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#école normale d'institutrices
philoursmars · 1 year
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Nouveau retour à mon projet de présenter la plupart de mes 55500 photos (et des brouettes).  Plus trop loin du présent….  
2016. Douai à l’arrivée prochaine de l’été...
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haitilegends · 5 years
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CONSEILS D'ODETTE ROY FOMBRUN AUX HAÏTIENS
🎥 "Odette Roy Fombrun /Mesaj A la Nation / YouTube
https://youtu.be/JjJkq0p0gg4
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*Biographie
<< Odette Roy Fombrun | Île en île
Haïtienne, née à Port-au-Prince le 13 juin 1917, Odette Roy Fombrun est diplômée de l’École Normale d’Institutrices (1935). Elle a suivi des cours au Nursery Training School de Boston (1945). Elle fonde la première école préscolaire haïtienne en 1946. Durant son séjour à Cuba (1953), elle suit des cours d’arrangements floraux, et ouvre à son retour au pays le premier shop de fleurs : Tabou, fleurs et parfums. Puis, elle retourne à ses amours : l’éducation. Elle publie des études sur l’Éducation, sur l’Histoire, de très nombreux livres scolaires, des contes et – après avoir suivi des cours offerts par l’Institut français d’Haïti en 1999 – des romans policiers.
Membre de la Société haïtienne d’Histoire et de Géographie, elle publie des études dans leur revue et des travaux ayant trait à l’histoire dont : Le drapeau et les Armes de la République, L’Ayiti des Indiens, et un Résumé de Description >>…LIRE LA SUITE
Odette Roy Fombrun | Île en île
http://ile-en-ile.org/fombrun/
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Biography :
"Odette Roy Fombrun (born 13 June 1917, Port-au-Prince) is a Haitian writer and intellectual.
Born in Port-au-Prince, Haiti, she graduated in 1935 from the teachers training college, Ecole Normale d'Institutrices, and in 1945 went to the United States to pursue nursing studies for a year in Boston, Massachusetts.
She then opened Haiti's first kindergarten and first professional flower shop.
A prolific writer of fiction and non-fiction, she has published textbooks, mystery novels, newspaper and magazine articles. Beginning in 1959, Fobrum went into exile for 27 years. Upon her return to Haiti, she was associated with the drafting of the country's new constitution, the organization Ligue Feminine d'Action Sociale (Feminine League for Social Action), and the founding in 2007 of the Fondation Odette Roy Fombrun. She turned 102 years of age on June 2019 .
Her historical works include L'Ayiti des Indiens (Port-au-Prince: Deschamps, 1992) and Le Drapeau et les Armes de la République (Port-au-Prince: Deschamps, 1989)." Wikipedia
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By Cynthia Verna
#Repost @chefthia (Instagram)
MY AUNT❤💙❤ Odette Roy Fombrun was born in Port-au-Prince, Haiti on 13 June 1917. She is a prolific author whose many books and articles are devoted to the twin objectives of education and development for Haiti. Mrs. Fombrun has received a variety of prizes and awards over the years. In 2009, she was named a "Living National Treasure" by the Fondation Françoise Canez Auguste and Image et Marketing S.A. Also in 2009, the DEFI Foundation named her a "Woman of Merit", and the mouvement 'Aimer Between 1959 and 1984, Mrs. Fombrun spent her time in the United States and in Africa, traveling extensively with her husband on behalf of UNICEF. At the end of the Duvalier regime in 1986, she returned to Haiti to take up the cause of democratic reform. At a conference in Washington D.C. in September 1986, she made a presentation that asked: "Is Democracy Possible in Haiti?" Many of her ideas and recommendations were subsequently incorporated into Haiti's Constitution 1987. In March 1986, Mrs. Fombrun published her treatise on 'Konbitism' - a political manifesto based on Haiti's indigenous custom of 'shared activity and collaboration', akin to the long-standing kibbutz tradition of Israel in farming and construction. In her book 'Solutions pour Haiti, Konbit Solidarité Nationale', she writes about the need for a national plan to address poverty through wealth creation. A Citizen of the World since 1981, Mrs. Fombrun vigorously defends human rights and argues forcefully against overt aggression, trade embargos, and blatant dominance by 1st world economies.
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Fondation Odette Roy Fombrun – Ann fè konbit pou Ayiti vanse !
https://forfhaiti.org/
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🎥 "Interview avec Madame Odette Roy Fombrun sur les émeutes 6 et 7 juillet 2018
https://youtu.be/HJEIlI3uG-Q
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#AbeBooks
https://www.abebooks.com/book-search/author/fombrun-odette-roy/
Amazon.com: Contes d'Haiti (9782091615004): Odette Roy Fombrun, C. Vicini: Books
https://www.amazon.com/Contes-dHaiti-Odette-Roy-Fombrun/dp/2091615005
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History of the Haitian Flag of Independence - The Flag Heritage Foundation
http://www.flagheritagefoundation.org/fhf-publications/history-of-the-haitian-flag-of-independence/
Odette Roy Fombrun, Rename the Island: Quisqueya, not Hispaniola | Île en île
http://ile-en-ile.org/odette-roy-fombrun-rename-the-island-quisqueya-not-hispaniola/
HAITI⭐LEGENDS
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#Interview #Video #ChefThia
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marlenecollineau · 5 years
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Il était une fois, l’université du Comte Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon
Ces derniers jours, on cause Ices et homophobie... Et si on parlait Ices, deniers publics et politique ?
Il suffit de relire les interviews de Phillipe de Villiers dans Ouest-France pour comprendre ce qui se cache derrière les portes de l’ICES : « le cardinal Joseph Ratzinger, futur Benoît XVI, a toujours été un fervent partisan de l'Ices. À l'époque [de la création de l’école], il ne comprenait pas la timidité des catholiques vendéens » ; « une université moderne doit être située au cœur de la ville. Doit respirer avec la ville. Le seul terrain dont disposait le Département à l'époque était le site désaffecté de l'École normale d'institutrices. » ; « la dépense d'investissement pour la création de cette université était relativement importante et pesait sur le budget du département » ; « Aujourd'hui, l'Ices n'est pas une institution aseptisée qui forme des esprits passés au micro-ondes. Tant qu'il gardera son ancrage culturel et spirituel, l'Ices prospérera. »*
Résumons : un élu de droite-extrême devient président du Département de la Vendée. Il veut une université vendéenne, au service de ses idées. Il est catholique. L’Église catholique le soutient. Il crée, avec de l’argent public, une université privée.
Le reste n’est que discussion inutile. Oui, certainement qu’il y a des gens bien à l’Ices. Oui, quand on a grandi en Vendée, on a nécessairement un·e ami·e sympa, passé·e par l’Ices. Oui, le secteur maths n’est pas touché du même révisionnisme que le secteur histoire. Et oui, on peut être catho et pas facho.
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Le problème c’est la construction même de l’établissement, son essence. Le problème, ce sont les recettes de sa réussite, son entre-soi, le recrutement d’enseignant·e·s tantôt catholiques fervents, tantôt légitimistes (oui, il en reste !), réactionnaires.
Le problème, c’est la création du secteur science-po, qui forme à quoi exactement ? Pour les femmes, on a compris, il forme à la discussion de salon. Les femmes de l’Ices seront bonnes à marier après une Licence rondement menée.
Le problème, ce sont ces diplômes, dont on ne sait pas grand-chose, si ce n’est qu’ils sont reconnus dans le cadre d’accords entre États. Ainsi, à l’Ices, on est diplômé d’un Master Université Jean-Paul II de Pologne ou d’une Licence Université Vatican.
Le problème, c’est cette insidieuse manière de penser que cette école est le prolongement de l’enseignement privé dans le secondaire, quand la majorité des jeunes vendéen·ne·s continuent à être scolarisée dans le privé.
Le problème, c’est la subvention de fonctionnement que verse, annuellement, le Département de la Vendée à une école qui dispense pas moins de sept options de théologie, semblant davantage tournée vers la préparation au grand séminaire qu’aux concours de la fonction publique.
Le problème, ce sont les propos des enseignant·e·s, relayés depuis toujours : défense de La famille, du Christ, du Roi. Genre, l’inverse de ce que devrait être une université : défense des savoirs, de la discussion, du progrès.
Le problème, ce sont les attitudes virilistes, misogynes, homophobes qui en découlent. Ce sont les propos intimidants, racistes. Ce sont ses souvenirs que mes ami·e·s me racontèrent : être suivi une journée durant dans l’établissement, le jour des élections étudiantes, sous les yeux de l’administration, par une armada de gros bras qui moleste gentiment, qui inquiète ; organiser une conférence contre le racisme sur le site de la Court’ (la fac publique) et, au moment où l’enseignante (d’obédience communiste) prend la parole, voir les mécheux du fond de la salle brandir Le petit livre noir du communisme en hurlant « Combien de morts ? » ; ne pas se rendre au bal de fin d’année de l’établissement quand on est une jeune femme car l’année précédente, les trouble-fêtes s’étaient livrés à un combat grotesque, gobant des poissons rouges dans un aquarium.
Le problème, c’est cette fac, qui caricature la Vendée. Rejoignant le Puy du Fou ou Radio Alouette. C’est cette image que Villiers a souhaitée définitivement coller sur un territoire qui vaut tellement mieux. C’est cette manière d’enfermer les Vendéen·ne·s dans un carcan, les enjoignant à être conservateurs·rices. Et cette manière d’attirer à soi des femmes et des hommes qui rejoignent la Vendée justement pour entretenir ce conservatisme, cette homogénéité. Une Vendée catholique, blanche, docile.
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*Rappelons que ce Monsieur a été secrétaire d’État à la Culture, sous Jacques Chirac, c’est-à-dire bien après la loi de 1905.
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manieresdedire · 6 years
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Une femme ordinaire ?
Née dans une grande ville au sein d'une famille tôt installée à la campagne, elle a vite pris le goût des marches en forêts, des courses folles dans les champs, des jeux dans les rivières, pour la compagnie des animaux.
Adolescente, elle a vécu la maladie puis le décès de son père et la dépression concomitante de sa mère. Aînée, elle s'est retrouvée à l'avant-poste pour que la famille continue, que sa toute jeune sœur et ses deux frères restent sur de bons rails.
Bonne élève, sans se forcer, elle a mené de front des études d'Histoire et de Droit. Puis a longtemps hésité : juge pour enfants ou enseignante pour très jeunes gens ?
Elle a choisi de prolonger sa formation initiale au sein d'une École Normale puis, logiquement, d'embrasser le métier d'institutrice.
Au fil des ans, son choix s'est raffermi. Elle s'est prise de passion pour la pédagogie - théorie et pratique - a investi le champ de l'aide aux enfants en difficultés puis ceux présentant un handicap. Elle ne manque jamais les occasions de débattre de ces sujets, les provoquant même.
Amorçant la cinquantaine, elle a voulu entreprendre des études de 3ème cycle pour approfondir ses expertises et se tenir à jour des avancées académiques et pratiques. Ses deux mémoires de recherche  auraient pu, s'ils avaient été publiés, constituer des références.
Il lui faut moins de trente secondes pour "apprivoiser" les petits enfants turbulents ou en colère, lesquels, au bout d'une minute à peine, n'exigent plus que sa compagnie pour jouer encore et discuter de tout.
Dans l’enseignement, elle a noué de solides amitiés en Île de France. Elle a assisté, sans larme, au départ de quelques très proches pour la Bretagne, l'Isère, le Tarn et Garonne, l’Hérault, ce qui lui a ouvert des opportunités de faire le tour de France.
Elle prête souvent à ses amis son petit appartement, une acquisition de pure folie, nichée en bordure d'un golfe, somptueuse échancrure dans un territoire fascinant qui mêle montagne et plages, soleil et neige, châtaignes et clémentines, dont elle est tombée amoureuse et qui concrétise le seul rêve dont la réalisation passait par l'emprunt de quelque argent.
Sa vie se déroule sans temps mort, elle recèle une énergie époustouflante.
Elle pratique le yoga, la tapisserie d'ameublement, la randonnée entre amis, le chant en chorale, le piano raisonnablement, la fréquentation des salles de théâtre et de cinéma, le jardinage dont la culture des rosiers, la gymnastique tonique de manière plus soutenue, mais déraisonnablement la lecture romanesque et l'échange téléphonique avec ses amis.
L'été, elle organise des sessions de barbecue en recevant sa bande de "copains" dans la grande maison familiale en présence de sa mère âgée, un peu dépassée par les bruits et les mouvements, mais heureuse d'y croiser la vie.
Le soir tard et les samedis et dimanches, elle travaille encore sur des dossiers d'enfants. Il n'y a que les vacances (une partie) pour la délivrer du devoir de tout faire pour hâter les bonnes prises en charge.
Elle se réveille la nuit pour lire et s'en va travailler le matin vite requinquée.
Elle accompagne sa mère dans les établissements ou cabinets de soins que son état de santé rend nécessaires, planifie ou fait subitement face aux périls qui menacent la très vieille maison de famille qui n'a pas été entretenue à temps.
Toujours sur la brèche. Il lui reste une petite place pour l’amour. Inévitable.
Son avis au vitriol sur la politique : trop de menteurs inintéressants prenant les électeurs pour des crétins. Mais elle est attachée à la démocratie et au droit de vote. Son point de vue sans appel sur le sport professionnel : aucun intérêt, trop d'argent, trop d'ego, trop de rien, ce qui vaut aussi pour la politique. Sur les arts : absolument nécessaires. Sur l’École française : à côté de la plaque.
Elle écrit joliment : ses phrases bien tournées sont claires, précises, esthétiques. Son humour est mordant. Que quiconque abhorrant la "défaite" n'engage jamais de "batailles" de bons mots avec elle ni ne tente de mesurer son éloquence à la sienne au cours d'une joute dont l'enjeu serait de provoquer, de choquer une assistance dépassée !
Attentive aux autres, elle écoute et réconforte. Fait des cadeaux, aide financièrement des proches dans le besoin, ne compte pas, ne réclame rien en retour, oublie même qu’elle a aidé.
Ses neveux sans père trouvent avec leur tante, un soutien, un réconfort, un jalon, une boussole. Elle n'oublie jamais ce frère disparu, le plus jeune.
Elle surprend parfois en disant… la vérité. Interrogée sur un sujet, elle peut répondre, sans fard, sans prendre garde qu'elle partage cette vérité avec une personne qui préférerait ne pas la divulguer. Elle ne s'encombre pas de vérifier les adhésions à son élan. Elle ne se livre pas, mais parle, sans artifice ni calcul. Personne n'est parfait. Elle le sait.
Elle a livré des batailles. Gamine, épaulée par son frère cadet, elle a défendu une noble cause à connotation écologique non unanime. Féministe, persuadée qu'être libre, c'est d'abord construire son indépendance financière et dire les choses, les nouvelles révoltes ne l'étonnent pas, elle estime que les processus mûrissent, mais qu'il faut les brusquer et que ça prend du temps, trop. Elle s'indigne avec force devant le bâillonnement des femmes, le machisme, la bêtise et la violence.
Elle, a toujours su se protéger.
Yves Rebouillat
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