !
- Ah, vraiment ? s'écria Andy. On veut t'aider, Becker !
- C'est pas Aurélie d'habitude ? s'étonna la concernée en appuyant sa déconcertation d'un haussement de sourcils.
- C'est selon, expliqua Karl.
- Selon quoi ?
- Selon le niveau d'exaspération que tu m'inspires ! Deux mois, ça va, ça ne changera pas ta vie si tu ne connais pas la signification de ce signe. (Chiant. Ennuyeux.)
Mrs Pince observait la scène de loin. Elle remonta ses fines lunettes rouges sur son nez, et soupira. Oh que si, ça pourrait tout changer. (Bonjour, qu’est-ce-que vous faites là, 25 ans après Harry Potter alors que vous étiez déjà vieille quand il était étudiant là, et pourquoi vous espionnez ces élèves en particulier, et putain qu’est-ce-que vous en savez ??)
~
Anna s'arrêta à la lisière du bois, comme à son habitude. Elle posa la main sur un muret de pierre en ruines, enlaidi par les ans. Il était déjà là à son entrée à Poudlard. Témoin de ses escapades. De ses amitiés... Amours aussi. Aujourd'hui, il lui semblait en bien meilleur état qu'elle. (Ptdr j’aime bien) Preuve indéfectible que ce qu'elle avait vécu jusqu'à présent n'était pas un rêve. Le muret avait subisté, mais une part de son âme s'était brisée, morte avec lui. (Blablabla l’ancienne version d’Anna ne tournait qu’autour de Tom istg) La jeune femme se hissa sur le muret et rabattit la capuche de sa longue cape ocre et (UN DOUBLE ET ??? UN DOUBLE ET ??? NUL ! NUUUL) laissa échapper un soupir, yeux fermés. Elle n'avait vécu que pour elle. Et pour lui. Espérant qu'un jour, elle puisse en finir, le venger. Tout cela lui semblait bien loin à présent. Car c'est sa fille qui devrait le détruire. L'Héroïne-Sans-Prophétie. Celle-Qui-Vaincra. Elle le pouvait... Si seulement elle connaissait la vérité. (MAIS QUOI ? HEIN ? PTDR SI ELLE A PAS DE PROPHETIE D’OÙ TU SAIS QUE… JE… MAIS… J’avais imaginé quoi déjà ? Genre Deathly Hallow c’était Tobias Wilson ?)
Anna réfléchit un instant, puis sortit une fiole de la poche ample de sa cape. (Tu te balades tout le temps avec des fioles sur toi Anna ?) Elle inspira à fond et ferma les yeux, baguette pressée contre sa tempe. Un mince fil argenté se détacha d'elle-même, et Anna le laissa couler dans le flacon. C'étaient des souvenirs volontairement vagues, car elle avait une mémoire photographique d'une précision redoutable. (Je pose ça là mais les mémoires photographiques n’existent pas. Certaines personnes peuvent avoir de meilleures mémoires épisodiques que d’autres mais c’est tout) Cela suffirait. La jeune professeure rangea à nouveau la fiole dans la poche de sa cape. L'absence de prophétie rendait tout flou, à l'instar des souvenirs contenus dans le flacon transparent, mais Anna, elle, savait. (Non mais elle s’imagine que sa fille est l’héroïne qui va détruire son ex-meilleur pote sans aucune preuve ?)
Elle en était capable. Elle... Elle n'avait pas que ses yeux. (L’hésitation serait ok pour un dialogue mais pas dans le récit.)
~
Aurélie attendait avec impatience le moment où elle pourrait se mesurer à Oliver Ruewen (J’AI LU MARIER MDR). Elle avait réussi à arracher à Poema la promesse qu'elle essayerait de faire sortir leurs deux noms, contre celle de ne pas trop le martyriser. Promesse qu'Aurélie avait faite en croisant les doigts de pied. Ruewen allait tellement verser de larmes qu'il s'étoufferait avec - la prédiction la plus pessimiste. (Je déteste cette version du Auréliver. Aurélie et Oliver se challengent dans tous les domaines, magiques, intellectuels, même de popularité, juste parce que ce sont deux ados avec des egos surdimensionnés. Ils ne sont pas intéressés par la violence gratuite.) 
A l'heure actuelle, elle observait Lea Grey en train de se battre avec Karl Parrish. (Bonne transition !) Le Gryffondor se débrouillait plutôt bien, mais Lea était d'une d'une habilieté stupéfiantes. Elle maniait sa baguette avec dextérité et une puissance évidente émanait d'elle. Karl fut éliminé en cinq petites minutes. (Victime)
Poema tira deux nouveaux noms d'une fontaine enchantée par les jumeaux Parrish. s
- Dray Malfoy et Adise Wison, déclara-t-elle.
La jeune fille blonde de la bibliothèque se détacha du groupe, et lança un regard froid à son adversaire, un grand brun de quatrième année également.
- Saluez-vous, leur intima Poema.
Adise et Dray firent le salut règlementaire.
- Tournez-vous et avancez de deux pas.
Ils obéirent.
- A vos baguettes ! s'écria la jeune Poufsouffle. (Pourquoi Poema c’est la cheffe d’une association… ? C’est pas censé être un truc de groupe.. ? Bref ok Poema c’est la cheffe de tout et point barre)
Dray Malfoy para immédiatement un sortilège d'Entrave lancé par Adise. Elle tenta de le désarmer, sans succès. Le jeune homme de Gryffondor essaya de la pétrifier. Dray mit en place une feinte habile et parvint à désarmer son adversaire sous les hourras des élèves de sa maison.
- Vainqueure : Dray Malfoy, déclara Poema en notant quelque chose dans son carnet. Lea, à toi.
Lea Grey plongea à son tour la main dans l'eau magique, en ressortant un nom, qu'elle lut à haute voix : (Ah ok, Lea collabore aussi à l’association de duel !)
- June Pinks.
Une Gryffondor de cinquième année, aux cheveux flamboyants, s'avança, baguette à la main. Lea recommença son "manège". (Mais putaiiin trouve une meilleure manière de le dire au lieu d’utiliser une mauvaise manière entre guillemets)
- Contre Cheyenne White.
Une jeune fille aux yeux gris clair et aux longs cheveux bruns et lisses fit face à June. Elle aussi était à Gryffondor. (Mes descriptions : sexe-couleur des yeux-couleur des cheveux-maison. Boring)
- Saluez-vous. Tournez-vous et avancez de deux pas. A vos baguettes ! lança Lea avec enthousiasme.
June esquiva de justesse un Petrificus Totalus, et relança le même sort sans qu'il atteigne sa camarade.
- Stupéfix ! s'écria Cheyenne.
- Protego ! Cracbadaboum !
- Protego ! Expelliarmus !
Le combat se poursuivit durant dix longues minutes. Le niveau des deux filles était si comparable qu'aucune ne semblait pouvoir l'emporter.
- EXPELLIARMUS ! hurlèrent June et Cheyenne en même temps.
Leurs deux éclairs rouges se heurtèrent et leurs baguettes volèrent chacune dans la main de l'autre. June éclata de rire.
- Ex-aequo ! finit par décider Lea. Poema ?
- Vas-y, délégua la Poufsouffle en croisant les bras.
Aurélie faisait des signes à son amie, qui les ignora. La jeune fille était assez énervée. Elle mourait d'envie de se battre contre Ruewen, jeune inexpérimenté de la baguette, et de remporter une nouvelle bataille. Mais pour cela, elle avait besoin de l'aide de Poema !
Lea tira deux nouveaux noms de la fontaine.
- Albus Potter contre Rose Finnigan. (Funny)
Un garçon brun de cinquième année, aux cheveux en bataille, à la cravate aussi verte que ses yeux, rejoignit une Poufsouffle de troisième année.
- Ce n'est pas juste, intervint Poema avec douceur. Il ont deux ans de différence.
Albus Potter acquiesça timidement.
- OK... convint Lea en piochant un nouveau nom. Hugo Granger-Weasley. Il est en quatrième année.
L'héritière des Ollivander secoua la tête, et la présidente du club de duel soupira.
- Parrish, ta fontaine est censée faire des paires d'élèves de la même année. Faudra que vous la vérifiiez. (Oh ils réutilisent la fontaine ! Sympa !)
Les jumeaux échangèrent un regard, quelque peu gênés, puis haussèrent les épaules. Une jeune fille rousse aux yeux bleus, portant l'uniforme de Serdaigle, leva la main, comme si elle était en classe. Aurélie reconnut Rose Granger-Weasley, de sa maison.
- Je peux, moi ! Je suis en cinquième année !
- Normalement, c'est à la fontaine de décider, mais d'accord, agréa Lea en s'asseyant sur le bord de ladite fontaine.
- Une Rose contre une autre, dit Albus avec un léger sourire en se retournant vers la jeune Finnigan, qu'il semblait connaître. Ca me va.
Le duel entre les deux cousins débuta. Les sortilèges fusaient. Albus évitait tant bien que mal ceux de sa cousine, qui finit malgré tout par l'emporter.
- Vainqueure : Rose Granger-Weasley, lança Poema. A moi, Lea.
Comme promis, Poema sortit les noms d'Aurélie et Oliver. Ravie, la jeune Serdaigle fit face à son ennemi, le gratifiant d'un sourire presque carnassier, auquel il répondit par une moue ironique.
- Toi ici, se moqua Aurélie en jouant avec sa baguette magique.
- Ouais, c'est ça, moi ici, répondit Oliver. (Oui, bonne question, qu’est-ce-qu’il fout là ? Ah oui c’est vrai, il veut apprendre à se battre car IL VA DEVENIR UN MANGEMORT BOUHOUHOU PARCE QU’IL Y AURA UNE GUERRE REMEMBER ??)
- C'est le moment de rédiger ton testament.
- C'est ce qu'on va voir, Becker.
Il dégaina sa baguette à son tour. Poema intercepta son geste. Aurélie réprima un sourire. Son amie ne pouvait pas s'empêcher d'analyser chaque baguette qu'elle voyait. (Tu sais, ça se soigne, Poema ? Il faudrait en parler. As-tu l’impression que ta valeur est intrinsèquement liée à ton don ?)
- Excuse-moi, je peux regarder ta baguette une seconde ? demanda la jeune Ollivander en prenant la baguette des mains de Ruewen sans attendre de réponse. (ET LE CONSENTEMENT ALORS CONNASSE) Merci beaucoup. Hum... Bois de prunellier fusionné à du sapin, avec, hum... Des ventricues de dragon. Très bonne baguette, oui... C'est moi qui l'ai fabriquée. (MAIS ELLE S’AUTO-SUCE LA) Le bois de prunellier est un bois aussi endurant que l'arbre duquel il provient. Il est idéal pour les duellistes.
- Lui, un duelliste ?! C'est ça, et moi, je suis McGonagall ! ironisa Aurélie en attachant ses cheveux en queue-de-cheval. (Pour une fois elle a raison mdr, à moins que je ne m’en serve pour souligner à quel point en fait Oliver est un excellent duelliste caché… #GarySue)
Poema roula des yeux et reprit son analyse.
- ... Le bois de sapin, lui, est très résistant, et demande une certaine endurance et une certaine détermination de la part de son maître. (Unpopular opinion : les bois fusionnés n’étaient pas une SI mauvaise idée, le problème est juste que tout le monde fait du coup la compétition de celui qui en aura le plus) Il est très pratique pour les sorts de métamorphose. Son coeur, les ventricules de dragon, est puissant et facilite l'apprentissage des sortilèges mais est souvent générateur d'accidents. (OK le copié-collé du wiki HP)
- C'est bon, t'as fini, là ?! s'impatienta Oliver qui tentait tant bien que mal de dégager sa baguette magique des mains de Poema. (La scène est hyper rigolote à imaginer j’ai vraiment ri)
- Oui oui. Pardon. Saluez-vous.
Aurélie et Oliver restèrent immobiles. (Impolis)
- Saluez-vous ! répéta Poema, et ils obéirent de mauvaise grâce. Tournez-vous et...
- Avancez de deux pas, compléta Aurélie avec malice.
- A vos baguettes, acheva la Poufsouffle avec un clin d'oeil complice. (Ouhhhh l’ellipse, tant de suspense, je meurs)
3 octobre 2022, 18 heures 20, Salle sur Demande, PDV Andy Parrish.
Personne ne saurait dire avec précision, je crois, le moment exact où ça a dégénéré. Pour ma part, je m'estime heureux qu'il n'y ait pas eu de Sortilèges Impardonnables. (Il est drôle je l’aime bien)
Dès que Poema Ollivander a annoncé les noms d'Aurélie Becker et d'Oliver, j'ai su que ça finirait mal. Ca finit toujours mal. J'avais pourtant essayé de dissuader Ollie de joindre ce club. Mais il a refusé, alors nous l'avons accompagné dans l'espoir de limiter les dégâts. Raté.
A ma grande surprise, c'est Oliver qui a jeté le premier sort. Un simple "Obscuro" que Becker a paré derechef. L'échange qui a suivi a sans doute été l'un des plus épiques de toute l'histoire du club de duel, et je ne dis pas ça parce qu'Oliver est mon ami.
- Petrificius Totalus ! a crié Becker.
- Protego ! Levicorpus !
Le sort était parfait, rapide et efficace. Aurélie avait eu tort de sous-estimer notre ami sous prétexte que c'était un incontestable intello. Elle a volé, accrochée dans le vide par un pied. Mais elle a gardé sa baguette magique. (En vrai ça me donne envie d’écrire une scène de duel Auréliver)
- Liberacorpus ! Incarcerem !
- Protego ! Impedimenta !
- Protego ! Furunculus !
Je ne voyais pas le rapport entre un club de duel et des furoncles, mais il ne fallait pas chercher à comprendre avec ces deux-là. Pour parler du duel à proprement parler, il était fantastique. Oliver connaissait pratiquement tous les sorts jamais créés et les jetait à la perfection, mais Aurélie était une pro du "Protego" et ne manquait ni d'adresse ni de courage. J'étais scotché par la vitesse à laquelle notre ami jetait ces sorts. Une même étincelle brûlante illuminait le regard des deux adversaires. La volonté de vaincre.
Les sortilèges se mêlaient dans un concert de mini-explosions et de jets colorés, partout dans la pièce.
- Locomotor Mortis ! finit par crier Aurélie.
Oliver fut immobilisé, mais parvint à annuler le sort.
- Finite Incantatem... (Il sembla hésiter, mais c'était une feinte.) EXPELLIARMUS !
Sous l'effet de la surprise, la baguette d'Aurélie échappa à, ben à Aurélie, (MAIS ARGHHHH C’EST PAS DRÔLE, FAIS UN EFFORT D’ECRITURE MERDE LES PHRASES C’EST FAIT POUR ETRE BIEN CONSTRUIT) et atterrit non pas dans la main d'Oliver, mais un peu plus loin, sur le tapis. Elle lui adressa un regard tranchant, des plus noirs et rancuniers, puis a tendu la main vers sa baguette et sa force magnétique a fait le reste. (Rhhh… Et puis normalement dès que l’adversaire est désarmé le duel est considéré comme fini…) La bataille, la vraie, avait commencé. Il y eut de tout.
- RICTUSEMPRA !
- TERENTELLEGRA !
- STUPEFIX ! STUPEFIX !
- IMPEDIMENTA !
- INCARCEREM ! PETRIFICUS TOTALUS !
- DURO ! (Je vous assure, l'un d'entre eux, je ne saurais d'ailleurs dire lequel, a essayé de transformer l'autre en pierre. Véridique.)
- EVANESCO ! (Pas plus honorable que de tenter de transformer quelqu'un en statue, selon moi.) (MAIS CE SORT EST HYPER GRAVE WTF)
- LASHLABASK !
- AGUAMENTI (Tsss !)
- LOCOMOTOR MORTIS ! STUPEFIX ! RICTUSEMPRA ! RICTUSEMPRA !
Voilà qu'ils se mettaient à jeter plusieurs sortilèges d'affilée, sans se soucier du sort (sans jeu de mots) (MDR C’EST DROLE FRANCHEMENT JE SUIS SENSIBLE A MON PROPRE HUMOUR DU PASSE HAHAHA) du précédent. Poema Ollivander a jeté un regard inquiet à Lea Grey.
La bataille a duré trente bonnes minutes, je le jure sur la tête d'Hagrid en personne. Puis, il s'est passé quelque chose qu'il n'est pas vain de qualifier de "magique". (Big brain, oui, c’est de la magie)
Aurélie et Oliver ont levé leur baguette et ont crié en choeur :
- EXPELLIARMUS !
Leurs deux rayons rouges se sont heurtés et un jet d'étincelles brûlantes a consumé un tapis (ou deux). Aurélie et Oliver ont volé, littéralement, et ont heurté les deux murs opposés avec une violence telle que de la poussière de plâtre (je crois) (remarque inutile check) s'est détachée du mur. Puis, un espèce de halo coloré a émané de leurs corps inertes : rouge pour Aurélie, bleu pour Oliver. Sachant que c'était respectivement la couleur de la maison de l'autre, c'était assez troublant. (Je… Ouais ? C’était censé vouloir dire quoi, qu’ils étaient âmes sœurs ? Qu’ils n’étaient pas dans la bonne maison ? On a fini par comprendre.) Puis Poema a couru vers Aurélie, Karl vers Ollie, et Lea Grey a annoncé d'une voix hésitante : 
- Heu... Je déclare la fin de cette scéance. Euhm... Bonne nuit à tous.
Elle a ensuite pointé sa baguette sur Oliver (et Poema sur Aurélie) et elles ont murmuré :
- Locomotor.
3 octobre 2022, 19 heures 17, bureau de la directrice, PDV externe.
Amara Trelawney avait l'habitude, grandement l'habitude, d'être méprisée et traitée de charlatane, aussi ne se vexa-t-elle pas lorsqu'Anna lui asséna : (Pauvre ancienne version d’Amara ! Et bonne introduction)
- Vous feriez mieux de retourner à votre boule de cristal, vieille pie, et perfectionner votre jeu d'actrice pour que vos élèves aient un minimum de respect pour vous. (Ouch. Mais en vrai, quel besoin d’inventer Amara ? J’aurais juste pu récupérer Sibylle au lieu de faire une copie)
La jeune femme se détourna, haussa les épaules.
- Bien, bien, dit-elle.
- Anna, intervint Lenoir.
Minerva McGonagall ne se trouvait pas dans son propre bureau, aussi les trois professeurs avaient convoqué Anna en ces lieux pour lui parler, soi-disant d'une sortie de classe.
- Vous avez besoin de parler, affirma le professeur de botanique. D'exprimer ce que vous ressentez.
Anna soupira avec lassitude. Parler ? Mais parler de quoi, à qui ? A eux, ses collègues de travail ? Cela n'était pas sérieux.
- Vous avez tout perdu, murmura ensuite Amara pour elle-même. (C’est violent wesh ??? « TA VIE C’EST DE LA MERDE TON MARI EST MORT »)
Anna se retourna, blessée dans son orgueil.
- Mais je n'ai jamais, jamais prétendu le contraire. Cette nuit-là, dans la forêt, une part de moi est morte avec lui. Je... Il était tout pour moi ! Depuis ce jour où mon regard a croisé le sien pour la première fois. Des yeux si bleus. Un bleu comme on en voit peu, comme si l'on regardait le ciel à l'aube. (OK c’est bon stop)
            J'avais onze ans. Lorsque Minerva a appelé mon nom, je ne savais encore rien de ce qui allait m'arriver, j'étais juste une petite fille comme les autres, je... J'allais à l'école, j'étais "un petit prodige", comme disent les Moldus. J'étais normale... Mais dans le monde des Moldus, j'étais le centre de l'attention. Je retenais tout, avec ma mémoire prodigieuse, ils n'avaient jamais vu ça. (Tu étais juste HPI Anna ça arrive, tu n’étais pas Jésus non plus) Là, à Poudlard, j'étais à ma place, enfin véritablement anonyme. En rejoignant ma nouvelle maison, j'ai entrevu l'image fugace d'un garçon de deuxième année, à Gryffondor. Il riait, il avait des cheveux châtains qui partaient dans tous les sens et des yeux pétillants. Par la suite, j'apprendrais qu'il appartenait aux Familles Oubliées (hein c’est quoi ça encore), des éminentes familles de Sang-Pur qui habitaient à l'étranger lors du fameux Recensement, pour le Registre des Sang-Pur, par Teignous Nott... Aussi, ces familles n'y figuraient pas. (Ou alors ils sont juste… américains ??? Ethnocentrisme pff)
            Il avait quelque chose. Quelque chose d'unique au monde. Enfin, c'est ce que je pensais avant de mettre au monde Aurélie... Quelque chose dans sa façon d'être, de penser, de voir et d'interagir avec le monde. Pour lui, les règles n'existaient que pour être transgressées, les traditions pour être modifiées, et rien n'avait lieu d'être si ce n'était pas un de nos choix. (Il y a… beaucoup de personnes comme ça mais ok. Tom est mignon.)
            Je l'ai revu peu de temps après, en cours de potions avec les Gryffondor, première et deuxième année confondus (CA N’EXISTE PAS PUTAIN ! Mon idée de lui faire sauter une classe est plus réaliste). Il était assis à côté de moi... se souvint Anna d'une voix tremblante de rage et de peine. Il m'a dit son nom, mais il se souvenait du mien. (Weirdo il l’a entendu une fois à la Répartition) Il a imité la voix de Minerva si parfaitement que j'ai éclaté de rire.
            - "Becker, Annabella", c'est bien ça ? a-t-il demandé.
            - Oui, Anna.
            - Pourquoi pas Bella ?
            - Je... Je ne sais pas. C'est comme ça depuis ma naissance. Bella           Becker, ça fait débile. Et Annabella, c'est trop long.
            - Pourquoi tes parents t'ont appelée comme ça, alors ? (Mais il est trop con)
            - Je ne sais pas...
            Je me suis sentie bête, mes réponses n'étaient pas très éloquentes (girl don’t feel stupid, he should), mais il n'avait pas l'air de s'en soucier, il... Il paraissait curieux, c'est tout. A partir de ce jour, lorsque nous nous croisions dans les escaliers ou en potions, il m'appelait "Bella". (COUCOU TWILIGHT) J'aimais bien. C'était différent. Il a toujours eu un don pour voir les choses autrement, voir le détail qui différenciait chacun. (Redescends, il t’appelle juste par un surnom différent) Nous étions connaissances, je passais mon temps fourrée avec Lilybeth Prentice, Madeline Pomfresh et surtout av... (Anna t’avais des amis ??)
Anna s'interrompit, des larmes roulant sur ses joues. (Meuf… tu parles de tout ton passé à tes collègues donc je pense que tu peux balancer le nom de ton ex meilleur ami, ça va aller) Amara et Lenoir échangèrent un regard triste, les membres raides.
- J'ai tenté de la protéger, des années durant. C'est impossible, à présent, impossible, pleura Anna qui semblait se parler à ele-même plutôt qu'à ses deux collègues. (1, relis-toi et 2, tu m’étonnes qu’elle se parle à elle-même, mais c’est quand même extrêmement out of character) J'ai tout fait pour ça. J'ai gardé des secrets, contenu sa magie, caché mon passé, ses origines, une part de sa vie, et tout ça pour quoi ? Bientôt, je passerai pour une menteuse égoïste, ce sera vrai... Vous comprenez que c'est de ma faute ?! Entièrement de ma faute ?! (OH MAIS TA GUEULE) J'aurais pu éviter cela, répondre autrement, mais je ne l'ai pas fait, ça a entraîné ma perte... Il a décidé de m'épargner, mais ce que je vais endurer si Aurélie... Je... Cela serait pire que la mort ! Pire que tout ! (Je comprends tellement rien à ce qu’elle dit que j’ai aucune empathie pour elle lol) Oui, je sais ce que vous pensez. "Elle pense encore, toujours à elle, alors que sa fille est en danger de mort !" Car elle l'est, et vous aurez raison. (Ah bon ? Mais wesh explique-toi et arrête de leur mettre des mots dans la bouche) Parfois, je vous le dis, puisque vous voulez des confidences (did they ask tho), lança Anna sur un ton ironique, j'ai peur de ce que je suis devenue. Une femme sans vie, sans rêves et sans buts. Sans ma fille, je ne serais plus de ce monde, eh oui, c'est gai tout ça, non ?! C'est vous qui avez voulu entendre ça. Ces images me hantent. Je suis hantée par son fantôme et par les souvenirs qu'il a laissés derrière lui. Je n'ai pas été capable de l'aimer assez. Je ne croyais, mais c'est une erreur. Lui m'aimait ; il s'est jeté aux-devants de la Mort pour m'en sauver. Il avait tellement de courage..! Et moi, je suis lâche. Tellement lâche. Vous voulez savoir ce que je ressens ?! Non mais vraiment, vous voulez savoir ce que, MOI, je RESSENS ?! De la peur, de la colère, de la haine même, du désespoir, de la tristesse, des regrets, de la honte... Je regrette, oh que oui. La seule famille que j'avais, celle que je m'étais construite, qui l'a détruite ? MON AMI D'ENFANCE ! Celui avec qui j'ai tout partagé ! Qui copiait ses devoirs sur moi, qui m'aidait en vol sur balais, avec qui je faisais mille escapades en forêt ! Il l'a tué de sang-froid, tout comme il a tué mes parents... Je connais son histoire. Il a souffert, mais AVAIT-IL LE BESOIN, AVAIT-IL SEULEMENT LE DROIT DE ME FAIRE SOUFFRIR, MOI ?! (Euh ah bon ? Tobias avait une histoire particulière ? Dans la version actuelle c’est juste un produit du patriarcat et de la violence et possessivité masculines) Alors que ma fille a besoin de vérité, je me rends compte que toute ma vie on m'a menti et que j'ai menti. Tout le temps et à tout le monde, quand on me demande si ça va par exemple. (LES PSYS CA EXISTE ANNA STP) Mais si je vous disais tout ce que je pense, tout ce que j'ai vécu, tout ce que j'ai vu... vous n'avez pas vu ce que j'ai vu ! Le seul amour de ma vie, inerte dans la boue, ses yeux bleus (PAS LA PEINE DE PRECISER A CHAQUE FOIS) fermés pour toujours, pour rien, pour me sauver, c'est-à-dire pour rien. Si je disais la vérité, qui serais-je ? Pour qui serais-je prise ? POUR UNE FOLLE ! POUR UNE FOLLE ! hurla Anna, secouée de sanglots. https://youtu.be/FSW371FMLns (mdr le lien YouTube qui sort de nulle part mais ok ! It’s Always by Beth Crowley btw)
Amara s'approcha doucement d'elle et posa les mains sur ses épaules, mais la professeure de sortilèges se déroba, puis poursuivit avec plus de douceur, d'une voix brisée :
- Perdre un être cher, comme lui, dont je ne peux même plus prononcer le prénom sans avoir l'impression de le trahir une seconde fois, c'est comme perdre une part d'amour, une pièce d'un puzzle à jamais inachevé au plus profond de notre coeur... (Mais euh… qui êtes-vous et qu’avez-vous fait à Anna ? Cette version est beaucoup plus humaine, mais en même temps c’est très contradictoire. Genre son seul but était de la protéger et de l’aimer et tout et c’est pas sa faute et bouhouhou. Je préfère la Anna actuelle, même si elle est bien plus égoïste et méchante, parce que c’est plus logique avec l’histoire de l’abandon à Castle.)
Sur ces dernières paroles, prononcées avec tant de sincérité qu'Amara et Lenoir se sentirent ébranlés, Annabella Becker se leva de son fauteuil, serra les pans de son gilet à capuche et sortit de la pièce dans un dernier courant d'air, la porte se refermant avec un écho de souvenir, une présence invisible. (Pff ok si tu le dis)
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keigo-tagami32 · 1 year
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Yandere Hawks x civil Reader
Chapitre 1: le début d'un poursuite.
Mon histoire va avoir plein de lemon de sang de drogue fin bref plein de chose pas pour les petits ou les gens trop sensibles.
Mots rouge hawks
Vers autre personnage
Le debut et la fin du lemon sera signalé par 🍋
Quand sa sera le moment où il drogue sa sera💉
Le sang la torture et autre sera🩸🫣
Voilà je vous dirai quand sera fini par les même emoji
bonne lecture
Je suis entrain de rentrer chez moi, avec plein de course dans les mains. J'ai même pas eu le temps de mettre ma clé dans la serrure que quelqu'un m'appelle depuis mon balcon. ( Je vis seul mes parent son mort très jeune.)
Ta besoin d'aide Baby Birds ?
Non merci mais attends tu ai ...
Oui je suis Hawks je t'observe depuis un moment tu sais.
Ah bon pourquoi tu m'observer enfin attend je vais t'ouvrir ma fenêtre quand je rentre.
J'attends Baby Birds
Je me suis dépêche de rentre de pose les sacs sur le contour,et monté jusqu'à ma chambre pour enfin ouvrir ma porte vitrée.
Désolé si j'ai mis longtemps, j'ai fait le plus vite possible.
T'inquiète pas bon on discute ou tu veux regarder un film?
Bah att il est qu'elle heure ?
Je regarde mon réveil ll est 18h30 je commence a descendre avec Hawks a mes talons. Quand je suis allé à la cuisine il m'a suis partout, même quand je suis allé dans ma chambre il est venu s'installer a coter de moi.
Ta un petit amie?
Non pas intéressé et toi une petite copine ?
Non j'ai une crush qui va bientôt m'aimer mais pas pour tout de suite.
Ah ok je pensais que tu étais en couple mais je me suis trompé.
Ahaha mais t'est fan de moi en plus?
Quoi je sais pas de quoi tu parle.
Alors c'est quoi les figures de moi et pleins d'autre héros ?
Bah je ehh...
Je me suis retourné pour être dos a lui, avec des rougeurs qui ont commencé a arrivés sur mes joues.
Ne sois pas timide en plus je t'aime bien!
Comment sa on se connait que depuis quelques minutes ?
Oui mais tu vois c'est pas la première fois que je te vois aussi belle, gentil et maintenant que je pense tu et aussi timide.
Ah bon je suis flattée que le numéro 2 Hawks ma vu moi une chose si petit et moche.
Tu est pas moche t'est magnifique, et en plus j'adore tout chez toi t'est passe temps, comme la musique le dessin et autre. J'adore te voir sourire même quand je te vois te déshabiller tu est parfait !!
Eh c'est un peu bizarre tu ma vue nue?
Oui car je voulais voir si tu est une personne qui a un passé compliqué, mais tu n'a pas de passe et c'est pas la première fois que je vois nue.
Ah ok bon je vais me changé tu peut partir s'il te plaît.
C'est pas la première fois que je te vois nu tu peut faire devant moi t'inquiète pas.
Ok mais tu me touche pas alors.
T'inquiète pas Baby Birds j'adore te voir faible t'est trop craquante !
Je commence a me déshabiller je pouvais sentir que Hawks me lâché pas du regard, même quand je me suis accroupi il m'a regardé. J'ai même senti une de ses plumes se mettre a côté de moi, j'ai essayé plusieurs fois de me caché mais il m'a dit des mots qui mon sentir bien pas du tout stressé.
Y/n c'est bon calmé je suis sur le lit, mes plumes vont te tenir si tu tombe ou ton habite tombe je peut t'aider comme ça.
J'ai un problème tu peut allé chercher une culotte s'il te plaît j'ai oublié, je ne peut pas bougé car je sens que mes problème arrive.
Ok Y/n attend je vais le faire.
Attend je t'ai pas dit ou....
J'ai pas eu le temps de finir la phrase qui ouvre mon tiroir avec mes culotte, il choisit une culotte noir très fine.
Voilà attend je peut te la mettre S'il te plaît ?
Si tu veux fait attention je suis sensible
PDV Hawks
Je commence par apporté de l'eau a Y/n qui a un somnifère dedans, puis je l'habille avec un t-shirt assez petit pour m'aidé a peu plus tard.
Je lève les yeux pour voir le verre vide et elle semble assez bien le prendre, je la porte en mode princesse, et la pose sur le lit avec la couverture dessus.
Je vais dans le salon si tu a besoin de moi d'accord.
Oui merci ( baille)
Je commence a partir et ou bout de 5 minutes je rentre dans la chambre pour la voir endormi, je la porte en vérifiant que tout sois fermé et pars l'emmène chez moi.
Esclipe arrivé chez Hawks
Je l'emmène dans ma chambre en la menottent au lit, oui je m'endors heureux j'ai enfin la personne que j'aime a côté de moi.
Tu est a moi Y/n personne ne t'aura.
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