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#La caméra de Claire
grusinskayas · 4 months
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Isabelle Huppert in Claire's Camera | La caméra de Claire (2017) dir. Hong Sang-soo
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gregor-samsung · 8 months
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La caméra de Claire [Claire's Camera] (Hong Sang-soo - 2017)
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joselito28-1 · 2 months
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The clearest images of Jupiter ever taken. These images were captured by JunoCam, the camera on @nasa Juno mission in orbit around Jupiter.
Les images les plus claires de Jupiter jamais prises. Ces images ont été capturées par JunoCam, la caméra de la mission @nasa Juno en orbite autour de Jupiter.
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equipe · 9 months
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Tumblr Live débarque !
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Bien le bonjour, Tumblr 👋. Nous tenions à vous annoncer l'arrivée d'un service de diffusion en direct que nous avons sobrement baptisé Tumblr Live.
Tumblr Live apporte le live streaming directement dans votre tableau de bord, ce qui signifie que vous pouvez faire converger votre audience d'abonnés Tumblr et votre audience de stream en un seul et même lieu !
À l'origine, Tumblr Live n'était déployé qu'aux États-Unis sur nos applications Android et iOS, mais le service se lance dès cette semaine dans davantage de territoires à travers le monde, et ce, sur toutes les plateformes (Android, iOS et sur le Web).
En clair, si vous résidez dans l'une des régions listées ci-dessous, vous pourrez regarder et diffuser des streams ! Alors, il est peut-être temps de partager vos pérégrinations dans Minecraft, les étapes de conception de votre dernière grenouille en amigurumi, vos balades matinales dans les rues ou le montage de votre dernier Gunpla… bref, tout ce que vous souhaitez partager avec le monde !
Voici la liste des régions concernées par ce déploiement : – Brésil – Canada – Corée du Sud – Japon – Malaisie – Mexique – Royaume-Uni – Turquie – Union Européenne
Et voilà comment fonctionne Tumblr Live :
L'icône Caméra 🎥 située dans la partie inférieure de l'application vous mènera à l'onglet Tumblr Live dans lequel vous pourrez naviguer parmi les streams actuellement en live. La partie supérieure du tableau de bord vous permettra également de découvrir des streams en live.
Vous pouvez streamer au gré de vos envies, à condition de respecter les règles de bonne conduite, en appuyant sur le bouton "Passer en live !". C'est aussi simple que ça.
Le streaming fonctionne aussi bien avec la caméra frontale qu'avec la caméra arrière de votre appareil (les plus timides apprécieront sans doute cette option).
Vous pouvez désigner comme modérateurs les plus loyaux de vos spectateurs. Ils pourront ainsi vous aider à kicker les éventuelles personnes au comportement indésirable durant vos streams.
En appuyant sur un avatar actuellement en live, vous pouvez accéder directement à son stream, et ce, que vous soyez abonné ou non au blog de cet utilisateur.
Au cours des streams, vous pouvez envoyer des cadeaux si vous le cœur vous en dit afin de soutenir les streameurs que vous appréciez.
Ajoutez vos streameurs préférés à vos Favoris pour les retrouver plus facilement par la suite dans un onglet dédié.
Et voilà tout. Maintenant, imaginez juste un instant… Des streams de jeu vidéo ? Des clubs de lecture ? Des campagnes endiablées de D&D ? Des artistes qui donnent vie à leurs créations sous vos yeux ? Des démonstrations de cosplay ? Des tutos de crochet ? Des concerts improvisés à la maison ? Des histoires qui font peur ? Des visites virtuelles de musée ? Ou… des crabes ?!
Avec Tumblr Live, c'est un tout nouveau terrain de jeu qui s'offre à vous et nous avons hâte de découvrir ce que vous saurez en faire.
Amusez-vous bien ! 💖 
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Opération spéciale
Chap 2
Dans le hall d'entrée, il me lâche le bras.
- Ne bouge pas salope!
- Oui Maître...
Il sort son portable de sa veste et envoie un message bref.
On attend. Je baisse le regard et je me tiens bien droite. Immobile. Les bras le long du corps. Comme il me l'a enseigné.
Je ne pense à rien.
Ce genre de soirée, je commence à les connaître par cœur. Il me loue régulièrement pour des séances diverses. Chaque fois des nouveautés, suivant les goûts de ses clients. Des surprises. Mais toujours les pires perversités.
Une femme arrive du sous-sol par les escaliers. Elle semble très belle, mais paraît comme moi complètement soumise. Le crâne rasé. Elle porte une combinaison blanche qui lui colle à la peau. Du vinyle ou du latex. Des escarpins à talons aiguille. Blancs également. Des seins qui paraissent impressionnants même si je n'ose pas relever la tête pour la regarder en détail.
Elle parle d'une voix neutre et très douce.
- Bonsoir, suivez-moi je vous prie.
Il me prend à nouveau sous le bras. Fermement cette fois. Comme pour bien montrer que je lui appartient.
Nous suivons la femme dans les escaliers. Vers le bas.
C'est étonnant, d'habitude les séances se déroulent dans des appartements.
Au sous-sol, elle ouvre une porte de cave. Le cadenas est ouvert. Elle ferme à clef derrière nous.
Je commence à appréhender. Ce n'est pas comme d'habitude.
Il ne me lâche pas.
La femme en blanc s'arrête devant une autre porte métallique. Elle toque. Trois coups espacés puis trois coups rapides.
Un code.
Un bruit de verrou. La porte s'ouvre. Nous entrons.
C'est une cave aménagée. On dirait une chambre d'hôpital.
Je continue à baisser les yeux. Le sol est carrelé. Tout paraît propre. La pièce est très claire, entièrement peinte en blanc. Au milieu un lit médicalisé. Je perçois des armoires métalliques et un plan de travail avec un évier. Je n'arrive pas à tout voir en détail, mais ça sent le plan bdsm sur le thème médical.
La femme est immobile. Face à un mur. Elle doit attendre des instructions.
Un homme s'avance vers nous. En blouse blanche. Je vois principalement les baskets. Blanches.
Il salue mon Maître.
Ils ont l'air de se connaître et échangent quelques banalités.
Je commence à avoir un peu peur. Mon cerveau est toujours vide. Je n'arrive pas à structurer mes pensées. Putain de cachets. Comme si je dormais éveillée.
Celui qui ressemble à un médecin donne les instructions à mon Maître.
On va la déshabiller et l'installer sur le lit.
Cassandra, la femme en blanc, s'exécute pour aider.
Je suis déshabillée complètement. J'ai honte d'être ainsi debout. Cassandra pose soigneusement mes fringues sur une chaise. Je sens le regard du Doc sur moi. Insistant.
J'ai froid. Je tremble.
- Elle a froid ou elle a peur ta pute? Dit-il en rigolant.
- T'inquiète, elle est résistante, répond mon Maître.
Il me pousse vers le lit.
Je m'allonge sur le dos. Au plafond une lampe comme dans les salles d'opération. Devant moi une caméra avec un écran fixé au mur.
Ils vont faire une vidéo me dis-je. C'est souvent. Ça ne me choque pas. Au point où j'en suis, être filmée est le dernier de mes soucis.
Puis Cassandra s'approche. Elle a en main des sangles. Ca se complique. Je ne bouge pas.
Mon Maître a disparu de mon champ de vision.
Elle commence par m'attacher les poignets au barres latérales du lit. Je n'ai même pas un mouvement de recul.
Je me laisse aller complètement. Je grelotte. Il fait vraiment froid.
Le Doc en plaisante à nouveau. Il prépare du matériel. Je sens qu'il va y avoir de l'exploration. Ils vont sans doute faire une vidéo qui finira sur les réseaux sociaux.
Je pensais que tout allait démarrer rapidement,mais non. Cassandra prend son temps.
Après les poignets, elle m'attache les coudes. Puis elle me met dans la bouche un bâillon boule. Plutôt délicatement.
Elle l'a attaché derrière ma tête en la levant délicatement.
J'ai désormais une boule en plastique dans la bouche. Ce n'est vraiment pas agréable. Ça fait baver et je ne peux respirer que par le nez.
Cassandra installe ensuite des supports métalliques au bout du lit pour que je repose mes pieds dessus. Elle attache également mes chevilles avec des sangles.
L'appréhension monte à mesure que j'ai du mal à respirer et qu'elle règle les supports métalliques de manière à m'écarter les cuisses au maximum.
J'ai mal. Je crie. Mais le cri reste dans ma gorge.
- Du calme la pute!
Le Doc n'a pas l'air de rigoler!
Je prends sur moi pour essayer de me calmer.
Cassandra m'attache cette fois les cuisses et les genoux sur les supports métalliques.
Je suis complètement immobilisée. J'ai peur. C'est toujours le brouillard dans mon cerveau, mais j'ai le sentiment d'être tellement seule. S'il m'arrive quelque chose dans cette cave, personne ne le saura.
Des larmes coulent de mes yeux sans que je puisse les essuyer...
Le Doc a préparé son matériel. Il est assis sur un tabouret entre mes cuisses écartées.
Il s'adresse à Cassandra.
- Cale-lui la tête avec un coussin pour qu'elle puisse bien regarder la télé cette salope!
Il m'a regardé dans les yeux. Un instant. Juste un instant avant que je ne baisse le regard. Mes yeux remplis de larmes ont décelé dans son regard de l'assurance et de la perversité. Il savait ce qu'il allait faire et savait que je ne savais pas.
Ça avait l'air de beaucoup l'exciter!
Cassandra à mis la caméra en route. Je suis apparue à l'écran. Gros plan sur mon bas-ventre et mes cuisses écartées et le matériel du Doc entre mes jambes sur un plateau.
J'imagine que le thème de la vidéo sera spécifiquement la gynécologie...
Cassandra s'est placée à côté du Doc. Debout. A sa disposition. Ses seins sont vraiment énormes. J'ai maintenant vue directe sur elle. Son crâne est rasé de près. Elle reste pour autant très féminine avec son visage mince. Ses lèvres semblent très gonflées. Elle a dû se faire opérer... Aïe!
Le Doc m'enfonce une seringue dans le pubis. J'ai un mouvement de réaction... mais juste dans ma tête. Mon corps est tellement attaché serré que je ne bouge pas d'un poil.
Il me pique ensuite le haut des cuisses et le dessous des fesses. Je vois tout sur l'écran.
J'ai mal. Les sangles sont très serrées et ma position est inconfortable. Mes cuisses écartées me font mal.
Mais de moins en moins.
C'est bizarre. Mon corps lâche prise.
Je crois qu'il m'a fait des piqûres anesthésiantes en fait... oui. Je ne sens plus mon bassin, mes cuisses, mes fesses...
J'appréhende de plus en plus. S'il m'a fait ça, c'est qu'ils veulent me dilater au maximum. Plus c'est extrême, plus la vidéo rapporte sur les réseaux. Putain ils sont graves!
Je ne peux rien faire. Mon corps me lâche. Les sons ne sortent pas de ma gorge. Le bâillon m'étouffe. Je panique. Je tremble. Je pleure.
Le Doc rigole.
- Elle fait pas la maline ta pute, tu crois vraiment qu'elle va tenir?
- On s'en fiche, fais ce qui est convenu, on verra bien!
Mon Maître avait répondu cela d'une voix tellement détachée... ça confirmait bien que j'étais seule dans les mains du Doc...
Qu'est ce qu'ils avaient convenu entre eux? Cassandra était-elle au courant? J'essayais de capter son regard. Malheureusement elle restait Immobile. J'étais seule...
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michel05132 · 17 days
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Expositions du substrat rocheux à Nirgal Vallis
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Cette observation couvre deux affluents et le chenal principal du Nirgal Vallis. Le canal mesure environ 610 kilomètres de long et porte le nom de Nergal, le dieu babylonien de la guerre et homologue du dieu romain de la guerre, Mars. L’image de la caméra Mars Orbiter montre un substrat rocheux aux tons clairs ; notre image haute résolution peut nous donner une meilleure vue de la forme du canal et de la stratigraphie du substrat rocheux. NASA/JPL/UArizona
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albad · 10 months
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⚖️L'AVOCAT DU TUEUR DE NAHEL AVOUE L’IMPUNITÉ POLICIÈRE
– En 31 ans à défendre des policiers violents, aucun n'avait encore été envoyé en détention –
«En 31 ans de carrière à défendre des cas d’usage des armes je n’ai jamais eu un client qui parte en détention à l’issue de sa présentation devant un juge.» Ce sont les mots de l'avocat du policier qui a exécuté Nahel, dans un communiqué publié sur Facebook.
Cet avocat, c'est Laurent-Franck Liénard. Un défenseur acharné des policiers violents. Il a prêté serment en février 1992, à l’issue d’études en droit des affaires et en ingénierie de la sécurité. Liénard est un être hybride, à la fois avocat, militant et policier. Sa vie entière est consacrée à l'impunité de la police. Officier de réserve de la Gendarmerie, il est aussi instructeur de tir de police, membre de Fédération Française de Tir, maître, instructeur pour le Taser et donne des cours à l’Ecole Nationale Supérieure de la police de Saint Cyr … Liénard a même écrit un guide destiné aux policiers qui ont tiré sur des personnes, pour donner les conseils pour éviter une condamnation. L'ouvrage s'appelle «Force à la loi», et fait un carton chez les forces de l'ordre. Il est même mis à jour en fonction de l'évolution des lois.
Il milite pour le port d'arme généralisé dans tous les corps de répression, et arpente les plateaux télé. En mars dernier, à l'antenne, Liénard a par exemple osé : «Les gendarmes à Sainte-Soline me disent qu’ils n’avaient jamais vu des bandes aussi guerrières […] face à une horde sauvage avec des haches c’est vraiment compliqué», ou encore à propos de policiers ayant tenu des propos ouvertement néo-nazis dans des conversations communes «être raciste c'est autorisé par la loi» et même, pour explique qu'un de ses client aime son métier en le citant : «je veux être policier. Je veux aller interpeller les gens. Je veux pouvoir les étrangler quand ils luttent». Oui, c'est ce qu'il a dit, en plateau, face caméra.
En tant qu'avocat, Liénard a notamment défendu un gendarme ayant éborgné un enfant de 9 ans à Mayotte ! Mais aussi un CRS ayant éborgné avec une grenade un syndicaliste à Paris, un policier ayant tiré au LBD dans l’œil d'un lycéen nantais, des policiers ayant tué en tirant à balle réelle, notamment Aboubacar à Nantes ... En décembre 2022, à propos de la mutilation par une grenade d'un syndicaliste, il affirme lors du procès que condamner son client reviendrait à «castrer tous les CRS de France» et estime «on lui en veut, simplement parce qu’il est en bleu, la société a tout à perdre sa la condamnation». Et obtient son acquittement ! Il défendait aussi en avril dernier des policiers ayant percuté trois adolescents à scooter à Paris. Des vidéos montraient ces enfants au sol, parmi eux, une jeune femme de 17 ans qui était dans le coma, et des passants indignés par les actes des agents. Sur BFM TV, l’avocat s'exclamait à propos d'un client : «il n’a fait que son travail».
Bref, Liénard defend depuis 30 ans ce qui se fait de pire dans la police. Les agents les plus violents, les plus indéfendables, les cas les plus accablants. Son cabinet réalise son chiffre d'affaire sur ces cas, c'est son créneau, sa spécialité.
L'avocat ne s'en rend même pas compte, mais lorsqu'il écrit 24H après la mort de Nahel : «je n’ai jamais eu un client qui parte en détention à l’issue de sa présentation devant un juge», il avoue de la manière la plus claire qui soit le niveau d'impunité absolue dont bénéficie la police dans ce pays.
Contre Attaque
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lecameleontv · 2 months
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Captures de l’Ep. 3.09 : Meurtre parfait / Murder 101 (1999) de la série Le Caméléon (V.O. : The Pretender).
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Jarod (à Mlle Parker) : "Ton père et toi vous êtes très proches, mais jusqu'à quel point ? ... Est-ce qu'il partage absolument tout avec toi ? T'a-t-il mis au courant des nouveaux évènements survenus dans sa vie ?"
Mlle Parker : "Je suis toujours d'un optimisme forcené. Je croyais que tu téléphonais pour prendre de mes nouvelles."
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Sydney : "Qu'est-ce qu'il avait à vous dire ?"
Mlle Parker : "Bien plus qu'il n'en sait je crois."
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Jarod (à sa classe de faculté) : "Alors vous voilà, ... le fameux programme Vanguard, ... les esprits les plus éclairés de l'Université ? ... Je ferai de mon mieux pour vous rattraper."
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Claire Denning, étudiante à haut Q.I. : " Quant à moi je suis assez cuiseuse de connaitre .. vos qualifications ?
Jarod : " Oheuh vous faites encadrer un bon paquet de diplômes, vous apposez votre nom sur une thèse ou deux et voilà (tape dans ses mains en souriant) on vous prend pour un génie".
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Mlle Parker : "OhMmmmm si seulement le meurtre était légal." Broots : "Pardon ?"
Mlle Parker : "Votre piste sur Jarod... tuyau crevé, les nettoyeurs sont revenus les mains vides !"
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Jarod : " Les enfants sont des être si fragiles, si innocents... et cependant avec un seul regard ils peuvent ... vous aider à lutter."
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Jarod :" Je vous demande de bien vouloir me suivre et jouer avec moi."
Claire, étudiant au Q.I. élevé (d'une voix suave) : "Je suis prête à vous suivre et à jouer autant qu'il vous plaira Jarod." (rires dans l'assistance)
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Jarod : "Il y a bien des façons de supprimer quelqu'un."
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DSA
Sydney jeune (à la caméra) : " Ces derniers temps Jarod s'ennuie. Il nous faut trouver des moyens de réveiller son intérêt. Qu'un esprit si brillant ne se laisse pas aller."
Jarod enfant/adolescent : "Sydney, j'en ai assez de faire ça, toujours le même problème, c'est tellement monotone !"
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M. Parker : "C'est étonnant ce qu'on s'adapte aux changements que la vie nous œuvre. Même les gros changements !"
Mlle Parker : "Les changements ?"
M. Parker : "Oui, j'ai toujours pensé que j'aurai peur de me retourner un jour et de regarder le passé. Aujourd'hui, aujourd'hui j'ai fait la paix avec beaucoup de choses."
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Jarod enfant/adolescent : "C'est si pénible parfois Sydney."
Sydney jeune : "Un brillant esprit laissé oisif peut devenir le plus dangereux des esprits."
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Jarod : "La motivation : pourquoi un individu voudrait-il en tuer un autre ? [...] Les mobiles se fondent sur le puits insondable qu'on appelle le psychisme. Et que même si vous creuser très profondément, vous n'en verrez jamais la fin. [...] Essayons de découvrir pourquoi... il a été tué. [...]
Richard, élève : "Selon les statistiques, le fric et la jalousie sont les premiers sur la liste [des mobiles], mais ça peut être aussi le vol [...]"
Matthew, élève : "Peut-être que je ne l'aime pas ?"
Jarod : "Si vous n'aimez pas quelqu'un, vous l'évitez n'est-ce pas ? Si vous le voyez marcher dans la rue, vous prenez l'autre trottoir, vous ne l'envoyez pas s'écraser dans un ravin !
Claire, étudiante au Q.I. élevé : "couuucouuuuu ! Il y a des millions de raisons de tuer. La vengeance, la révolte, l'évasion, la superstition, la paranoïa, de vieilles dettes, ... une enfance malheureuse, une mauvaise journée (souriante - rires de l'assemblée)
Jarod : "J'ai peur que vous aillez oublié la plus importante de toutes... La Vanité."
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Claire, étudiante au Q.I. élevé : "Une intelligence supérieure saura s'en tirer quoi qu'il en soit. Il y aura toujours une porte de sortie."
Jarod : "Alors c'est peut-être le moment de s'y précipiter."
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Mlle Parker : "On dirait que vous êtes de son côté."
Sydney : "Mais il n'est pas question d'être d'un côté ou de l'autre, il faut le laisser vivre sa vie... Je regrette que ce soit pénible pour vous. C'est souvent très difficile pour les enfants.
Mlle Parker : "Je ne suis plus une enfant !"
Sydney : "Alors vous savez ce que vous devez faire."
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Jarod :" [...] Il ne saura jamais qui était son père. Il n'aura pas la chance de le connaître, non jamais. Quant à sa mère, elle s'est rongé les sangs pendant des mois en se demandant si son mari allait enfin rentrer à la maison, jusqu'à ce qu'on découvre qu'il était mort. [...]
Matthew, élève, en larmes : " [...] Elle a dit, pourquoi construire le plus perfectionné des jouets ... si ce n'est pas pour s'en servir ? " [...]
Jarod : "Et vous, vous saviez tout ça et vous êtes restez là sans rien dire. "
Matthew, élève, en larmes : "Mais j'étais affolé ! J'avais peur ! Qu'est-ce que je pouvais faire ?! [...] Je ne voulais pas qu'elle soit en colère contre moi."
Jarod : " [...] Il est grand temps de réparer les dégâts."
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Jarod (trinquant) : "Aux brillants esprits !"
Claire, étudiante au Q.I. élevé : "Aux rats dans leur labyrinthe ! "
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Jarod (taquin) : " Bien sûûr, la porte de sortie est ouverte... Mais où conduit-elle ?"
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Jarod : "Vous savez, un enseignant a beaucoup de chance lorsqu'il en apprend autant de ses élèves que ce qu'il peut leur apprendre lui-même... Dans votre cas, j'ai touché le jackpot !!"
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Claire, étudiante au Q.I. élevé, dépitée : "Allez au diable !"
Jarod : "Vous d'abord."
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M. Parker (bougon, à sa fille) : "Oh je t'en prie mon ange, mieux vaut te réjouir pour moi !"
Brigitte (se retournant vers M. Parker) : "Mon gros lapin...."
M. Parker (attendri) : "Mhmmm ?
Brigitte (d'une voix suave) : "C'est moi ton nouvel ange maintenant...." (rires du couple)
Saison 3 : Episodes 01 - 02 - 03 - 04 - 05 - 06 - 07 - 08 - 09 - 10  - 12 - 13 - 14 - 17 - 20 - 22.
Q.I. : Quotient Intellectuel Q.E. : Quotient Emotionnel
source : imdb
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lefeusacre-editions · 2 months
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"REAR WINDOW", LE COMPLOT DU STYLITE, par Warren Lambert
Avec sa réputation devenue vite ronflante de film méta sur le cinéma, on en serait presque à oublier que "Rear Window"/"Fenêtre sur Cour" est un grand film d'amour sérieux, un de ceux de la filmographie d'Hitchcock, avec plus tard "Vertigo"/"Sueurs Froides", au sous-texte le plus audacieux, tordu et un tantinet tragique. Avant que ce ne soit une image qu'il faille reproduire pour s'aimer (comme dans "Vertigo"), c'est une image qu'il faut halluciner ensemble pour tomber amoureux. Séance de rattrapage, donc.
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Trois panoramas de la cour à trois moments de la journée, réalisés à partir de photogrammes du film.
La caméra happée par ces volets ouverts, ce mouvement circulaire étourdissant qui survole la cour jusqu’à ce front perlé en gros plan de son personnage assoupi, le thermomètre qui dépasse les 90 degrés Fahrenheit... Peut-être Rear Window est parvenu toutes ces années, malgré sa mise en scène toute en lignes claires, à dissimuler le vrai postulat de son incipit : celui d'être la transcription, à l’échelle d’une résidence, d’une poussée de fièvre. Contre la léthargie des corps va s'arbitrer la véracité des images. Les photographies de Jefferies (James Stewart) disposées sur sa table le promettent par le tour d’horizon de morbidité et d’interdit qu’elles opèrent (accident, incendie, essai nucléaire) ; collection d’événements extrêmes dont le meurtre serait la pièce manquante de cet impressionnant tableau de chasse.
Mais cette image, il ne lui suffira pas seulement de la vouloir, il faudra avant tout que les autres y croient, qu’ils croient eux aussi l’avoir vue, en croyant le seul homme dans toute cette affaire qui veuille si suspicieusement avoir raison. C’est selon cette unique modalité, celle de la persuasion, que l’action trouvera – Jefferies étant momentanément infirme – les moyens physiques d’avancer, et avec elle l'histoire d’amour entre lui et Lisa (Grace Kelly). Pour la belle jeune femme, il se jouera effectivement autre chose dans la scrutation des faits et gestes de cet énigmatique Lars Thorwald, dont le prénom épelé par elle à Jefferies au téléphone marquera le point de départ incantatoire de leur romance, cette dernière culminant lors de l'épisode où Lisa se faufilera de l’autre côté de l’écran (enjambant la fenêtre du dit-coupable) pour se passer elle-même la bague au doigt (celle de l’épouse disparue). Que Thorwald découvre cette intruse chez lui et qu'il mime alors maladroitement sur cette pauvre Lisa le meurtre auquel Jefferies aurait rêvé d’assister, voilà le prix à payer envers celui qu’elle aime. La reconstitution supplante la preuve, et l’interprétation l’image. Peu importe l'intervention de la police, pour celle qui, téméraire et obstinée, cherchera le film durant à électriser son homme, les vagissements d’impuissance de Jefferies la regardant crier et se débattre évoqueront bien à s’y méprendre les spasmes du plaisir.
La cour et ses lucarnes agissant telle une caisse de résonance des ambitions comme des craintes des deux personnages vis-à-vis du couple et du mariage, un chantage tacite s’installe peu à peu entre eux sur la base d’un échange de bon procédé : Lisa accréditant le crime spéculé par Jefferies, et Jefferies soumettant à Lisa les épreuves qui s'assureront de ses sentiments envers lui, offrant ainsi à leur idylle, grâce à ce pacte, les meilleures chances d’aboutir. Il n’existe d'ailleurs pas, dans tout l’érotisme latent contenu dans Rear Window, de moment plus jouissif transpirant sur le visage d’ordinaire patibulaire de Stewart que ce reaction shot, dans lequel il s’illumine de l’amour naissant ressenti pour Lisa, à l’écoute de l’excitation que procure chez elle l'adhésion à sa théorie meurtrière. Par son timide sourire benêt, tout s’éclaire en effet : le meurtre promet bien d’incarner la caution de cette union, son facteur déterminant autant que sa condition sine qua non. Rear Window est un drôle de sitcom au sein duquel, en dépit de son happy end, réside cette équation pétrie d’un malaise sourd : l’assassinat vu comme une heuristique sentimentale ; la nécessité du meurtre pour que puisse éclore l'amour.
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L'instant où Jefferies tombe amoureux de Lisa.
Malicieusement, du reste, par touches discrètes, le film insinue que le crime pourrait aussi bien se dérouler ailleurs que chez les Thorwald, et cela parmi beaucoup d’autres recoins laissés inexplicablement vierges de toutes projections : un couple occupé la quasi-totalité du film à batifoler le store baissé (ou quelque chose de plus « sinistre », suggère même Lisa) ; une voisine étendue sur un transat, inerte, un journal ouvert recouvrant son visage. Dans ce hammam de visions potentiellement morbides, ce n'est pas un hasard que l’œil de Jefferies s'attarde sur ce couple à la femme alitée et au mari effectuant les cent pas entre le salon et la chambre à coucher. Un couple qui peine à se séparer comme Lisa et lui peinent à se mettre ensemble. Mieux qu’un écran : un miroir, et élu par son regard. Car il y a un alignement dans les destins qui lient aussi bien Lisa et Jefferies à Mr et Mme Thorwald que, par exemple, Miss Lonely Heart – la dépressive du rez-de-chaussée – à ce pianiste niché au dernier étage de l’immeuble d’en face, dont la mélodie envoûtante arrêtera miraculeusement le geste suicidaire.
La vie des autres fonctionne à la manière d’un decorum sentimental de ce que Jefferies est heureux de voir uniquement hors de chez lui, détaché de sa vie pareil à un album photo dont chaque vignette serait ce à quoi il a échappé : célibat douloureux, dénigrement artistique, sollicitude sexuelle. Il devine que la vie du couple Thorwald s'apprête à devenir son présent le plus imminent. C'est pourquoi lorsque ce mari se délectera dans son canapé d’un cigare qu’il n’a sans doute, par le passé, jamais eu la chance de savourer, cette paix retrouvée est bien ce qui alarmera le reporter. En proie aux hésitations de sa propre vie, la quiétude qu’il observe est la rupture la plus insupportable de ce jeu de reflets duquel Jeff pensait, la veille encore, se tenir du bon côté. Privé de ce rassurant et cathartique coup d’avance quant au devenir de son couple, ou pire de sa résolution lugubre, la ténacité dont il devra faire preuve aura pour but de rétablir l’ordre du cadastre amoureux dans lequel s'inscrivait son statut de célibataire endurci.
Dans l'écologie de cette alcôve new-yorkaise, toutes et tous se voient sans se regarder, jouissent sans se toucher, savent sans connaître, mettent à mort sans cadavre, et ce alors que chacun se plaît à rêver d’étreinte ou de liberté, de succès, de répit ou de tranquillité. Le chien inanimé des voisins posé au milieu de la cour figure cet élément sacrificiel, ce pavé dans la mare jeté aux visages des divers locataires, de leurs situations et de leurs aspirations muettes. Leur bref sursaut coïncide alors avec cette seule mort visible de l’intégralité du film, et acculant davantage Thorwald, non en raison de sa simple implication subodorée dans la mort de l’animal, mais parce qu’il n’aura aucunement pris la peine de feindre, avec l’ensemble de la cour, l’affectation polie qu’il était censé témoigner. De ce fait, le cri primal que pousse la propriétaire de la malheureuse bête est l’expression de cette défaillance qui règne dans ce cul-de-sac des passions ; l’indice de son moment de bascule. Il rappelle que les vocalises résonnant sur le visage endormi de Jefferies, et qui annonçaient la première apparition diaphane de Lisa dans la trame de Rear Window, en étaient la version préliminaire : un chant de sirène déjà synonyme de danger.
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Jefferies et Little Nemo, deux rêveurs et deux éveillés.
Les nuits, pour Jefferies, sont propices aux écarts et aux divagations ; elles sont une voûte urbaine faite pour nourrir ses oracles, cherchant à travers la loupe grossissante de son téléobjectif des réponses dans ce catastérisme tantôt attendrissant, tantôt effrayant. Telle son aide-soignante, Stella (qui clame dans l’une des premières séquences avoir prédit le krach boursier de 1929 sur la base de l’auscultation d’un directeur de General Motors), Miss Torso, Miss Lonely Heart, The Songwriter, tous ces noms affublés par Jefferies lui-même aux visages anonymes peuplant sa résidence, sont le dédale de son grand dessin astral privatif à l’égard de la crise affective qu’il traverse. Il lui aura fallu inventer un monstre (Thorwald) qui incarnerait donc cette crise, qui la séculariserait par un nom civil pour lui prêter les contours de ses accusations, inculpant plus lâche et détestable que lui – gage vivant de l’échec marital qu'il cherche tout du long à démontrer. Sous les pressions répétées de Lisa à venir partager sa vie de globe-trotter, cet opportun assassinat lui permettra un temps de remettre sa décision et son jugement entre les mains d’un autre.
Le duel final avec Thorwald, Jeffries le provoquera en ébranlant d’abord l’insouciance de celui qui lui ressemble le plus ; celui qu’il choisit de réveiller en dernier recours pour effrayer celle qui ne connaît rien du monde hormis les cocktails littéraires et les réceptions mondaines. Celle à qui il jure, s’il devait l’épouser, une aventure sans illusions et sans mensonges, crue de ce qu’elle contient de laborieux et de répugnant. Ce croque-mitaine aux cheveux blancs, invité à traverser à son tour ce méridien invisible qui le sépare de ses spectateurs, à briser le quatrième mur, est cette hallucination collective venue in fine réclamer son brevet d’existence spolié. Le regard-caméra lancé par Thorwald, à la découverte de celui qui intrigue depuis le début contre lui, reste glaçant et pathétique car il marque la perte brutale de cette innocence du mal qui le caractérisait jusqu’ici, averti désormais de cet autre homme qui en sait autant que lui sur la vie qu’il mène. Son regard suit le geste de Lisa qui s'est passée à l'annulaire gauche la bague de l'épouse disparue. Sans mot dire, c'est le meurtrier qui vient de bénir leur union.
Venu bientôt prier un peu de clémence auprès du responsable de cette rencontre interdite, Thorwald poussera Jefferies par la rambarde de sa fenêtre panoramique pour que s’interrompe l'inavouable, l'inimaginable qu'ils vivent alors tous les deux. À l’instar d'un Little Nemo dans les bandes dessinées de Winsor McCay, la chute est la clé de sortie pour Jefferies, en même temps qu'il sonne le glas de cette image que symbolisait Thorwald, cette image délogée de son cadre. Une fois ce dernier enfin arrêté par la police, soudain les lois de la gravitation se reconfigurent : les jeunes voisins tout juste fiancés ont la gueule de bois de leur serment ; la température redevient raisonnable ; une gynécée s’implante au cœur de la chambre d’un rêveur. Ses photographies les plus réussies, Jeff confessa à Doyle, son ami détective, les avoir à chaque fois prises durant ses jours de congés. Celle qui lui aura donné le plus de mal ne requit finalement aucune pellicule. Mais, après tout, ainsi sont peut-être toujours faites les vraies images.
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Les idées maîtresses de ce texte sont nées au cours d'une discussion avec Aurélien Lemant, Pierre Pigot et Steven Lambert suite à une projection du film dans le cadre des séances "Les Voyeurs" au cinéma Le Petit Casino de Saint-Aignan, en décembre 2015.
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anthology-rpg · 1 year
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CONTEXTE, TOME 1
TW : meurtre, sang 💀
« Un véritable drame s’est produit dans notre petite ville. Colette se trouve présentement sur les lieux, Colette l’antenne est à vous. » « Merci, George. Je me trouve devant le domicile des Alcott où les parents de Gabriel Alcott ont retrouvé le corps sans vie de leur fils. Le jeune homme connu de beaucoup d’entre nous a perdu la vie hier soir. Nous n’avons aucune information à ce propos, ce qui s’est passé reste un mystère. J’ai essayé d’obtenir plus de renseignements, mais personne ne semble prêt à révéler ces informations. Je peux vous dire cependant, que les officiers n’ont jamais vu une scène aussi macabre… » Dans un soupir, la journaliste affiche cet air tragique, laisse le chagrin malmener ses traits avant d’inspirer pour continuer sa tirade. « Jamais notre ville n’a connu une fin aussi terrible. Nous ignorons si cela était prémédité ou accidentel, peut-être que le jeune Gabriel a… » Les mots se bloquent à ses lèvres, difficile de parler avec détachement lorsqu’on connaît la personne. Colette le ressent à cet instant, alors qu’elle inspire pour se donner la force de reprendre. « Je vais tenter une approche, essayer d’obtenir quelques images. » C’est grossier, irrespectueux même, mais la jeune femme n’a jamais eu froid aux yeux, si elle est journaliste ce n’est pas pour gratter des infos médiocres pendant la foire aux bétails. Suivie de son cameraman, elle franchit la barrière de ruban jaune, passe par le côté de la maison où la vigilance est moins accrue. « Vous devriez voir quelques images sous peu dans les studios… » Qu’on entend sans vraiment distinguer Colette si ce n’est ses cheveux clairs qui ondulent devant l’objectif. Des planches de bois, de la verdure, des images bien trop vite pour en percevoir les formes. Le cameraman glisse la caméra vers une fenêtre, on y décèle une toile sanglante. « Oh Seigneur ! Phil coupe la caméra ! COUPE ! » se précipite de dire la journaliste en découvrant la scène, braquant sa main sur l’objectif brouillant ainsi la diffusion d’un théâtre macabre sur la chaîne locale. De retour au petit studio de Cloudcroft où Colette travaille, celle-ci se retrouve à faire les cents pas dans sa loge, grugeant l’ongle de son pouce. Elle tient le reportage d’une carrière entre les mains qui contrebalance avec le regard vide d’un jeune qu’elle a gardé étant gamin. Le déchirement se lit dans les plis de réflexions qui marquent son front. Qui a pu s’en prendre à ce jeune homme prometteur ? « Informations de dernière heure… » La musique du téléjournal résonne à l’écran du téléviseur qui se trouve dans sa loge. « Canular ou images réelles ? S’agit-il bien de Gabriel Alcott que nous voyons sur cette vidéo qui vient d’apparaître sur les réseaux sociaux ? À peine quelques minutes déjà et celle-ci compte plus de dix milles vues. Il est encore trop tôt pour confirmer si ceci n’est pas seulement un canular, mais nous l’espérons ! » Ses opales fixant les images diffusées sans la moindre pudeur révulsent Colette, elle n’a pas besoin de regarder jusqu’à la fin pour savoir que ce n’est pas un canular. La vidéo n’a même pas fini d’être diffusée qu’elle s’écrie en quittant la loge d’arrêter tout ceci. Elle crie dans les couloirs, laissant collègues et amis pantois. Ses talons claquent, on l’entend arriver, mais le mal est déjà fait, les sanglots d’une jeune fille brisent la barrière du doute. Elle implore la clémence pour son ami, mais l’agonie envahit leur esprit.  Dring dring … « On me dit que quelqu’un aurait des informations à nous communiquer. Oui, monsieur… Que savez vous de cette vidéo ? » … le silence. … « Il n’était que le premier. » biiiiiiiip
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Joyeux anniversaire à Olivier Minne, 56 ans
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né le 18 mars 1967 à Ixelles (Région de Bruxelles en Belgique). Présentateur de télévision franco-belge. A 20 ans, il rêve d'entrer au Conservatoire et quitte son pays natal pour Paris où il s'inscrit à un cours de théâtre. Il enchaîne alors les castings sans succès. Au bout de quelques mois, pour se faire un peu d'argent, il accepte un CDD d'aide administratif à Antenne 2. Il croise Jacqueline Joubert qui lui propose un poste insolite… speakerine ! En 1990, Olivier Minne est ainsi engagé comme speaker sur la chaîne. Il se révèle très l'aise devant une caméra, et son aisance pousse la chaîne à lui confier une rubrique dans l'émission Matin Bonheur à partir de 1992. En 1994, il assure seul la présentation de l'émission. Après l'arrêt de l'émission en 1996, l'animateur traverse un petit passage à vide qu'il comble par d'intensives séances de sport. Non seulement salvateur pour son mental, le sport lui sculpte une nouvelle silhouette et on fait alors appel à lui pour la présentation de jeu d'aventures (Jeux sans frontières en 1997, Nouveaux mondes en 1998). Remercié par France 2 à la fin des années 90, il arrive sur La Cinquième en 2000 pour présenter Les écrans du savoir. Il fait son retour sur France 2 en 2002 pour la nouvelle formule du jeu télévisé Pyramide, mais il est écarté de l'émission avec le retour des maitres-mots Claire Gautraud et Jérôme Tichit. Il présente ensuite La cible (2003–2006) et devient l'animateur emblématique de Fort Boyard qu'il présente depuis juillet 2003. Initialement présenté avec une co-équipière (Sarah Lelouch puis Anne-Gaëlle Riccio), il est seul aux commandes du Fort depuis 2010. En juillet 2014, Olivier Minne anime le jeu culte de France 2 Pyramide qui fait son come-back. En octobre 2016, il intègre le casting de la septième saison de Danse avec les stars diffusée sur TF1. Parallèlement l'animateur qui a créé sa société de production, Olivier Productions, produit des pièces de théâtre diffusées en prime time sur France 2 Un fil à la patte, La dame de chez Maxim, Trois contes merveilleux. Il renoue avec ses premières amours et apparaît dans quelques séries télévisées Samantha oups!, SOS 18, Section de recherches Fort Boyard
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gregor-samsung · 1 year
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La caméra de Claire [Claire's Camera] (Hong Sang-soo - 2017)
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SAMEDI 3 JUIN 2023 (Billet 1 / 3)
« L’AMOUR ET LES FORETS » (1h 45min)
Un film de Valérie Donzelli, avec Virginie Efira, Melvil Poupaud, Dominique Reymond…
On a souvent eu l’occasion d’écrire sur le Blog cette phrase : « Les goûts et les couleurs… ». A l’issue de la projection de ce film que nous sommes allés voir tous les deux mardi dernier, elle s’est avérée encore une fois très juste.
Marina ne l’a pas aimé, elle l’a trouvé trop long et s’y est ennuyée. JM, au contraire, l’a beaucoup apprécié. Marina s’est identifiée au rôle tenu par Virginie Efira et, elle, se serait séparée au plus vite de cet homme (incarné par Melvil Poupaud). JM, connaissait mal les effets de l���« emprise » qu’un homme pouvait exercer sur une femme. Il a trouvé le mécanisme très bien décrit dans ce film. Alors que vous dire ? Que pouvons-nous vous conseiller ?
Nous vous laissons trouver de mauvaises critiques du film sur Google, quant aux bonnes, JM en a trouvé une… peut-être un peu plus consensuelle entre nous deux, car plutôt axée sur les comédiens.
Marina a donné ❤️❤️,5 cœurs sur 5 au film et JM, ❤️❤️❤️,8.
Quelle que soit votre intention d’aller voir ou pas ce film, lisez SVP la critique ci-dessous.
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« L'Amour et les forêts » : critique d'un parfait cauchemar amoureux
Virginie Efira et Melvil Poupaud s'aiment à la folie dans « L'Amour et les forêts », adaptation du livre d'Éric Reinhardt réalisée par Valérie Donzelli, et co-écrite avec Audrey Diwan. Ça commence très bien, mais ça finit évidemment très mal, comme dans toute bonne histoire d'amour toxique. Et comme toujours, Virginie Efira est parfaite.
Oui, Virginie Efira est partout, tout le temps. Quand elle n'est pas à l'affiche d'un long-métrage (ou deux), elle est sur les couvertures de magazine, les plateaux télévisés, ou la scène des César (sacrée en 2023, après deux nominations consécutives en 2021 et 2022).
Est-ce que c'est trop ? On a envie de dire : telle n'est pas la question. Virginie Efira a beau être ancrée dans le paysage, elle continue d'accrocher, d'intéresser, d'emporter. On l'a vue rire, pleurer, parler et marcher des dizaines de fois au cinéma en quelques années, mais elle continue à étonner, comme si c'était une redécouverte à chaque fois.
« L'Amour et les forêts » en est la 78e preuve. Même si elle incarne des jumelles, elle est d'abord et surtout Blanche, qui tombe follement amoureuse de Greg. Le conte de fées laisse place à l'enfer. Très vite, c'est la jalousie, la peur, la torture, et la prison. Et dans cet arc-en-ciel qui passe du rose au noir, Virginie Efira touche absolument toutes les justes notes avec une simplicité désarmante, entourée d'une belle distribution (Melvil Poupaud, mais aussi Romane Bohringer, Virginie Ledoyen, Marie Rivière et Dominique Reymond).
Valérie Donzelli et son directeur de la photographie n'ont pas peur de s'approcher des visages ni de jouer avec les couleurs et les textures. En amenant régulièrement un plan ou un effet qui brise la logique, la réalisatrice crée une dimension étrange et poétique.
Raconté sous forme d'un long flashback, le récit utilise intelligemment les ellipses pour recomposer le puzzle infernal avec l'héroïne. En mettant l'accent sur les crises les plus violentes (notamment une scène absolument terrifiante où Greg retourne la situation pour se victimiser) mais aussi les moments lumineux (cette belle escapade dans une forêt), le tempo est habilement tenu du début à la fin. En d'autres termes : on sait très bien où va mener cette histoire, mais elle est si bien racontée, incarnée et filmée, que ça fonctionne étonnamment bien.
À la croisée des chemins, entre « Mon roi » et « Jusqu'à la garde », « L’Amour et les forêts » se termine avec une scène glaçante. Pour continuer, le monde de Blanche doit se refermer. La caméra bascule avec elle pour le point final de cet enfer, et pour raconter l'asphyxie à laquelle le personnage est condamné. C'est à l'image du film : simple, clair et précis.
(Source : « ecranlarge.com »)
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angellyslion · 1 year
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La fille de Bruce Wayne 6
Le soir du gala arrive. Leur plan en soit et très simple, mais cela va ruiner leur réputation. Et avec une humiliation en direct pour Lila.
Bruce a invité toutes les personnes sur lesquelles Lila a menti. Mais je ne sais pas comment il s'est pris pour que tout le monde accepte l'invitation... Après réflexion qui refuserait une invitation à un gala organisé par les Wayne, personne !
Je sais que le gala va être retransmis en direct à la télévision dans toute l'Amérique et en rediffusion et sous titré dans le reste du monde.
J'avoue qu'ils ont abusé, mais quand ils décident de me venger, ils ne le font pas à moitié. Et pour cette fois-ci, je ne leur en tiendrai pas rigueur.
Je descends rejoindre ma famille et mes frères m'attendent en bas des escaliers. Je descends en toute confiance. Les regards ainsi que les caméras sont braqués sur moi. Avec ma robe cela ne me surprend pas. Je sens le stress monté d'un coup en moi. Cela fait quelques années que je n'ai pas assisté à un gala quel qui soit et que je n'étais pas sous les feux des projecteurs.
Ma robe de soirée avait un corset ainsi que cinq volants du plus clair au plus foncés en partant vers le bas. La robe a été conçue entièrement d'un beau rose pâle, le rose que j'affectionne tant. La robe est agrémentée de deux papillons roses. Le tissu aussi fin que de la soie, était décorée des motifs de fleurs roses les plus délicates. Le volant et les bretelles de la robe avaient de la dentelle noire plus fine et la plus ouvragée de tout le bal. Cette robe somptueuse me va comme un gant. J'ai rajouté un simple collier et quelques bracelets qui sont subliment cette tenue qui déjà émerveillait tout mon public.Je rejoins mon père au centre de la salle.
- Votre attention s'il vous plaît ! Un silence s'installe dans la salle. Merci ! Je voudrais souhaiter le retour comme il se doit de ma fille Marinette et elle a quelque chose à vous dire. Je prends une respiration rapide.
- Bonsoir à tous je suis Marinette Wayne comme la plupart le savent ! Merci à mon père d'avoir organisé comme tous les ans le gala de charité en l'honneur de mes défunts grands parents. Mais j'ai quelque chose à dire pour faire taire certaines rumeurs. Je suis connu comme sous le nom de Marinette Wayne, pour les habitants de Gotham sous le nom de Sunshine et pour l'entourage proche soit Mari ou Nettie, mais je suis également connu sous le nom de MWG. Si vous mettez les initiales à la lumière, il apparaîtra Marinette Wayne of Gotham. Pour confirmer mes dire je retrousse la manche de la veste de mon père ou sont les initiales et pose mon flash de mon téléphone dessus ou en une belle écriture dorée apparaît mon nom. Seuls ceux fabriqués par mes soins ont cette particularité et ceux qui ne l'ont pas sont faux. Et je voudrais remercier Lila particulièrement qui m'a poussé à me révéler !
Je vois le regard de ma classe se tourner vers elle. Et elle rougit d'embarras. Elle a prétendu me connaître, ce qui n'est pas faux en soit mais elle ne savait même pas qui se trouvait derrière ses initiales, elle a déclaré que j'étais sa meilleure amie et que pour le gala de ce soir, je lui aurais confectionné une robe. Malheureusement pour elle, ce n'est pas elle ma meilleure amie, c'est Chloé Bourgeois. Elle a dit qu'elle m'avait présenté Jagged et Clara alors que non, comme la plupart le savent, j'ai fabriqué les lunettes préférés de Jagged lors de la journée des métiers quand j'étais en cinquième et j'ai rencontré Clara lors d'un casting pour son clip inspiré des héros de Paris. Et Désolé de le dire Lila mais ta robe est de mauvaise qualité de plus elle est affreuse et outrageante. Je me demande pourquoi ils t'ont laissé rentrer. Tu as dû écarter les jambes pour ce faire, je parie.
Elle porte une robe orange, si je peux appeler cette horreur une robe. La moitié de son corps est dénudé. Elle qui veut attiré l'attention, elle l'a. Cette fois-ci ce n'est pas en positif qu'ils parleront d'elle.Je crois que je ne suis pas la seule à vouloir lui dire certaines choses . Jaggen et Clara ont pris ma place. Jaggen a affirmé qu'il n'avait jamais eu de chat, d'une ce n'était pas assez « rock and roll », de deux que Penny était allergique à ces boules de poils et de trois qu'il n'avait jamais rencontré et écrit de chanson sur elle, cela l'aurait fait passer pour un pervers et un pédophile. Chacun de ses mensonges et de ces manipulations se révélait à chacune des paroles des victimes. Au bout d'une bonne heure, toute la vérité a éclaté et j'en suis fière. Même à la fin, nous avons eu une surprise de taille. Gabriel Agreste, plus pour garder son image que pour me défendre à licencié Lie-la de son agence et il s'assurera qu'elle ne puisse pas devenir mannequin et il affirme qu'il ignorait tout de ses mensonges. J'ai un gros doute sur cette dernière déclaration car je pense que c'est lui le Papillon. Toute ma classe hurle sur Lie-la. Les vigiles les jettent dehors. Bon débarras. Dans un coin de la pièce, j'aperçois Clark et Oliver discuté. Je les rejoins, Clark me voyant me fait signe.
- Tu nous as offert un beau spectacle tout à l'heure Mari ! Me dit Clark avec un sourire.
- Merci ! Fallait bien divertir les invités. Aussi il fallait que mon retour soit remarquable et reste dans les annales ! L'idée est venue de mes frères. J'avoue que j'y ai pris plaisir à voir chacun de ses mensonges se défaire.
- Ta robe est magnifique, me complimente Oliver- Merci, Ollie, c'est moi qui l'ai faite. Ainsi que la robe de Chloé qui est ma meilleure amie et les costumes de la famille. Je lui souris.
- Mais pourquoi vouloir l'exposé
- Pour toutes ses manipulations et la souffrance qu'elle m'a fait endurer à Paris. Adrien qui était au courant de ses mensonges, mais qui n'a rien fait pour les stopper et Alya qui rapportait tout sur son blog des merveilleux exploits de Lie-la sans avoir vérifié sur des sources sûres ! Je vous laisse, je dois avoir une discutons avec le père d'Adrien. Pour lui expliquer le comportement de son fils. J'espère vous voir plus tard.
- A plus tard Mari et cela serait bien que tu passe à la tour un de ses jours. Je pense que tout le monde serait ravi de te revoir !
- Je verrai avec mon père. Vous savez comment il est !Je le vois discuter avec mon père, ce qui m'arrange j'avais besoin de parler aux deux hommes.
- Bonsoir monsieur Agreste ! bonsoir papa !
- Bonsoir ma puce, ça va ?
- Oui ! Je viens de parler avec Clark et Oliver. Mais j'avais oublié qu'il pouvait avoir tant de monde au gala.
- Bonsoir mademoiselle Wayne, votre robe vous va à ravie ! C'est vous qui l'aviez conçu ?- Merci monsieur Agreste recevoir un compliment de votre part est un honneur. Et oui c'est moi qu'il l'est fait !
- Voudriez-vous travailler avec moi ? Avoir un tel talent serait un privilège.
- Cela serait un honneur, mais je me dois de décliner l'offre
- Et pourquoi donc ?
- Dû à Adrien
- Qu'a fait mon fils
- Il m'a promis de se tenir à mes côtés, de me protéger et d'être là pour moi, il savait que Lila mentait, mais il a brisé sa parole et il est resté au côté de Lila me laissant seule. Même si la classe m'a blessé c'est sa trahison qui m'a fait le plus souffrir. Avec le temps j'ai appris à tourner la page, mais je ne pourrais plus lui faire confiance.
- Je comprends et j'en toucherai deux mots à mon fils.
- Merci monsieur Agreste mais ne soyez pas trop dur avec lui ! Il n'a jamais eu de relation avec d'autres enfants de son âge. Il pensait agir au mieux... Du moins pour lui. Le gala se finit assez tard. Je remercie les garçons pour leur plan qui s'est déroulé sans accroc et encore mieux que prévu.
Je me démaquille, me mets en pyjama et m'effondre sur mon lit. Je ressasse cette soirée. Elle était magique et maintenant que les mensonges de Lie-la soit exposée au grand jour,je serais enfin en paix.
Bonus
Chers lecteurs et lectrices si vous avez raté le gala annuel des Wayne, voici ce que vous avez manquer, Marinette Wayne est officiellement de retour et elle c'est révélé être la célèbre créatrice de monde montante MWG.
La fille aux cheveux saucisse, appelé Lila Rossi ancienne manequin et muse de Gabriel Agreste a été licenciée suite à la révélation de ses nombreux mensonges qui ont causés du tord a de nombreuses célébrités notamment à notre cher Sunshine.
Et en parlant de notre Sunshine, elle a dénoncé le manque de respect de cette dernière pour un tel événement.
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manuitchezbina · 1 year
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Analyse de séquence: Elephant (2003), dir. Gus Van Sant
00:58:16 - 01:00:36
Caractéristiques esthétiques  Gus Van Sant refuse le montage pour la séquence analysée : il y a qu'un long plan séquence qui suit Michelle de dos, ce que fait appelle à l’univers des jeux vidéos, un sujet très discuté dans les études sur le film.
Au même temps, le choix d’encadrer Michelle de dos donne l'impression que quelqu’un la suit, qu’elle est coincée, sur préssion, ce qu’on voit dans la scène antérieure, avec la prof de gym qui insiste pour que l’adolescente s'habille plus légèrement pour son cours, même qu’elle soit évidemment pas confortable. Également, elle sera bientôt coincée face à l’attaque des tueurs qui vont, selon l’ordre chronologique, entrer à la bibliothèque et la tirer dessus quelques instants après le début de son travail. 
Le choix de mettre Eli et John en flou dans l'arrière-plan mais de maintenir le son de leur conversation si clair indique que dans ce moment-là on accompagne Michelle, mais que, malgré son déconcertement et mal à l'aise, il y aura toujours la coexistence avec les autres adolescents. Elle n’aura pas le temps de s’isoler pour digérer la violence soufferte dans son cours de gym, elle doit continuer à vivre entourée de ses collègues et d’aller travailler.  
Indices visuels et sonores La principale fonction des indices visuels et sonores dans cet extrait est de montrer au spectateur l’angoisse de Michelle: La caméra qui la suit comme un policier qui suit un voleur; 
la musique, qui est peut-être intradiégétique mais apporte quand même une sensation funèbre; son cri très subtilement entendu parmi l’ambiance. 
Structure et enjeux dramatiques La séquence se passe dans un seul temps, sans raccords et sans ellipses. Pendant tout son chemin, on voit le mal à l’aise de Michelle dans le lycée. Après son arrivée à la bibliothèque, elle est encore timide et déplacée, mais l’acte d’avoir une tâche à accomplir semble la distraire un peu de son inconfort général. 
L’idée aussi de que Michelle parle à personne dans son chemin et que les deux seuls élèves qu’elle croise interagissent entre eux met en évidence sa solitude et son manque d'habiletés sociales en général. 
Description détaillée  La séquence est composée d’un long plan séquence, un travelling qui suit Michelle. Ce parcours s’initie avec un plan taille sur la lycéenne de dos, qui sort d’une chambre où la lumière est complètement rouge pour arriver au couloir du lycée, où il y une lumière qui semble naturelle, rentrant des grandes fenêtres du côté droit. On entend l’ambiance du lycée, une musique lente et Michelle qui semble pleurer subtilement. 
Au fond du couloir, Eli et John se croisent et discutent brièvement. Ils sont en arrière plan, flous. 
L'alarme sonne et Michelle commence à courir et le travelling s’accélère pour la suivre. Elle rentre dans une séssion plutôt obscure. La caméra continue à la capturer de son dos mais l'échelle se serre plus et Michelle rentre en plan épaules.
La personnage entre dans la bibliothèque et le bibliothécaire vient lui parler pour expliquer ses tâches: il faut qu’elle commence par mettre des livres en rayons. Elle prend son chariot et commence son travail. On écoute les bruits des livres manipulés. 
Ensuite, Michelle entend un bruit étrange et tourne en arrière, c'est-à-dire vers la caméra, pour regarder ce qui se passe. 
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nocreativejuiceleft · 2 years
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(scénario) HONEST FEELINGS AND BAD TIMING MAKE THE MOST PAINFUL COMBINATION #40s #divorced #standup #snl #friendship #angst
l'histoire : bout-en-train insolent, Daniel rit de tout, oui, mais surtout de ce qui le blesse, une forme de thérapie qui paraît lui réussir, quoi qu'en disent ses parents qui auraient sans doute préféré qu'il fasse un métier un peu plus sérieux. C'est vers l'humour et la comédie qu'il se tourne, très jeune. Quelques bonnes rencontres et un soupçon de chance le propulsent sur le devant de la scène quand il intègre le cast du Saturday Night Live en 2005. Sa carrière décolle et bien vite, il devient la coqueluche des talk shows. Chacun de ses spectacles est un succès, ses rares apparitions au cinéma sont des choix savamment étudiés et maîtrisés, et il tombe même amoureux d'une actrice rencontrée sur un tournage. Tout semble lui sourire et ce, pendant plusieurs années, mais son mariage bat rapidement de l'aile. Après plusieurs tentatives pour recoller les morceaux, il finit par réaliser que sa femme n'est pas une adepte de la fidélité. S'en suit un divorce long et difficile, étalé dans les médias. Si Daniel, aujourd'hui divorcé depuis quelques mois, semble s'en amuser devant ses ami·e·s et les caméras — au grand dam de son ex-femme qui n'apprécie plus guère son sens de l'humour — il n'a toutefois pas digéré cette trahison qui a sérieusement ébranlé sa confiance en lui et en autrui. un lien : qu'ils veuillent bien l'admettre ou non, Daniel et Reagan ont toujours eu une amitié des plus ambiguës. Ils ont commencé ensemble à SNL et leur alchimie à l'écran comme en session d'écriture n'est pas passée inaperçue. Et bien qu'ils s'en soient toujours amusés, ils n'ont jamais franchi la moindre limite. Ou, du moins, pas physiquement. Il y a eu des occasions ratées, oui, des regards appuyés et des blagues partant un peu trop loin après le verre de trop à l'une ou l'autre des wrap parties qui clôturaient chaque semaine de travail mais ils n'ont jamais sauté le pas, malgré des sentiments bien présents. Un manque de courage, peut-être, et un timing toujours mauvais, pour sûr. Ils ont toujours eu une bonne raison de ne pas se donner une chance, sans jamais tout à fait écarter la possibilité qu'il puisse, un jour, se passer quelque chose. Cette absence de limites claires a fini par avoir raison de leur amitié, laquelle avait pourtant survécu aux années et même au départ de Reagan de SNL. Elle a fini par prendre conscience que rien, pas même le mariage de Daniel, ne pourrait l'empêcher de céder à la tentation si ils continuaient sur cette pente glissante. Elle a pris ses distances, doucement mais sûrement, et Daniel, préoccupé à l'époque par ses problèmes de couple, n'a pas réalisé tout de suite ce qui se passait. C'est une fois son divorce prononcé qu'il s'est aperçu que Reagan avait quitté sa vie et l'incompréhension a vite laissé place à la colère, d'autant qu'il sait parfaitement que c'était son mode opératoire de rupture à l'époque où ils travaillaient ensemble. Et il faut bien admettre que la voir si épanouie et manifestement heureuse quand sa propre vie a des airs de champ de ruine n'aide pas spécialement à tourner définitivement la page (+ deux autres à découvrir dans le sujet via le lien source de ce post). l'avatar : Oscar Isaac, négociable. lien vers le sujet : ici (ou en source du post).
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