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#Martin Le Borgne
st-just · 1 year
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Pyromancer by Martin Le Borgne
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allsystemsblue · 2 years
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Bladd The Half-Wolf holding his Royal Greatsword.
A Greatsword decorated in royal Carian Style, favored weapon of Blaidd the Half-Wolf. In defiance of the fate he was born to, Blaidd swore to serve no master but Ranni. As proof, the sword was imbued with a cold magic at the moment oath was sworn.
Artist: Martin Le Borgne
Now excuse me while I go cry. 😭 Just give this handsome baby his happy ending!
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manfrommars2049 · 2 years
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Nomad by Martin Le Borgne via ImaginaryDwellings
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darkartfinds · 3 years
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Rise by Martin Le Borgne
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thecollectibles · 3 years
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Mushroom Fighter - Character Design Challenge by selected artists: Alessandro Manzella, Martin Le Borgne, omar samy, Svetoslav Petrov, Elisa Brondolo
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ex0skeletal-undead · 3 years
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Rise by Martin Le Borgne
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tempusanimus · 3 years
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Rise by Martin Le Borgne
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Peu s'en souviennent, certains l'ignorent (17)
Peu se souviennent de Catherine, premier amour du Roi-Soleil.
En 1643, Louis XIV n'a pas encore 5 ans lorsqu'il devient roi de France. Sa mère, Anne d'Autriche, exerce la régence et veille au plus près sur les intérêts et l'éducation de son fils, ne négligeant pas, semble-t-il, son éducation sexuelle. Inquiète pour la libido de son rejeton, elle aurait confié à Catherine-Henriette Bellier, sa femme de chambre, le soin de le déflorer. C'est qu'elle voulait faire mentir l'expression « tel père, tel fils » ; Louis XIII, en effet, d'un tempérament peu fougueux, a mis près de 23 ans à lui donner un héritier.
Fille de Martin Bellier, commerçant dans le textile, Catherine-Henriette Bellier entre à la cour après son mariage avec Pierre de Beauvais, en 1634. Malgré un physique peu avantageux, elle est borgne, on la surnomme d'ailleurs « Cateau la Borgnesse », on lui prête de nombreux amants. Elle a une vingtaine d'années de plus que le roi, alors âgé de 14 ans, quand elle l'initie aux plaisirs de la chair. Celui-ci en est apparemment satisfait puisqu'elle restera sa maîtresse pendant quelques temps, inaugurant ainsi la longue liste des favorites du Roi-Soleil, parmi lesquelles Louise de La Vallière, Mme de Montespan ou Mme de Maintenon. Anne d'Autriche, pleinement rassurée, accorde à Catherine une pension de 2000 livres ainsi qu'une forte somme d'argent avec laquelle Catherine et son mari, devenu baron par la même occasion, feront édifier l'hôtel de Beauvais, dans le quartier du Marais. Dès lors, elle restera dans les bonnes grâces de Louis XIV et de sa mère. Toutefois, fortement endettée, elle s'éloigne de la cour après la mort de son mari et meurt seule en 1689.
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mhazgain · 3 years
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Berger des Pyrénnées
Le berger d’Aydius
Pierre Loustaunau est né  et baptisé le 16 août 1754. Ses parents, âgés d’environ 35 ans, modestes paysans,  s’appelaient lors de leurs noces, neuf  ans plus tôt, Martin Latourette et Marie Bergès. S’ils sont  nommés  ensuite Loustaunau,  c’est sans doute  en raison  la maison qu’ils habitaient.  Pierre est le cinquième enfant, mais les trois aînés meurent jeunes, et sa sœur Madeleine, d’un an plus âgée, s’éteint elle-même alors qu’il  a 17 ans,  ce qui le laisse seul héritier. Ce n’est donc plus une condition de cadet qui peut le  pousser à l’émigration ;  mais sans doute y avait-t-il songé auparavant.
 Participa-t-il, entre ses quinze et ses vingt ans,   comme nous l’avons supposé à la suite de Yan Priat auteur “La main d’argent”, aux grands travaux de la mâture, qui dureront jusqu’en 1780 ? C’est possible, mais rien ne le prouve. Son départ pour Bordeaux puis  vers les Indes parait en revanche certain. L’historien Roger  Dupierris a montré  que  la communauté  d‘Aydius élisait alors chaque année des jurats et des employés communaux dont un “gardien des chèvres”  Mais  ce n’est pas à ce titre,  que  Loutaunau, sur ses vingt ans, pourra partir. En  1776, le gardien des chèvres est François Casnoube, dit Pacq. De plus, la transhumance n’est pas dans ses attributions.  Elle devait être l’affaire de chaque famille. Pour les riches maisons possédant vaches et brebis, c’était  un fils ou un oncle cadet  qui les conduisait vers  le piémont. Mais les familles n’ayant qu’une ou quelques chèvres (la vache du pauvre) devaient bien  être forcées de s’entendre et de trouver,   un gardien commun. Pierre Loustaunau fut certainement celui-là. Sinon, l’on ne voit pas  l’intérêt qu’il aurait pù avoir, par la suite à s’accuser d’un abus de confiance,.
     L’embarquement à Bordeaux
 Le voici donc à Bordeaux, deux années de suite, en 1775 et 1776.  faisant  brouter  ses chèvres dans les campagnes proches , puis les menant dans les rue de la  ville en criant comme tant d’autres : “Leyt de crabe, qui en booù ?” .. Un marin rencontré sur les quais de la Gironde le tente de partir avec lui pour les Indes. Il vend   les chèvres dont il avait la garde pour  constituer son pécule  et s’embarque  le  17 novembre 1776 à bord du vaisseau “Le Sartines”, armé par Lafond de Labedat,  commandé par le capitaine le Coronat, en partance pour les Indes. Embarqué comme mousse, Loustaunau ne tarde pas à être embauché comme valet et secrétaire par un passager , le  Chevalier de Saint Lubin.. Qu’il sache écrire va de soi.  On connait  le fort taux  d’alphabétisation des garçons en Aspe. Son père avait  lui-même signé de sa main “Martin” sur le registre de baptême, et son parrain Gradiou était le  “régent” du village,.
   Après  de cinq mois de navigation autour de l’Afrique, le  Sartines  accoste le  11 avril 1777 au port  de Chaoul  près de Bombay  en territoire Mahratte. Les Mahrattes sont une confédération de tribus brahmaniques  peu favorables aux Anglais,  plutôt alliés    du Grand Mogol, empereur musulman  du Bassin du Gange, d’où le souci  du royaume de France de leur apporter des aides et des armes.   
 Depuis le  Traité de Paris en 1763, la France ne conserve plus aux Indes que les cinq comptoirs naguère récités par le écoliers  : Pondichéry, Chandernagor, Yanaon,  Mahé et  Karikal.  Mais elle  continue à mener contre les Anglais qui dominent le pays, une lutte d’influences. Et une nouvelle guerre franco-anglaise va éclater en 1778. 
 Le vaisseau Le Sartines,   arrive   aux Indes avec un chargement d’armes  et  le sieur  Pallebot de Saint-Lubin est  agent double (et trouble) mentionné parmi les “Aventuriers aux Indes “ de Maurice Besson .Ayant déjà séjourné aux Indes et a eu,  avant le départ, un entretien avec le ministre de Sartines. Sitôt débarqué; il    prend l’initiative d’une ambassade auprès des Mahrattes et  pour les impressionner, constitue une escorte d’apparat avec l’équipage du bateau, “turquerie” qui  amuse beaucoup  son secrétaire Loustaunau. Mais Saint-Lubin va  trop loin : il s’approprie aussi pour faire des présents à ses hôtes des biens que  l’armateur comptait revendre. Son délégué à bord, le subrécargue,  veut  intervenir. Les Mahrattes l’emprisonnent  comme un trublion.   Saint-Lubin, voyant les choses mal tourner, s’est enfui sans demander son reste ;  il connait bien le pays.    Voilà donc notre Loustaunau sans navire et sans emploi. 
    Heureusement pour lui,  un diplomate   français,   M de Montigny,  présents aux Indes, ayant eu vent de l’affaire,  le 30 juillet 1778 dans les parages.  Loustaunau se présente à lui, et lui fait un récit si plaisant de “la turquerie”  que Montigny, à son tour,   le prend à son service.  C’est donc à ses côtés que le berger d’Aydius fait une deuxième entrée à la cour de Poona, Son patron le présente au prince  Scindiah qui,  bientôt, prend lui-même le Béarnais à son service.
     Les souverains indiens sont souvent en guerre les uns contre les autres, Tous  ont  des armées, constituées de “partis”   souvent dirigés par  des aventuriers européens, exercés dans l’art de la guerre, Ainsi dans le camp de Scindiah, le  Portugais de Norogne, neveu d’un évêque, commande  800 hommes. Assistant à un défilé de ces troupes, avec leurs uniformes et leurs éléphants, Pierre Loustaunau sent naître en lui une vocation de guerrier. Montigny consent à lui donner une lettre de recommandation auprès de Norogne.
  Cela tombe bien. Les hostilités s’ouvrent entre Scindiah et  son rival, un  autre  Mahratte  le prince Ragoba, armé par les Anglais   Les soldats de Scindiah ont encerclé l’adversaire, mais ceux -cid  fortifiés sur une hauteur, résistent bien  avec leur artillerie.  Loustaunau remarque  une autre éminence voisine et  propose à Norogne d’y percher  ses  propres canons. Le Portugais prend mal cette remarque d’un  jeune civil ; mais elle est rapportée par un officier  mahratte,   au Prince..-”En somme,  dit  Scindiah, ce Français ne veut pas d’argent, mais seulement des canons? - Donnez-les lui, avec mes meilleurs canonniers.” - Loustaunau met en place les canons.  La bataille est gagnée et c’est pour lui le début d’une fulgurante carrière.
 Le général à la main d’argent
  Le Prince Scindia, qui,  lui offre une bourse d’or, un cheval, un sabre symbolique, et lui propose de commander une de ses armées. Loustaunau  hésite d’abord, mais Montigny,  à court d’argent,  quittant l’Inde. il finit par accepter;  il lève   un “parti ” de 2000 hommes, faisant  de la tribu des Rouillas, dont il a vu la bravoure,  sa garde d’honneur. Les  Anglais envoient contre les Mahrattes de Poona un corps de 5000 Cipayes.  Scindia, furieux,  veut faire attacher  à la bouche de canons, deux officiers   britanniques  prisonniers. mais Loustaunau le faire renoncer à cette mesure inhumaine. et  plus tard, ce geste, et quelques autres,  lui vaudront une certaine tolérance de la part des Anglais.
  À la bataille  de Chassipachner, le 16 janvier 1780  une charge  de Loustaunau à la tête de ses Rouillas permet une nouvelle victoire Mahratte.  Le chef  aspois y a perdu  une partie de la main gauche  emportée par la mitraille.  Mais un orfèvre hindou réussit à ciseler pour lui  une prothèse et il sera désormais connu comme “le chef invincible à la main d’argent”. En outre Scindia lui offre,   à Agra ,  à   cent  kilomètres  de Dehli,  un véritable palais où il peut  loger ses troupes, cent cinquante chevaux et trente éléphants de combat.
    L’année 1782 est celle de  la dernière tentative française de conquête des Indes. avec  le Bailly de Suffren et   le marquis de Bussy,  tous deux âgés. Elle échoue. Le 14 novembre 1783,  le Traité de Versailles laisse définitivement l’Inde à l’Angleterre, la France ne conservant que ses  fameux cinq comptoirs . Cette période guerrière aura  attiré de nouveaux mercenaires français, dont  le fameux Le Borgne, qui se fera bientôt appeler de Boigne, plus tard rival de Loustaunau,  pour l’heure, son allié.
 En 1784, aidé des Anglaises le rajah de God à s’empare de la forteresse de  Gwalior; Loustaunau, avec ses Rouillas et   trois mille Mogols, la reprend  le 30 juillet. Blessé u à l’épaule, il est cette fois proclamé “Lion de l’État et tigre de la guerre”
 Marié et père de famille
Profitant de la paix revenue, il épouse une  jolie “créole” de 17 ans, fille d’un officier  et d’une  française  établie aux Indes, Marie -Suzanne Poulet,  e 16 mai 1785, elle lui donne, à Delhi, son premier enfant, une fille, prénommée Madeleine, La même année,  Gulam Kadir, sultan musulman de   Lahore,  (aujourd’hui au Pakistan) déclare la guerre aux Mahrattes.  Elle sera longue et parfois indécise. Loustaunau qui  est encore intervenu pour sauver des prisonniers menacés est maintenant  passé au service d’un autre chef  mahratte, Ranjit Singh, rajah des Jath. Dans un ultime épisode, Guam Kadir, dont les cruautés ont fit l’unanimité contre lui est vaincu et décapité le 18 juin 1788  à la bataille de Chapsana.  Loustaunau a pu mettre la main sur le trésor du sultan  et va le conserver.
 Fortune faite
  “Il a mangé la grenouille” écrit un mémorialiste.  . En fait, son comportement s’explique .Il y a  douze ans qu’il guerroie et il a le droit d’être fatigué, d’autant que ses rivaux, comme de Boigne, montent en gloire. Et    le 16 septembre, en son palais d’Accra, Marie Loustaunau  donne le jour à un deuxième bébé, un garçon, cette  fois,  prénommé Jean-Baptiste.  L’humanité dont il a plusieurs fois fait preuve vis à vis de ses adversaires lui assure un accueil courtois en zone anglaise. Il y restera six ans.  Des pièces d’un “procès  Loustaunau contre Fortier”, indiquent qu’il a vendu  son palais et s’adonne au commerce. Il aurait retrouvé à Chandernagor son protecteur de Montigny, mais celui-ci est destitué en 1790 par le Comité  révolutionnaire de la colonie. Notre Aspois se replie  à Calcutta, et prépare son voyage retour  vers la France, cependant que naît en 1792 son troisième enfant, une fille, Marie-Zoé. Il peut bientôt s’embarquer   avec sa femme, leurs trois  enfants, une servante nommée “jolie-fille”, et sa belle-mère, Élisabeth de Bellefleur, veuve Omar-Poulet.
 Châtelain en Bigorre
   La famille débarque à Marseille  début  1793, alors que Louis XVI est  décapité  Et Loustaunau  voit  ses roupies converties en 200.000 francs d’assignats en papier. Il lui reste heureusement  diamants et  pierres précieuses. Prudemment, il met pied à terre, à Tarbes,   rue de la Cité, (aujourd’hui  rue de la Victoire) et c’est là que la petite Marie-Françoise-Zoé est déclarée à  l’état-civil.  Loustaunau s’empresse de transformer ses assignats en bien  foncier, en achetant le ler février 1793 le château de Lacassagne  et ses 200 ha  au nord de la ville  au ci-devant  de Castelbajac,  qui, veut  payer ses dettes et  se faire oublier.
     C’est là , selon l’état-civil, que le 4 floréal an  IV (13 avril 1794)   “la citoyenne Jolie-Fille, noire indienne restante chez le citoyen Pierre Loustaunau est accouchée d’un enfant mâle auquel on a donné le prénom de Guillaume”. Peut-être ne faut-il pas chercher loin le “père inconnu” ?  Mais en l’absence de tout autre document, restons prudents.
  D’autres enfants, légitimes ceux-ci, vont bientôt grandir au château : Marianne, ou Marie-Anne, née le 4 floréal an IV (7 avril 1795), Jean Pierre né le 3 pluviôse an X (25 janvier 1802).
  En 1801, Loustaunau se rend à Paris pour inscrire son  aîné, Jean-Baptiste,  qui a  14 ans, au Lycée impérial. En1799 puis en 1801 il écrit à Bonaparte  pour lui proposer un plan détaillé de reconquête des Indes,  mais sans réponse.   Il ne reste   à Loustaunau que les affaires.
   Le 18 février 1801 il revend le domaine de Lacassagne, cette  fois en bonne monnaie, au préfet Bertrand Lannes, frère du maréchal.    Puis le 26 février 1802)  , dans l’étude de Me Desberts, notaire tarbais,  il achète, au nom de son épouse, à Daniel Guichard une part de “Ferreries d’Urdos”.  Il s’agit des Forges, dénommées par la suite Forges d’Abel,
 Le maître de forges
  L’ancien chevrier ne peut pas remettre les pieds  en Aspe  sans quelques précautions.  C’est à Pau qu’il  achète pour pied à terre  la maison voisine de l’actuel Hôtel de Ville. Puis il va indemniser les petits propriétaires d’Aydius qu’il avait  jadis dépouillés de leurs chèvres. Il se serait présenté à l’entrée du village  en homme de loi chargé d’une mission par un ancien berger  pour remettre aux victimes un sac d’or et c’est alors seulement que  dévoilant son  identité,  il  aurait lancé  “Adiù Aydius, nou-m bédéras plus jamey” (Adieu Aydius, tu ne me reverras plus). Aucun document n’atteste cet épisode.  M. Dupierris l’estimait pure légende.  Au contraire,  Lucien Labarrère pensait avoir recueilli un témoignage crédible de la part d’un habitant, M Loustau, descendant d’un Manauthon, adjoint au maire de l’époque,.   
    Voici donc Loustaunau Maître de Forges. À la place des traditionnelles forges catalanes,  il édifie le premier haut-fourneau des Pyrénées et embauche une cinquantaine d’ouvriers dont  des Basques et des Espagnols, et bâtit des logements pour eux. Utilisant comme combustible le bois des forêts d’Etsaut,   et comme minerai les “pierres noires” ferrugineuses de Peyranère, il va pendant trois ans produire  fonte et acier. 
        Cependant une série de malheurs vont s’abattre sur lui.  Le  1er juillet  1805 meurt à Tarbes sa  fille Marie-Françoise-Zoé. La maman, son épouse, la rejoint dans la tombe   le  21 septembre . 
 Dans le même temps, Loustaunau semble avoir perdu sa fortune, car les filles  de l’ancien châtelain seront plus tard déclarées “indigentes”. La rentabilité des Forges était doute décevante et un long  procès l’a opposé à l’Oloronais  Jacques Fourcade, son commis,   qu’il a  licencié pour  absence.    Le  1er novembre  1806 devant Me Pourilhon, notaire impérial à Sarrance,  il signe un  contrat  avec un associé, M.  Feytout qui, en fait,  percevra les deux-tiers des bénéfices.
   Seule bonne nouvelle  en début d’été 1808 : son fils aîné est nommé sous-lieutenant  et sera même  bientôt promu lieutenant,  au combat,  en Espagne. Mais cela, son père ne le saura pas,  car, ultime malheur, le  27 octobre 1808 un raid des guérilleros  espagnols  incendie et détruit les Forges.  On ne retrouve de lui que son cheval, et on le  croit mort. Il a seulement  disparu.
 Le prisonnier des Barbaresques
  La période qui suit, de 1808 à 1812, est   la plus obscure de toutes. Selon son récit,  Loustaunau,  errant à demi fou , est fait prisonnier par les Espagnols et conduit à Mahon, aux Baléares. Là,  la ci-devant Duchesse d’Orléans, qui voyage à bord d’un brick anglais, lui  donne quelque secours  qui   lui permettent de s’embarquer vers l’Égypte   Mais  son navire est capturé par des pirates, et le voilà  en Algérie; esclave des Barbaresques. Au bout de trois ans,  il s’évade vers Alexandrie puis gagne en Syrie Saint-Jean d’Acre   pensant  se joindre à une caravane vers l’Asie. Mais sa raison a vacillé, il  ne trouve point de caravane, il a dû  pour survivre  vendre sa  main d’argent ; il  erre, son moignon enveloppé d’un chiffon rouge,  prophétisant,  bible en main, et recueillant des aumônes.  Un résident européen le prend en pitié. et obtient pour lui un poste de surveillant des  jardins de Haiffa.
 L’ami de la Châtelaine du Liban
  Dernière chance de sa vie : l’aventurière anglaise  Lady  Hester Stanhope, prototype de  “la Châtelaine du Liban” est séduite par  ses  récits merveilleux. Elle envoie un jour, par l’intermédiaire d’un commerçant de  Marseille, 1.000 frs à  la famille Loustaunau restée à Tarbes. Bientôt Jean Baptiste Loustaunau, brillant capitaine sous l’Empire mais demi-solde sous la Restauration le rejoint. Il  débarque  le 3 janvier 1820 à Saïda où  arrivée est notée par le consul.    L’Anglaise aux 44 printemps s’éprend de ce beau soldat de 32 ans.  Mais, hélas,  le 18 août 1820, Jean-Baptiste Loutaunau meurt chez lady Stanhope. On ne saura jamais si c’est de maladie ou de poison.
 La fin  du héros et de sa lignée
  Désormais, les  traces de Pierre Loustaunau se font rares. En 1838, une correspondance de Lady Stanhope et du Dr Meryon indique que “le prophète vit confortablement dans sa nouvelle maison”. Mais elle-même expire de tuberculose l’année suivante   le 11 mars 1839.
En 1840, Ferdinand Perrier,  aide de camp de Soliman Pacha en Égypte, regagnant la France et passant par Saïda, décrit ce “vieillard extrêmement remarquable qui se tient à la porte de l’hospice français, à la physionomie toujours noble ,à la main gauche  mutilée  (…)” dont il recueille le récit;
C’est la dernière vision que l’on ait de Pierre Loustaunau.  Il avait 86 ans  On suppose qu’il est mort peu après.
      Quant à ses autres  enfants, Anne et Marianne Loustaunau, toutes deux institutrices  sont mortes célibataires. Jean-Pierre Loustaunau, né  le 25 janvier 1802, officier d’administration, est mort en Algérie à 55 ans. Il était marié, mais sans enfants Aucun des quatre enfants survivants n’aura  donc eu de descendance connue et légitime. Une incertitude demeure  sur  une concertiste de la deuxième moitié du XIXe  qui se  selon un journal   présentait comme “la petite fille du général des Indes”. On ignore tout d’elle.’ 
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st-just · 1 year
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Hollow Knight by Martin Le Borgne
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chrisenfeu · 5 years
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Comino presto mengez Spaguetti
-On va avoir besoin du 4 roues (VTT) certain pour aller là-bas!
Me dit mon père.
-J’ai vraiment beaucoup de matériel à amener, j’ai emprunté une autre remorque à mon ami Martin. Va falloir monter à deux véhicules.
C’est donc par un beau matin que je vais chercher le VTT à papa.
-Je sais plus trop si je pars avec ma voiture, les pneus sont finis et ta mère ne veut pas que je roule avec. J’ai rendez-vous avec mon vendeur tantôt. Tiens-toi bien! Il a une occasion en or à m’offrir et surtout une carte de fidélité qui me donne le droit à un paquet d’affaires. 20 ans mon gars que je vais à ce concessionnaire pour l’entretien de mes véhicules!
Quelques heures plus tard, ma mère m’appelle du concessionnaire:
-On s’est acheté un camion neuf, mais il n’a pas de boule (attache-remorque).
Plan B: je retourne le VTT à sa place et je commence à remplir ma remorque.
Ma mère me rappelle alors que je vissais le frigo au plancher de la remorque, c’est loin où je vais.
-Ton père fait dire qu’il va avoir une boule à son camion. Tu vas pouvoir amener le 4 roues à ton père!?!?
- Il est trop tard maintenant, je l’ai déjà retourné, mais c’est bon je vais pouvoir remplir l’autre remorque.
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J’aime voyager léger. J’ai aussi un jardin à transporter, mon chien Pauline la borgne et mes outils.
La veille de mon départ, le vendredi vers 13h, je remarque sur ma remorque:
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-Peux-tu me faire un miracle? Pour me changer des pneus maintenant.
-Viens t’en, on va te changer ça!
Me dit mon garagiste. Quand je suis arrivé au garage, le pneu était déformé et fissuré.
-R’cule moi ça dans la ‘‘UN’‘, on va le l’ver ton trailer plein.
C’est avec le réfrigérateur et tout le reste dans remorque qu’on remplaça les deux pneus. Comme son frère l’autre était fatigué aussi.
Le matin même, mon père arrive avec son nouveau VUS entièrement équipé, une aubaine. J’en étais jaloux avec mon véhicule qui surchauffe quand je ne mets pas assez de ‘’prestone’’. Il me tend une radio émettrice.
-J’ai le système mains libres, mais je ne sais pas encore comment il fonctionne. J’ai mis des piles neuves, on va pouvoir communiquer. Testing, testing, one, two, m’entends-tu là?
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Le voyage se fit sans encombre. On arrêta dîner ‘‘Chez Monica’‘, ils font les meilleurs hot dog au monde.
Notre première mission du lendemain était de démonter la plate-forme construite plusieurs années avant la construction du chalet pour la transformer en abri en haut de la montagne.
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C’est grand et lourd à transporter en cette région accidentée:
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Nous dûment faire plusieurs aller-retour:
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Accompagné par de la mouche noire particulièrement affamée. Le chasse moustique n’était qu’une petite sauce piquante pour ces diptères excités.
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C’est à cet emplacement que nous pûmes fabriquer une base pour le futur pavillon.
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En vrai chef, j’ai reculé le squelette de forêt en montagne.
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Après avoir poussé, tiré, roulé des roches d’un poids supérieur à un poêle de fonte rempli de plomb, il fallut l’aide d’Archimède pour le plus copieux de tous. La pointe de cette pierre était pour ainsi dire pas mal dans le milieu de notre projet. C’est mon procréateur qui eut l’idée du principe du levier. On se rappelle tous de la citation de ce grand maître à penser, Lissa Marcotte. Désolé, Archimède:
-Donne-moi où je puisse me tenir ferme, et j'ébranlerai la Terre.
C’est pas trop clair, mais LE roc est parti, c’est le principal. J’ai eu l’idée un peu plus niaise de faire un trou dans le plancher pour la faire passer, mais:
-Ben voyons don Chrisenfeu! Ça ne peut pas fonctionner de même! Aweille, met un bloc en dessous pour avoir de la pogne!
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J’aime bien travailler avec ce grand homme. On s’obstine souvent, mais tout s’efface après comme de la magie. On se connait tellement bien que tout ce qu’on touche devient de l’or. Je t’aime papa!
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Ça semble simplet comme cela, mais ça nous a pris un bon deux ou trois jours de dur labeur. C’est solide et fait entièrement avec des matériaux recyclés même les vis.
-Ah! Non! Câlisse!
En faisant une étagère à épices pour ma douce, le marteau est tombé sur ma Bodum à café. Je dois vous avouer que c’est la troisième que je brise depuis la construction de ce rêve.
-T’es pas sérieux!
Mon paternel connait très bien cet anathème qui me pend au nez. Au magasin du village, j’ai le choix entre le traditionnel ou 10$ de plus en métal, je prends le coutumier.
Le soir, on va au point de vue pour le coucher du soleil. La chance qu’on a!
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Un couple arrive et vient s’installer pour assister au spectacle. Mon père sur un ton de partir une conversation entre deux peuples:
-Vous venez d’où?
L’homme répond en anglais:
-I’m from italy, Naples.
-Tu viens des États-Unis à Anus?
Là je dis à mon père plus bas :
-Il est italien, il vient de Naples.
-Eille l’italie, c’est loin ça! Good place to be pour vouaire l’immensité. Comment on dit ça Christian l’immensité? C’est mon fils ça, on a construit un chalet nous même. We construct a house, juste là!
Il pointe du doigt l’endroit invisible d’ici. Il me dit aussi qu’il connait les langues.
Il lance à l’homme alors que le couple se lève pour profiter du Québec:
-Comino presto mengez Spaguetti!
L’italien, appelons-le Rocky, lui dit en anglais que le seul mot qu’il a compris c’est le mot spaghetti. Je ris aux larmes et papa de rajouter:
-Y connait rien dans l’italien, j’te jure Chrisenfeu que ça veut dire quelque chose.
Il me dit aussi connaitre l’allemand :
-Commenzi frachen frolaï.
En détachant chaque syllabe à l’extrême.
-Ça veut dire: viens avec moi dans le sens de prostituée! Ce n’est pas trop gentil, mais j’ai appris ça.
Me dit-il, en riant aussi.
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Autre projet que je voulais accomplir pendant ma semaine, fabriquer des jardins pour pouvoir avoir de quoi à manger pour les périodes de disette.
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On en fait trois dans ce style là. J’ai pu y planter tout ce que j’ai pu amener.
Conversation avec un enfant de trois ans:
-tu vas faire un tour de bateau avec nous?
Que je lui dis.
-Oui, on va aller vite, vite avec des affiches. R’garde, je vais te montrer comment faire...
C’était le clou de la semaine. Mes voisins vont participer à une manifestation contre le projet du gazoduc dans le fjord. Ils ont un voilier et nous avons été engagés comme matelots de quatrième classe. De toutes les manifestations que j’ai fait, et j’en ai pas fait gros de par mon tempérament, c’est celle qui m’a le plus rejoint.
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Je suis dans le voilier en arrière-plan. J’étais couché sur le pont et je criais les slogans au bon moment. Un pur délice.
La veille de notre départ:
-Ah! Ben! Ben, voyons! Câlisse de tabarnac!
-Qu’est-ce qu’il y a mon gars?
-J’ai échappé la Bodum, câlisse de crisse!
Comme dirait Richard Desjardins:
- J’aurais dû, ben dû, donc dû, prendre la Bodum en métal...
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Haiti Braces for Anti-Corruption Protests Sunday     
Jacquelin Belizaire in Washington, Matiado Vilme, Renan Toussaint, Florence Lisene in Port-au-Price, Yvan Martin in Cape Haitian, Jean Hernst Eliscar in Les Calles contributed to this report. WASHINGTON /PORT-AU-PRINCE — Haiti is bracing for more anti-corruption protests on Sunday. "PetroChallengers" — a grass-roots assortment of social media savvy millennials, activists, concerned citizens and diaspora, whose motto is: "What happened to the PetroCaribe money?" — are behind the initiative. They are calling for people nationwide to hit the streets to demand the president's resignation and justice for what they say was stolen from the people. "We're asking everyone in the poor neighborhoods for a repeat of what we did [massive protests] on Feb. 7, we're going to take to the streets in the same way," a member of the Petro Challengers group in the northern city of Cape Haitian told VOA Creole. "We the people have been victimized by a predatory government that must leave power," another PetroChallenger added. "That's why we the youth, activists from all political parties, must unite. You may not think people of different party affiliations can work together, but I'm here to tell you that this [corruption] issue concerns us all." The government denies the allegations, citing poor accounting. In the southern town of Les Calles on Friday, protesters camped out in front of the local courthouse holding posters and chanting, "Jovenel, you are going to jail!" "We want all the thieves who stole the PetroCaribe money to be arrested, especially the ones in the southern department," protest leader Carvens Laguerre told VOA Creole. "We're not playing. We are here today and we'll be back on Sunday at 9 a.m. to demand Jovenel Moise resign." What is PetroCaribe? PetroCaribe was launched in June of 2005 as a Caribbean oil alliance, with Venezuela giving members preferential treatment for energy purchases, at a discounted price with low-interest deferred terms and an option to pay in kind instead of currency. Several audits have shown that much of Haiti's PetroCaribe revenue (about $3.8 billion) disappeared, having been disbursed for government construction contracts on projects that were never finished. The funds had originally been earmarked for infrastructure, social and economic projects. Haiti's Superior Court of Accounts and Administrative Litigation (Cour Superieure de Comptes et du Contentieux Administratif), a non-partisan institution tasked with overseeing the government's budget, spending and allocation of funds, was preparing a report detailing irregularities and alleged abuse of funds generated under the PetroCaribe agreement. The CSCCA's jurisdiction is both administrative and financial, and it arbitrates disputes over government spending when requested to do so. Its final report was delivered to Senate leader Carl Murat Cantave on May 31.  The contents, which included details of alleged fraud by the current and former presidents — Jovenel Moise and Michel Martelly — sparked outrage and prompted calls for justice. What President Moise is accused of  Andre Michel, a lawyer, opposition leader and frequent administration critic, is a member of a legal team who launched a civil lawsuit targeting those found guilty of fraud and embezzlement of the PetroCaribe funds. He detailed the alleged abuses by President Moise during a press conference on Tuesday.  "The report says the Borgne-Margaux Bridge construction project overseen by the racketeer Jovenel Moise was paid twice for the same project. He was paid under Agritrans, and he was also paid under Betex — which means what? Betex and Agritrans are two wings of the same bird, which bears the name of Jovenel Moise." Denials, criticism of methods Agritrans issued a statement defending the integrity of its projects. "We disagree with the allegations that AGRITRANS S.A. and BETEX received two payments to perform the same work. It should be noted that AGRITRANS signed a contract with the MTPTC [Ministry of Public Works] on a separate segment of the Borgne/Petit-Bourg de Borgne road section. Remember that this contract has been duly approved by the CSC/CA and that the relative payments are around 40% to date for 80% of executed works," the statement said. "Based on these considerations, among many others, AGRITRANS S.A. expresses its formal disagreement on the allegations of the CSC/CA and reserves the right to initiate proceedings before the Haitian justice to defend its integrity and rights," the statement added.  The president's special representative, Guichard Dore, said it was obvious the authors of the report were looking for "a scapegoat." "An audit is supposed to deal with facts — from the auditor and from the person who is being audited — but the document produced by the Superior Court of Accounts and Administrative Litigation doesn't provide that," he told VOA Creole. "So to me this is not an audit, it's a political document." Dore cited several "technical errors" involving figures and conclusions that led him to the determination the audit lacks credibility. Meanwhile, PetroChallengers and their supporters across Haiti are preparing to march on Sunday. from Blogger http://bit.ly/2wJ6REU via IFTTT
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djohnhopper · 4 years
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NEW MUSIC: Artist: Rone Track: Room With A View (july 2020).
Directed by (LA)HORDE - Marine Brutti, Jonathan Debrouwer & Arthur Harel. Featuring the dancers of the Ballet National de Marseille (Sarah Abicht, Daniel Alwell, Mathieu Aribot, Malgorzata Czajowska, Clara Davidson, Myrto Georgiadi, Vito Giotta, Nathan Gombert, Nonoka Kato, Kelly Keesing, Yoshiko Kinoshita, Angel Martinez Hernandez, Filippo Nannucci, Tomer Pistiner, Aya Sato, Dovydas Strimaitis, Elena Valls Garcia, Nahimana Vandenbussche), Thierry Hauswald, Nicole Murru & Valentina Pace. Recorded at Théâtre du Châtelet in Paris. Produced by Sourdoreille Production (Sami Battikh, Ronan Le Borgne, Mario Raulin). Co-produced by InFiné, le Théâtre du Châtelet & Le Ballet National de Marseille. Production Administrator - Justine Bouvet. Production Manager - Nerimen Hadrami. Editorial Coordinator - Romain Bourceau. Technical Manager - Thibaut Garcia. Artistic Assistant - (LA)HORDE & Julien Ticot. Assistant Director - Héloïse Lesimple. Director of Photography - Alex Lamarque. Assistant OPV - Sylvain Chaux & Amélie Gastaldi. Machine chief - Arnaud Imbert. Electro - Jérôme Fabre, Jérôme Thellier & Teddy Moirot. Mathematics - Guillaume Audibert & Arthur Lemaître. Hounidi Artist - Thomas Van Maele & Colchen Olive Tree. Tracking - Emerc Samier. Renderman - Roman Thibault. Composing Artist - FX Pourre, Purple Martin & Maeva Sol. Production Coordinator - Nikita Saini. 3D Motion Designer - Boris Ramonguilhem. Edited by Edouard Mailaender. Location Manager - Alice Weckerle. Scenography - Julien Peissel. Light - Eric Wurtz. Costumes - Salomé Poloudenny. Hot Hairdresser - Charlie LeMindu. Graphic design by Alice Gavin artist associated with CCN Ballet national de Marseille. Technical means - RVZ (Phillipe Guillemain), BE4post, Flamenco, Rubini & Sabbah. COSMIC - Elodie Vongdara & Pauline Perez.
With the participation of the permanent and intermittent teams of the Théâtre du Châtelet.
Sourdoreille Production. With the support of the CNC - National Film and Moving Image Centre. With the support of the SCPP - Civil Society of Phonographic Producers.
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forbidden-sorcery · 4 years
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Priest by Martin Le Borgne
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thecollectibles · 6 years
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Insect Warriors - Character Design Challenge by selected artists: Ame Kanashi, Andrea De Dominicis,  KatRo - Rózsa Katona, Martin Le Borgne, Cassio Yoshiyaki
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ex0skeletal-undead · 3 years
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Candle by Martin Le Borgne
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