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#Armée allemande
carbone14 · 6 months
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Troupes allemandes du Groupe d'armées Sud – Opération Barbarossa – Ukraine – Eté 1941
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aurevoirmonty · 2 months
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"Ils souhaiteraient que les armées de l’OTAN aillent dérouiller les Russes pour que l’Ukraine et les pays d’Europe orientale puissent conserver leur niveau de vie, qui a considérablement augmenté ces deux dernières décennies grâce aux milliards d’euros tirés de la poche des contribuables français et allemands."
Hervé Ryssen, X (anciennement Twitter), 22 février 2024.
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tfqimene · 1 year
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8 Mai 1945, pendant que la France célèbre la capitulation allemande, son armée massacre de l’autre côté de la Méditerranée 45 000 civils à Setif, Guelma et Kherrata
Ni oubli, ni pardon, Allah yarham chouhada
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memoire2cite · 8 days
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93 Bondy 1954 les grands ensembles HLM, terre d’accueil...Les premiers HLM datent de 1925-1930, mais au nord de la ville, leur construction ne commence que dans les années 1950-1960. A cette période d’urbanisme galopant, les promoteurs achètent les terres du nord encore disponibles pour y construire de grands ensembles immobiliers. En 1954, Bondy compte 22 411 habitants, la ville en comptera 51 653 en 1968, soient plus de 2 000 nouveaux habitants par an ! De nouveaux quartiers flambant neufs accueillent des populations migrantes chahutées par le vent de l’histoire, des pieds noirs, puis des familles immigrées d’Afrique du Nord, du Portugal, et d’Afrique sub-saharienne, notamment du Mali. Ville dynamique, marquée par des modes d’urbanisme contrasté, Bondy a ainsi toujours fait figure de terre d’accueil. C’est aujourd’hui de cette complexité urbaine et de cette mixité humaine que la ville tire sa richesse et entreprend un projet ambitieux de renouvellement urbain. C’est au tout début du 19e siècle, lors des derniers soubresauts de l’Empire Napoléonien, que Bondy va se retrouver sur le devant de la scène géopolitique européenne. En 1814, alors que Napoléon Ier rentre en France avec une armée battue, l’Europe entière coalisée contre l’Empire, est à ses trousses. 700 000 Russes, Prussiens, Autrichiens, Suédois, Bavarois, Wurtembergois, Hollandais, Allemands franchissent le Rhin et marchent sur Paris. Le 27 mars, le corps d’armée du général prussien Yorch vainc, dans la forêt de Bondy, les corps français. Temporairement occupé par les troupes russes, Bondy devient le quartier général de l’Empereur de Russie et du Roi de Prusse. La défaite française, lors de la Bataille de Paris, marque la fin des opérations militaires de la Campagne de France et conduit à la première abdication de Napoléon puis la Restauration des Bourbons. Le 10 avril, des détachements des six premières légions de la garde nationale de Paris se rendent à Bondy pour y recevoir Son Altesse Royale Monsieur, frère du roi Louis XVIII. En 1802, les travaux de percement du Canal de l’Ourcq, voulus par Napoléon 1er pour apporter l’eau à Paris, est un fait marquant de son urbanisme et va permettre à partir de 1821, date à laquelle s’achèvent les travaux, l’installation d’industries, notamment des scieries puis des centrales à béton, qui seront utiles plus tard pour construire des logements. En 1860-1870, l’arrivée du chemin de fer et de la ligne Paris-Strasbourg marque un tournant dans l’évolution démographique de la ville. Beaucoup d’Alsaciens et de Lorrains qui n’ont pas voulu devenir allemands et qui travaillaient en nombre pour les chemins de fer, s’installent dans le quartier près de la gare. Au nord de la ville, des paysans cultivent toujours leurs champs, notamment des maraîchers, tandis que l’urbanisme se développe vers l’ouest et le sud. En 1905, une partie de la ville devient Les Pavillons-sous-Bois. C’est à cette date que se déploie la zone pavillonnaire du sud de la ville avec des maisons en meulière, typique de la région parisienne.
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dostoyevsky-official · 7 months
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Dans le contexte européen d’une « vague » fasciste, et profondément hostiles à la Pologne, ces jeunes militants [de l'OUN] sont bientôt séduits par une idéologie qu’ils qualifient simplement de nationaliste, qui puise à des sources intellectuelles ukrainiennes tout en s’inspirant des expériences de l’Allemagne nazie (et de l’Italie fasciste), avec laquelle ils cherchent l’alliance. La fascisation de l’idéologie nationaliste est notamment explicite dans le « programme » de l’OUN adopté en août 1939, appelant à une « natiocratie », une société conçue sur un modèle corporatiste, rejetant le capitalisme comme le communisme, unie derrière un chef, militarisée, avec un parti unique, un contrôle étatique de la presse et de la culture, et incluant la discrimination systématique ou l’expulsion des minorités. [...] Que ce soit par la dénonciation de l’exploitation économique des Ukrainiens par les Juifs ou par la consolidation de l’image du « judéobolchévisme », l’OUN formule et diffuse activement un antisémitisme virulent à la fin des années trente, même si Himka souligne qu’il reste secondaire par rapport à la primauté idéologique accordée à l’hostilité contre les Polonais. [...] Allemands et nationalistes ukrainiens organisent ensemble des rafles et pogroms, au cours desquels les milices nationalistes jouent un rôle déterminant tout au long de la chaîne de violences – l’identification des victimes, les rafles, les brimades et humiliations, l’acheminement sur les lieux d’exécution – jusqu’aux massacres perpétrés par les Allemands. [...] Himka analyse précisément trois liens entre ces forces de police et l’OUN-UPA : d’une part, le grand nombre de membres des milices nationalistes qui rejoignent les polices de collaboration, encouragées par l’OUN ; d’autre part, la politique systématique d’infiltration des écoles et unités de police, y compris au-delà de la Galicie et Volhynie ; enfin, le recrutement massif de déserteurs de la police dans les rangs de l’UPA en 1943. Les nationalistes voyaient dans la police le noyau d’un futur État ukrainien et n’avaient pas d’objection idéologique à leur participation au génocide nazi des Juifs. Ils étaient particulièrement intéressés par les possibilités ainsi offertes de former et armer la jeunesse nationaliste aux dépens des occupants, quitte à baser leur nouvelle armée insurrectionnelle sur des hommes formés et socialisés avant tout au génocide. [...] Himka démontre que le tournant idéologique de l’été 1943 était un choix de circonstance, dicté par des impératifs tactiques et surtout, un discours purement d’affichage à destination des Britanniques et des Américains : l’OUN-UPA avait réalisé la nécessité de démocratiser son programme, si elle voulait compter sur l’appui occidental contre les Soviétiques, et de paraître renoncer à l’antisémitisme à cause du contrôle qu’exerçaient supposément les Juifs en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Le programme adopté par l’OUN-B en août 1943 n’était cependant pas à usage interne. Au contraire, le discours interne, qui passe par la propagande et par des ordres secrets, continue d’appeler à l’extermination de tous les « ennemis » de l’Ukraine, y compris les Juifs. [...] En 1943-1944, en Volhynie l’OUN-UPA a continué à tuer les Juifs survivants, en totale indépendance des politiques nazies ; ceux-ci pouvaient être ciblés parce que considérés comme alliés des Polonais que l’UPA traquait, en tant que membres d’unités de partisans soviétiques, mais aussi en tant que Juifs tout simplement, y compris en massacrant les Juifs réunis dans des camps de fortune en forêt.
Masha Cerovic, « John-Paul HIMKA, Ukrainian Nationalists and the Holocaust. OUN and UPA’s Participation in the Destruction of Ukrainian Jewry, 1941-1944 », Cahiers du monde russe, 63/3-4
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jloisse · 9 months
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Un mercenaire allemand raconte qu’en Ukraine certains commandants volent le salaire des soldats
L’Allemand Jonas Kratzenberg qui a combattu près d’un an dans les rangs de la Légion étrangère ukrainienne a révélé quelques détails sur la corruption au sein des forces armées du pays. La vidéo est datée de fin mai, mais nous ne pensons pas que la situation ait changé depuis.
L’homme de 25 ans a notamment révélé que de nombreux mercenaires de différents pays combattaient en Ukraine et qu'ils recevaient des primes supplémentaires par rapport aux salaires standards des soldats ukrainiens. Par ailleurs, les commandants des forces armées ukrainiennes se faisaient de l'argent en volant leurs paies.
Jonas a fait comprendre qu’il n’a pas non plus reçu tous les paiements. «En Allemagne, j’aurais gagné certainement plus d’argent», s'est-il plaint.
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aforcedelire · 5 months
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Les Grandes oubliées. Pourquoi l’Histoire a effacé les femmes, Titiou Lecocq
Première incursion pour moi dans les sciences-humaines, et DAMN !
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« Les femmes ont fait l'histoire, elles ont régné, elles ont gouverné, combattu, elles ont milité, écrit, crié parfois. Elles n'ont jamais été les spectatrices d'un monde que les hommes dirigeaient. Ça, c'est une fable historique. Même quand elles ont été exclues des sphères de pouvoir, elles ont continué à résister. C'est aussi cela, notre histoire commune. Et l'histoire des femmes, ce n'est pas que l'histoire des femmes. C'est également la vôtre, messieurs. Vous êtes, vous aussi, les descendants de ces femmes qu'on a oubliées et réduites au silence. »
Je sors de ma lecture des Grandes oubliées avec le cerveau en compote et un goût d’injustice. Je connaissais Titou Lecocq de nom, je défendais déjà ses ouvrages à la librairie et encore plus celui-ci, et j’ai enfin pris le temps de le lire. Je sais pas pourquoi, je pensais avoir compris qu’on allait nous parler des femmes oubliées, genre les inventeuses, les autrices, etc. (Désolée !) En fait, pas du tout, enfin, si, mais pas tellement. C’est l’histoire des femmes. Point.
Des femmes dans l’Histoire. Vous saviez que les femmes pendant la Préhistoire n’étaient pas enfermées dans les grottes avec l’éducation des marmots, mais qu’elles chassaient, cueillaient et peignaient aussi ? Et que tout le monde s’occupait des enfants ? Et que les femmes pendant l’Antiquité avaient (aussi) un rite de passage à l’âge adulte qui consistait à se déguiser en ourses, sacrifier une chèvre et courir nues ? Et qu’au Moyen Âge, les femmes régnaient, étaient autrices, enlumineuses, bardes, chevaleresses, bâtisseuses de cathédrales et j’en passe ? Et que la chasse aux sorcières du XVIe siècle vient des hommes du clergé qui… quoi d’ailleurs ? avaient peur des femmes ? Et que c’est sévère parti en cacahouètes avec les Lumières et Napoléon ?
Encore un autre exemple hyper parlant (pour moi), désolée l’extrait est un peu long :
« Il faut également parler d'Émilienne Moreau-Évrard. Sacrée femme, Émilienne. Elle est née en 1898 dans le Pas-de-Calais. Elle habite dans la ville de Loos, près de Lille, et veut être institutrice quand éclate la Première Guerre mondiale. Loos est occupée par les Allemands, et Émilienne décide d'organiser dans une cave une école clandestine pour les enfants. Elle a 17 ans. En septembre 1915, alors que les Écossais attaquent pour reprendre la ville, elle va à leur rencontre pour leur donner les positions des troupes allemandes. Puis, avec un médecin écossais, elle organise dans sa propre maison un poste de secours et y soigne les blessés de l'assaut. Ensuite, je cite sa fiche biographique sur le site de l'ordre du Mérite : ‘‘Pour sauver un soldat anglais pris sous la mitraille, elle n'hésite pas à sortir de chez elle, armée de grenades, et parvient, avec l'aide de quelques soldats anglais, à mettre hors d'état de nuire deux soldats alle-mands, embusqués dans une maison voisine. Un peu plus tard, alors que la maison est cernée, elle se saisit d'un révol ver et abat à travers la porte deux fantassins ennemis.’’ »
Comment diable est-ce qu’après avoir passé 15 ans de ma vie à vivre juste à côté de Loos je n’entends parler de cette femme que maintenant ?????
Bon, je m’arrête là avec les exemples, mais vous voyez le topo : Titiou Lecocq nous invite à nous pencher et à redécouvrir l’Histoire des femmes, et comment on les a invisibilisées, réduites au silence et oubliées. Le tout en s’appuyant sur des exemples concrets et des travaux d’historiennes et de quelques historiens. C’est hyper hyper intéressant, j’ai appris énormément de choses et mon cerveau a surchauffé. J’ai adoré. J’ai mis du temps à me pencher dessus, mais alors je ne regrette absolument pas ! J’avais aussi peur que, étant un ouvrage de sciences-humaines, ce soit incompréhensible et/ou compliqué à lire comme des articles universitaires, mais pas du tout ! C’est hyper fluide, très bien écrit, bien construit, et abordé presque comme une histoire. C’est un grand coup de cœur inattendu ! Et maintenant j’ai très envie de lire son dernier ouvrage Le couple et l’argent 👀
05/11/2023 - 11/11/2023
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whencyclopedfr · 8 months
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La Guerre dans l'Antiquité
Le mot "guerre" en anglais (war) vient du vieux mot haut-allemand Werran (confondre ou provoquer la confusion) par l'intermédiaire du vieil anglais Werre (qui signifie la même chose). Il s'agit d'un état de conflit armé ouvert et généralement déclaré entre des entités politiques telles que des États souverains ou entre des factions politiques ou sociales rivales à l'intérieur d'un même État.
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microcosme11 · 2 years
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Imagine all the soldiers shouting Vive l’Empereur
Un officier allemand wurtembergeois, qui servit dans la Grande Armée, n’hésite pas à exprimer dans ses mémoires la fascination que Napoléon exerçait même sur les soldats étrangers. Lors du passage du fleuve Niémen par son unité, le 23 juin 1812, il écrit : « Quelques jugements que l’on portât sur Napoléon, qu’on l’aimât sans réserve ou qu’on le haït, il n’y avait à coup sûr personne dans toute l’armée qui ne le tînt pour le plus grand capitaine de tous les temps, personne qui n’éprouvât une confiance illimitée dans son génie… L’éclat aveuglant de sa grandeur m’avait dominé moi aussi et m’avait bien vite amené à ressentir un enthousiasme respectueux que j’exprimais en joignant ma voix à celle de mes compagnons pour crier “Vive l’Empereur !” de toute la force de mon coeur et de mon gosier. »
A German officer from Württemberg, who served in the Grande Armée, does not hesitate to express in his memoirs the fascination that Napoleon even exercised on foreign soldiers. When crossing the Niemen River with his unit, on June 23, 1812, he wrote: “Whatever judgments that one had about Napoleon, whether we loved him unreservedly or hated him, there was certainly no one in the whole army who did not consider him the greatest captain of all time, no one who did not have unlimited confidence in his genius... The blinding brilliance of his greatness had overpowered me, too, and had quickly led me to feel a respectful enthusiasm which I expressed by joining my voice to that of my companions to shout "Long live the emperor!" with all the strength of my heart and my throat.”
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Rolf Steiner, né à Munich le 3 janvier 1933 et qui serait décédé à la fin des années 1970 en Afrique du Sud, est un soldat qui se veut missionnaire, naturalisé biafrais, d'origine allemande. Son père, mort en 1936, fut l'un des as de l'escadrille Richthofen. D'une famille protestante, il entre dans une école catholique à Eichstätt. À seize ans, il décide de devenir prêtre. Découvrant les plaisirs de la chair avec une novice de vingt-trois ans, il quitte le lycée, sa famille et l'Allemagne en passant par Offenbourg pour s'engager dans la Légion étrangère française. Il est envoyé en Indochine dans une unité de parachutistes. Il participe à l'opération Mandarin en 1951. En 1955 son unité parachutiste est envoyé en Algérie. Malade, il est évacué d'abord à Paris où les chirurgiens lui retirent un quart de poumon, puis il passe sa convalescence au sanatorium militaire de Grenoble. Réformé, il quitte la Légion. Lorsqu'il retourne à Alger, pour retrouver Odette, sa future femme, une jeune « Pied-noir » rencontrée à un bal de la Légion, il est mêlé aux évènements des barricades aux côtés de Lagaillarde, en janvier 1960. En 1961, il rejoint les rangs de l'OAS où il est responsable du secteur Hussein-Dey Hydra. Arrêté une première fois, il est relâché après trois jours de garde-à-vue. Le 5 mars 1962, alors qu'il vient de participer à la célèbre « nuit bleue » il est de nouveau arrêté en possession d’un pistolet-mitrailleur. Après neuf mois de prison préventive à La Santé, il est acquitté faute de preuves.
En 1967, il débarque à Paris pour récupérer de l'argent qu'on lui doit. Il fréquente un bar près de l'Etoile où se retrouvent les anciens, en quête d’un emploi de mercenaire. Contacté par des employeurs potentiels ibos, il demande conseil à son ancien patron Roger Faulques, qui, en 1961, avait fait partie de la première poignée d'« affreux » au Katanga. Faulques, pour le compte officieux de Jacques Foccart, monte une opération au Biafra pour encadrer la jeune armée biafraise et engage son ancien subordonné, qui embarque à Lisbonne à bord d'un des avions de Hank Wharton. L'avion atterrit à Port Harcourt, encore aux mains des Biafrais. Là, Steiner, que Faulques a nommé capitaine, est accueilli par le commandant Picot, qui représente Faulques au Biafra. Steiner et Picot se connaissent s'étant rencontré du temps où le commandant était chef d’une compagnie au 1er REP et dans la même cellule à la prison de la Santé. Le lendemain, Steiner traverse tout le Biafra en jeep. Il trouve à la plantation Dunlop une cinquantaine de Blancs, anciens du Congo en majorité. Au lieu d'encadrer les Noirs, ils ont tendance à rester ensemble. Il se rend ensuite sur le front Nord où se trouve le gros de l'armée biafraise face à l'offensive nigériane. Il visite un secteur où les half-tracks nigérians sèment la panique parmi les rangs biafrais, qui se débandent. Steiner se transforme aussitôt en soldat. Il arrête une quarantaine de fuyards, puis empoignant un FM, les entraîne à l'assaut. Les Nigérians se replient. C'est la première victoire de Steiner au Biafra et le début d’une nouvelle aventure, donnant un sens nouveau à sa vie. Devant l’amateurisme des Biafrais, il décide, non sans mal, de créer des commandos. Le 23 janvier 1968, les hommes de Faulques quittent le Biafra. Steiner reste.
Le président Ojukwu le nomme major et lui accorde la nationalité biafraise. Mobilisant plus de 1 000 recrues, il forme le 32e bataillon de commandos. Ojukwu le nomme alors colonel et le charge de former une brigade de commandos de 5 000 hommes. Le 25 mai, il réussit un coup de commando et détruit 4 Iliouchine et les deux Mig soviétique à Enugu, en territoire nigérian. À l'automne 1968, la situation au Biafra est plus critique que jamais. Les services spéciaux français se détachent de l’affaire du Biafra et font pression sur lui pour influencer le président. Il refuse et donne sa démission à Ojukwu qui la refuse dans un premier temps puis accepte. Pour une altercation avec un garde, il est expulsé de la province sécessionniste. Il est alors approché par des soudanais pour entraîner les rebelles anyanyas du sud Soudan. Il est accueilli par le général Taffeng, chef de la rébellion depuis 1958 dans un camp de réfugiés où s'entassent quelques milliers de personnes. De retour en Europe, il fait une tournée de conférences afin de sensibiliser l'opinion au drame du Sud Soudan. Son pourvoyeur de fonds présumé lui fait défaut. Dès lors, il se retrouve seul, mais persévère.
En septembre 1969, il trouve des fonds et achète une tonne de médicaments, un groupe électrogène, des outils, une pompe hydraulique, une couveuse à poussins et cent kilos de graines de tomates. Il veut en effet créer une ferme expérimentale et un réseau de distribution de vivres. Il retourne donc pour le Sud Soudan et construit une première ferme expérimentale : Fort-Amory et un petit hôpital de brousse. Dès janvier 1970, la réalité de la guerre se rappelle à lui. La découverte d’un charnier l’amène à former un commando à 4 compagnies. En juillet, il monte un raid de nuit pour libérer deux cents femmes retenues prisonnières à Kajo Kajé. La seule opération militaire que l'on puisse lui imputer pendant son séjour au Sud Soudan réussit. Le 4 octobre 1970, il quitte le pays et regagne Kampala. Sollicité mais refusant de participer à l’élimination d’Idi Amin Dada, il est arrêté en Ouganda et livré aux autorités de Khartoum le 8 janv. 1971. Il est emprisonné et torturé par les Soudanais, il passera plusieurs années d'incarcération dans la terrible prison de Kober Jail avant d'être expulsé en 1974, grâce à l’intervention des autorités ouest-allemandes, Steiner passe trois ans et demi en prison. Il publie sa biographie, Le carré rouge (The last adventurer) en 1976. En 1976 le journaliste allemand Dr. Dietrich Strothmann a fait un reportage de Rolf Steiner (qui était en bonne santé) à Münster (Allemagne) vivant avec sa nouvelle femme et son petit-fils Oliver dans leur maison.
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claudehenrion · 2 years
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La chienlit ou... pire ?
  On a beau avoir envie de ne pas trop ''coller'' à l'actualité, il arrive un moment où il devient difficile de ''se défiler" : si l'on écoute bien ce que disent les gens chez la boulangère ou dans les queues immenses des stations-service, et si on va au delà des mensonges de nos hommes politiques et  de nos plumitifs si prompts à dire n'importe quoi, il est évident que nous vivons une sorte de ''tournant de l'Histoire'' après lequel ''plus rien, sans doute, ne sera comme avant''...  Tous les éléments semblent réunis pour qu'on se réveille bientôt avec une gueule de bois ''XXL'' !
On a beau fermer tout grands les yeux : il n'y a pas une seule catégorie sociale qui, en France, soit satisfaite de son sort... et chacun de brandir les motifs de son mécontentement, en paraissant sûr du bien fondé de ses récriminations, malgré la variété des situations. Policiers, magistrats, soignants, enseignants, pompiers, artisans, ouvriers, retraités, fonctionnaires,  éboueurs... il ne reste guère que les vendeurs de vélos électriques, les marins au long cours (absents, par définition !) et les Chevaliers du Tastevin qui n'égrainent pas leur rancœur et leur ras-le-bol (encore que, pour cette dernière catégorie, je ne suis pas aussi certain que j'en ai l'air...). Et aussi, bien sûr, les prébendiers du macronisme, qui auraient tout à perdre dans une remise à plat de ce qui cloche dans le pays...(NB : en ce qui concerne cette catégorie-là --petite en nombre et grande en pouvoir de nuisance--, je n'ai aucun doute : ils sont prêts à tout, pour que le bordel général continue !).
Devant un mal-être en voie de généralisation tous azimuts, osons poser la question : ''A quoi est due cette crise existentielle ?'' –qui, en plus, a l’air de vouloir durer ''un certain temps'', et engloutir peu à peu tous les secteurs de la société... Eh ! bien, de manière qui va paraître surprenante à certains, elle est due avant tout à la décision criminelle qu'ont prise nos hommes politiques d'écouter le chant mortel des sirènes écologistes qui de Charybde à Scylla, sèment le mal pour que nous récoltions la tempête. De manière moins décisive, elle doit beaucoup à l'actuelle guerre en Ukraine –ce qui revient à redire (bis) : ''à la décision criminelle qu'ont prise nos hommes politiques d'écouter le chant mortel des sirènes’’ démocrates américaines, dont l’inculture transperce les décennies et déconstruit les siècles...
L'intervention mortifère des écologistes dans la logique gouvernementale, d'abord. De Gaulle avait ''compris demain'' et avait, en conséquence, armé la France d'un bouclier énergétique à la hauteur du monde qu'il voyait venir... et des besoins d'énergie (à l'époque difficilement prévisibles, mais déjà en filigrane) : notre formidable réseau de centrales nucléaires, qui nous ouvrait un futur plutôt plus heureux que tous les autres pays. Sous l'influence pernicieuse des dangereux ''Grünen'' allemands (''Atomkraft ? Nein, Danke !''), nos lamentables ''zécolos'', bien plus intéressés par la destruction de notre civilisation que par le sauvetage de la planète –qui n'est pour eux qu'un gadget de comm' destiné à leurrer le gogo-- ont convaincu (en un ou deux mots !) les dirigeants archi-nuls dont nous nous sommes dotés, élection après élection, d'écouter leurs contre arguments pernicieux. Nous payons cher la réélection de Macron, qui, après avoir tout fait pour être réélu... ne sait que faire de ce ''rab'' de pouvoir qu’il gaspille et qui se perd dans le ''rien''.
Vous rendez-vous compte du mal que Nicolas Hulot, le faux illuminé / vrai essoufflé de Ushuaïa, un temps l'homme le plus populaire de France d'après un sondage truqué, a causé à notre pays ? On lui doit tout, à celui-là : le projet de fermeture des centrales, le plan ''50% d'énergie renouvelable'', la chute vertigineuse des budgets d'entretien de nos 19 centrales et de leurs 58 réacteurs, la perte d'un ''corps'' de spécialistes que le monde nous enviait... et par voie de conséquence, la ''mise à poil'' complète d'EDF, et l'état déplorable où se retrouve aujourd'hui cet ex-fleuron, qui ne peut plus faire face aux besoins du pays... Rappelons que les contrôles et la maintenance préventive ont conduit ce même EDF à prolonger l’arrêt des réacteurs de Civaux 1, Civaux 2, Chooz 1, Chooz 2 et Penly 1 etc etc...  On lui doit aussi l'enlaidissement irrattrapable de toutes nos ex-belles campagnes où s'est déployé son génie malfaisant : foutre en l'air, et pour longtemps, tous nos paysages... pour produire moins de 1,6% d'électricité dite ''éolienne''. Il y a de quoi en pleurer...
On aurait pu admettre cette écologie ‘’que punitive’’ si nos privations avaient eu la plus petite utilité... Mais on sait maintenant que si toute activité humaine s'arrêtait en France en un instant, ce ''manque'' ne serait même pas perceptible à l'échelle terrestre, notre nuisance totale étant inférieure à 0,9 % de ce que consomment ou fabriquent ''tous les autres'' ! Autrement dit : tous les efforts qu'on nous impose ''quoi qu'il en coûte'' et à grande souffrance (je pense aux milliards dépensés pour nous interdire la voiture... qui est plébiscitée sans limite à chaque fois que le peuple peut s'exprimer sans contrainte et dire ce qu'il a sur le cœur –dans ce cas : ''gros sur la patate'' !)... ne sont d'aucune utilité, et tout l'argent dépensé sur ce chapitre serait mieux utilisé ailleurs, pour un résultat écologique plus substantiel, une preuve supplémentaire de ce grand décalage entre slogans et vérité étant fourni aujourd'hui même : la Nupes, jamais en retard d'une bataille –ou deux !-- trouve qu'il faut faire plus... sur ce non-sujet totalement dépassé et démodé.
De manière étrange, le même échec prévisible se concrétise à propos de la crise générale et illimitée que nous avons fabriquée autour de la guerre russo-ukrainienne : nos Nuls au Pouvoir, sans expérience ni jugeote, ont choisi le ''blocus'' et l'humiliation comme armes pour faire céder Poutine : les deux seules vouées à l'échec ! Un minimum de culture leur aurait permis de savoir que aucun blocus, jamais, nulle part, n'est arrivé aux objectifs qui l'avaient ''justifié'' (sic !). Que croyez-vous ? Pan ! Rebelote ! Et nos benêts persistent, contre vents et marées : ils sont prêts à affronter une guerre nucléaire... dont ''l'autre'' sera seul responsable, disent-ils.... mais nous, tous morts ! (NDLR : une fois que je serai vitrifié, ça me fera belle jambe de savoir que ce qui restera de la communauté internationale Mad Max --dont, bien sûr, pas un seul européen, pas un seul occidental... et une poignée d'hommes blancs, en Nouvelle Zélande-- aura dit que Poutine était responsable !)
Il est évident que les seuls chemins qui restent ouverts si on veut s'en sortir sans trop de casse, c'est l'abandon de toutes les effroyables raisons qui continuent, ''quoi qu'il en coûte'' à fabriquer des gouffres infinis entre les populations et ceux qui persistent à se dire ''leurs représentants'' alors que, à la seconde-même où ils sont élus, ils deviennent les défenseurs de causes idiotes dont personne (ou presque) ne veut, et mauvaises pour l'humanité qui est malheureuse par leur faute, comme nous le vérifions 50 fois par jour !
Mais que croyez-vous qu'il va se passer ? ''Ils'' (Macron et ses ultimes soutiens) vont continuer à nous emmerder avec leurs dadas anti-bagnole, leur vitesse à epsilon km/h, leur manque total de prévision et de ''vista'', leurs analyses à l'opposé du réel, et leur incompréhension encyclopédique de ce qui va arriver... Et Macron, bien décidé à ne rien changer à sa pauvre prestation, va nous confirmer (en deux mots, dans ce cas !) que l'auto est et sera un péché, le chauffage une ignominie, les soins une marotte, les vaccins inutiles (mais s'ajoutant les uns aux autres, 4, 5, 6, toujours sans gêner en rien la transmission ou la contagion –comme c'est le cas depuis 2 ans...) un mieux être pour les ''Big Pharma''...  et le ''plan éoliennes'' un moindre mal... alors qu'il est de toute première urgence de l'abandonner en totalité, et d'oublier le plan ''50% de ‘’réutilisable’’ avant 2035'', cette imbécillité ''XXL'' !
Et pendant ce temps, chaque jour que le bon Dieu fait, des villes charmantes, où il faisait bon vivre jusqu'à Macron, basculent dans une vraie violence, islamo-portée : Douai, Lens, Agde, Arras, Maubeuge, Montbéliard, Auxerre ou Angoulême se retrouvent au coude à coude avec Avignon, la Courneuve, Bobigny et tout le Neuf-trois, pour ''les coups et blessures volontaires hors du cadre familial'' recensés par la police et la gendarmerie. Et tous nos commentateurs officiels (''donc’’ (?) nuls, menteurs et ''hors sol'') s'étonnent du ras-le-bol qui grandit. Jusqu'à quand ? De grâce, messieurs les faux tout puissants/vrais nuls, sortez de vos grilles de lecture périmées (qui, ayant leur inspiration à gauche, ont toujours été des horreurs ne correspondant à rien de ce qu'il aurait fallu...). Je vous en supplie : faites montre d'un peu de courage ! Demain, après demain, le jour d'après... il sera trop tard ! Ouvrez les yeux : c'est l'horreur autour de vous, et vous regardez ailleurs !
H-Cl.
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carbone14 · 6 months
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Mitrailleuse MG 34 du 141st Gebirgsjäger Regiment de la 6e Division de montagne – Guerre de continuation – Péninsule de Kola – Union soviétique – Avril 1942
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aurevoirmonty · 2 months
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La France, la Russie et les traîtres (suite2)
C’est là un concept foireux. Aux Amériques, par exemple, les Anglais s’étaient alliés avec les Cherokees : trahison civilisationnelle. Les Français s’étaient alliés avec les Sioux : trahison civilisationnelle. En 1914, les Allemands se sont alliés aux Ottomans : trahison civilisationnelle. En 1895, les Anglais arment les Ethiopiens contre les Italiens : trahison civilisationnelle. Les Américains avaient des Noirs dans leur armée en 1944 : trahison civilisationnelle. Pour faire échec aux ambitions de Charles-Quint, François Ier s’était allié au Grand Turc : trahison civilisationnelle. Les Russes acceptent que des tchétchènes se battent à leurs côtés : trahison civilisationnelle. Les Ukrainiens acceptent des jihadistes dans leurs rangs pour cartonner des Russes : trahison civilisationnelle. En réalité, il n’y pas de " trahison civilisationnelle". Dès lors que l’ennemi principal est défini, un État noue des alliances pour tenter d’anéantir la menace. Cela s’appelle la diplomatie ; tout simplement. Un nationaliste français qui soutient aujourd’hui l’Ukraine de Zelensky pour défendre une "petite nation injustement attaquée" obéit très exactement au même réflexe que ces patriotes français qui en 1939 étaient prêts à aller en découdre avec les Boches pour sauver la Pologne, et l’année suivante pour sauver la république française qui était pourtant déjà bien vermoulue. Une partie d’entre eux est ensuite allée à Londres rejoindre le général de Gaulle. C’est le réflexe de la « petite patrie », qui nourrit les querelles et les haines entre Européens et qui nous a fait tant de mal. Quatre-vingt années après la victoire des alliés de mai 1945, on voit le résultat. Dans l’entre-deux guerres, les nationalistes français avaient déjà parfaitement conscience de la dégénérescence raciale imposée par le régime républicain : Drieu La Rochelle, Brasillach, Céline, Pierre-Antoine Cousteau, Henri Béraud, Lucien Rebatet et quelques autres s’étaient élevés contre cet envahissement des étrangers encouragé par le régime. Il s’agissait à l’époque des juifs, des Italiens, des Arméniens, des Noirs, des Algériens et des Annamites. C’était le début de la grande invasion que nous connaissons. Les intellectuels français avaient fait leur travail en nous mettant en garde contre ce qui se préparait. Les forces en présence aujourd’hui sont exactement les mêmes qu’en 1940. Les projets sont les mêmes. C’est une guerre à mort qui ne peut se solder que par l’anéantissement d’un des deux camps. Et il ne faut pas se tromper de camp. Hervé Ryssen
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J17 • Strande – Kiel • 18,4 km
Courte étape jusqu’à Kiel. Ça tombe bien car qu’il fait chaud ! Heureusement, le parcours est à l’ombre des bois jusqu’au canal de Kiel (il relie la Baltique à la mer du Nord) que nous franchissons dans un petit bac pour vélos et piétons. Ce qui frappe d’emblée en arrivant dans la ville, c’est la largeur des rues, l’espacement des bâtiments et la présence d’espaces verts. Il faut dire que la ville avait un peu souffert lors de la dernière guerre. J’avais choisi notre hôtel car il était dans la vieille ville (Altstadt), aux pieds de Saint Nikolai, la plus vieille église de Kiel et de la place du Vieux Marché. Mais pour le romantisme, il faudra repasser ! Tout ici a été reconstruit après la guerre, pas vraiment à l’identique, et si nous sommes bien au pied de Saint Nikolai, notre rue héberge aussi des salles de jeux et des Eros Centers.
Pour en revenir à notre confiture, étiquetée « Deutscher Herbst », soit « Automne Allemand », j’avais un peu tiqué car c’était le nom donné à la période trouble que connut l’Allemagne (de l’ouest) à l’automne 1977 avec les attentats de la Faction Armée Rouge (la Bande à Baader). Et Sarah devait avoir une vingtaine d’années à l’époque… Hum… Et en poursuivant mes recherches sur Internet, j’ai découvert que… « Herbstmarmelade » était une confiture pomme, orange, potimarron (avec une goutte de rhum). Conclusion : notre originale Sarah a le sens de l’humour et nous, nous allons nous régaler
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dixvinsblog · 15 days
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Histoire et civilisation : La bataille de Königsberg (6-9 avril 1945) par Carmen Montet
Comment des officiers allemands ont désobéi aux ordres de Hitler et se sont rendus aux soviétiques . C’est une opération de guerre stratégique qui oppose les forces armées soviétiques aux forces armées allemandes à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le but d’éliminer les poches de résistance allemandes dans la ville et de s’emparer de la citadelle de Königsberg en Prusse-Orientale. La…
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jloisse · 10 months
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Au total, lors de l'échec de l'attaque en direction de Zaporozhye, les forces armées ukrainiennes ont perdu au moins:
▪️ 5 chars allemands Leopard 2A6 et 2A4 (2 détruits, 1 touché et, 3 abandonnés)
▪️ 6 véhicules de combat d'infanterie américains M2A2 Bradley ODS-SA (tous abattus et abandonnés)
▪️ 3 MRAP M1224 MaxxPro américains (tous touchés et abandonnés)
▪️ 1 véhicule blindé de transport de troupes néerlandais YPR-765 (touché et abandonné)
▪️ 1 T-72M1 tchèque (détruit)
▪️1 véhicule de déminage BRM-2 (touché et abandonné)
▪️ 1 voiture blindée VAB française (touchée et abandonnée).
▪️plusieurs camions incendiés
Pour la première fois, des chars Leopard 2 et des véhicules de combat d'infanterie M2A2 Bradley ont été détruits.
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