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#Notre Père
sabbathsermon · 4 months
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Apprends-nous à prier (3ème partie) : Que Ton règne vienne
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perduedansmatete · 30 days
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en fait je crois que j’ai pas de problème avec les gens qui parlent trop juste avec ceux qui ne savent parler que d’eux et qui ramènent tout à eux constamment et ceux qui parlent pour combler le silence et qui réfléchissent à voix haute (je suis chez ma sœur qui ne parle que d’elle sans arriver à m’enfuir avec ma mère qui comble le vide j’ai chopé le gros lot)
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mauriziomarco7 · 1 month
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matrasek · 4 months
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waking up like this as the immigration law has been voted
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pigeonneaux · 1 year
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Ya nos fils de chien de voisins qui construisent une piscine dans leur jardins a côté de nous
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lumiere-astrale · 9 months
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smp-live · 2 years
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Snail snailsnfriends hopes I miss the stream they are cruel and a bad friend and I hope that if I miss it they miss it too and everybody should block and unfollow them I think
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marthashlyn · 1 year
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God Is.
Baba.
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plumedepoete · 2 years
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Papa - Daroca Mikael
Papa – Daroca Mikael
P ape de famille A rme la société P atriarcal de virilité A cte de munitions. * P ause de douceur A nime les membres P rocessus de création A rchitecte ce cellules. P ’ pa. Caresse de papa Berce le monde Cœur du bouleau Protège la forêt. Rassurant et vital Papa (ra) de Tahiti Papa est beau Plaît à la vie. Les Papas. Papa d ’ Asie sourit L ’ éventail des sens Papa d ’ Afrique étreint Sait élargir…
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psychopute · 5 months
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Le dernier épisode de Narvalo m'a mis un coup dans la gueule ; je pense qu'on a tous plus ou moins un secret d'enfant enfoui qui nous bouffe de l'intérieur et qui influence nos vies des décennies après.
Pour moi c'est A. Cette sale pute, sûrement autant victime que moi, et sa grosse pute de mère.
Petite anecdote assez insignifiante face à la réelle gravité de ce qu'elle m'a fait : sa mère avait fait à manger pour le déjeuner, je pense qu'on était un dimanche. On était assise côte à côte. Le plat était dégueulasse ; du blé sec, nature. Jme rappelle même plus de s'il y avait un accompagnement. Je n'avais absolument pas l'intention de finir mon assiette, dont je trouvais le contenu répugnant. Cette conne de A. n'arrêtait pas de verser une partie de son assiette dans la mienne dès que sa mère avait le dos tourné. Impossible à finir. Honnêtement, je ne me rappelle même plus de comment ce repas avait fini. Juste que j'étais en détresse parce que ce qu'il y avait dans mon assiette était dégueulasse et que je savais que je ne pourrais pas le finir.
C'est bête, c'est mesquin mais je n'oublierai jamais. Son blé dégueulasse, son sourire satisfait, son hippopotame de mère qu'on appelait Madame Féchigny (FICHINI) en référence à la belle mère des Malheurs de Sophie. Elle était plus violente encore. Elle a ouvert le crâne de ma sœur, fouetté mon petit frère nu des pieds à la tête pendant que sa fille cachait ses rires en faisant mine de pleurer, le visage enfoui dans ses mains. Elle nous a tous frappé, les sans-daronne, en plus d'avoir réduit notre confiance en nous à 0 en nous coupant les cheveux à ras. Et puis, dieu merci, elle est partie du jour au lendemain avec sa fille la violeuse, et je ne l'ai plus jamais revue.
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sabbathsermon · 4 months
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Apprends-nous à prier (2ème partie) : Que Ton nom soit sanctifié
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semena--mertvykh · 1 year
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Où notre héroïne a un gros béguin
Samedi soir à boire des mojitos avec Valérie, à Savigny-sur-Orge, en pleine vague de froid.
Savigny, ses richesses architecturales, son rayonnement culturel.
On a trottiné dans la nuit et les néons laiteux jusqu'au seul bar un peu classe du coin, pour le plaisir de se répéter la vanne immortelle de Lolita : "Heureusement qu'il y a du brouillard, çà cache un peu les crétins qui vivent ici".
Je voulais lui parler de cette histoire avec les boulets de la classe, qui me tombe sur le pied au moment où j'en ai le moins besoin ; et puis finalement, on s'est retrouvées à parler de Prof Sexy toute la soirée. Elle est heureuse en ménage et les fixettes de célibataires doivent lui rappeler des souvenirs.
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Le calcul que je traînais dans les reins, depuis l'après-midi, irradiait d'heure en d'heure, et elle m'a proposé de rouler un spliff en sortant. Elle a insisté pour qu'on le fume dans la voiture - "Thierry va me prendre la tête sinon" - alors on est restées devant son pavillon, dans sa petite rue transie, à attendre que çà fasse effet et que je puisse reprendre la route. On voit bien que ce ne sont pas des pavillons riches qu'il y a dans sa rue, certains ressemblent même plutôt à de petits immeubles mitoyens ; mais enfin, c'est déjà quelque chose. Une jardinière sur la façade de devant, un jardinet-couloir derrière : le début de l'accession à la propriété. On déglutissait, chaque fois qu'on tirait sur le cône, parce qu'elle l'avait bien chargé, et on soufflait la fumée par les vitres entrouvertes.
On essayait d'imaginer avec quel genre de fille Sexy était maqué. Val le voyait avec une bourge toute refaite de partout, le genre "Grande connasse, blonde en carton, les nichons sous le menton et le chihuahua dans les bras, genre le clébard il pose jamais les pattes par terre". J'ai dit que je le voyais bien cerné par des tas de doctorantes jeunes et sexy qui se battaient à coup de tablettes, en mode Matrix, pour obtenir une audience avec lui. Je sais pas si c'est les mojitos ou le THC, mais visualiser la scène nous a bien fait marrer. On a convenu ensuite que la réalité devait être un mix des deux.
Après, on a essayé de se mettre d'accord sur la chanson à lui envoyer pour lui faire comprendre mes intentions - des chansons de Q, évidemment. Les grandes idées humaines ne naissent jamais après un verre de jus d'orange. Elle voulait que je lui donne son mail pour lui envoyer le clip de Fatal Bazooka
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Je lui ai dit que c'était un message subtil mais que, si elle voulait coller à ma réalité, il valait mieux lui envoyer les paroles de Hey Lover, de LL Cool J.
Elle m'a encore proposé de dormir chez eux, mais je savais que j'allais être réveillée à 7h par leur bouledogue - rebaptisé le Chien Le Plus Con De La Planète depuis qu'il avait essayé de s'accoupler avec un kilo de pommes de terre en filet ; et encore après, à 7h30, par Enzo, leur fils de cinq ans. Je n'avais pas envie que : "Vas-y casse-toi le chien" sois la première phrase qui sorte de ma bouche un dimanche matin. Je ne sais pas pourquoi tout ce qui est en état de marche, à 7h, dans cette maison, n'a rien de mieux à faire que de venir étaler ses jouets gluants sur mon oreiller.
En rentrant, j'ai reçu le sms de Valérie qui me demandait si j'avais croisé des flics sur la route. Je lui ai écrit que tout était ok, que je gardais mon permis. Sa réponse m'a collé le sourire d'une oreille à l'autre :
"NEVER EVEN THOUGHT. MURRAY HEAD !!! "
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mauriziomarco7 · 2 months
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empiredesimparte · 2 days
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°1 | Tuileries palace, 14 Thermidor An 230
Emperor Napoleon V and his wife Charlotte are worried about the presence of Louis Simparte on French soil. He is a notorious anti-imperialist, a sort of black sheep of the family. It seems he has decided to move back to Francesim. He has published a book "Freedom" in which he recounts his family's mistreatment of him, culminating in his liberating divorce from the mother of his children and the imperial family. The emperor has decided not to censor the book, nor to prosecute the author immediately, which is causing controversy among the Simparte people.
Finally, Napoleon V couldn't resist revealing to his wife that he and his uncle had a plan for dealing with the "Louis Simparte" case, without going into details.
Beginning ▬ Next
⚜ Traduction française
L'empereur Napoléon V et son épouse Charlotte sont inquiets de la présence sur le territoire français de Louis Simparte. C'est un anti-impérialiste notoire, une sorte de mouton noir de la famille. Il semblerait que ce dernier ait décidé de venir habiter à nouveau en Francesim. Il a publié un livre "Liberté" où il raconte les mauvais traitements familiaux qu'il a traversé jusqu'à son divorce libérateur avec la mère de ses enfants. L'empereur a décidé de ne pas censurer le livre, ni de poursuivre l'auteur en justice immédiatement, ce qui fait polémique au sein des Simparte.
Finalement, Napoléon V ne peut s'empêcher de révéler à son épouse que lui et son oncle ont un plan pour gérer le cas "Louis Simparte", sans rentrer dans les détails.
(Napoléon) Je l'ai feuilleté, un peu
(Charlotte) Tu te fais du mal (Napoléon) Je sais, mais comment faire autrement ?
(Charlotte) Tu ne m'as rien dit à propos de ton grand-père (Napoléon) Je ne l'ai jamais rencontré. Oncle Henri dit qu'il a trahi notre famille pour "vivre libre"
(Charlotte) Ton oncle doit être furieux (Napoléon) Il ne laisse rien paraître mais c'est évident
(Napoléon) Quel genre de père écrit "Liberté" à la mort de son fils ? (Charlotte) Pourquoi ne veux-tu pas le poursuivre en justice ?
(Napoléon) Je ne veux pas satisfaire les paparazzis
(Charlotte) Louis, tu dois faire quelque chose, il ne peut pas parader autour de nous pendant ton couronnement
(Napoléon) Ne t'en fais pas, oncle Henri et moi on a un plan
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ekman · 1 month
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon œil bleu, les gens se disent en le découvrant que je dois être un fieffé malin, peut-être même un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survécu à la mitraille, à la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grâce à mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti à l’église le dimanche, ni le tchékiste resté à encenser son grand Staline dans une réunion de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens à leur endroit une haine parfaitement égalitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du même ventre flasque de la Révolution, de la même fente puante, matrice qui dégueule son trop plein d’humanité féroce, foetus aux dents acérées, dévoreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dégueulasseries biologiques conçues pour anéantir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-là, j’en ai croisé sur le front. Jamais en première ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus à la première déflagration, même lointaine, même ténue. Terrorisés à l’idée d’une baïonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflé de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la même pétoche minable, incapables de transcender leur peur de mammifère absurde, condamnés à baisser la tête, à lever les bras, à écarter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-là, faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitié d’un quart de soupe... Allez…” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculés de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout à l’heure, t’étais où, hein, mon salaud ?” Généralement, ils baissaient la tête ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-côté. Mendigoter un quignon ou une tige à de bonnes âmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mêmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillés pour survivre à tout, coûte que coûte, dussent-ils se faire cracher à la gueule pour l’éternité des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps à crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des éclairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des Croisés ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien à cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idée de crever recroquevillé comme un cafard, ça m’a toujours été insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, père de quatre marmots à pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom à rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchée tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincé dans un trou peu profond, avec un éclat boche calé dans la cuisse. Les autres étaient partis en poussière, pulvérisés par un obus fabriqué avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du côté de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’œil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangées de barbelés avec, calé dans la molletière, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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skania · 4 months
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Reading the official French translation of volumes 8 and 9 has made me realize that this is supposed to be Akane repeating what Aqua once said to her:
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It's way more obvious in the French translation, because they draw a parallel between both dialogues:
Aqua: Notre relation n'est pas réelle... elle est née pour les besoins d'une émission télé... Our relationship isn't real... it was born for a TV show.
Akane: Notre couple est né pour les besoins des caméras... Our couple was born for the cameras.
The French translation also goes extra hard when it comes to Aqua's monologue about Akane:
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Here is how it goes in French: Je dois aussi réfléchir à mon avenir avec Akane... maintenant que je sais que mon père est mort, je n'ai plus besoin de la garder près de moi... Je pourrais exploiter son intelligence sans m'attacher à elle de façon égoïste, seulement... Non... Voilà justement pourquoi... Je ne peux pas rester attaché éternellement à cette fille, une fille jeune et pleine d'avenir.
While the beginning is pretty much identical, here is a literal translation of the rest: I could use her intelligence without selfishly getting attached to her, but... [Aqua thinks about the hug] No... That's precisely why... I can't stay forever attached to this girl. A young girl with a bright future ahead of her.
I bolded the lines that stood out the most to me. I feel like the French translation makes it extra clear that one of the reasons why Aqua wanted to put some distance between them is because he was already attached to Akane, and perfectly aware that if he kept her near, he wouldn't be able to stop himself from getting even more attached to her.
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This is another one I really liked in French. Je ne peux pas... t'obliger à rester avec moi plus longtemps...
Which would give us: I can't... make you stay with me any longer...
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