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elisadinca · 4 years
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Starry Night de Gianfranco Iannuzzi - Renato Gatto - Massimiliano Siccardi
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Starry Night et une exposition numérique de l'Atelier des Lumières à Paris qui plonge le visiteur dans les tableaux de Vincent van Gogh (1853-1890). Une production visuelle et musicale qui retrace la vie de cet artiste tourmenté.
C’est une balade animée dans l’antre des peintures du maître. Un voyage contemplatif, naviguant entre les différentes palettes colorées de l’artiste. Tantôt sombres, tantôt lumineuses, variant selon les périodes de sa vie. Une nouvelle façon d’apprécier les chefs-d’oeuvre des grands peintres. Une innovation qui permet de faire revivre des tableaux qui ont déjà été vus pour la plupart et par le plus grand nombre. 
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À la suite d’une exposition ou d’un musée, nous considérons souvent cette visite comme un acquis, rare sont les fois où nous décidons de retourner voir ces oeuvres. Starry Night inaugure une nouvelle et belle façon de contempler une seconde fois ces tableaux pour certains ou d’une façon plus contemporaine pour ceux qui les découvriraient. 
Ce genre d’installation permet à la peinture d’avoir encore un bel avenir devant elle. Une manière de renouveler ce qu’on connaît déjà et de rendre hommage au talent de ces artistes du passé.
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elisadinca · 4 years
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“A Scanner Darkly” de Richard Linklater
A Scanner Darkly est un film sorti en 2006 et réalisé par Richard Linklater, c'est l'adaptation cinématographique du roman « Substance Mort » de Philip K. Dick.
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J’ai choisi ce film car je suis une grande admiratrice des livres de Philipe K.Dick tel que Ubik ou Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?  adapté au cinéma sous le nom de Blade Runner par Ridley Scott. C’est un auteur de science-fiction qui traite essentiellement de thématiques futuristes et abordent des questionnements sur la technologie.
Ce film, avant d’être tiré d’un livre, évoque des thématiques actuelles, mélangées à celles des technologies mais il a surtout été créé à l’aide d’un procédé nommé la rotoscopie. Cela consiste à se servir d’images filmées en prise de vue réelle pour donner à l’image d’animation un dynamisme proche de la réalité. Il est souvent utilisé dans les dessins animé.
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Et pourtant, la façon dont il est utilisé dans ce film est plus que contemporaine, cela donne un tout autre effet. “ L'image a une consistance incertaine qui l'éloigne de la réalité physique des choses sans l'en couper tout à fait.”* Le but étant de troubler les sens du spectateur.
Le film évoque les thématiques de la drogue et de l’identité tournant autour du personnage principal. Un agent de police qui lutte contre les stupéfiants et s’infiltre à l’intérieur de cette sphère grâce à un costume qui brouille son identité. Il change sans cesse ses traits au contact de quiconque. Bob Arctor est Fred, et Fred est Bob Arctor, le policier et l’infiltré, ce qui peut parfois prêter à confusion.
Le traitement d’images permet de donner plus de complexité au long-métrage et en surcroît au scénario mais également une sensation de brouillard perturbant et constant. Ces images troublent nos sens face à une réalité qui n’est pas la nôtre et sort de l’ordinaire. Malgré cet effet, la physionomie des acteurs et leur jeu restent intacts mais les sensations visuelles sont tout autre, perturbantes et intrigantes à la fois et liées à cette thématique de la drogue qui nous conduit sur des voies loin d’être communes.
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Le costume aborde une tout autre facette de la technologie, censée nous rendre service et pourtant, parfois elle a tendance à nous perdre, dans ce cas-ci, son identité. Nous parlons de drogues comme d’addiction mais la technologie, n’en est-elle pas une ? Parfois n’est-elle pas nocive? Des questionnements justes et toujours actuelles, posés dans un livre et un film qui font pourtant partis du passé.
*https://www.lemonde.fr/cinema/article/2006/09/12/a-scanner-darkly-un-jeu-d-identites-brouillees_812203_3476.html
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elisadinca · 4 years
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CORE / REBOOT 2019 de 1024
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CORE / REBOOT 2019 est une pièce audiovisuelle de 1024, créée pour CORE, une piste musicale expérimentale synchronisée avec un spectacle de lumière en 3 dimensions.
J’ai eu l’occasion de l’admirer à l’exposition « Electro » de la Philharmonie de Paris. Elle a illuminé au cœur de l’exposition, une salle immersive accompagné d’un mix de Laurent Garnier, DJ et grand pionnier de la scène techno en France et de la culture rave.
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Initialement, j’ai découvert la musique électronique à travers ma mère qui est Dj, mais ce fut un réel plaisir de voir à travers cette exposition, cette culture sous un autre angle, artistique et d’autant plus technologique.
Cette installation invite les spectateurs à vivre une certaine spatialité dynamique à travers la lumière et sa réaction au son. Elle procure un effet hypnotisant et change l’image dansante que procure la musique électronique. Pour une fois, nous ne faisons pas que l’écouter mais nous la contemplons également. Une approche tout à fait innovante d’écouter de la musique et bien plus immersive. 
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